Hécate en taule

Primogène [Malkavian]

*arrivée depuis la salle de trone*

toujours escorté par les gardes il alla dans la cellule qu'ils lui indiquèrent ,doucement déposer le corps d'Hécate sur la paillasse

puis il sortit , caressa la joue de Rosie au passage

"Bon courage Rosie , n’hésite pas à m’appeler au moindre problème "

puis il sortit vers les parkings

Malkavian

[arrivée de devant la Salle du Trône]

Rosie entra dans la cellule et s'assit dans un coin, jouant avec sa peluche sagement.

- D'accord. Rosie peut avoir une autre paillasse pour faire dodo ? Rosie veut pas déranger la petite Fée Rouge.

Elle laissa son regard enfouis dans celui de Heinrich, le regardant avec une moue triste, demandant d'une toute petite voix.

- Rosie aimerait bien avoir son Géant aussi ... Et puis ... Rosie peut avoir un bisou du Chef avant qu'il parte ? Si il veut bien ... Rosie aimerait beaucoup.

Elle se tourna vers les gardes puis demanda aussi à ceux - ci.

- Rosie veut aussi voir Monsieur le Lion. Rosie est pupille donc Rosie est l'un de ses yeux oui oui oui ...

Primogène [Malkavian]

'><' mais pkoi tu es venu ici si tu veux remonter ... '

"je ne sais pas quand je pourrais voir le Prince Rosie , je ne sais pas non plus où est ton géant .. en attendant je dois aller enquêter sur l'appel mystérieux de ce matin .. mais ok pour un bisous"

il lui fit son bisous et parti vers le parking
(pour de bon cette fois ? )

(Arrive du parking.)

Byrion entra silencieusement, et s’installa près de Rosie, souriant de manière chaleureuse à celle-ci.
Il ne dis mot et avait laissé les armes qu'il portait aux gardes.

Malkavian

Rosie leva les yeux vers son Géant, visiblement ravie de le voir ici, ses yeux s'illuminant de joie alors qu'elle lui faisait sa place à ses côtés, jouant avec Lili sagement, passant sa main sur les oreilles de la peluche. Elle se glissa légèrement à ses côtés se collant à celui - ci sans dire un mot. Il n'aimait pas parler ... et elle non plus. Elle n'en avait plus envie sans Amélie. Elle se contenta de chantonner à nouveau.

Dix ont était choisis, la première a perdu l'esprit, le second la non vie,
Le troisième son serment, et pour ceux qui restent ... ?
Dix ont était choisis et il n'en reste plus que sept...
Sept, et l'étoile rouge grandit de nuit en nuit...

Parménion descendit droit dans les geôles, il entendait mener justice lui-même. Tous étaient ses sujets, ils formaient sa cour, et s'il laissait trop faire, sans doute serait il un jour destitué ou poignardé tel César par Brutus. Mais qui serait Brutus?

Un signe de la main suffit à imposer le silence aux gardes. Ce n'était pas le moment surtout avec ce qui s'était passé aujourd'hui. La reunion et sa conclusion. Il s'était aussi conditionné pour affronter les auras particulières.

Il se tint droit devant la cellule. Aussitot frappé par l'aura nauséabonde que dégageait la cellule, il fit un gros effort de volonté pour ne pas sortir de ses gonds et écraser la source dont émanait celle ci. Il était dejà assez remonté comme cela, une frénésie n'arrangerait rien.

- Hecate! dit il d'une voix ferme et puissante, je suis Parménion Prince de Paris, j'attends votre version de l'incident qui a eut lieu en plein Elysium. Parlez sans détour j'écoute!

Malkavian

Rosie regarda le Prince, stoppant sa chanson, puis elle se leva, confiant Lili à Byrion.

Elle passa une toute petite main dans la chevelure de celle - ci, avant d'attraper le pieu et de tirer dessus de toutes ses forces.

- Le petit bout de bois magique fait tout comme la belle aux bois dormants... Oh hisse !

Rosie se surprit de sa force, bien plus forte qu'elle ne l'imaginait et commença chuter, un pas en arrière, puis un seconde avant de trébucher simplement sur les jambes de Byrion.

- He he !!

La petite Chose se mit à sourire sans qu'aucune expression ne s'affiche sur son visage, regardant Byrion en tapotant ses petites bottines l'une contre l'autre, les yeux s'illuminant d'un bleu turquoise envoûtant.

Malkavian

C’était étrange de se faire balader partout sans pouvoir parler... Mais pas désagréable à vrai dire. C’était mieux que de rester dans une cage dans des jours, des semaines... pour finalement tomber en torpeur et rester ainsi pendant une période indéterminée. En plus, Heinrich était vraiment délicat. Un vrai gentleman... ou peut être un père... Oui un papa poule. Elle lui revaudrait ça ! Quel idiot ce Gardien. Voilà qu’il se mettait tout un clan à dos. Comment pouvait-on être aussi fou ? Cette pensée l’amusa.

