Elle commença par les pours et les contres

pours: certaines personnes... Ivan, Elea, Frédérique, le chef d'orchestre, Geneviève
contres: certaines personnes...Geneviève, Elea, Isabelle, Nathan,

puis elle raya les noms qui revenaient

pours: la musique (écouter et découvrir), la danse (en boite), se préparer à sortir, le théâtre, sentir le vent, marcher pieds nus dans l'herbe, sentir les fleurs dans un jardin, les câlins, le "chocolat", rencontrer de nouvelles personnes, jammer avec des copains

contres: la musique (la jouer...) la danse (les gens deviennent bizarres), toujours sentir le poids des yeux de tout le monde qui juge, le froid, l'abandon, être moche, ne jamais avoir de famille, être seule, avoir mal, toujours avoir le sentiment de marcher sur des oeufs, avoir peur, forcer les sourire, halluciner (ou être tourmenter par Geneviève) rejeter mon violoncelle, avoir le gout de mourir, pleurer, vivre dans un taudis, pas savoir conduire, les souliers,

elle regarda sa liste ferma les yeux... elle la déposa sur le canapé et alla chercher son téléphone... toujours rien... on en était presqu'à la moitié de la nuit et... rien ! Elle déposa le téléphone sur la table et reprit la liste... elle la reverrait à la fin de la nuit et prendrait une décision...

elle ferait ce qu'elle a mis de positif sur cette liste... c'est ce qu'elle ferait de la fin de cette nuit.

elle se dirigea dans les sacs dans le garde-robe si tous étaient trop occupé pour retourner ses appelles d'aide elle s'occuperait d'elle ...

Elle choisit une robe et passa à la douche et se prépara à sortir... elle irait au parc et elle irait danser et... elle verrait ensuite!

La jeune rose avait taillé légèrement et remonté ses cheveux
avec soin prenant son temps… elle avait fait de même pour le maquillage et c’était
crémé, chose qu’elle n’avait pas fait depuis des lustres. Mais bien avant ca
elle avait prit une douche profitant de la chaleur de l’eau, elle avait
toujours aimé ce moment si calme si doux avec ce bruit d’eau merveilleux.





Quand elle sortie de la salle de bain, elle se dirigea vers
les sacs et pris une robe qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de mettre. Trop….
Enfin juste trop pour ce quelle était venu faire ici… mais pour sortir il n’y
avait pas de problème… elle l’enfila, la lassa et prit le temps de choisir des
souliers…





Elle prit la liste, fit des ajouts





Pours : les
douches,





Contres : être
quand même moche après tous ses efforts, ne pas être heureuse même en faisant
des trucs que l’on aime…





Elle raya la dernière partie… dans la douche elle avait été
bien et à son comptoir aussi et…elle remplaça par





Contres : trop
réfléchir…





Elle soupira … c’était peut être ca le problème, elle haussa
les épaules, prit son cellulaire …toujours rien





Elle le prit, le mis dans un sac avec un paquet d’autre truc
et son argent et… quitta…





(Les quais)

La petite rose monta rapidement les marche, heureuse que le…
nosfératu ne l’ai pas suivit chez elle. Elle ouvrit la porte et entra… les
rideaux ouverts donnaient une belle vue sur la ville, elle fit tomber ses
souliers et le laissa choir sur le canapé.


Elle ne savait plus trop quoi penser de cette nuit étrange…
certes le pire des anniversaires et une très moche soirée… tous l’avait laissé
tombé et ce jusqu'à la fin.





La petite fleur observait l’horizon… combien de temps encore…
a quel point tout ca était douloureux… la question était légitime, la seule
fois ou elle avait tenté, s’était dans la voiture d’un infirmier a l’institue…
sans douleur… juste la fin… si il ne l’avait pas trouvé, elle serait pas là
aujourd’hui… elle n’aurait pas vécu tout ca et…





Elle ressorti sa liste et y inscrivit pour :
avoir vécu tout cela ; orchestres, amour, rire, concert, sexe, … déchirure,
souffrance, douleur…





La rose sourit…


« Rien n’arrive pour rien, laisse du temps au temps… »





