Gare de Lyon

Trémère

Je me réveille alors que le train roule encore... Un coup d'oeil à ma montre digitale m'apprend que le train a du retard.
Certaines choses ne changeront jamais. Il serait certainement préférable que je reste dans la caisse, que j'attende qu'elle soit déchargée et livrée à l'adresse que j'ai donné à cette société de transport. Mais je n'y tiens plus.
Je ne suis pas retourné à Paris depuis plus de vingt ans. Cette ville me manquait au delà de tout ce que je pouvais imaginer.
J'ouvre le loquet qui ferme ma caisse et sors au grand jour. Ou presque... Je suis dans un wagon sans fenêtres, à ma plus grande déception. Seul le néon de la sortie de secours et le hublot du sas d'entrée offrent une luminosité blafarde.
Alors que j'approche ma tête du hublot le train ralentit. Je reconnais le terminus de la gare de Lyon. Je me revois avec mes camarades d'université en train de squatter l'endroit, ceux qui ne jouaient pas de la guitare parlaient de refaire le monde, ou roulaient des joints...
Je m'arrache à ma contemplation. J'ai un peu de temps devant moi mais mieux vaut ne pas trainer.
Il faudra au moins une heure aux employés pour venir s'occuper de ce wagon, et mon rituel dure trente minutes.

Je m'assois donc en tailleur et commence mon incantation. Le temps passe si vite lorsqu'on fait appel au pouvoir de la thaumaturgie...
Un nuage de vapeur se forme devant mon visage. Je m'approche un peu et clame d'une voie distincte:

"Bonsoir Ondoval. Je suis Doryan Etbatxi etje viens d'arriver en ville. Merci de me donner l'adresse de la fondation afin que je vous rejoigne."

Le nuage pars à toute allure, à la recherche du destinataire. Je me lève et sors respirer l'air de Paris. Ma capuche rabaissée sur ma tête pour ne pas me faire reconnaitre des caméras de surveillance.
Le grillage m'empêche de sortir... Qu'importe ! Une pince coupante apparait dans ma main. Clic ! Clac ! Le passage est fait et je suis dans la rue près de la gare.
Une flopée de taxis sont amassés devant, attendant leur lot quotidien de clients plus ou moins sains d'esprit...
J'attends la réponse du régent avant d'en choisir un. Je sors une clope de mon paquet et l'allume en regardant le ballet des taxis parisiens...
Je suis revenu, enfin...

Primogène [Trèmére]

" Bienvenue à Paris monsieur j'ai fais préparer vos appartements"

Suivirent quelques images , l'endroit ou il devait se faire conduire , puis le chemin qu'il lui resterait à parcourir pour arriver à la fondation tremere

Trémère

La réponse ne tarda pas à arriver. Il se doutait qu'il ne serait pas loin, mais il n'avait pas envie de marcher sur une si longue distance...
Il héla un taxi, une mercédes coupée gris métal... Triste de banalité. Doryan demanda au chauffeur de l'amener à une adresse à trois patés de maison de la fondation.
Il jeta quelques rapides coups d'oeils en arrière afin de s'assurer qu'il n'était pas suivi et lorsque le taxi le déposa il suivit un parcours qu'il avait établi à l'avance.

Précautions peut être inutiles, mais comme lui avait dit un de ses professeurs, l'important n'est pas de savoir si on est, ou pas, paranoïaque. Mais de savoir si l'on est assez pour survivre...

[Vers la chantrie]

[Arrivée du narcisse]

Elle avait vu son monde partir en fumé à cause d'une seule décision, elle avait perdu beaucoup de ses filles et cet nuit elle avait presque décidé de partir loin de cette ville, mais surtout loin de la malédiction, malheureusement elle avait cru à tord que l'enfant serait en sécurité avec la camarilla. Elle n'aurait pas du le croire. Amélie venait d'appeler, lui expliquant que Romain était en danger et Shanel n'avait pas hésité à revenir sur ses pas, fixant un rendez vous ou l'on ne pourrait pas les prendre. Mais juste ou cas ou, elle avait demandé à ses dernières relations d'accompagner Amélie jusqu'à elle.

