[arrivé de la ligne droite]

Il la laissa entrer, retirant sa veste poliment, l'accrochant au porte-manteau, le siens suivant de près. Il l'attira un peu plus à l'intérieur d'une main dans le dos, lui souriant avec assurance.

- Tu peux prendre mon lit, je vais rester sur le canapé.

Il lui indiqua la mezzanine du duplex où se trouvait le lit et lui montra d'un autre mouvement la salle de bain. La pièce était totalement ouverte, décoré avec simplicité, usant de matiéraux brute pour un style épuré et simple, l'ensemble se voulant moderne et assez classe.

- Mets toi à l'aise.

Alors qu'il la laissait prendre place, il retira ses chaussures et se vautra dans son canapé, regardant la Rose prendre ses marques chez lui.

(arrivée de la Ligne droite)

Elle l'avait suivit calmement, et se retrouva en camisole dans son appartement, suivant des yeux les directions qu'il lui indiquait, farfouillant le reste du regard jusqu'à ce qu'elle se senti observé... elle déposa son sac dans l'entrée de même que ses bottes et fit son chemin jusqu'à la salle de bain.

Une fois la porte close, elle se regarda dans le mirroir.. quelle horreur ! La jeune rose de débarbouilla du mieux qu'elle pu et défit ses longs cheveux qu'elle démèla de ses doigts avant de ressortir...

Elle avanca lentement vers lui, ne sachant pas trop quoi dire ou que faire, elle lui sourit

je... je dois refuser ! c'est chez vous et... votre lit vous reviens de droit je crois !

Elle s'assit dans le canapé

déjà que vous êtes bien aimable d'acceuillir une étrangère...

Il la toisa du regard, toujours vautré dans son canapé et un sourire moqueur se dessina sur ses lèvres carmines.

- Tu t'appelles comment ? Finalement tu ne me l'as même pas dit.

Il lui tendit une main chaleureuse.

- Frédéric pour ma part. Mais tu peux m'appeler Fred, ça me va tout aussi bien.

Elle prit sa main tout en répondant à son sourire par un sourire gêné

pardonne moi Frédérick...

Elle parru gênée comment elle avait pu oublier pareille chose et se montrer si impolie

Je m'appelle Abigail ! je suis enchantée de te rencontrer !

Elle reprit sa main et se recroquevilla sur elle même, ses genous contre sa poitrine

J'aurais préférer te rencontrer en d'autres circonstances, mais... on dit que le destin fait parfois bien les choses ! on dirait qu'il avait raison cette nuit!

Il sourit doucement et se releva. Alors qu'elle se recroquevillait un peu plus sur le canapé, il la porta telle une princesse pour la mener jusqu'à son lit avec un sourire moqueur.

- Bien Abigail. Maintenant que nous sommes officiellement des connaissances, je crois que tu peux prendre mon lit : ma maison, mes règles. C'est non - négociable. Je m'en voudrais de laisser une si belle demoiselle dormir sur le canapé alors que mon lit est bien plus confortable.

Il la porta jusqu'à l'étage, ignorant toutes protestations puis la déposa sur le lit. Il allait rejoindre le canapé lorsqu'une idée lui vint. Il se retourna, la bousculant légèrement et s'installa sur elle en plongeant son regard dans le siens, leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre.

- Une question comme ça ... Est ce que tu obéis docilement à tout ceux qui te l'ordonne Abi' ?

Elle ne comprenait pas la question, ou du moins le, voir les sens qu'il voulait lui donner, elle figea. La rose se remis a respirer comme un vieux réflexe rassurant et ce, même si la respiration était nerveuse. Elle tenta d'éviter son regard, tremblante, là a cet instant, il l'effrayait

je..

autant elle avait chercher une issus possible lorsqu'il l'avait porté, essayant même de se défaire de la prise, autant elle cherchait un moyen de se sortir de cette situation terriblement gênante.

je... thrumm... non, enfin ... je crois !

Elle se mit a réfléchir, cherchant la bonne réponse à la question plutôt vague ! Mais elle devait se l'admettre quelque par, elle avait obéit a son sir, elle avait obéit a King Quintin, elle avait obéit a Ivan, elle avait écouté Geneviève et Raphael... La seule décision qu'elle avait prise pour elle-même c'était de mourrir et là...

Il s'approcha un peu plus d'elle, frôlant ses lèvres des siennes.

- Ah ? Tu crois seulement. Moi je vais te dire la vérité.

Il se recula d'un coup, se levant, commençant à partir.

- Je ne te toucherais pas. Jamais à vrai dire parce qu'il est trop aisé de t'avoir. Tu ne l'es plus, sinon pourquoi la Reine serait partie sans toi ?

Il posa son dos contre le mur, croisa les bras sur sa poitrine et la laissa ingérer l'information.

- Tu sais se qu'il te reste à faire. Impressionne là, montre lui que tu t'en sors sans elle et même mieux maintenant qu'elle n'est plus là pour te poser des chaines.

Il la regarda, plus se redressa sur ses jambes avant de partir.

- Ah ! Et au faite, arrête de donner sans que personne ne l'es mérité, ta gentillesse et ta tendresse sont des valeurs que tu offres trop facilement, que tu as donné trop facilement à ta Reine. Apprends à tester les personnes avant de les suivre aveuglement. Je tiens à te rappeler, merveilleuse Abigail, que tu es l'ancienne favorite, une cible de choix. Trouves les bons alliés. Le prochain prince ou la prochaine Reine devrait t'être d'une aide considérable. Tu devrais aller le voir demain.

