[-1pt de sang]

*Rozenmilna s’éveilla assise dans son fauteuil où elle n'avait encore jamais passé une journée. Quelle étrange sensation, que la première image que ses yeux lui permettent de voir et cette fameuse photo sur son bureau.
Un cliché représentant des jeunes femmes. L'une était brune avec des traits trahissant du sang asiatique. L'autre était une caricature de ce qu'était les néonate Brujah dans les 70/80, Une "blouson noir" aux chevaux colorée, si athlétique que la brune paraît encore plus menue a coté.*

Désoler Hilde... Je crois que je manque de résolution.

*Shannon avait réussi à lui faire parvenir sa tenue. Rozen alla la chercher dans la pièce réserver à sa secrétaire si elle avait une. Elle prit également la chronique posée là.
Avec un petit sourire finement dessiné sur le visage, la ventrue se repassa en tête le film où elle avait écrit ici même une lettre à Parménion.
Après c'être changé elle consulta la gazette, qui finit aussi tout fichue en boule et jeter à la poubelle. La blague avait suffisamment duré. Même les harpies se tirer le bec entre elles maintenant.*

Spoiler:

Ok... On passe au choses sérieuse.

*En attendant les réponses Rozen changea de cravates, heureusement que dans le set de "tenue numéro ", il y a toujours deux cravates et deux paires de gants, blanche et noire.
Elle garnis ses poches comme elle aimait le faire. petit moment d'allégresse dans toute cette nuitée dur pour le ciboulot.
Il lui manquait une carte de visite... Bien sûr elle l'avait donné à Éléa. La gredine ne lui avait pas donné le sien.
Peu importe, quand on veut on peut. Et les réponses arrivais*

Spoiler:

*Assise a son bureau, le téléphone poser devant elle donc elle attendait vrombissement un peu nerveuse... Une fois, deux fois, le Prince non, Aaron, puis Elea.

Puis il sonna...

Encore loupé.*

-Shannon ?
-Mademoiselle, comment c'est passé votre soirée ?
-Aucune importance. *Froide*
-... Anyway, vous regardez BFM actuellement ?
-Non Shannon écoutez, il vas ce passer des choses importe ce soir, Je n'ai pas envie d'être déranger par vos banalité.
-S'il vous plait.
-Bien...   Oh?
-Oui les actions Callone ont terriblement chuté et le rachat était rapide.
-Hum... je vois l'oeuvre de raideur bien rôder, rien de bien inhabituelle. Il étrange pour ce groupe de racheter une société française mais bon. Tu sais... les Américains se font parfois une idée surfaite de notre savoir-faire. Les entreprises françaises ne sont pas rentables, tout cela va finir aux confins du tiers monde. C'est ce genre de trader que j'aimerais que tu deviennes. C'est comme ça qu'on prend le pouvoir de nos jours. Mais pourquoi veux-tu qu'on discute en particulier de ça ?
-Hier l'entreprise avait eu une baisse de ses actions de 15% j'avais hésité à faire un rachat en masse pour essayer de tenter une bulle spéculative et t'en tiré profit. L'entreprise semblait être sur le déclin à cause de problèmes tout autre que leur rentabilité.
-Très bien vous avaient piqué ma curiosité Shannon, voila quelque chose qui touche ma fibre d’enquêtrice et de financière à la fois.
-je savais que ça vous intéresserait.
-Merci. repose toi cette nuit, Medusa et oh... évite le refuge ventrue.
-Très bien, au revoir... Je pensait qu'on était d'accord pour ce plus utili...
-Au revoir fuhuhuhu.

*Une message arrivé pendant la conversation ? nope*

Hum... Bon pour patienter je vais un peu regarder ça.