Elle s'assit donc sur un des banc, regardant passer les gens, qui ne se doutaient pas que le monde tel qu'ils le connaissaient allait changer irrémédiablement. Elle soupire en repensant au dernière volonté de sa sœur jumelle. Elle avait promit de protéger l'enfant de Laure Faridah, elle avait promit que jamais personne ne l'utiliserait comme elle le fut elle même. Elle n'avait plus de sentiments de puis si longtemps que seul la promesse était rester, mais pas se que sa soeur avait déclenché en elle à ce moment la.

Elle relève les yeux sur l'horloge puis sur l'entré de la gare, puis soudain elle les voix tout les deux arriver. Mon dieux qu'il ressemblait à Shaïma, se petit garçon qui avait le monde dans ses mains et comme il aurait était plus facile de le tuer. D'ailleurs pourquoi ne le faisait t'elle pas encore maintenant ? Pour sa sœur, bien sur. Elle se relève avec un sourire chaleureux pour accueillir les deux vampires.

Malkavian

Amélie entra dans la gare auprès de Romain le cœur lourd, mais sachant avoir prit la bonne décision. Il ne pouvait pas la suivre la ou elle irait. Lentement lai surement elle approche de la splendide rousse assise un peux à l'écart et lorsqu'elle se lève pour les accueillir elle lui sourit elle aussi. Elle savait toute les deux se qui allait devoir suivre et surtout se qu'elles allaient perdre encore, mais rien ne pourrait les empêcher de terminer, la ou la camarilla avait échoué. Elle avait pris soin de jeter le portable bien loin de l'endroit ou elle devait rejoindre Shanel et de faire plusieurs détour avant de rejoindre la voiture conduit pas un homme de la Ravnos et maintenant elles se regardait pendant que Romain parlait avec joie.

"Heureuse de te revoir, la rousse. Est ce que tout est près ? Il est temps pour Romain de disparaitre encore un foie."

[ARrivée des restes du Narcisse]

Ils continuèrent de parler en marchant, Aly dirigea son ami là où les indices la menait et c'est un duo surpris qui se retrouva devant la gare de Lyon.

"Tu doit prendre un train ou retrouver quelqu'un ?"

"C'est un peux ça oui... Allons nous assoir au café ?!"

Romuald avait toujours eu le béguin pour Aly et c'est sans rechigner qu'il l’accompagna malgré l'heure avancé. Il prit un café serré, elle accepta d'en faire de même, mais lorsqu'ils furent servit seul lui bu. Elle avait soif... Mais pas de ça... Son enquête la vidait doucement de son énergie et le jeune homme face à elle hurlait presque "fêtons nos retrouvailles dignement !" C'était une chance à ne pas manquer pour s'en faire un repas quotidien !

Doucement elle posa sa main sur le sienne et leurs doigts s’enlacèrent, ils continuèrent de papoter, Aly faisait semblant d'être passionné par Romuald alors qu'elle pensait à William et les dangers qu'il couraient peut être encore avec l'humain étrange qu'il avait trouvé dans le métro...

Elle continuait d'observer avec attention les alétour se demandant à qui elle pourrait demander si il avait vue une belle rousse sulfureuse la veille.

Spoiler:

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'Dés 10 faces' : 6, 5, 8, 7, 10

Elle nota sa découverte dans un coin de sa tête, car dans l’immédiat elle sentait qu'elle commençait a ressentir comme la veille des envies un soutenable, non pas des envies. Une. Le sang. Romuald retira son écharpe car la température était acceptable dans l'enceinte de la gare, ce geste simple créa un courant d'air qui fit voleté son odeur jusqu'aux narines avide de sang de la canite. Ses pupilles se dilatèrent et sa bouche s'entre ouvrir alors que ses yeux fixait la carotide qui pulsait dans le cou dénudé de sa futur victime.

