Nom, prénom, surnom : [Duplessis Armand. / Surnom: Dante, le peintre de l'enfer.]
Clan : [Toréador.]
Nature : [Passionné.]
Attitude : [Bon vivant.]
Concept : [Artiste polyvalent, spécialisation : Peintre.]
Génération : [Neuvième.]
Age : [20 ans d'apparence. / 45 ans vampirique. / Total 65 ans.]
Apparence : [De très belle apparence. (hors du commun.)]
Qualités : [Bon sens de l'humour, empathique et chaleureux.]
Défauts : [Hyper-sensible, émotif et très susceptible.]
Signes distinctifs : [Il a la manie de se faire craquer les doigts phalanges par phalanges lordqu'il est contrarié et il a des manières effeminés.]
Volonté : [5]
Voie : [Humanité 5]
Historiques : [Génération 4. / Servant 1. / Ressources 3. / Mentor 0. / Renommée 4.]
Atout : [Aucun.]
Handicap : [Aucun.]
Aptitudes : PHYSIQUE | SOCIAL | MENTAL |
Force [3] | Charisme [4] | Perception [2] |
Dextérité [3] | Manipulation [2] | Intelligence [2] |
Vigueur [2] | Apparence [5] | Astuce [2] |
Capacités : TALENTS | COMPÉTENCES | CONNAISSANCES |
Comédie [...] | Animaux [...] | Erudition [2] |
Vigilance [...] | Artisanat [5] | Informatique [...] |
Sport [...] | Conduite [1] | Finance [...] |
Bagarre [5] | Etiquette [1] | Investigation [2] |
Esquive [4] | Arme à feu [2] | Droit [...] |
Empathie [4] | Mêlée [2] | Linguistique [...] |
Intimidation [...] | Représentation [...] | Médecine [...] |
Commandement [...] | Sécurité [...] | Occultisme [2] |
Connaissance de la rue [...] | Furtivité [...] | Politique [...] |
Subterfuge [...] | Survie [...] | Science [...] |
Disciplines : - Présence: [5]
- Célérité: [3]
- Augure / Auspex: [...]
Background : [Armand Duplessis est né en 1946, dans l’après guerre. A Montréal, Québec. Il était né sous le nom de Jérémie Morane. (mais pour la cohérence de la narration le nom d’Armand Duplessis sera cité)
Son père s’était suicidé 6 mois après sa naissance. Il avait appris qu’il était atteint d’un cancer du cerveau et il ne voulait pas affronter sa déchéance physique et mentale. Sa mère laissée sans le sous. Du trimer dur pour joindre les deux bouts. Elle qui était d’une très belle apparence se mit donc a faire le trottoir pour faire entrer l’argent dans la maison et s’occuper du petit Armand.
Celui-ci était élevé seulement par sa mère sans la présence d’un homme, car les seuls hommes qu’il voyait passer ne restaient que pour une heure tout au plus. Il du alors faire preuve de débrouillardise pour grandir dans le milieu que sa mère lui avait imposé. Il se mis à développer une passion pour les arts, la peinture et la poésie. Il s’était même consacré à étudier à fond dans le domaine des arts. Au fil du temps, peu a peu, inconsciemment il se mis à adopter des gestes et des manières féminines qui lui resteront toute sa vie et non-vie, probablement du à l’éducation et a la fréquentation purement féminine autour de lui.
Naturellement avec les années, sa mère se fanait et elle attirait de moins en moins de clients. Armand devait faire sa part pour assurer que les factures soient payées. Étant un beau jeune garçon avec une belle et longue chevelure brune, il se mit à poser pour certain magasines et pour des pubs à la télé. Mais cela ne rapportait pas assez. Il ne disposait pas des contacts nécessaires pour aller plus loin dans ce domaine. Il se mis à se prostituer également sous les encouragements de sa mère. Il devait rencontrer de riches et vieilles clientes pour leur apporter une bouffée de fraicheur. Mais Armand avec son apparence particulièrement attirante entrainait de la jalousie et de la concurrence dans le marché de la chair. Il du apprendre assez tôt a se servir de ses poings et même d’armes à feu pour éviter de subir des mauvais partis. Car un souteneur du coin voulait faire disparaître Armand pour conserver sa clientèle de femmes âgées en nostalgie d’amour.