*Rozen consulta, les archives des paris news et du Parisien. les articles du Paris news étaient très intéressants.*

Donc, les entrepôts on était fouillé par le type du... hum... mais alors la ferme de serveur appartienne au groupe d'agroalimentaire ? ce n'était pas une OPA hostile, c'était une OPA avec la rage !
Intéressant... Peut-être ça fait partie du pool économique des ventrues qui ont déserté la ville... Fuhuhuhu

Spoiler:

[Et on reviens]

*Accompagné par les siens Rozenmilna entra encore dans son bureau. Sa démarche, son attitude, il émane d'elle une aura de détermination.
Elle n'alla pas jusqu’à son bureau et resta debout face a son tableau blanc.*

Annabelle, Lucien je vous en prie prenez place. Oh d'ailleurs *Dit-t-elle à ce dernier* si ce que vous avait me dire est sensible, faite attention, je n'ai pas à l'heure actuelle 100% confiance en nos murs.

*Rozen griffonna sur son tableau comme si son bras était possédé, elle y écrie aussi vite que mal.*

Annabelle suivait avec empressement, si ce mot peut avoir quelques sens concernant la jeune femme, sa primogène. La détermination tenace de Rozenmilna mettait la jeune femme à l'aise. Rozenmilna était si décidée qu'elle arrivait à l'être pour deux.
Ce qui tombait bien.


A la demande de son amie, de sa maitresse, de sa quasi conscience, Annabelle trouva un fauteuil dans le quel se ranger, les jambes pliées, le dos droits, les mais posées sur les genou, quelque peu engoncée dans un manteau trop rigide.


Elle regardait Rozenmilna écrire une liste de noms au tableau, tous précédés d'un nom de clan. Sans doute était-ce le nom des immortels parisiens connus à ce jour. Elle eu un bref sursaut de joie lorsqu'elle vit son nom, faisant d'elle,d e fait, un représentant officiel de la communauté. Elle était acceptée; elle était contente.
Les dates étaient bien plus obscures, ainsi que la fameuse règle numéro 7.


Annabelle avait un peu l'impression d'être à la classe. Et elle aimait bien apprendre des choses. Rozenmilna semblait sérieuse, mais également anxieuse, méfiante et ne cacha pas ses inquiétudes à Lucien.
Qui aurait intérêt à les écouter ? Pourquoi ? Dans quel but ?
Mais le ton sérieux et le regard d'acier de la primogène indiquaient sans doute possible que la chose était sérieuse.


Annabelle se tu, puisque personne ne l'avait invitée à parler. Elle espérait de tout cœur pouvoir se rendre utile.

Les goules, cet énorme maillon faible quand on les surveille pas de prés. J'ai en effet très peu confiance en celle du Louvre. *Elle inscrivit le mot goule sur son tableau*

*Rozen posa le feutre pour remettre en place ce qu'avait touché Lucien puis consulta le dossier avec un petit sourire, avant de consigné dans un tiroir sécurisé.*

Amusez vous bien, c'est le genre de situation qui vous pousse a sortir de votre torpeur chaque nuit, Soyez prudent le clan n'a pas besoin qu'on perde encore quelqu'un.

*Elle n'allait pas pleurer de la mort de Lefol, mystérieux, vulgaire et solitaire. Son seul regret était de ne pas avoir pu venger de lui et le corrigé après tant d'affronts. Malgré tout il restait un frère du sang et elle avait au moins la fidélité envers le clan en commun avec lui.*

En tout vas je peux vous dire une chose, les gens chez qui vous vous rendez se sentent bien à l'aise et en confiance en ce moment...

*La petite Ventrue revint devant son tableau deux feutres dans la main, un rouge et un noir.*

**Premièrement, ce qui sont liés aux protections**

D'Arcy est a l'origine de la règles numéro°7, il connais donc probablement les tenant et aboutissent des protections du Louvre.


squik(*)

(*):

Nous savons que certaines personnes se sont vue autorisé le port d'arme par la suite. Pour le moment je ne sais pas s'ils avaient aussi eu droit à l'utilisation des dons mais... Ils étaient chargé de la sécurité donc....

squik squik squik squik

**Deuxièmement, les traîtres potentiels.**

Il y a les Roses qui sont en disgrâce permanente depuis le départ de Villon. Un Prince Brujah a été dur pour nous, mais pour eux c'est bien pire.
On y trouve un serpent squik, le jouet d'une infernalistesquik, une infernaliste tout cour squik, Une anarchiste présumé squik, Un deuxième infernaliste squik et pour finir Zilberman l'éclipsant ce qui toujours très louche. squik

ET il y a les rats... squik squik squik squik squik !!! Je n'ai pas confiance en ces cinq là...

