Bureau de Vivian

"Le prince n'a pas t'en de goules que ça par contre."

La phrase tomba comme venue de nul part, visiblement Vivian entretenait deux conversations simultanément du fait qu'il continuait de consulter le dossier. Il pris sependant la peine de lever les yeux sur la cagoule que venait d’ôter Alister.

"Oui c'est un bon début. As tu d'autres vêtements aussi ? Pour tout les jours la tenue de commando est déjà limite, mais pour une soirée, là ce n'est tout bonnement pas possible. Tu n'as pas de tenue de défilé et une d'apparat que l'on t'aurais fourni durant ta période au sains des force armées ?

Lorsque l'on t'as remis les médailles tu n'avais pas ton treillis et tes rangeurs je suppose.

Sinon il faudra t'habiller en civil."

Il reposa son attention sur le dossier.

"Je suis content que le poste de Gardien te motive et que cela ne soit pas simplement pour toi qu’obtempérer à un ordre. Tu avance de bon arguments et le fait que le prince soit Brujah penche en notre faveur plus que s'il avait été du clan des artiste. Parménion est un combattant et les temps que nous vivons peuvent largement justifier de primer sur la sécurité plutôt que l'étiquette. Cependant les traditions sont importante et tu sera peut être amené un jour a devoir organiser une fête comme celle de ce soir."

Il eu un sourire gentiment moqueur.

"Cela fait partie des prérogative du gardien. Prévaloir la culture dans les Elyséum du prince. Mais rien ne t'empéche de t'entourer de personnes compétente dans le domaine. Ou d’acquérir auprès d'eux des faveurs pour qu'ils soit à ta disposition au moment ou tu en aurais besoin."

Nosfératu

Alister répondit aux propos du sénéchal en prenant à chaque fois quelques secondes.

- Le nombre des goules n'importe pas autant que leur dispositions et missions. Toutefois, nous pourrons demander l'autorisation de son altesse le prince pour constituer goule en son nom. Un Elysée représentant la première puissance du domaine se doit dêtre suffisament doté en personnels de sécurité.

A la lueur des propos de l'ancien, il ajouta.

- Si vous le permettez Monseigneur, je m'en vais immédiatement trouver une tenue plus adéquate. Ne pouvant pas profiter de la bienveillance de l'Elysée pour emprunter un costume tout en candidatant au poste de Gardien. Je ferai vite.

Gardant sa position, mais accélerant quelque peu le rythme de ses propos, il dit enfin.

- Je veillerai, dans l'exercice de mes fonctions, à faire prévaloir la culture et l'ordre au sein de l'Elysée. Pour le premier de ses aspects, il est évident que j'aurai recours à une assistance exterieure, mais je saurai prendre note des bonnes pratiques en la matière.

Maintenant, si vous le permettez Monseigneur, je souhaiterai me retirer. Nous nous reverrons à la fête.

Spoiler:

Vivian nota l'empressement d'Alister de conclure la conversation. Ne voulant pas lui faire perdre de temps et lui n'aillant pas que ça a faire le laissa filer.

"Très bien, à plus tard."

Il rajouta tout de même à tout hasard.

"Pas d’imprudence."

Il sorti de son bureau et placarda un postit sur la porte.

Citation :: Je suis à la salle des fêtes.

Vivian de la Rochère, Sénéchal

Puis sans attendre emboita le pas de son 'élève', mais de loin car ce derniers avait adopté un rythme supérieur à celui que sa vieille jambe rouillé lui permettait. Il allait s'engager dans l'escalier pour descendre à la salle des fêtes lorsqu'il pensa à sa cavalière.

**Faire un croché par le bureau de la Primogène Ventru ne me coutera pas trop d’efforts. Si elles n'y sont plus cela voudra dire qu'elles sont en bas.**

Il se posta devant la porte incriminé et toqua vivement avec ses doigts tordu. Son intervention resta sans réponse, il rebroussa donc chemin et se dirigea vers la salle des fêtes.

[Vers la salle des fêtes]

Brujah

[arrivé du petit salon]

Abel entra a la suite du sénéchal, attendant que celui-ci lui fasse signe de s'assoir pour s’exécuter avant de prendre la parole.

"Bonsoir sénéchal, je me nomme Abel, nous nous somme brièvement rencontrer lors du bal."

Il attendit quelques seconde que le sénéchal puisse se remémorer les événements de la nuit dernière avant de reprendre la parole.

"J'ai lors de cette soirée fait part au prince ainsi qu'a vous même des raisons de ma venue dans la capitale française, et c'est dans ce but que je vous ai demandé audience ce soir.
En effet, n'ayant pas vraiment de début de piste pour commencer mon enquête, j'aurais aimé pouvoir inspecter les appartements utiliser par l'ancien prince toréadors au sein du Louvre, afin de peut-être pouvoir trouver un point de commencement."