N'y tenant plus elle l'entraina dans les toilettes public où dans un geste dominateur elle fit entrer Romuald dans le même compartiment qu'elle, la dame pipi les regarda d'un mauvais œil mais elle avait l'habitude de se genre de retrouvailles dans le hall de la gare. Les jeunes gens n'était pas patient de nos jours et préféré faire ça dans un endroit aussi sordide... Par chance pour eux elle venait de faire celui où ils s'étaient engouffré, au moins ne seraient ils pas contaminé par une quelconque bactérie présente sur la cuvette.

Aly n'avait que faire des bactéries, tout ce qu'il l’intéressait était le sang qui coulait dans les veine de Romuald sur qui elle plaqua une main conquérante. Devant temps d'enthousiasme le beau jeune homme commença a dévêtir la tigresse qui lui sautait dessus. Elle avait déjà investi son pantalon et y malaxait le sexe durci par l’affut de sang. Il tenta de l'embrasser, elle recula son visage en pensant à William, que dirait il de ça ? Comment pouvait elle en être arrivé là ? Etait ce sa bête qui la guidait encore une fois a faire des choses folles ? Le plus simple était de la satisfaire en lui donnant ce qu'elle voulait.

Alice planta ses crocs dans la gorge de Romuald.

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'Sang Humain' :
Gare de Lyon Mini_28704184A

Elle se dénuda d'avantage et s'affala contre sa victime qui venait de perdre connaissance. Lors qu'il revient à lui complétement pommé avec pour seul souvenir la jouissance, elle devança ces questions.

"Ooohh... c'était trop bon..."

Elle parsema des baisé sur son torse et s'écarta affin de se rhabiller. Elle souriait d'un air conquit à l'humain il était satisfé de lui vue qu'elle semblait aux anges et ça même si lui avait oublié une partie des détails ! Seul les résidus de plaisir frétillait encore dans son cœur et il eu un délicieux frisson lorsqu'elle lui lécha le cou d'un air coquin.

Tout deux sortir devant le regard affligé de la "dame pipi" et main dans la main ils trotinèrent en rigolant vers leur place au bar.

"Je vais payer tu payera le resto que nous nous ferons la prochaine fois."

Elle lui fit un clin d'oeil et alla voir le barman pour l’interroger loin des oreilles de Romuald.

"Avez vous travaillé hier soir monsieur ?"

Membre du Staff

"Oui mademoiselle."

L'homme la regarda avec insistance et sortit un calepin de la poche de son veston avant de la regarder à nouveau.

"Excusez moi ? Seriez vous Mlle Claudel Alice ?"

Alice ouvrit la bouche comme une carpe. Qu'est ce que ce tour ? Elle se tourna vers Romuald pour voir si il l'observait en rogolant fière de sa blague, mais ça ne semblait pas être le cas.

"Tout as fait c'est moi même..."

Les milles et une questions qui lui trottait dans la tête l’assaillirent de toutes part, comment avait il su qu'elle était Elle ? toujours la bouche ouverte elle le dévisagea puis laissa glisser son regard vers le calepin où figurait son nom. Qui lui avait donné ?
Était il lui aussi un vampire ? Elle faillie lire son aura, mais se résigna a économiser son énergie, il fallait qu'elle tempère son utilisation des pouvoir sinon elle devrait sans arrêt chasser pour ne pas ce laisser dominer par sa bête.

Membre du Staff

L'homme eu un sourire et se baissa pour ramasser un petit objet métallique sous le comptoir, lorsqu'il le tendit à Aly elle put voir qu'il s'agissait d'une clé de casier de gare...

"Une jolie blonde m'a laissé ça pour vous hier soir. Elle m'a dit que vous passeriez surement plus tôt mais bon vous voilà maintenant."

Spoiler:

**???**

"Merci" Bafouilla t elle en prenant la clé. avec un sourire interloqué sur les lèvres.

C'était réinterrogation du siècle celle ci occultait toutes les autres, de qu'elle blonde parlait il ? Elle passa en revue celle qu'elle connaissait, mais a part Tatiana qui n'était plus de ce monde elle n'avait finalement qu'Amélie qui lui venait à l'esprit.