Par leur exclusivité a la magie et parce que c'est leur clan qui a construit les protections, je ne peux ignorer les sorciers. squik

**Mmm...maintenant je vais virer ce dont je suis certains ne peuvent pas être coupable.**

Eux c'est évident... squik les Ventrue.

Dimitri je suis sur de sa loyauté. squik Lui aussi... Vraiment peu probable. squik Forestier

Parménion semble sonder l'âme des gens, donc ces pupilles bien que louches...squik squikPuisque j'en suis au malkav. squik squik squik Ahuizotl n'est pas assez malin en plus il est victime. squik



Mais tout ça n'est qu'une réflexion préliminaire...

Il faut que je lui parle d'abord.

Spoiler:

Annabelle suivait avec intérêt la présentation de Rozenmilna sans en comprendre un traitre mot. Elle se morigéna elle même de tant de sottise, mais fit de vrais et gros efforts pour comprendre... en vain...
En fait, elle s'aperçut qu'il lui manquait pas mal de base pour comprendre. Rozenmilna semblait comprendre ce qu'elle faisait. Lucien, impérial, semblait également fort bien comprendre la situation. Mais il semble qu'on avait omit de lui expliquer les tenants et les aboutissants de l'affaire.



Il vaut mieux, disait sa nourrice, demander et passer pour une idiote, que de se taire etd e rester une idiote.




Elle leva donc haut la main, comme à l'école.

• Pardonnez moi, mademoiselle... mais... que cherchez vous dans cette liste ?
  

Le pire étant de passer pour une idiote et de rester une idiote après...

Une fois avoir exposé ses intentions et confié le dossier Lucien n'attendait pas plus pour se relever.
 
Un petit sourire voyant Rozenmilna scrupuleusement ranger chaque chose qu'il avait déplacée. Il observait ensuite la Ventrue s'acharner sur le tableau. Décidément, elle semblait capable de faire du bruit avec n'importe quoi du moment qu'elle y mettait de la ferveur.
 
Il avait attendu la fin de sa réflexion pour intervenir.
 
" Gardez une petite place sur votre tableau. Peut-être pourrez vous y inscrire certains nouveaux noms et établir quelques liens selon ce que j'apprendrais."
 
Il se fendait d'une légère inclinaison du buste très élégante, main sur le coeur.
 
" Je vous laisse donc à votre activité favorite."
 
Un petit regard en direction d'Anabelle.
 
" Veille bien sûr elle."
 
Quelques mots qu'il glissait à l'oreille de sa soeur sur le ton de la confidence, agrémentant d'une petite pression amicale de la main sur l'épaule de cette dernière pour l'encourager avant de redresser.
 
" Je vous souhaite une bonne fin de nuit."
 
Et sans attendre plus longtemps il quittait le bureau pour rejoindre le lieu de rendez-vous qu'il avait choisi.
 
[ Direction le rendez-vous ]

*Rozenmilna et sa chorégraphie du téléphone qu'elle semblait maîtriser. Aussi tôt lu, aussi tôt répondu.*

A bientôt Lucien *On souhaite pas bonne chance a un "gambler".*

*La professeur se tourna du tableau pour vers face à son élève*

Je cherche un ou des coupables. Un crime a était commis et je dois comme tout bon détective répondre à trois questions fondamentales, Qui ? Comment ? et Pourquoi ?
Trois principes qui sont fortement utilisés dans les romans de détectives qui date de l'âge d'or de ce genre. Dans la réalité ceci dit on parle plutôt du "Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Combien ? Et pourquoi ?" comme système de raisonnement sur une situation donné.