Abel tachait de gardais un ton courtois et poli en s'adressant au sénéchal.

[Arrivée du petit salon]

Vivian a présent assis sa jambe tordue tendue vers l'avant écoutait Abel avec attention. Il activa un petit bouton.

"Vous menez une quête intéressante et je déplore que les recherches mené lors de la disparition volontaire ou non de François Vion personne n'ai réussie à trouver d'indices. Il me semble que c'est son infant qui à mené le plus d'enquête à ce sujet, mais malheureusement elle n'est plus de ce monde à présent.

Je vous avoue que j'ignore où ce trouvait les appartements et s'ils sont toujours en l'état où l'ex prince les avaient laissé. Je vais me renseigner à se sujet et vous donnerais les accès, si il s'agit d'une zone qui n'est pas habité actuellement.

Il va de soit que je vous donne accès à des endroits et des dossiers qui appartienne au Louvre, vous me rendrez donc des comptes de vos découvertes au fur et à mesures que vous en ferez. Inutile de vous déplacer à chaque fois un simple sms par jour ou lettre fera l'affaire.

Si vous avez vous besoin d'une aide extérieur faite le moi savoir je vous la fournirait autant que faire ce peut."

Une goule entra et s''inclina bien bas devant les deux vampires.

"Je voudrait que la goule la plus anciennement présente ici vienne me rejoindre au plus vite."

Le mortel affirma qu'il allait chercher à satisfaire la demande du Sénéchal au plus vite et disparue.
Ce dernier posa un regard sur Abel qui voulait signifier : des questions ou autres requettes ?

Brujah

"Je préfère venir en personne soumettre mes requêtes, sénéchal. Se contenter d'un appel ferait bien mauvaise figure."

"Il se peut également que vous puissiez me rendre service. Pouvez vous m'indiquer des personnes encore présente à paris qui était proche du prince Villion ou de son infant, peut être pourrons-t-il m'aiguillez dans mes recherches.
Cela pourrait en effet m'être utile."

Abel sorti une carte sur lequel était écrit un numéro de téléphone.

"Je tacherais de vous tenir au courant de mes avancer sénéchal, mais si vous avez besoin de me contacter, ce numero devrait pouvoir vous y permettre pour l'instant"

Vivian be pipa mot, mais pensa qu'heureusement toutes les personnes qui devait lui faire des bilan journaliers ne veille pas le faire en tête à tête sinon il ne pourrait pas faire grand choses d'autres de ses nuits. Il tenait particulièrement à connaitre l'avancé de cette enquête et contrarier ce Brujah ne servirait à rien. Savoir est le plus important à ses yeux qu'importe le moyen de transition.

"Je vais me renseigner à ce propos et tacherais de vous transmettre mes découverte dès que possible."

Il agita la carte qu'Abel venait de lui donner pour lui signifier qu'il l’appellerait.
Il avait insister sur le 'tacherais' puisque le balafré avait utilisé ce mot qui ne convenait guerre au vieux Nosfératu. Serte Abel avait a rendre des compte à la personne qui l'avait envoyé en mission, mais en mettant les pieds dans le Louvre il devait aussi en rendre à la Paris ou tout du moins à l'un de ses représentant.

Vivian ce leva pour signifier que l'entretien était fini, il resta cependant à l'écoute d'éventuels autres requêtes.

Brujah

Le nosfé etait visiblement sensible sur les mots a employé ... Faudrait en prendre note pour ses futurs visite, si elles avaient lieux.

Enfin bref, il n'y avait plus rien a faire ici et la fin de la nuit approché rapidement. Il se releva et fit une légère courbette.

"Si vous n'avez plus besoin de mes services sénéchal, je vais prendre congé. Je vous souhaite une bonne fin de nuit"

Sans plus de cérémonies, il pris la direction de la sorti du louvre.

(A moins que le sénéchal n'ait encore besoin de moi)

Vivian saluat le départ d'Abel d'un hochement de tête poli et sobre.

"Je vous contact dès que j'ai les réponses à vos question. bonne journée."

Le sénéchal passa sa torpeur dans la pièce attenante ou il avait fait installé un lit d'appoint. Sa goule arriverais le lendemain si tout fonctionnait comme prévue.

[LUNDI 4 AVRIL 2011]

A l'aurore Vivian se prépara rapidement pour pouvoir recevoir l'homme qui serait très prochainement le nouveau Gardien. Un ventrue sorti du chapeau juste au bon moment...

[arrivé de l'entrée.]

Phantom tocqua à la porte et patienta qu'on lui dise d'entrer.

Tu entends un "entrez", et découvre après l'avoir fait Vivian à son bureau qui range des papiers dans un tiroir.

Phantom entra et pointa la tête.

- Monsieur de la Rochere? Je souhaiterais vous parler.

Vivian ce leva en voyant Phantom.