"Plutôt frêle et la tête dans les nuages ? Genre je me perd dans le hall de la gare ?

Elle rigola lui laissa le temps de répondre et se permit une dernière question.

"Excusez moi, mais... Elle était seule ? "

Elle jouait distraitement avec la clé dans sa main, dès qu'elle ne serait plus avec le barman elle larguerait poliment Romuald et chercherait le numéro de casier sur la clé puis dans la gare.

Spoiler:

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'Dés 10 faces' : 4, 2, 3, 4, 6

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"Hum...non, y avait une femme qui l'attendait, une brune je crois avec une petite file qu'elle tenait dans ses bras."

C'était bizarre, elle cherchait une rousse et finalement une blonde l'avait trouvé elle, alors qu'elle était accompagné d'une brune ! C'était affaire pourrait rendre fou quelqu'un d'encore sain d'esprit...

Amélie ne devait pas être lié a ça recherche... Si c'était bien Amélie qui avait posé cette clé pour elle ! Et si c'était un piège ? Après tout la Camarilla été en guerre et son nom été parue dans le journal des vampires... Lorsqu'elle aurait trouvé le casier elle le fera ouvrir par Romuald, qui finalement se montrait très utile.

Elle paya la note avec un pourboire généreux et fit mine de commencer à se retourner.

"J'allais oublier !"

Elle reposa ses yeux noisettes sur le jeune homme.

"Je venais vous voir à la base pour savoir si hier soir, vous n'auriez pas aperçue une sulfureuse jeune femme rousse, le genre de couleur de cheveux que l'on ne peux oublier surtout aussi joliment porté..."

Elle fit mine de chercher de l'argent dans son portefeuille pour encourager la mémoire de son interlocuteur.

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L'homme éclata de rire devant le manège de la jeune fille et lui montra les environs...

"Allons mademoiselle avec le passage qu'il y a ici vous pensez bien que des rousses j'en voie treize à la douzaine tous les jours, alors à moins que vous ayez une photo et un peu de temps pour prendre un café avec moi près mon service je vais pas pouvoir vous aider beaucoup...."

Alice fut contrarié que son manège soit mit a jour, ça ne marchait pas comme dans les films...

"Et en quoi boire avec moi un café vous ferez vous souvenir l'une des nombreuses passantes à porter des cheveux roux ?"

Elle fit une petite grimace. Il n'avait au finale aucune information à lui donner.

"Merci de votre aide."

Elle lui fit un clin d'oeil et fit cette fois demi tour pour de bon, elle prit alors un air enjoué.

"Tu viens ? J'ai gagné un truc en temps que 100ème cliente de la journée !"

Elle montra à Romuald la petite clé dans sa main et l'entraina vers un des agents de la SNCF et lui demanda où trouver les casiers, il lui indiqua la zone en lui souhaitant une bonne fin de nuit. Aly consulta le numéro sur la clé et chercha le casier correspondant du regard une fois rendue sur place.

Spoiler:

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Romuald introduit la clé dans la serrure et ouvrit le casier, qui était vide hormi une enveloppe destinée à Mlle Claudel.
Il lui mit sous le nez avec un air étonné.

"C'est quoi cette histoire de 100° cliente ???"

"Wouha ! Il se fout de moi, c'est quoi cette technique de drague à la con."

Elle prit l'enveloppe et la glissa en bougonnant dans sa poche, elle ferma le casier et récupéra la pièce de caution. Romuald était septique, Aly mentait aussi mal qu'un arracheur de dents, mais elle avait eu peur d'avoir a faire à un piège, après tout elle n'était pas sûre que ce soit Amélie qui avait parlé au barman... Le prévot avait donné un message d'alerte concernant les dangers de la rue.

Comment se sortir de ça ?