Elle reprit la liste et écrivit pour : MAMIE et elle
encercla cette dernière chose encore et
encore et encore. cette femme là avait toujours été là pour elle, elle le serait toujours Abi en était convaincue. Meme si la femme était morte, elle serait là a jamais






L’horizon s’éclaircissait, la belle ferma les rideaux et
rapidement alla se changer pour se laisser retomber à la dernière minute sur le
canapé, une brosse a cheveux dans les mains… trop tard pour ca, il était trop tôt…

Elle se réveille toujours aussi triste, avec la tombé du
jour. Se réveiller sans les bras de Geneviève, sans son visage si beau et si
doux était difficile.





La jeune rose s’assit et reprit exactement ou elle avait
laissé au petit matin




« Rien n’arrive pour rien, laisse du temps… au temps ! »


Elle démêla sa longue chevelure, lentement… longuement. Regardant
son violoncelle…elle n’avait pas vraiment le gout, mais elle l’avait plus qu’hier…
elle sourit. Elle alla ouvrir les rideaux, restant dans la fenêtre un instant,
profitant du paysage de la ville encore active, de… ciel qu’elle avait faim…
mais ca ne lui faisait pas envie du tout…




Elle déposa la brosse à cheveux et se dirigea vers l’instrument…
le sortie du coffre au trésor et s’installa près de la fenêtre. Elle devait le
réapprivoiser… elle le plaça entre ses jambes… toucha les cordes, caressant le
bois. Elle fit de même avec l’archet et… elle retourna aux bases… les notes,
les gammes… les mélodies pour enfants puis, tout doucement, elle se laissa
bercer, elle ferma les yeux et tenta de savourer le moment pour ce qu’il était

Elle avait joué malgré que le gout n’y soit pas particulièrement…
elle poussa encore, jouant des pièces plus modernes. Elle finit par poser le
violoncelle dans son socle et soupira… elle ne resterait pas là a regarder le
temps passer…




« laisse du temps au temps… »


Elle alla prendre des vêtements et se dirigea dans la salle
de bain ouvrit l’eau de la douche et après avoir démêlé encore une fois ses
cheveux, elle entra dans l’eau. La belle s’assit dans le fond du bain, laissant
le jet de douche lui tomber sur la tête…elle resta là de nombreuses minutes
avant de se relever et de se laver.




Elle finit par ressortir et regarder les vêtements choisit…
ils feraient certes plaisir au contexte de l’élysée, mais elle avait envie de
porter autre chose… elle sortie nue de la salle de bain et … s’habilla. Elle se
regarda dans le miroir… ce soir elle serait elle-même… au diable les cheveux
coiffés, maquillage ultra léger… et… au diable le reste elle irait danser


https://i.servimg.com/u/f78/16/70/79/30/big_2010.jpg

La jeune rose fouilla sur internet pour trouver un endroit ou elle pourrait danser sur des rythmes latins... elle trouva .. prit son manteau et appela un taxi

(départ pour balajo)

(retour du Louvre)

Elle lança ses chaussures et son sac. la belle laissa des traces de sang sur le tapis de l'entré... ses pieds guérit le sang avait un peu séché, mais sa marquerait quand même... elle se changea, mettant un vieux pyjama qu'elle portait quand elle vivait encore avec Mamie... bien avant le conservatoire... la robe alla rejoindre les autres sur le lit...elle devrait aller les faire laver... *pas de sous... pas de lavage...*

Quelle rose de merde quand même... déprimée, suicidaire, sans un rond, moche et cruche... elle en avait de quoi briller et griffer... *je m'impressionne moi-même... comment j'ai fait pour survivre moi ! Reine des conne va tu fais de l'humour !* elle rit se regardant dans le miroir

tu fais pitié ma pauvre fille... oh encore des blagues !

celle là ne la fit pas rire...

té pas mal loin de ce que tu voulais dans ta vie hein ?!?