*Et le Prince avait parlé de l'affaire en ces termes, qui comment pourquoi ? connaissait il les penchant de Rozen ? Cette possibilité fit sourire la petite Ventrue. Elle posa les feutres pour aller s’asseoir derrière son bureau, invitant Annabelle a s'en rapproché. Tout en parlant elle sortait un nécessaire à maquillage pour s’appliquer du démaquillant*

C'est cette littérature qui m'a donné le gout de l'enquête. Je ne lisais les derniers chapitres que lorsque j'étais sur de bien avoir analysé tous les indices laisser par l'auteur. Il y a un accord tacite avec le lecteur, un bon roman laisse toujours une possibilité d'arrivée à la même conclusion que le détective, à quelques exceptions prés.

Et puis je suis devenue une créature de la nuit. Lorsque j'ai été en âge de me débrouiller toute seule j'ai toujours voulu prêter main-forte au shérif. Je dois avouer que je n'ai pas été très brillante. Hahaha oui... Que j'étais forte pour traquer les criminels de fiction seulement ces fictions sont similaires à un jeu aux règles bien précises, certains principes récurrents aidant la réflexion.
La réalité n'est pas écrite avec les 20 règles de Van Dine, non elle injuste et on ne peut jamais présumer de rien.

*Le visage brut de Rozenmilna ne cache plus ses yeux d'asiatique. Avec l'aide d'un petit miroir elle reprit à zéro son maquillage qu'elle avait dû faire à la vas vite en début de nuit.*

Mais j'ai appris, je me suis forgée en dépit des mes handicaps aux aptitudes surnaturelles, en enfin aujourd'hui je suis officiellement mis à l'épreuve.

*La ventrue rangea ses affaires, elle avait retrouvé en quelque geste son regard qui n'en restait pas néanmoins fin, mais qui choquait moins sur une personne qui s’appelle Rozenmilna de Sancy. Et à cette dernière déclaration elle sembla sincèrement heureuse, une expression qu'elle ne montre que rarement et que sa protéger découvrait pour la première fois.*

Annabelle écoutait religieusement son primogène. Étrangement, elle comprenait bien et pour témoigner de cet étrange état, elle souriait gentiment. Elle fit un petit geste de la main au coin de l'œil pour indiquer à Rozenmilna qu'il restait un peu de maquillage.

• Je comprends très bien, mademoiselle... j'aime beaucoup lire moi aussi. Je suis très admirative de l'œuvre de Sir Conan Doyle.
  

Elle laissa Rozenmilna encaisser cette information, puis avoua une vérité évidente.

• Mais je suis loin d'égaler le talent de ses héros. Je... je suis toujours surprise de la fin... à chaque fois que je le lis.
  

C'était une sorte de trait d'humour, enfin, elle espérait que c'était drôle.

• Vous êtes très jolie sans maquillage... euh... avec aussi, bien sur... pas sur de voulais... dire...
  

Elle tourna alors son visage vers le tableau recouvert de noms.

• Pour ce que cela vaut... je serais heureuse de vous apporter mon aide...
  

Elle laissa encore passer un moment, comme à son habitude, le temps de fabriquer dans sa tête sa phrase.

• Par contre je n'ai toujours pas compris ce qu'a fait celui que nous cherchons.
  

Non ce n'est pas jolie... Merci.

*Rozen fit en sorte de ne pas s'étendre sur le sujet.*

Dans les Elysea Parisien, un enchantement sur les lieux fait qu'on peut pas utiliser les disciplines du sang. Le Sabbat a réussi à outre-passer cet enchantement.

Je pense à un éventuel traître, mais ce n’est qu'une possibilité. Bien sur il faudra nous faire discrète sur ce sujet.

Avant toute chose il me faut comprendre cet enchantement et le primogéne Trémère va m'y aider.

*Morgan dont la contenance et le calme était troublante pour une personne comme Rozenmilna. Il lui était difficile de savoir ce qu'il y avait réellement dans la tête du sorcier.*

• Un enchantement...?
  