Elle fit semblant de bailler à s'en décrocher la mâchoire et cligna plusieurs fois des yeux pour faire style qu'elle combattait la fatigue, Romuald lui la combattait vraiment mais semblait aimer la compagnie de la Malkavian. Elle lui fit un sourire d'excuse et l'entraina vers l'extérieur.

"Je ne sais pas si tu travail demain, mais je crois qu'il serais plus raisonnable pour nous d'aller nous coucher... Non ? Demain j'ai un entretient d’embauche il ne faudrait pas que j'ai une tête de drogué !"

"Ne dit pas de bêtise tu n'a jamais été aussi belle, tu as quelque chose de changé, mais je ne saurais dire quoi... "

Il la dévisagea un instant, elle prit un air surprise et timide.

"Tu prend le métro ?"

"Oui !"

Ils partir tout deux vers une des bouches d'entrée au réseau sous terrain. Une fois en bas elle l'embrassa sur la joue et prit le couloir opposé au sien au hazard et marcha à reculons en lui souriant.

"C'était bien on ce reverra ?"

"Oui !

Hé ! Mais prend mon tel pour me dire le résulta de ton entretien de demain !"

Elle hocha la tête et prit son téléphone en main pour le rajouter à son répertoire. Une fois fait elle partie sur un dernier petit signe de la main. Elle marcha jusqu'aux portiques se retourna pour vérifier qu'il n'était plus là. Il faudrait qu'elle ai de meilleur stratégies à l'avenir... Elle s’installa sur un banc pour ouvrir sa lettre.

Membre du Staff

Contenu de la lettre.

Spoiler:

Dès le deuxième mot Alice bondit comme un petit diable qui sort de sa boite.

**Romain !**

Debout elle continua la lecture avec fébrilité.

**Qui est sa tata ?**

Elle eu un sourire involontaire au passage parlant de William, mais ne s'y attarda pas.

**Remonter ça piste grâce à la lettre... Merci Amélie je n'y avait pas pensé.**

Elle s'assit en souriant et sortie son portable de sa poche afin d'envoyer un message à Heinrich.

Citation :: Romain est en sécurité avec Amélie et sa tata, je n'en sais pas plus pour le moment. Quand nous verrons nous ? La nuit va bientôt toucher a sa fin... Je vous retrouve au resto du cœur comme convenue en début de nuit ?"

Elle rangea son téléphone et reprit la lettre entre ses deux mains en se concentrant.

Spoiler:

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'Dés 10 faces' : 2, 5, 4, 8

C'était bien Amélie qui avait écrit cette lettre, et elle semblait assez sure de ce qu'elle faisait.... Alice eu une moue dubitative, qu'est ce que tout cela pouvait signifier... Contre la demande de sa sœur de clan elle décida de ne pas détruire la lettre pour pouvoir la monter à son Primogène, pour elle il était temps de rentrer ça piste s'arrêtait là.

Elle sauta dans le métro qui la rapprocherais de son appartement et une fois instalé à l'intérieur entreprit d'écrire un texto à William.

Citation :: Viens tu me rejoindre à mon appartement ? [Adresse d'Alice] J'ai plein de choses à te raconter et je suis sûre que toi aussi ! Gros bisou !

Elle rangea son portable et laissa filer ses pensées. Elle repensa à sa vision de la rousse qu'elle avait tenté de pister, elle avait perdue sa trace à la gare pour finalement trouver celle de Romain qu'elle ne cherchait pas.

**Romain ! La marque !! Celle qu'il a identique à la rousse ! C'est sa tente ! La coïncidence et trop grande pour que ce soit un hasard ! Amélie passe hier à la gare avec Romain pour retrouver sa tante et La rousse avec la marque de naissance est aussi venue hier !

Mais qui est cette dame aux cheveux de feux ?**

Arrivée à destination elle sortie rapidement des sous sols de Paris pour rejoindre son appartement si gentiment légué par Lucien. Et bien qu'elle n'y passe que très peux de temps elle s'y plaisait... Elle commença a se préparer pour la journée de torpeur. Inutile de passer encore une nuit par terre ou je ne sais où....

[suite par là]

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