Elle se dirigea dans le salon /chambre parce que j'aime pas l'autre pièce / salle de musique /débarra/ entrée/ vue sur la ville et elle ouvrit les rideaux et s'installa avec son violoncelle... Ferma les yeux, il avait encore quelque chose de rassurant ce bout de bois... elle avait peur, il la rassurait ! elle le fit chanter tout doucement d'abord et de plus en plus fort, une lourde plainte sinistre et douloureuse... elle se senti devenir lourde... hésita mourir en jouant était plutot un belle mort non... elle continua... un instant de panique pas nécessairement contrôlé par elle... les rideaux se fermèrent... elle sombra dans la torpeur a quelques pas du canapé.

Quand la torpeur diurne prit fin et qu'elle se réveilla, elle se sentait plutôt mal en point... elle avait faim ! cela n'aurait pas du la déranger à ce point, elle en avait l'habitude... s'était l'autre parti d'elle qui n'aimait pas ça... *elle devra s'en contenter on a personne...* Abi se traina jusqu'au canapé. Elle savait qu'un moment ou un autre cette situation arriverait... quoi faire maintenant ? c'était la question en fait... elle ne voyait pas de réponse. elle prit le temps de se réveiller dans le canapé... peut être qu'avec un réveille plus confortable elle arriverait a quelque chose ! elle s'étira donc et après de longues minutes à paresser, elle se leva et alla prendre une douche... alla se coiffer et se maquiller et... resta en pyjama ! elle ouvrit les rideaux et se remis à son violon.

le reste attendrait...

elle était a jouer quand le bruit du téléphone se fit entendre... la rose alla regarder le message et y répondit.
Elle alla par la suite dans la chambre, trouva un vêtement approprié a l'invitation, mais en même temps... on met quoi pour ce genre de concert...

Elle passa les robes une a une... les plaçant devant elle vis à vis le miroir et les lançant derrière elle... jusqu'à la petite robe noire... un classique, mais, en cas de doute, elle restait la meilleure option !

Elle traina la robe du soir dans la salle de bain avec elle et se baigna, avant de se coiffer et maquillé et cremé et parfumer et habiller

elle retourna dans la chambre ... regarda le résultat et le trouva acceptable...elle prit son cellulaire et retourna jouer ... restait a attendre d'autres nouvelles de Victor


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Le téléphone émis du son a nouveau, la rose prit le message et rangea le violoncelle puis mit souliers et manteau, prit son sac et sortie en verrouillant la porte.

(chemin menant chez la rose)

Elle rentra, affamée, mais loin des tentations tout était plus simple... ca l'avait toujours été. Elle referma derrière elle, elle verrouilla derrière elle... le sac alla rejoindre le plancher, comme les clefs et les souliers et la robe.

elle se dirigea vers la chambre et prit un vêtement de nuit, confortable... et elle alla ouvrir les rideau puis s'installa au violoncelle

HRP:

La nuit était tombé, Kaoum ouvrit les yeux. Pendant un instant il se demanda se qu'il faisait là. Il avait eu tellement l'habitude de se réveiller dans son fauteuil de bureau pendant toutes ces années que se réveiller dans un lit était limite choquant pour lui.

Un petit mouvement prêt de lui l'alerta tout de suite et il tourna la tête. Un sourire béat d'enfant apparut sur son visage hideux et repoussant. Il ne comprennait toujours pas comment il avait réussit à en arriver là. Autant de chance lui faisait craindre le contre coup.

Il restat donc alonger à admirer la belle créature encore endormie à ses côtés n'osant bouger, n'osant briser ce moment de calme dans la folie de sa non-vie. Les souvenirs lui remontaient en mémoire : L'explosion, la douleur, les jours d'entrainements et d'enquêtes et . . . Abigail, le rayon de soleil qui avait persé les nuages de son calvaire.

Il sortait de une semaine de ce qui se rapprochait le plus de vacances pour lui, une semaine en tête à tête avec l'amour de sa non-vie. Mais était ce bien de l'amour ? Oui ! À n'en pas douter ! Il n'avait pas le droit d'en douter si il souhaitait ne pas la détruire. Et puis malgré ce qu'on disait sur les vampires, comme quoi ils étaient sans coeur, pourquoi serait il si attaché à elle si ce n'était pas de l'amour ?

