Jeudi 17 Février 2011
Faits divers : Disparition inquiétante d'un homme de 26 ans Dans la nuit, il était parti Travailler à l'opéra de Paris... Les policiers du commissariat de Paris 1er ont lancé un avis de disparition depuis ce matin un homme de 26 ans, qui n'est pas réapparu depuis qu'il est parti hier soir, vers 22h, prendre son poste d'hôtesse d’accueil à l'opéra de Paris où ce jouait 'Les noces de Figaro', comme il le fait depuis plusieurs années. Ce jeune homme est un artiste prometteur qui rêve un jour de monter sur les planches pour faire entendre à la salle où il travail sa voix de baryton. Ses collègues affirment qu'il a disparue durant l'entracte du prestigieux opéra de Mozart. Après la représentation les lieux ont été entièrement fouillé à sa recherche, mais en vains... Antoine Galivic | Attentat : Un nouveau mort... L'horreur continue pour les proches et les victimes de l’attentat du Narcisse. La nuit du mardi 15 au mercredi 16 , dix clients et salarier du Narcisse ont été tué dans une attaque à la roquette, les secourt malgré tous leurs efforts vous le savez n'ont retrouvé que deux survivants, mais cette nuit l'un d'entre eux à perdue la vie au service de soin intensif des grand brulés au CHU ARMAND TROUSSEAU... Le Dr GALL Olivier, Anesthésiste Réanimateur, affirme que tout les moyen on était mis en œuvre pour le sauver, mais que ses blessures étaient trop importante. Il maintient également un diagnostique vital engagé pour l'autre survivant qui a subit de grave lésions à la tête due à un choc avec une poutre enflammé qui est tombé sur lui semble t'il. La victime est sous respirateur et sa famille refuse de s'exprimer temps la souffrance et la peur de la perdre les ronges. A ce jour nous ignorons encore qui sont les responsable de ce massacre et personne ne l'a revendiqué en temps qu'attentat. La police travail sur cette affaire. Sur les lieux de se tragique événement les offrandes et les marques de soutient s'accumule pour les victimes et leurs proches. Il ne reste du Narcisse ce bar à l'ambiance si chaleureuse que des gravas et des larmes... Antoine Galivic |
International : Guerre civile libyenne
Mouammar Kadhafi en 2009.
La guerre civile libyenne est un conflit armé issu d'un mouvement de contestation populaire, assorti de revendications sociales et politiques. Il s'inscrit dans un contexte de protestations dans les pays arabes.
Comme les révolutions tunisienne et égyptienne, le mouvement trouve son origine dans un mouvement de protestations, réclamant plus de libertés et de démocratie, un meilleur respect des droits de l'homme, une meilleure répartition des richesses ainsi que l'arrêt de la corruption au sein de l'État et de ses institutions32,33. Mouammar Kadhafi, le « Guide de la Révolution » de la Jamahiriya arabe libyenne, est au début de 2011 le plus ancien dirigeant du monde arabe en fonction : il est à la tête de la Libye depuis le 1er septembre 1969, soit près de 42 ans de règne.
Les principaux mouvements ont d'abord eu lieu dans des villes de Cyrénaïque (à l'Est) : à El Beïda, Darnah et surtout Benghazi, puis s'étendent dans pratiquement toutes les grandes villes du pays et à Tripoli, la capitale. Plusieurs intellectuels qui s'étaient rangés aux côtés des manifestants ont été arrêtés et pour la plupart jugés. De hauts dignitaires religieux appellent à la fin du régime.
La répression des opposants prend un tour sanglant ce le 15 février à Benghazi, le pouvoir durcissant la répression des manifestants. Les manifestations se muent alors en révolte armée : le régime de Kadhafi est abandonné par une partie de ses cadres et les insurgés forment un Conseil national de transition.
Symbole des opposants, l'ancien drapeau libyen a été en vigueur de 1951 à 1969, avant la prise de pouvoir de Kadhafi. Les manifestants le hissent dans les villes passées sous leur autorité.
