Samedi 19 Février 2011
Térorisme : Le Louvre victime d'une attaque
Après un bar privé un lieu hautement touristique pris pour cibleDeux jours seulement après l'attaque honteuse du Narcisse, il semblerait que le même groupuscule armé ait décidé de s'attaquer à un haut lieu du tourisme, un symbole historique : Le Louvre ; visant une fois de plus des civils.
Un véhicule, encore inconnu des forces de police, s'est posté devant l'entrée du Louvre avant d'ouvrir le feu sur les touristes et passants, parmi lesquels des membres de la sécurité du bâtiment. Plusieurs victimes sont à déplorées et plusieurs blessés ont été transportées dans un état critique vers les services d'urgences.
La police recherche activement les responsables de cette attaque et demande à tout témoin ou personne ayant des informations, des clichés ou vidéos de la scène de se rapprocher de la cellule d'urgence dont les numéros et adresse vous sont communiqués plus bas.
Antoine Galivic
Faits divers : Joggeuse: le meurtrier présumé tente de se suicider en prison
Mais le meurtrier présumé de Natacha Mougel serait désormais hors de danger...
La joggeuse Natacha Mougel, a été tuée le 5 septembre dans le Nord. Son meurtrier présumé aurait pu mourir ce samedi matin en prison, où il a tenté de se suicider. Mais ses jours ne seraient pas en danger, a-t-on appris de sources concordantes.
Overdose d'anxiolytiques
Le détenu, âgé de quarante ans, aurait avalé une centaine de cachets anxiolytiques dans sa cellule, selon les secours. Conscient lors de sa prise en charge par les pompiers, tôt dans la matinée de samedi, il a été emmené au CHR de Lille et ses jours ne seraient plus en danger, selon cette source.
Lorsque les gardiens de la prison ont ouvert la cellule, ils ont retrouvé des plaquettes de Valium à côté de lui, selon des sources syndicales pénitentiaires.
Natacha Mougel, 29 ans, cadre chez Décathlon, a été assassinée le 5 septembre alors qu'elle effectuait un jogging à Marcq-en-Baroeul, dans la banlieue lilloise.
Son meurtrier présumé avait déjà été condamné à 10 ans de prison en 2006 pour le viol d'une autre joggeuse et avait été remis en liberté conditionnelle en 2009.
Le corps de Natacha avait été retrouvé sur un chemin près de la forêt de Phalempin, au sud de Lille, à une vingtaine de kilomètres du lieu de l'enlèvement, sur les indications de son meurtrier présumé.
Le meurtre de cette femme avait provoqué une vive émotion dans la région et ses obsèques s'étaient déroulées en présence des ministres de l'Intérieur et de la Justice.
La joggeuse Natacha Mougel, a été tuée le 5 septembre dans le Nord. Son meurtrier présumé aurait pu mourir ce samedi matin en prison, où il a tenté de se suicider. Mais ses jours ne seraient pas en danger, a-t-on appris de sources concordantes.
Overdose d'anxiolytiques
Le détenu, âgé de quarante ans, aurait avalé une centaine de cachets anxiolytiques dans sa cellule, selon les secours. Conscient lors de sa prise en charge par les pompiers, tôt dans la matinée de samedi, il a été emmené au CHR de Lille et ses jours ne seraient plus en danger, selon cette source.
Lorsque les gardiens de la prison ont ouvert la cellule, ils ont retrouvé des plaquettes de Valium à côté de lui, selon des sources syndicales pénitentiaires.
Natacha Mougel, 29 ans, cadre chez Décathlon, a été assassinée le 5 septembre alors qu'elle effectuait un jogging à Marcq-en-Baroeul, dans la banlieue lilloise.
Son meurtrier présumé avait déjà été condamné à 10 ans de prison en 2006 pour le viol d'une autre joggeuse et avait été remis en liberté conditionnelle en 2009.
Le corps de Natacha avait été retrouvé sur un chemin près de la forêt de Phalempin, au sud de Lille, à une vingtaine de kilomètres du lieu de l'enlèvement, sur les indications de son meurtrier présumé.
Le meurtre de cette femme avait provoqué une vive émotion dans la région et ses obsèques s'étaient déroulées en présence des ministres de l'Intérieur et de la Justice.
AFP
Criminel : le 18ième en feu
Pour la deuxième fois en deux nuits, une affaire enflamme le 18ième arrondissement de Paris. En effet, une clinique désaffectée que l'on pensait inoccupée a brûlé durant la nuit après un échange de balle à l'intérieur du bâtiment. Lorsque les autorités sont arrivée sur place, les lieux avaient déjà effacés les preuves par les flemmes. Aucun témoins n'a été signalé, visiblement les agresseurs avaient quitté les lieux peu de temps après le début des hostilités.
"On pense à un règlement de comptes" confie l'un des policiers sur place, mais visiblement, plusieurs gangs se sont agités en ville, empêchant la police d'intervenir plus tôt. Plusieurs cadavres ont été retrouvé calcinés par les flemmes, certains dont l'anatomie semblait avoir été modifiée. L'enquête suis son cours mais avec si peu d'indices, la police n'a pas beaucoup d'espoirs d'arriver à boucler cette affaire.