Après avoir tenté d’intimider sans succès Armand a quelques reprises tout en faisant appel à la force, Il se mit un jour de projeter de le défigurer afin de faire cesser le commerce du jeune Duplessis.
Il avait débarqué dans l’appartement de sa mère avec 2 de ses gorilles. La situation se dégradât aussitôt. Armand n’était pas disposé à laisser cet homme transformer son minois en Picasso. Armand se défendit très bien. Il réussit même à abattre un des sbires avec son revolver, mais dans le feu de l’action sa mère fut tuée par un vicieux coup de couteau. Le souteneur paniqué quittât les lieux rapidement avec le gorille restant, car l’autre était étendu mort près du cadavre de sa mère.
Naturellement avec le revolver trouvé chez lui. Le procureur de la couronne l’accusait d’avoir assassiné sa mère ainsi qu’un soi-disant client, Il fut inculpé de double-meurtre au second degré et écopât de 25 ans de réclusions.
La prison…
La prison pour un jeune homme de 18 ans avec une apparence de minet est pire que le fin fond du tartare, pire que l’enfer. Il dut se confiner dans sa cellule, se battre avec violence pour essayer d’échapper à des viols collectifs. Il du même se résoudre à devenir la Bitch (la pute) du Caïd de la tôle. Tant qu’a se faire violer par 30 mecs a chaque 2 jours, un seul c’était moins mutilant. Alors Armand avec ses manières efféminées et sa démarche de gazelle était une affaire en or pour le violeur, il forçait même Armand a porter des sous-vêtements féminins, ce qui faisait en sorte qu’Armand était très sous-estimé par son Caïd qui ne voyait en lui qu’une jeune petite tantouse. Malheureusement pour le Caïd, son manque de vigilance a fait en sorte qu’il fut retrouvé mort dans sa cellule, la gorge ouverte d’une oreille a l’autre, quant a Armand ils l’ont découvert dans le coin de la cellule, couvert de sang des pieds à la tête dans sa petite tenue féminine et à la main, une cuillère limée pour être devenue une véritable lame. Le Caïd avait finalement payé le prix fort pour avoir pu disposer comme d’un esclave sexuel du bel Armand. Évidemment ce dernier fut reconnu coupable d’homicide, doublant sa peine de prison et envoyé au mitard.
Bref après deux ans de pénitencier a protéger son « derrière », il était devenu endurci, plus fort et beaucoup plus malin.
Mais une nuit. Armand venait d’avoir 20 ans. Un gardien de prison avec la complicité de deux autres hommes qu’il ne connaissait pas, s’étaient organisés pour le faire évader. Il fut emmener dans une vielle villa d’apparence très rustique.
Une femme avait commandité son évasion. Il s’agissait d’une de ses anciennes clientes du temps ou il se prostituait. C’était Madame Pivert, dans la mi-quarantaine, elle avait malgré tout une apparence soignée et agréable. C’était une bien curieuse cliente. Ils n’avaient jamais eu de rapports sexuels, elle ne faisait que le lui demander de se mettre nu et de faire des poses pendant qu’elle appliquait de la peinture sur son corps afin de faire de lui une divinité…Bref, elle payait bien!
Mais la maintenant? Qu’est-ce-que cela signifiait? C’était trop bizarre! Elle prétendait qu’elle ne pouvait pas supporter de savoir l’homme qu’elle aimait derrière les barreaux.
Les complices de l’évasion s’étaient envolés après avoir touché une importance somme d’argent.