Il sourit. Oui ce ne pouvait être que celà. Il continua à l'admirer, son visage, son corps. La ligne de sa machoire et la douceur de son visage. Les formes que laissait deviner le drap en eux-même étaient magnifiques. Quel ironie pour un Nosfératus que de s'extasier devant telle beauté ! Mais il ne pouvait s'en empêcher.

Il finit par s'obliger à bouger. Il avait une longue journée devant lui. Il tendit alors la main et caressa doucement le bras de Abigail, lui prit la main et y déposa un baiser avant de se lever et de s'habiller, il devait retrouver Venise, sa primogène, il était temps d'agir.

Il s'arrêta sur le seuil de la chambre en se demandant si Abigail aurait besoin de manger aujourd'hui.

La jeune rose se réveilla, le cherchant dans le lit de sa délicate main... elle ouvrit rapidement les yeux, le cherchant... ou il était ? il s'était bien couché là pourtant ! et elle l’aperçu... dans la porte, prêt à partir...déjà... encore !

Elle se recoucha sur le côté, lui faisant dos... c'était comme ca depuis, oh... une grosse semaine, il partait, allait la rejoindre ! elle n'avait rien avant 2 ou3 bonnes heures encore... elle resta couchée. S'il préférait être avec elle, que pouvait elle y faire de toute manière ?!? Abigail connaissait déjà la réponse... ri..en..rien !

Elle se couvrit la tête du draps

il savait qu'elle n'aimait pas ca... Elle aurait quand même a tenter de se faire jolie... elle était encore de soirée ! un vernissage ! on voulait son opinion...elle devrait quand même sourire !

Elle avait bougé. Elle était réveillé. Mais elle s'était caché la tête après l'avoir aperçu. Son geste le transperça tel un couteau. La défiance et le dégout, c'était ce que ressentai tout le monde envers lui. Mais il se raisonna. Non, pas Abigail. Elle était différente, il devait voir lus loin. Voilà un mois presque qu'ils vivaient ensemble, il se devait de comprendre. Son cerveau marcha en accéléré, repassant toutes les actions et réaction de la belle de ces derniers jours. Il en était parfois effrayant même pour lui même de constater à quel point son cerveau enregistrait tout.

Il revit sa moue boudeuse quand il avait annoncé passer une semaine d'entrainement avec Venise. Il revécut la dispute au sujet de sa déclaration de devoir cacher leur relqtion. Il voyait tout celà comme si il y était encore. Il fit ainsi les liens logiques entre ces scènes et la réaction de Abigail.

Il se rapprocha alors à pas de loup d'elle et lui caressa l'épaule.

"Bonne nuit ma belle. Alors enfin réveillé ? T'es une vrai marmotte hein."

Il lui sourit malgré qu'elle ne le vit pas. Son ton se voulait doux et calin.

"Je m'apprêtais à aller à l'Elyséum rejoindre ma primogène et je ne voulais pas te réveiller. Peut être as tu faim ? Si tu te dépêche on pourrais . . . on pourrait y aller ensemble si tu veux. Je penses qu'il est temps . . ."

Il avait dit ces derniers mots sur un ton imperceptiblement lugubre. Il appréhendait la réaction de la cour face à leur couple. Pas pour lui, il n'avait cure de ce que l'on pensait de lui, préférent de toute manière les faits et les actions aux racontards. Mais il s'inquiétait pour sa belle et de la réaction de son clan. Être avec un Nosfératus pour un Toréador était inconcevable. Il était presque certains que celà ne s'était jamais vu. Ce qui rendait encore plus précieux à ses yeux Abigail, si différente dans sa perception du monde que les autres.

elle sentit la main sur son épaule, elle se raidit, elle était en colère... puis il lui annonca qu'il allait rejoindre sa primogène... elle était encore plus en colère... elle, toujours elle, encore elle... elle versa quelques larmes ! elle ne se comprenait plus, mais elle le comprenait lui... elle n'avait rien a lui apporter alors que Venise elle...

j'ai pas faim...

le ton était froid, empli de chagrin. puis il dit la phrase magique ! d'un geste brusque, elle retira le drap qui la couvrait et le regarda, le visage rougit par les larmes versées avant, pour être certaine que ce ne fut pas une mauvaise blague...
il semblait sincère ! elle lui sauta au cou, le serrant si fort, l'embrassant. Il aurait demander en mariage la prince a papa qu'elle était que le bonheur n'aurait pas été aussi grand... ce soir il considérait qu'elle était assez bien pour dire à tous que...