Comme les révolutions tunisienne et égyptienne, le mouvement trouve son origine dans un mouvement de protestations, réclamant plus de libertés et de démocratie, un meilleur respect des droits de l'homme, une meilleure répartition des richesses ainsi que l'arrêt de la corruption au sein de l'État et de ses institutions32,33. Mouammar Kadhafi, le « Guide de la Révolution » de la Jamahiriya arabe libyenne, est au début de 2011 le plus ancien dirigeant du monde arabe en fonction : il est à la tête de la Libye depuis le 1er septembre 1969, soit près de 42 ans de règne.
Les principaux mouvements ont d'abord eu lieu dans des villes de Cyrénaïque (à l'Est) : à El Beïda, Darnah et surtout Benghazi, puis s'étendent dans pratiquement toutes les grandes villes du pays et à Tripoli, la capitale. Plusieurs intellectuels qui s'étaient rangés aux côtés des manifestants ont été arrêtés et pour la plupart jugés. De hauts dignitaires religieux appellent à la fin du régime.
La répression des opposants prend un tour sanglant ce le 15 février à Benghazi, le pouvoir durcissant la répression des manifestants. Les manifestations se muent alors en révolte armée : le régime de Kadhafi est abandonné par une partie de ses cadres et les insurgés forment un Conseil national de transition.
Symbole des opposants, l'ancien drapeau libyen a été en vigueur de 1951 à 1969, avant la prise de pouvoir de Kadhafi. Les manifestants le hissent dans les villes passées sous leur autorité.
Société : Guerre des bandes en plein Paris
DES BATTES de base-ball, des barres de fer, des bombes de gaz lacrymogène, des béquilles, une table utilisée comme projectile… la bagarre qui a commencé samedi en début de soirée entre deux bandes au Forum des Halles (I e r ), et au cours de laquelle trois policiers ont été légèrement blessés, aurait pu dégénérer.
DES BATTES de base-ball, des barres de fer, des bombes de gaz lacrymogène, des béquilles, une table utilisée comme projectile… la bagarre qui a commencé samedi en début de soirée entre deux bandes au Forum des Halles (I e r ), et au cours de laquelle trois policiers ont été légèrement blessés, aurait pu dégénérer.
Selon la police urbaine de proximité (PuP), 25 personnes appartenant aux groupes rivaux de la gare du Nord et de la Mafia-Def (La Défense) se sont retrouvées aux alentours de 19 h 30 devant les escalators au niveau de la porte Lescot, avec la volonté d'en découdre. D'après Alain Gardère, le directeur de la PuP, l'intervention rapide de la police présente en nombre dans les entrailles du Forum, en particulier le samedi, a fait que les adversaires « n'ont pas eu le temps de
s'affronter ». Un des belligérants, originaire de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et âgé de 20 ans, a cependant eu la clavicule cassée dans des circonstances encore confuses. Il a dû être hospitalisé. Côté dégâts matériels, plusieurs chaises et des tables d'un café voisin ont été détériorées, mais sans plus. Hier, aucune trace de l'affrontement n'était visible.
Sept personnes placées en garde à vue.
Selon Alain Gardère, les bandes étaient constituées de jeunes venus de banlieue « qui utilisent les transports en commun pour se retrouver sur un terrain d'affrontement », en l'occurrence le noeud de Halles où se rejoignent notamment les lignes A, B, et D du RER en provenance de la banlieue.