Madame Pivert ne lassa pas le temps a Armand de s’interroger davantage. Elle se rua vers lui pour lui sauter à la gorge. Lui qui s’était habitué à se défendre contre plusieurs violeurs baraqués dans la prison, il n’arrivait pas a se dégager de la petite Dame, elle disposait d’une force herculéenne, Armand était vaincu. Puis il se rappellera s’être senti paniqué lorsque la vie avait lentement quitté son enveloppe corporelle.
C’était en 1967 dans la nuit du 07 octobre.
Son réveil fut brutal…Il avait étrangement mué, sa vision, son odorat, ses perceptions avait radicalement changé et puis cette soif, ce besoin, ce besoin irraisonné de se nourrir. Ne sachant pas de quoi au début il avalait des litres et des litres d’eau sans jamais étancher sa soif. Puis vomissant l’eau a fur et a mesure qu’elle pénétrait dans ses entrailles.
Madame Pivert commençait à rapporter des corps inconscients à la maison et appris au jeune Armand comment se nourrir…. Après plusieurs frénésies, ce dernier s’était résolu à essayer d’accepter sa nouvelle condition. Plusieurs mois passèrent, ils durent déménager plusieurs fois, parfois même se retrouver dans des villages isolés du Nord du Québec.
Il dépendait totalement d’elle, il ne comprenait pas ce qu’il était devenu. Elle se mis alors a l’éduquer calmement et longuement sur le monde des ténèbres. C’est alors que sa Dame changea le nom de Jérémie Morane en Armand Duplessis. Morane n’était plus qu’un évadé, porté disparu et présumé mort.
Dans l’oisiveté de ses nuits. Armand se mis à peindre et à écrire. Ses idoles étaient Dante Alighieri, Gustave Doré et Hyeronimus Bosch. Les gravures et les toiles représentant l’enfer dans un absolu de beauté l’émerveillaient d’une façon incommensurable. Il se mit à peindre alors avec talent des toiles, des peintures représentant la chatoyante morbidité de l’enfer et du monde des ténèbres.
Cette occupation apportait à Armand une extraordinaire confiance en soit. Il se consacrait aussi a accentuer sa « Présence » avec le talent dont son clan ‘Toréador’ disposait.
Après un certain temps. Madame Pivert l’avait envoyé à l’Académie des arts contemporains de Montréal pour y présenter ses œuvres et se faire connaître. L’exposition dura des semaines et Armand était la coqueluche de l’évènement. Par contre il ignorait que sa Dame l’avait envoyé à Montréal pour le mettre à l’abris car elle avait des ennuis, fort probablement avec le Sabbat. Elle était restée seule au Mont-Tremblant pour tenter de régler ses problèmes.
Après l’expos, Armand était de retour chez Madame Pivert. Mais par la fenêtre du salon il remarquât qu’elle n’était pas seule dans la maison. Une autre vampire, surement avec ses mouvements surnaturels, elle était en train de se quereller avec sa Dame et après un moment l’inconnue mit fin a la non-vie de Madame Pivert en la décapitant avec une épée pour ensuite mettre le feu a la demeure et aussitôt disparaître dans la nuit. Armand n’avait aucune idée de qui cela pouvait bien être, il ne voyait seulement que l’ombre d’une femme extrêmement rapide et très agile. Il ne pouvait s’agir que d’une Caïnite, Armand en était convaincu.
Donc Armand étais maintenant seul, cela avait fait 4 ans qu’il cohabitait avec la Dame Pivert. Il était mortifié, se demandant ce qu’il allait devenir sans sa Dame…Il devait se débrouiller seul, et c’est alors qu’il se mis à utiliser ses talents de peintre, de graveur et poète pour gagner sa vie. Il voyageait beaucoup et ses toiles se vendaient bien, il gagnait moyennement sa vie (non-vie) Armand adorait par-dessus tout la compagnie des belles femmes et cela se produisait sans qu’il ait à en faire l’effort. Sa grande beauté, sa « présence », son empathie, son comportement chaleureux et gentleman faisait en sorte qu’il devenait un objet de culte vivant partout ou il passait. Les femmes le voulaient, les hommes aussi. Tous pour une raison ou une autre, étaient à ses pieds.