Je t'aime ..

et elle sortie du lit rapidement, courant à la salle de bain, prenant une douche record, séchant, aplatissant ses cheveux, se maquillant avec soin... elle n,irait pas en élysé longtemps mais... puis elle remis sa pierre et courra à la chambre, farfouillant dans le garde robe qui se vida... elle essaya une deux trois quatre... tenue... puis revint à la première

elle regarda Kaoum


ca va ca ?

http://www.couleur-mode.com/mode-fashion/im/articles/robe-retro-rouge.jpg

Kaoum regarda Abigail s'activer tout à coup. Un sourire dentue apparut sur son visage face à ce changement subit de réaction. Elle était une vrai flamme cette femme, fragile et changeante, pouvant vous bruler les ailes mais ne le sachant pas. Peut être était ce pour celà qu'il l'aimait.

Pendant qu'elle se démenait à se préparer il se plonge dans ses songeries. Il retraça les évènements des derniers mois. Le pouvoir avait été restauré sur Paris mais celà avait entrainé des activités clandestines importantes. Personne, à part Venise peut être, n'était au courant, mais Paris étaitenclé, espionné et cloisonné.

*Si j'avais au moins pû mettre en place mon réseau . . . il me faut découvrir qui est derrière tout ça.*

Il fut tiré de ses pensées par l'arrivé de sa belle. Et belle elle l'était, magnifique même. Mais il ne pouvait le lui dire sans en subir son courroux, il devait prendre son temps, le temps de lui faire accepter sa beauté. Il se contentat alors d'un : 

"Cette robe est magnifique et te va à ravir ma belle."

Il s'approcha d'elle alors un sourire aux lèvres et l'embrassa.

"Nous pouvons donc y aller, au Louvres, annoncer au monde notre relation. Mais, je dois te prévenir mon amour, cela risque d'être difficile pour toi. Ton clan, risque de ne pas m'accepter. Pour ma part je suis prêt à y faire face, et toi"

Elle se regardait dans le miroir, trouvant que la robe ne faisait que mettre en évidence ses grosses fesses, mais elle était dans le ton pour l'exposition...


je ne pourrais pas rester bien longtemps, il y a une nouvelle exposition et je suis invité au vernissage... d'ou le pourquoi de cette robe...

Elle retourna au miroir

elle me fait un derrière énorme...

elle soupira il la prit dans ses bras, l'embrassa... elle se colla entière contre lui posant ses lèvres contre les siennes

je m'en fou de ce qu'ils pensent...

Kaoum sourit à Abigail heureux de sa réponse. Il espérait que son propre clan ne ferait pas trop de scandal. Pas que cela changerait ses sentiments mais cela ne l'aiderait pas du tout dans ses projets.

Il prit alors la main de Abigail, sourire toujours aux lèvres et activa 1000 visages pour prendre l'apparence qu'il avait lors de sa transformation par le baiser.

"Aller on y va."

Il serra un peu plus fort la main de sa dulcinée.

"À deux nous sommes les plus fort n'en doute jamais."


Il sortit alors de l'appartement (il laisse Abi prendre ses affaires si il y en a d'autres bien sûr) et se dirigea vers le Louvres.

(galerie particulière)

Le taxi la déposa non loin de chez elle... elle fit le reste a pieds... parlant de pieds ils avaient un peu dégelés et la douleur était horrible.

Quand elle entra chez elle, elle alla tout de suite dans le canapé et retira ses souliers ses pieds avaient une drôle de couleur... Elle attendit quelques minutes les pieds relevés, sous une couette... et ca commençait a partir alors elle alla mettre son pyjama et défit ses cheveux puis ouvrit les rideaux du salon et se glissa derrière son violoncelle

elle le caressa, doucement, sentant le bois, les cordes, vérifiant qu'il allait bien... puis elle ferma les yeux et fit glisser l'archet lentement puis elle se mit a jouer, les yeux clos...


https://www.youtube.com/watch?v=SnFXzq_gDUs

Elle entendit le téléphone sonner...elle venait de recevoir un message... un message qui, avec la fin de la nuit, la fit sourire ! Kaoum allait rentrer à la maison... il n'avait pas fait de bêtise et était encore en vie !