Annabelle aimait bien cette idée de magie. Car là où il y a de la magie, souvent, il y a des fées, de la poésie et une certaine vision de l'univers qui lui plaisait, simple, doucereuse, mignonne...
Mais elle se doutait bien que comme toute chose, le coté sombre de la magie devait altérer son rêve engendré par une méconnaissance manifeste du sujet.

• Un enchantement... dites vous... pour … entraver les disciplines... mais que se passe-t-il si une personne déclenche son pouvoir AVANT de rentrer? Il s'éteint ? Et puis... ça marche sur mon invulnérabilité ?
  

Du coup, ça devient inquiétant. Annabelle était très attachée à l'idée qu'on ne puisse lui faire du mal, tout du moins de façon définitive.

• Vous avez raison, mademoiselle, le soucis étant un enchantement défaillant, il serait judicieux d'interroger un expert en la matière. Mais … du coup... pourquoi penser qu'il y a un traitre? L'enchantement, je suppose, doit se comporter comme toute chose... marcher un peu quand ça veut... Je veux dire … ma télévision marche épisodiquement.
  

Annabelle s'arrêta un moment.

• Je ne suis pas sure de vous aider, là...
  

A mesure que Rozenmilna avançait dans son exposé, Annabelle semblait de plus en plus concentrée. A chaque fois que la primogène évoquait un nouveau personnage, elle comptait sur ses doigts, comme si cela l'aiderait à retenir ce qui était dit.
Elle avait retenu surtout qu'il y avait des attentats contre nombre de primogènes, princes et autres... Paris semblait un endroit bien dangereux.
Raison de plus pour être vigilante et veiller sur Rozenmilna.

• Si je ne me trompe pas... dit Annabelle en comptant sur ses doigts... On a un désordre dans la magie crée par les Témères, un traitre qui doit s'y connaître en magie... trémère... serait-ce hasardeux d'envisager que le traitre... soit un Trémère ?
  

Ces phrases furent prononcées lentement, avec méthodes, presque avec difficulté. Mais elle craignait que son faisceau de présomption ne soit un brin insultant pour ses alliés magiciens. Avec un peu de chance, Rozenmilna ne lui en tiendrait pas rigueur.

• Je n'ai pas très bien compris, mais vous semblez soupçonner cette Nadia. Il y a-t-il un moyen de la confondre? Est-il possible de restaurer la protection du sanctuaire..? car si cela est possible, il y a peut être un moyen de … enfin... connaissais vous Agatha Cristie ? Je ne me souviens plus dans quel ouvrage j'ai lu cela, mais …
  

Les mots ne venaient pas, aussi, Annabelle s'employa d'écrire des notes sur une feuilles de papier. Le résultat était un peu confus, mais aisé à comprendre.
Six personnes sont capables de fabriquer un rituel de protection. On demande à chacune de fabriquer une salle secrète protégé, mais sans en avertir les autres, dans six salles différentes. Il suffit ensuite de vérifier dans chaque salle si le rituel fonctionne bien. La salle qui ne fonctionne pas est, de fait, celle du traitre.
C'est une idée simple, qui ne vaut que si les six sorciers ne communiquent pas entre eux.
Après un seul sorcier est-il capable de réaliser une protection seul …?


Annabelle attendait, un peu soucieuse d'entendre l'avis sur son idée... en fait sur l'idée d'Agatha.

Une excellente idée ?


Décidément Annabelle gagnait à fréquenter Rozenmilna. Soit cette dernière était très bienveillante, soit Annabelle faisait des progrès à son contact. Les deux cas lui allaient.

• et bien, madame, allons voir ce … cette.. Morgan … qui c'est déjà ?
  

[arrivant de l'entrée du Louvre]

Morgan erra un moment dans les couloirs avant de trouver le bureau du primogène Ventrue. Il remit son costume en place, sa cravate, puis il frappa d'un geste sur. Il se présenterait à la secrètaire si Rozen en avait une.