Armand aimait cette situation, il devint très vite un séducteur. Dans la nostalgie de sa vie de vivant. Il regrettait les relations sexuelles, qui pour lui, étaient indissociables de l’amour. Il se mis donc a entretenir régulièrement des rapports intimes avec des humaines en y mettant le prix du sang.
Mais c’était un prédateur qui ne vieillissait pas, il ne pouvait rester longtemps au même endroit, il n’était pas très bon chasseur dans ses premières années, bien qu’il était facile pour lui d’attirer le bétail, beaucoup de proies trépassaient dans ses mains et le nombre de porté disparus augmentait dans chaque région ou il s’établissait. Donc il devait bouger mais demeurant dans le Québec. Il allait de la Gaspésie jusqu’au Lac St-Jean, en passant par Rouyn Noranda, Montréal, la ville de Québec, Rimouski etc…
Une nuit, il était à Roberval, Chicoutimi. Vivant dans un immeuble a logements. Il fit la connaissance d’une bien curieuse femme. Elle s’appelait Lorraine Arsenault, surnommé malicieusement par le concierge de : La Vieille Grosse Plotte ou La Grosse Lorraine. Elle était effectivement âgée dans la cinquantaine et de très forte taille, son caractère acide l’empêchait d’avoir des gens dans son entourage. (Aucun homme sensé n'aurait voulu épouser ce dragon) Elle était institutrice dans une école secondaire et elle était réputée chiante et sévère. Elle n’était pas très jolie. Elle affichait constamment un air extrêmement sévère et ses épais cheveux noirs foncés, permanentés et montés en étage sur sa tête aggravait la sévérité de son apparence. Elle portait toujours des pantalons tailleur à taille très haute, jamais de robe ou de jupe et des pantalons extrêmement moulants de surcroit, elle se plaisait à mettre en évidence ses très larges rondeurs, faisant ressortir ses grosses fesses et ses énormes seins de façon exubérante. Cela lui donnait un aspect complètement grotesque et obscène vu sa taille et son âge. Comme si elle voulait exciter sexuellement la gente masculine et mettant en évidences ses volumineuses rondeurs. Et même si les rondeurs de Madame Arsenault étaient très fermes, très tendres, parfaitement proportionnées par rapport à sa grosseur et que sa peau n’était aucunement flasque, cela ne faisait aucune différence, elle avait l’air…D’une excentrique dodu mal baisé ou plutôt, pas baisé du tout. Naturellement elle était tombée totalement en extase devant la beauté du Caïnite, du bel Armand avec ses traits juvénile, les traits presque parfaits de son visage, son corps d’Adonis, ses manières délicates et affichant éternellement l'éclat de ses 20 ans.
Elle avait développé une véritable obsession pour le Toréador et celui-ci était d’une certaine façon attiré par la grosse dame, non pas pour ses grosses fesses, mais plutôt parce qu’elle s’adonnait au dessin. Elle confectionnait des tableaux de pastel de toute beauté, représentant de tout, animaux, forêt, paysage urbain etc. Elle était très douée, mais Lorraine s’imaginait avoir réussie à séduire le bel étalon. Elle paradait autant qu’elle le pouvait devant Armand en congestionnant ses énormes formes dans ses pantalons et ses chemisiers trop petits pour elle, espérant provoquer une pulsion sexuelle chez le jeune homme. Elle ne savait pas qu’il s’intéressait a elle que pour son talent en dessin au pastel.
Cependant Armand se liait d’amitié pour elle. Cette femme qui d’habitude méprisait son entourage et se comportait de manière horrible et très méchante envers les autres. Était d’une douceur exemplaire pour Armand. Elle en était follement et éperdument amoureuse. Et profitant de cette faiblesse, le Caïnite décidât d’exploiter cette femme pour qu’elle effectue pour lui tout ce qu’il ne pouvait pas faire pendant le jour. Il était même aller jusqu'à faire l’amour avec elle a quelques reprises pour la consolider dans ses sentiments amoureux afin qu’il puisse mieux disposer de sa précieuse aide.