Il descendit de la chambre, fermant la porte blindée à clé, la gardant tout contre lui pour cette torpeur.

Elle resta saisit... il venait de lui balancer un lac d'eau glacée à la figure, il s'était joué d'elle, il savait qui elle était et elle avait crue en sa gentillesse et lui il tentait quoi, défaire une vie et un commencement de non vie d'éducation... montre toi aimable Abi ! ne dis rien de déplacé Abi ! sois en gentille avec les autres, fais confiance aux gens, ils te le rendront...

NON ! pas ici on dirait... ici ca, ce qu'elle savait ne s'appliquait pas !ce qui était la norme pour elle n'existait pas !

Elle se leva quand il descendit... il l'enfermait ?!!? Elle jeta un coup d'oeil, il devait bien avoir un issu a cette situation particulièrement désagréable... pas de cellulaire pas d'argent et...ne connaisant pas vraiment la ville a si peu du levé du soleil avec la torpeur qui engourdissait déjà les membres de la rose... elle douta tentant d'analyser la situation, se disant que finalement elle aurait du suivre son plan original au lieu de se montrer gentille avec le pauvre idiot qui ne regardait ou il mettait les pieds... elle s'assit sur la première marche et s'accottant elle s'endormit

La tete contre le mur, la rose sortie de sa torpeur, comme on sort d'un sommeil douloureux et pesant. lentement la lourdeur de la torpeur s'évanouie... elle se rappella ou elle était et pourquoi elle était assise contre le mur sur cette marche.

les yeux gris de la rose s'ouvrirent et elle chercha ce Frédérique du regard...il était toujours en torpeur et elle ne pouvait pas quitter... elle prit son sac...

Machinalement, elle se dirigea vers la salle de bain et fermant la porte, elle se glissa dans la douche... au travers du bruit de l'eau, la voix de la jeune fille prit le dessus, elle était de belle humeur malgré l'étrange situaton dans laquelle elle était

https://www.youtube.com/watch?v=QGWbLD0R9mc

La rose n'était pas trop certaine de bien comprendre ce qu'il voulait... et le trouvait un peu étrange et tant qu'a être encore de ce monde, elle irait jouer ce soir avec l'orchestre !

Elle sortie de la salle de bain une demi heure plus tard résolue a sortir de cet appartement !

Alors qu'elle prenait sa douche, Frederic s'était calé contre le mur, près de la porte, l'écoutant chanter un sourire en coin. Lorsqu'elle sortie de la douche, il lança avec une voix moqueuse.

- Tu as l'air de bonne humeur Abigail ?

Il s'avança et la rejoinds en agitant la clé sous son nez.

- Alors on va où ensemble ?

Il la regarda tout sourire, visiblement très amusé par la situation. Il était hors de question qu'il la laisse de côté

Elle le regarda, surprise, il se passait quoi là ? il jouait a quoi ? son regard se fit interrogateur, mais elle garda pour elle les questions. Elle haussa les épaules !

toi je ne sais pas ou tu vas, mais... comme je suis encore en vie je vais honnorer mon contrat et aller jouer !

elle regarda la porte

d'ailleurs je dois passer chez Ivan me changer et prendre mon violoncelle alors...

Elle pointa la porte de la main

voudrais tu cesser de jouer avec moi comme tu le fais et... m'ouvrir cette porte s'il te plait ?!?

Il se décale du mur sans un mot, mais son sourire reste sur ses magnifique lèvres couleur du sang alors qu'il sort un trousseau de clé et va ouvrir en grand la porte.

"Bonne soirée Abigail"

Tout compte fait il le la suivrait pas, il avait une présentation à faire et n'avait pas comprit ou il voulait en venir..... Dommage.

"Vous savez ou je vie maintenant."

Il lui tourne le dos pour se diriger à son tour vers la salle de bain, alors qu'il n'avait pas retiré les clés de la serrure.

"N'oubliez pas de fermer en partant."

Elle le regarda s'éloigner, il était vraiment étrange, elle ne comprenait pas ou il voulait aller en agissant de la sorte. la jeune rose haussa les épaules, fouilla dans son sac et laissa un billet pour le concert s'il voulait venir il était le bienvenue puis, elle sortie



(chez Ivan)

Il sortie de sa douche bien une demi heure plus tard une simple serviette sur les épaules, il jette un coup d’œil rapide dans l'appartement et tombe sur le billet don il se saisit avec un sourire. La belle n'avait rien comprit, mais au moins elle n'avait pas abandonné, il retourne jusqu'à se fenêtre pour regarder les rue de Paris un instant le billet encore entre ses doigts, non elle ne méritait pas qu'il se donne du mal pour elle, mais après tout pourquoi ne pas allait s'offrir un concert.

Il laisse tomber la serviette à terre et se dirige vers la chambre à couché ou il ouvre un grand dressing regorgeant de costumes en tout genre. Il portera un costard hors de prix gris sans fantaisie. Il s'habille sans même se regarder, enfile ses chaussures et referme la porte derrière lui, pour se rendre au concert.

Direction le théâtre

Fred avait raccompagné Abigail jusque chez elle, puis était retourné à son Refuge avant le levé du Soleil.

Il s'éveilla dans son lit sans fatigue, ni courbature, puis descendit les marches de l'escalier du duplexe en se dirigeant directement vers la salle de bain. Il retira son caleçon et se glissa dans la douche, bien chaude, comme il les aimait. Enfin il s'habilla simplement, costume basique et décontracté, veste de la dernière mode avant de prendre ses clés et fermer derrière lui.

[direction je sais pas encore]