Agées de 16 à 20 ans, les sept personnes interpellées, qui ont été placées en garde à vue, étaient en effet originaires de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Clamart, Bagneux et Nanterre (Hauts-de-Seine), Argenteuil (Val-d'Oise) et Versailles (Yvelines). Grâce aux de la police des transports qui sillonnent le réseau francilien, ou aux caméras de surveillance, « les mouvements de ces groupes sont stoppés dans 90 % des cas. Mais ils s'adaptent, viennent à un ou deux, puis se donnent rendez-vous par texto. Cette fois-ci, nous ne les avons repérés qu'au dernier moment », détaille le directeur de la PuP, qui, sans minimiser, relativise cette bagarre. Il tient à rappeler que, au même moment, une opération a mobilisé 100 policiers dans les cités Riquet et Curial-Cambrai, dans le XIX e , où les agressions et les fusillades se succèdent. Cinq personnes ont été interpellées, dont deux pour possession d'armes blanches. Plus tard dans la nuit, une rixe, de moins grande envergure que celle des Halles, a eu lieu rue Sauffroy (XVII e ) entre deux groupes des XVII e et XIX e arrondissements. Un jeune homme de 19 ans a été blessé au visage d'un coup de cutter.
Plus inquiétant, deux policiers ont disparus au cours de la nuit, leur voiture a été retrouvée complètement calcinée dans un terrain vague au petit matin...
Leur dernière communication aurait laissés entendre qu'ils avaient repérés une bande de fêtards qui s'amusaient à ouvrir une plaque d'égout...
s'affronter ». Un des belligérants, originaire de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et âgé de 20 ans, a cependant eu la clavicule cassée dans des circonstances encore confuses. Il a dû être hospitalisé. Côté dégâts matériels, plusieurs chaises et des tables d'un café voisin ont été détériorées, mais sans plus. Hier, aucune trace de l'affrontement n'était visible.
Sept personnes placées en garde à vue.
Selon Alain Gardère, les bandes étaient constituées de jeunes venus de banlieue « qui utilisent les transports en commun pour se retrouver sur un terrain d'affrontement », en l'occurrence le noeud de Halles où se rejoignent notamment les lignes A, B, et D du RER en provenance de la banlieue.
Agées de 16 à 20 ans, les sept personnes interpellées, qui ont été placées en garde à vue, étaient en effet originaires de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Clamart, Bagneux et Nanterre (Hauts-de-Seine), Argenteuil (Val-d'Oise) et Versailles (Yvelines). Grâce aux de la police des transports qui sillonnent le réseau francilien, ou aux caméras de surveillance, « les mouvements de ces groupes sont stoppés dans 90 % des cas. Mais ils s'adaptent, viennent à un ou deux, puis se donnent rendez-vous par texto. Cette fois-ci, nous ne les avons repérés qu'au dernier moment », détaille le directeur de la PuP, qui, sans minimiser, relativise cette bagarre. Il tient à rappeler que, au même moment, une opération a mobilisé 100 policiers dans les cités Riquet et Curial-Cambrai, dans le XIX e , où les agressions et les fusillades se succèdent. Cinq personnes ont été interpellées, dont deux pour possession d'armes blanches. Plus tard dans la nuit, une rixe, de moins grande envergure que celle des Halles, a eu lieu rue Sauffroy (XVII e ) entre deux groupes des XVII e et XIX e arrondissements. Un jeune homme de 19 ans a été blessé au visage d'un coup de cutter.
Plus inquiétant, deux policiers ont disparus au cours de la nuit, leur voiture a été retrouvée complètement calcinée dans un terrain vague au petit matin...
Leur dernière communication aurait laissés entendre qu'ils avaient repérés une bande de fêtards qui s'amusaient à ouvrir une plaque d'égout...
Météo : Jeudi 17 Février 2011 Saint Alexis Température Moyenne: 5 | 1 Précipitations: 0 Lever : 07h56, Coucher : 18h14, Durée : 10h17, (+3 min.)
| Fait divers : Le tueur aux jouets court toujours...Le tuer fou ne semble pas avoir fait de nouvelle victime, mais l'enquête suit son court, la police pense approcher au terme de l'enquête puisque le meurtrier en série ne peux plus agir à sa guise... Traqué par la police et les médiats et face à une population en alerte le tueur n'a pas pu trouver de victime, c'est du moins ce qu'espère la police. |