Tiens, ils bougeaient de nouveau. Ils devaient aller vers les geôles maintenant. Saletés et barreaux... Non, elle n’aimait pas ça. D’ailleurs si un jour elle retrouvait le salaud qui lui avait fait ça, elle lui ferait subir le même traitement, Sire ou pas ! Elle était en train de ruminer sa colère lorsqu’elle entendit la chanson de Rosie.

Etrange... Les paroles racontaient bien quelque chose, mais elle ne parvenait pas à savoir quoi. Cependant, tout cela ne semblait pas anodin. Comme s’il s’agissait d’une devinettes ou d’une de ses anciennes prophéties sans queue ni tête. Bah... Une autre chanson lui venait à l’esprit. C’était bizarre qu’elle pense à celle-là. Mais étant donné la situation, ça lui semblait presque ironique.

Et pourtant les paroles s’imposaient à elle. La musique semblait s’approprier de plus en plus son esprit...

C’est à cet instant qu’elle entendit une voix puissante, qui l’interrogeait. Tiens, il ne semblait pas trop content, celui là. Et pour qu’il passe au dessus du Gardien ça devait bien être... le Prince. Quelques instants plus tard une petite main dans ses cheveux, une pression, puis elle sentit l’objet étranger s’extirper lentement de son corps.

Lentement par l’intervention du Sang, la matrice cartilagineuse des os broyés se remodela et l’ossification commença. Les muscles se régénérèrent, recouvrant le squelette osseux, puis vint le tour de l’hypoderme et du derme. Enfin, il ne resta rien de la blessure. Mais Hécate ne bougeait toujours pas, obnubilée par la chanson. Une canine étrangère quitta sa bouche pour glisser le long de sa joue blafarde.

Tout à coup, sa poitrine se souleva, comme remplie d’air. Mais dans un premier temps cela s’arrêta là. Quelques secondes plus tard, un fredonnement emplit l’air. Devenant de plus en plus fort...

« All that I know is I’m breathing,
All I can do is keep breathing,
All we can do is keep breathing,
Now...
Now...
Now... »

Sa voix était étonnamment douce. Puis, Hécate ouvrit grand ses yeux verts, et adressa un petit sourire à Rosie, lorsqu’elle tourna le visage vers la femme-enfant. Elle se redressa avec grâce, gardant ce même sourire, ne montrant à personne la douleur qui émanait de sa chair meurtrie.

Elle se leva en regardant Parménion. Puis, elle exécuta une révérence tout à fait correcte, qui ne faisait presque oublier son habit. Ce qui émanait de Parménion était assez beau à regarder. Elle se redressa et parla enfin à Parménion.

« Votre Grâce, je présume. Merci de vous rendre en ce lieu afin de m’écouter, Votre Altesse.

Comme Son Altesse le sait sans doute déjà, je me retrouve ici après avoir était violentée outrageusement dans l’enceinte de l’Elyseum de Sa Majesté. Je me trouvais tranquillement dans le petit salon, attendant que Votre Grâce accepte de me recevoir, lorsque j’ai été invitée d’une façon tout à fait singulière et peu courtoise par le Gardien des Elysei de Sa Grandeur. Malgré le manque cruel de savoir vivre, j’ai accepté l’invitation de ce dernier.

Quel homme au sang chaud et plein de complexes ! Est-ce que je m’offense lorsque l’on me fait remarquer que je suis une femme ? Bien sûr que non. Mais il semble que le Gardien ait quelques soucis au fait de ne voir que d’un œil...

Et je me garderai de vous répéter ce que votre Gardien penser des Anarchs et des autres sectes au sein de votre Elyseum. Mes avis qu’eux aussi seront attaqués avec violence, Your Highness ! »

Parménion attendit qu'Hecate soit libérée du pieu qui la neutralisait au sol. Il l'observa, ravalant son dégoût alors qu'elle s'approchait de lui pour répondre à sa demande.

- Hecate... Je vous demanderais de la précision dans votre manière de relater les faits, je n'ai que faire de vos sentiments et avis personnels. Monsieur D'Arcy me donnera aussi sa version et je prendrais ma décision. Ne me mentez pas.

Ce n'était pas le moment des élucubrations malkaviennes.

Malkavian

Qu’il était étrange ce Prince... Enervé au possible, désireux de quitter cet endroit et pourtant qui cherche à donner justice. Sera-t-il équitable ? Voilà la vraie question. Arracherait-elle à ce Gardien prétentieux le titre dont il aimait se targuer ? Son sourire s’agrandit et devint quelque peu dérangeant, comme déplacé – un sourire à un enterrement. Elle porta une main à la bouche et imita le rire des filles de bonnes maisons, embarrassées.

