Amélie reçois les explications de l'homme avec un soupire de soulagement, mais montre une moue de mécontentement lorsqu'il la recule pour continuer à lui parler. Amélie trembla à l'anonce qu'il n'était pas camariste, se demandant comment il avait pu survire jusque la, puis elle se souvint de la vision qu'elle avait eut la veille et surtout l'attaque de la goule. Amélie prit un air malheureuse.

"Tout cela ne serait pas arrivé si je n'avais demandé de l'aide à un inconnu. Et je ne veut pas rentrer la reine va me punir pour mon moment d'égarement. Je vais utiliser votre salle de bain et accepter votre proposition."

Elle s'avança de nouveau pour déposer un baisé sur la joue de l'homme avant d'aller s'enfermer dans la salle afin de retirer tout le sang séché. Une fois cela fait elle s'assoit sur le rebord de la baignoire et sort de sa poche un scarabet qu'elle laisse escalader sur sa main.

"Nous allons avoir de gros problème"

Amélie regarde l'homme entrer et referme sa main sur l'insecte qu'elle avait. Elle se lève afin de prendre les vétements dans les bras de thibault. Elle en profite même pour poser un baisé sur la joue de l'homme afin de le remercier. Elle retire sa robe pour se retrouver entièrement nue sans que cela ne la gène et tout en enfilant les habits qu'il venait de lui fournir elle lui parle de nouveau.

"La reine est une bonne personne et ce n'est pas elle qui me fait peur. Mais le vieux traine surement dehors et me rattrapera pour mes erreurs de la nuit dernière. L'homme qui est venu nous aider est en torpeur, nous ne seront donc en sécurité nul part........... Et surout pas toi."



UNe fois vétit de la tête au pied elle se retourne pour montrer le résultat au Brujah une mine contrite sur le visage.

Amélie regarda Thibault surprise de le trouver par terre. Elle grimace lorsqu'il se remet le nez en place. Comment avait il fait pour se faire mal ? Amélie ne comprenait vraiment pas les réactions du Brujah. Il était une enigme pour elle, aussi elle se laissa glisser au sol et s'approche de lui à la manière d'un chat sans cesser de la regarder. Une fois assez proche de lui elle pose la main sur son téléphone qu'il a déjà à l'oreille avec un sourire compatissant.

"Je n'ai jamais parlé de William et il va arriver."

Elle s'assoit directement sur ses genoux en lui retirant le portable des mains pour le poser à terre puis elle regarde son nez avec insistance.

"Comment tu t'es fait sa ?"

Amélie fronce les sourcils, il lui arrivait souvent de mélanger le présent, le passé et le futur, mais face à se sourire se soir cela n'avait pas vraiment d'importance. Elle attrape le téléphone pendant qu'elle se lève avec l'aide de thibault. Elle lui tend afin qu'elle puisse appeler son fameux ami, qui à n'en pas douter serait un vampire exactement comme les autres. Elle travers lieux lieux tranquillement pour aller s'allonger sur le canapé, les yeux ouvert fixant le plafond avec beaucoup d’intérêt. Elle faisait toujours ainsi quand elle essayait de réfléchir clairement. Puis soudain sans prévenir elle lâche une phrase comme sa.

"Vous devriez vous présenter à la reine, avant qu'on vous y oblige.......... J'aimerais vraiment vous revoir."

Amélie reste allongé tout en regardant dans les yeux le Brujah, puis avec un soupire elle se relève pour se mettre à genou sur le canapé afin de se mettre à la hauteur du visage de Thibault. Beaucoup de phrase lui passait par la tête pour exprimer tout se qu'elle voyait ou avait vu, mais aucun mots ne voulu sortir de sa bouche. Elle ouvrit et referma la bouche plusieurs fois avant de baisser les yeux sur le téléphone.

"Je n'ai pas envie de partir non plus.................. Appeler votre ami."

Amélie regarda l'homme surprise qu'il lui fasse une tel proposition. Les vampires ne vivent jamais dans le même refuge, c'est dangereux,. Il était tellement tentant de lui dire oui. Pourtant sa folie à elle ne pouvait qu'être néfaste pour Thibault et Amélie en avait conscience. Elle laissa son regard descendre afin d'observer la main qui caressait la sienne avec délice. Elle vint se blottir contre lui sans un mot, alors qu'il était au téléphone. D'ailleurs s'il n'y avait eut que sa folie peut être aurait elle tenté le coup, mais on reviendrait la chercher encore et encore et jamais il ne pourrait tous les repousser.

Amélie resta tranquillement contre le torse de l'homme le temps qu'il passe son coup de fil, mais fit une petite moue inquiète lorsqu'elle comprit qu'il ne répondait pas. Etait il arrivé quelques choses à William aussi ? POurtant elle n'en avait rien vue dans sa vision. Amélie n'a pas le temps de se poser plus de questions puisque Thibault la souleva pour se remettre debout. Elle accueillit avec plaisir la proposition de chasse qu'il lui faisait, c'est vrai qu'elle avait besoin de se nourrir. Puis il la regarde de manière étrange l'espace de quelques secondes avant de lui promettre que personne ne pourrait l'enmener. Amélie aurait voulut sourire, sauf qu'elle savait qui viendrait la chercher et il ne ferait pas le poids. Elle pose sa main sur la joue de l'homme alors qu'il la remercie. La lle finit par sourire car elle venait de penser : *Et c'est moi qui suis du clan de la lune.*


"Allons Chasser veux tu ?"