Elle déposa le téléphone toute sourire et tressa en deux nattes ses longs cheveux et ferma le rideau, le jour allait bientôt se lever... ça serait déjà fait! et elle se remit a jouer... elle avait négligé ses protégés depuis un temps... mais les redécouvrait comme s'il s'agissait d'un premier amour... ou d'une première douleur !

Elle comprit soudain quelque chose... Geneviève... elle lui avait bien dit ! La jeune rose sourit et se remis à jouer, une larme à l'oeil, le sourire aux lèvres

https://www.youtube.com/watch?v=WXqYJNP0p2k

La porte s'ouvrit, un visage passa par l'entrebaillement de la porte suivit bientôt par le reste du corps. Kaoum referma la porte derrière lui. Son visage laisse transparaitre la lacitude d'un homme pas content de son travail de la journée. Prenant le temps de fermer la porte et ses nombreux vérous installés par ses soins, il revoyait l'affaire du micro et de la maison de stanislas : rien ! pas d'avancé !

Il finit par réalisé le son du violoncelle venant de la chambre à couché et un sourire monta à ses lèvres. Il etait enfin rentré dans son propre paradis. Il se dirigea vers la chambre, ouvrit la porte le plus discrètement possible et s'adossa à l'encadrement de celle-ci pour regarder Abigail jouer. Un spectacle dont il ne se lassait pas.

Elle jouait, les yeux clos, heureuse de ce moment, tout simplement... puis la musique stoppa, elle posa l'archet et rouvrit les yeux et sursauta en voyant Kaoum dans la porte

ca...ca fait longtemps que tu es là !

Elle posa le violoncelle dans le socle et rangea l'archet puis se leva et alla rejoindre Kaoum, passant ses bras autour de son cou et lui donnant un bisou sur le nez

tu as passé une belle nuit ?

Kaoum l'écoutait emporté loin par sa musique quand le morceau s'arrêta. Un brusque retour à la réalité, mais une réalité devenu bien plus supportable. Il aimait voir son air surpris, ce qui lui arracha un sourrire, le petit froncement entre ses sourcil étant assez mignon au final.

"Je suis arrivé vers le milieu du morceau je dirais."

Il la saisi par la taille et lui rendit son baisé par un autre sur le front. Puis il la rapprocha de lui la serrant dans ses bras. Profitant simplement du moment et de son cantact. Voilà qui était un comportement irrationnel pour lui, un tel attachement, mais cela lui faisait du bien.

"Pas tant que ça. La nuit a même été des plus decevantes. En toi ma belle ? Comment était ta nuit ?"

Il se recula un peu pour pouvoir la regarder dans les yeux. Et pendant qu'il l'écoutait se dirigeait vers le lit pour s'y assoir, attirant Abigail avec lui.

Elle sourit quand il l'embrassa, pour changer pratiquement instantanément d'expression lorsqu'il lui dit que sa nuit avait été décevante... la main de la jeune rose vint caresser la joue du mask...

meilleure que la tienne je croix... nouveau primogène qui ne m'a pas ridiculisé pendant la rencontre et... l'exposition était magnifique !

il était déjà rendu sur le lit, l'entrainant à sa suite... elle s'installa à ses côté, se lovant contre lui


j'avais hâte de te revoir... tu m'as manqué !

Kaoum la serra dans ses bras. La lacitude le gagnait à nouveau et la torpeur de même.

"Tu m'as manqué aussi. J'ai pensé à toi toute cette nuit. Je suis navré de ne pas être venu à l'exposition avec toi. La prochai. . ."

Les yeux de Kaoum se refermaient lentement sans qu'il puisse rien y faire. La torpeur le prenait, la nuit se terminait, sa non-vie quant à elle était sur la corde raide. Trop de dangers le guettait et cela lui mettait les nerf en compote. Enfin, sauf quand il était dans ses bras à elle . . .