« Moi, mentir ? My Lord, vous n’y pensez pas ! »

Son petit rire la fit souffrir, mais elle ne montra rien, continuant de sourire.

« Je vais vous relater les faits, mon Prince, mais vous devez savoir que ceux-ci sont probablement teintés de mes sentiments et de mon opinion personnelle. Mais, il n’est qu’à Vôtre Grandeur de pouvoir faire la part de la vérité objective.

Après avoir dédaigné un Gardien marquant son territoire, je l’ai questionné sur les raisons de ma présence dans son bureau. Toutefois à la mention de sa condition, l’homme n’a su se tenir et vous m’avez trouvé probablement en meilleur état que celui dans lequel il m’avait laissé.

Evidemment, je n’ai usé nulle violence sur la personne de votre Gardien. Je sais me tenir dans un Elyseum. Aussi, me suis-je laissée enfoncer ce pieu dans le cœur, alors que j’aurai pu changer l’issu de cette mascarade, si j’avais osé briser les règles de l’Elyseum. J’espère que Sa Majesté, saura s’en souvenir. »

Parménion, les bras croisés, écouta la justification d'Hécate. Il ressentait toujours cette aversion. Ce n'était pas la première fois se dit il en jetant un oeil à Rosie. Lorsque l'explication approchait de la fin, il se prépara à prendre la parole.

- Bien. Je vais prévenir votre primogène qu'il peut venir vous voir. Restez tranquille. Je prendrais ma décision au plus vite.

Il regarda Rosie.

- Rosie. Je règle cette histoire et nous pourrons reprendre notre conversation.

L'aura que dégageait le prince était toujours aussi puissante et électrique.

- Garde! Veillez à ce que le primogène Malkavian soit informé du fait qu'Hecate ici présente, membre de son sang est à sa disposition s'il souhaite s'entretenir avec elle.

Parménion sortit des geôles comme il y était entré.

[Direction le Bureau du Gardien]

Malkavian

Hécate s’était inclinée une nouvelle fois à la sortie du prince. Et bien dis donc, il était pressé celui-là ! Bien, c’était mieux ainsi, elle n’aurait pas pu jouer cette comédie d’ignorer complétement la douleur bien longtemps. Mais elle n’était pas seule, il restait encore Rosie et le mec qui l’accompagnait... Ca devait être son « Géant ». Faut dire que ce mec avait de la carrure !

« C’est gentil de m’avoir enlevé cette vilaine écharde ma grande, faut dire que c’était plutôt inconfortable. »

Elle fit un clin d’œil à Rosie avant de s’approcher de sa couche. Elle s’y installa dans la position la plus confortable possible avant de lancer une dernière parole à ses deux compagnons.

« Dormez bien mes mignons ! »

Malkavian

Rosie s'était endormis sur les genoux de Byrion, la tête calée contre son torse. Elle ouvrit les yeux lentement posant son regard sur le Brujah qui semblait regarder sa boite magique. Sans qu'il est besoin de ne rien dire, Rosie se leva, embrassa le front de Hécate tendrement avant de lui laisser un mot pour son réveil.

[demande un papier et un stylo aux gardes]

Spoiler:

La petite chose attrapa la main du Géant, puis sortit des geôles en sa compagnie, son Servant les retrouvant aux portes de celle - ci.

[Direction vers ailleurs]

Membre du Staff

Dès son réveil, des gardes entrèrent dans la cellule le Hecate, lui laissant prendre connaissance du message de Rosie, pour finalement la conduire dans la salle du trône, sans un mot.

dirige toi vers là

Malkavian

Hécate se réveilla dans l’exacte position où elle s’était endormie. Elle bougea légèrement dans un premier temps pour jauger la douleur. Bien, quasiment plus rien. C’était une bonne chose, elle n’aurait pas à cacher sa souffrance derrière un sourire forcé. Il manquait quelque chose dans cette cellule....

Où étaient donc passés Rosie et son Géant ? Elle n’avait quand même pas tant dormi ? Alors qu’elle se relevait, un petit mot glissa au sol. Elle le prit et le lu, pendant des que bruits de pas dans l’escalier annonçaient une visite prochaine. Elle ne put s’empêcher un petit sourire. Qu’elle était mignonne... Rosie s’inquiétait pour elle alors que c’était elle l’enfant... La femme rangea précieusement le mot dans son sac à main avant de se dresser pour faire face aux gardes.

« Eh bien dis donc, j’ai presque attendu mes mignons ! Le service n’est plus ce qu’il était ! »

Elle se laissa escorter, fredonnant une dérangeante comptine.

» Résidence de Séléné / Hécate [25 rue des Saints-Pères]

Hécate en taule

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