Gaëlle Pierrepond
Criminel : Appel à la population Cette nuit, un entrepôt d'armes, dont la cargaison était tenue secrète, a été totalement vidé de tous ses équipements, les gardes ont disparu et un mot a été retrouvé signé par une dénommée "Sublime". Un appel à la population a été lancé pour retrouver la trace de cette présumée femme. On envoie aussi un appel à témoin pour savoir si des personnes auraient été vue sortir ou entrer de cet entrepôt. Andy Martinez Politique : Strauss-Kahn: il n'a «rien d'autre à l'esprit» que le FMI Le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, a assuré samedi qu'il n'avait «rien d'autre à l'esprit» que le FMI... S'il se déclare, ce ne sera pas ce week-end. Le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, auquel tout le monde prête des ambitions présidentielles, estime manifestement qu'il est urgent d'attendre. Il a ainsi assuré samedi qu'il n'avait «rien d'autre à l'esprit» que le FMI qui l'occupe «à plein temps», coupant court à une question sur ses intentions pour la présidentielle de 2012. AFP | Météo Saint Gabin de Rome Température Moyenne: 6 | 1 Précipitations: 0.3 Lever : 07h52, Coucher : 18h17, Durée : 10h24, (+3 min.)
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Guerre : Encore une journée de révoltes intense dans le monde arabe
Paris News fait le point sur la situation dans les différents pays arabes...
En Libye, Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 40 ans, fait face à un mouvement de contestation sans précédent, notamment dans l'est du pays. Samedi matin, l'organisation Human Rights Watch estimait à 84 le nombre de personnes tuées par le régime durant les trois jours de manifestations. Depuis d'autres estimations vont jusqu'à plus de 100 morts. Et l'AFP décompte au moins 41 morts dans la nuit de vendredi à samedi. Face à la ferme condamnation de cette répression par l'Union Européenne, le secrétaire-général du ministre des Affaires étrangères libyen a convoqué l'ambassadeur de Hongrie (actuellement à la présidence tournante du Conseil des Vingt-Sept) pour lui signifier son mécontentement. Seul le président du Conseil italien, Silvio Berlusconi, a déclaré à la presse qu'il entendait «ne pas déranger» le dictateur. Alors que l'opposition lui demandait de prendre position, il s'est dit préoccupé par la situation, mais que celle-ci était «en constante évolution, donc je ne me permettrais pas de déranger qui que ce soir» a-t-il affirmé.
Au Yémen, le pays le plus pauvre du monde arabe, la journée a également été violente. Les soutiens du gouvernement ont ouvert le feu sur des manifestants s'opposant au président Ali Abdullah Saleh - dont le mandat dure depuis 31 ans. Il y a eu au moins un mort, qui s'ajoute aux cinq de la veille. C'est la première fois depuis le début des révoltes yéménites que les manifestants anti-gouvernementaux faisaient usage d'armes à feu - fusils d'assaut et pistolets - pour riposter. «Dégage! Dégage!», scandaient un millier de manifestants à l'adresse du chef de l'Etat, faisant écho au reste des cris du monde arabe.
A Bahrein: l'armée s'est retirée samedi dans l'après-midi, alors que les manifestants prenaient possession de la place de la Perle à Manama, épicentre de la contestation contre le régime de Bahreïn. Le prince a ainsi ébauché une volonté d'apaisement en demandant aux forces de l'ordre de se retirer. Le gouvernement a ensuite annoncé dans l'après-midi qu'il avait ouvert un dialogue avec les groupes d'opposition qui réclament des réformes dans le petit royaume insulaire du Golfe. «Un processus de dialogue bahreïni a débuté entre le prince héritier et les groupements politiques», fait savoir l'office de l'information dans un message diffusé sur Twitter.
En Algérie, une marche samedi a été marquée par l'omniprésence des forces de l'ordre. Des policiers, en tenues anti-émeutes, ont dispersé dans le centre d'Alger un demi-millier de manifestants qui voulaient organiser un défilé au départ de la place du 1er-Mai. A 14h00, les manifestants se sont finalement dispersés, sans incidents signalés, et la circulation est redevenue normale dans le secteur. «Si les autorités sont vraiment démocratiques, pourquoi ne pas autoriser cette marche?», s'interrogeait une manifestante. Les policiers ont aussi interpellé Belaïd Abrika, figure de l'opposition qui fait campagne pour les droits des Kabyles.
En Tunisie, où le chef d'Etat Ben Ali est tombé, premier du monde arabe, des manifestants s'étaient rassemblés pour demander le départ de l'ambassadeur de France, Boris Boillon. Le nouvel ambassadeur de France a finalement présenté samedi soir des excuses publiques pour s'être montré cassant avec des journalistes lors d'une récente conférence de presse. «Je dis que je suis désolé (...) Je regrette mes paroles, j'ai été stupide», a déclaré le diplomate à la télévision nationale tunisienne.
En Egypte enfin, où Hosni Moubarak n'est plus au pouvoir, cédant à la suite de Ben Ali, le Premier ministre Ahmed Chafik a annoncé que 222 prisonniers politiques allaient être libérés, en notant que seuls quelques-uns avaient été arrêtés durant le soulèvement populaire qui a entraîné la chute de l'ancien président. Selon l'agence officielle Mena, Chafik a estimé à 487 le nombre des détenus politiques encore dans les prisons du pays. Des groupes de défense des droits de l'homme affirment que des milliers d'Egyptiens ont été emprisonnés sans être inculpés aux termes des lois d'exception et que beaucoup d'entre eux peuvent être considérés comme des prisonniers politiques.
VM