Amélie touche le bras de son compagnon avec un air innocent, comme si elle n'avait pas entendu sa dernière phrase, ni vu Thibault briser un vase. D'ailleurs il ne le savait pas encore, mais il ne pourrait pas se séparait d'elle, jamais plus elle ne le laisserait s'éloigner. Une fois qu'elle obtient toute son attention elle recule de quelques pas avec un sourire espiègle sur le visage alors que ses mains glissent dans son dos pour dénouer la robe qu'elle porte, qui tombe d'un bloque à terre dévoilant la nudité de la Malkavian. Sans quitter du regard le vampire elle s'approche de manière féline pour venir se coller à lui et poser ses lèvres sur les sienne avec avidité. Elle commence a déboutonner son chemisier alors que son regard ne le quitte pas, puis avec douceur elle dépose des milliers de petit baisée sur son torse, puis elle vient à le mordiller avant de parler enfin.

"Nous somme entier Tihbault, alors oublie demain et occupe toi de moi."

Amélie écarquille les yeux de surprise en voyant son tendre déchirer ses vêtements, mais rapidement elle passe sa langue sur ses lèvres tout en le détaillant avant qu'il ne se jette sur elle pour son plus grand plaisir. Elle avait l'impression qu'elle avait passé sa non vie à l'attendre et être prisonnière de ses bras était le seul réconfort qui puisse exister. Elle passe sa main dans ses cheveux pendant que l'autre se place sous son menton pour l'obliger à relaver la tête. Elle plonge son regard dans le siens puis l'embrasse de nouveau alors que ses jambes ne la tienne plus. Elle se laisse glisser au sol emmenant le géant avec elle. Elle l'allonge sur le carrelage de la salle pour se presser contre lui. Lentement elle reprend l'exploration de son corps d'abord de ses mains, ensuite de sa bouche et enfin avec la langue...... Elle finit par faire une descente vertigineuse la menant à l'objet de son désir. Elle lance un regard à son partenaire afin de savoir si elle peut continuer et passa des petits coups de langue dessus avant de le prendre en bouche. Elle pût le sentir se tendre sous sa caresse pour ensuite se détendre grâce à sa langue joueuse, elle continua ainsi jusqu’à entendre les râles de plaisir son amant. Soudain sans crier garde Amélie plante ses ongles dans les cuisse de Thibault...............

Amélie se laisse faire les yeux mi-clos et un sourire sur son visage. Elle ondule son bassin contre l’homme et tendant les mains pour caresser encore son torse. Lorsqu'il redescendit elle eut un hoquet de surprise et de plaisir puis elle répondit au caresses de son amant par des gémissements, des soupirs et enfin par des mouvement du bassins, réclamant toujours plus, mais lorsqu’elle sentie ses crocs percer sa peau pour boire à l’intérieure même de sa cuisse Amélie se cambra brusquement avec un crie de jouissance. Jamais elle n'avait ressentie tel extase, jamais elle ne s'était sentie aussi vivante, même avant qu'elle ne devienne vampire. Elle resta à même le sol tremblante de l'expérience qu'elle venait de vivre. Doucement elle reprit conscience du monde qui l'entourait et elle vint se blottir contre son Thibault avec un sourire extatique.

"Je t'aime."

Puis elle sombra dans la torpeur alors même qu'elle était encore contre lui.

Elle s'éveilla pour la première fois depuis longtemps avec un sourire flottant sur ses lèvres et l'impression que la non vie était belle. Elle se colle contre son amant avec joie avec un soupire de plaisir avant d’ouvrir les yeux. Elle regarde amoureusement Thibault alors que chaque touché de sa part lui arrache un frisson de plaisir. Elle plonge son visage dans son coup pour respirer son odeur avec plaisir, puis l'embrasse tendrement au même endroit. Elle se serre encore contre lui avec une soudaine angoisse, celle de le perdre à tout moment. Elle ne peut pas se résoudre à le laisser partir seule, elle irait donc avec lui, qu'il le veuille ou non.

Soudain une vision la prend par surprise la crispant contre son compagnon. Elle vois beaucoup d'image, elle vois surtout le prophète qui marche seul et son bras qui cherche quelqu'un et beaucoup de douleur. cela ne lui plut pas du tout, elle s'accrocha désespérément au seule point stable de sa non vie : Thibault, avec un petit gémissement. S'il n'était pas apparu dans sa non vie elle serait vraiment devenue folle, les couleurs aurait finit par s'estomper jusqu'à se qu'elle embrasse le lever de soleil. Mais tout allait bien il était la avec elle et ils ne se séparerait jamais.

Elle s'accroche désespérément à l'amour de sa non-vie, une larme de sang coule sur sa joue tandis qu'elle regarde son amant avec de grands yeux tristes.

"Seul... Il est si seul... Et tous les autres aussi, même ensemble ils sont si seuls. Pauvre petit, il ne le mérite pas."

Elle se love dans ses bras envahis par la tristesse. Elle reste là à essayer de retrouver ce qu'elle a vu, en vain, comme d'habitude.

"Ne me laisse jamais seule... Jamais."

Elle sentait bien qu'il ne voulait pas l'exposer pour la protéger, mais elle ne voulait pas le quitter. Ce n'était ni envisageable, ni négociable.

"Allons y mon coeur, si nous tardons trop je ne vais pas tarder à faire des bêtises, encore."

Afin s'illustrer ses propos elle lui chatouilla délicatement le lobe de l'oreille du bout de sa langue avec un petit sourire malicieux.