(Vient de : un parc comme les autres.)
il avait laissé Maya et la moto un peu plus loin, profitant de ce moment de solitude pour se rétablir psychologiquement et moralement.
Bientôt, il serait au Louvre, endroit où il devait remettre son masque social de politesse apparente.
Il avait fait tomber celui-ci pendant ses interactions avec Fleur et Maya. Il fallait dire que sa relation avec Fleur était assez spéciale et qu'il connaissait Maya depuis l'époque où celle-ci était encore une enfant aveugle, abandonnée en forêt, qui se trouvait être le territoire d'une de ses amie gangrelle.
La faim le reprit, il était vraiment allé à la limite... Encore. Mais cette fois-ci, c'était pour une bonne raison, une raison qui lui tenait à coeur, même s'il ne comprenait pas encore tout à fait ses tenants et ses aboutissants : La nonne brujah.
L'ambiguité de ses sentiments pour elle était des plus perturbante.
Il finit enfin par repérer une cible isolée, hors de vue des multiples passants, Il devait faire ça vite; mais sept cent ans d'expérience dans le domaine de la chasse lui conférait un avantage certain.
La cible fut inconsciente avant d'avoir le temps de dire "Quoi?". Il se nourrit sans tuer et cacha sa proie inconsciente, de manière à ce que personne ne profite de l'état de celle-ci.
*Tu deviens trop tendre, mon vieux.*
Il retourna prestement vers son véhicule et la gangrelle et sans dire mot, ils repartirent vers le Louvre.
(Diection: Le Louvre.)