Mais vint une nuit ou il devait déménager. Trop de disparitions dans le quartier commençaient à alerter et à animer les soupçons des habitants. Il devait s’établir ailleurs. Mais ne pouvant plus se passer des services de Madame Arsenault. Il en fit sa goule, l’abreuvant de son propre sang, Madame Pivert lui avait expliqué une nuit cette méthode.
Et depuis…Lorraine Arsenault ne le quittait plus jamais, elle obtint même des boulots dans des écoles le jour pour donner le change.
Armand s’adonnait toujours à la peinture tout en écrivant ses recueils de poésie. C’était sa grande passion et accumulait les conquêtes féminines au grand désespoir de Madame Arsenault qui devenu sa Goule acceptait tout avec la plus grande docilité comme la bonne esclave soumise qu’elle était devenue. Cependant elle ne ratait jamais une occasion de démontrer de l’agressivité et de la méchanceté envers les maitresses d’Armand.
Cependant il y avait un imprévu. Les toiles d’Armand commèrent vraiment a faire le tout du monde. Ses représentations de l’enfer devenaient très prisées.
Il commençât même a se faire un nom. Il était reconnu sous le nom de « Dante! Le peintre de l’enfer! »
Ses œuvres étaient très demandés dans les hautes sphères. Recevant commandes par dessus commandes.
Tout ceci le faisait paniquer car un jour ou l’autre quelqu’un s’apercevrait que certaines toiles très vieilles étaient faite par lui le jeune homme de 20 ans. Il ne savait plus ou aller pour se dissimuler au Québec tant sa renommée prenait de l’ampleur.
Il trouva alors la solution en quittant le continent pour se rendre à Paris, capitale de la France riche en arts et en histoires. Avec ses économies, il se mit à établir sa propre galerie d’arts et il invitait tous les artistes-peintres de talent a venir présenter ses œuvres chez lui. Il les promouvait et les aidait à se faire reconnaître. « Dante, le peintre de l’Enfer » jouissait maintenant d’une prestigieuse réputation, et ses revenues augmentaient tout a la fois. Il n’était pas millionnaire mais il vivait très bien, car tout peintre digne de ce nom savait que leur véritable talent ne serait mis à l’apogée qu’après leur mort et qu’a partir de ce moment leurs œuvres se vendraient à coup de millions. Mais Armand n’était pas mort sous son apparence humaine et sous le nom de Dante. Mais Jérémie Morane l’était depuis longtemps et il lui semblait que cela faisait des siècles, le temps ou il vivait d’amour et d’eau fraiche, du temps ou il se prostituait aux vieilles dames pour une bouchée de pain, le temps ou il était la pute du Boss de la prison, le temps ou il était vivant. Il voulait aimer comme avant, désirer et posséder une femme corps et âme comme un homme vivant sait si bien le faire. Mais il n’était plus qu’un cadavre ambulant. Cependant il cherchera sans relâche et toujours l’amour, passant d’une femme a une autre en espérant que la prochaine lui procurera les plaisirs du temps de son vivant. Lorsque Armand tombait dans ce genre de mélancolie, il devenait amer et sans joie, dans cet état il avait développé la manie de se faire craquer les doigts dans des bruits secs et dérangeant, phalange par phalange, cela pouvait durer des heures, cette espèce de transe lui donnait un aspect sinistre et très inquiétant.
Bref. Il avec le temps, il avait accentué au maximum son talent de « présence » pour se nourrir sans créer de situation catastrophique dans son voisinage. Il était devenu plus habile, plus prudent, plus doué à la chasse. Bref. « Dante, le peintre de l’enfer », chéri en tant qu’artiste-peintre, vivait paisiblement avec sa Goule, La grosse Lorraine Arseneault.
Nous sommes en 2011 et Armand est rendu à 65 hivers…Paris.]