"Bonsoir allez y installez vous je vous écoute..."

Le vampire reprit sa place en se courbant doucement vers son fauteuil, on aurez persque dit un viel humain qui aurait des difficulté à faire fonctionner ses articulations.

Phantom s'avança et prit le siège que lui désigna le Sénechal.

- Monsieur de la Rochère, j'ai sur l'impulsion de Dimitri, entendu le prisonnier survivant de l'attaque du Louvre. C'est quelqu'un de fanatique, complètement embrigadé. Il explique que Dieu lui a ordonné de faire tout cela, à lui et aux autres. Il semblait décontenancé quand j'ai remis en cause sa ferveur. En me renseignant via mes contacts je me suis rendu compte qu'il y avait un trou dans sa vie de quelques années. Etrange.

Il attendit que Vivian lui pose éventuellement des questions.

Vivian saisie son menton entre son pouce et index en écoutant le nosfératu.

"Et vous avez une idée de ce qu'il a pus faire durant ce trou ?"

De toute évidence toute la solution de l’énigme ce situait dans cette absence d'information. C'était ça le plus beau.

La question coulait de source. Elle était si évidente.

- c'est assez difficile à dire. Je pense qu'il faudrait quelqu'un avec un contact au sein de la police, mieux placé que le mien. Quelqu'un qui connaisse la MILIVUD... Pour vous éclairez, c'est un service spécialisé dans les sectes.

Ce genre d'absence après un service chez les commandos n'est pas courant mais lorsqu'il arrive, l'embrigadement n'est pas à exclure.

J'en ai déjà plus ou moins suggéré l'idée au primogène brujah mais un interrogatoire sous domination serait sans doute bénéfique pour la praxis.

"Pour interrogatoire, peut être devriez vous vous adresser à Rozenmilla, en temps que Ventrue elle doit disposer de ce pouvoir, après tout c'est elle qui mène cette enquête en temps que Prêvot à l’essai. En cas de besoin je pourrais m'en charger, mais je ne veux pas griller la politesse à cette charmante demoiselle..."

Après un bref sourire il se redressa dans son fauteuil.

"Je vais voir ce que je peux faire pour la police, mais je ne vous promet rien.
Avez vous besoin d'autre choses ? Ou d'autre informations à me communiquer ?"

Phantom écouta le Senechal, son frère de sang.

- Cela serait sans doute mieux si c'est vous qui la mettiez sur la piste. J'ai cru comprendre que Dimitri le ferait, mais je ne sais pas ce qu'il en est réellement. Ce qui c'est produit une fois pourrait se reproduire, d'autant que l'expérience acquise lors de la première intrusion profitera sans doute aux assaillants.

Il réfléchit ensuite une seconde, prenant ses mains l'une dans l'autre, se faisant craquer les jointures dans un vieux réflexe humain.

- Je n'ai rien pour l'instant monsieur, Peut être avez vous une mission pour moi? Sans doute faudra t il que l'on reprenne possession de notre domaine un jour? Non?

Le sénéchal écouta d'un air approbateur

"Bien, je me ferai un plaisir de la mettre au courant si Dimitri ne le fait pas.
le temps me semble arrivé pour récupérer notre domaine, nous en discuterons très bientôt avec nos autres frères."

Le nosfératu se leva pour signifié la conclusion de l'entretien.

"Ce fut un plaisir Phantom."

Phantom fut content de l'entretien, finalement bien régularisé.
Il regarda Vivian qui se levait pour conclure.

- Bien. Je reste à votre disposition si jamais il y a besoin. J'ai pris refuge chez Stanislas, notre refuge d'un temps, vous pourrez me trouver là-bas.

Bonne journée Sénachal.

Phantom se leva et s'en attendre prit la direction du refuge pour rejoindre la morphée des vampires de ce monde des tènèbres.

[Refuge de Stanislas]

Ventrue

[Arrivée de l’entrée du Louvre]

Le moment de se jeter à l’eau n’avait jamais été aussi proche. Au pire, il serait à la limite de l’ostracisme…voire disparaitraît rapidement, « muté » on ne sait où. Au mieux…lui tira un sourire que n’aurait pas envié le Diable. S’assurant d’être impeccable, il frappa 3 coups francs de sa main ganté sur la porte, replaçant sa main dans le dos, en position d’attente tout ce qu’il y’a de militaire. Sa pomme d’adam se meut. Ce qu’il allait tenter était pour le moins risqué. Mais sans risque, l’on ne prenait pas soin de la Très Sainte Camarilla. Là était son devoir.

Un serviteur ouvrit la porte, aussi discret que possible. D'Arcy fut accueilli par le visage atrocement souriant du sénéchal qui se redressa lentement, bossu, invitant le Ventrue à s’asseoir.

"Ha ! Monsieur D'Arcy, je vous pris prenez place. C'est un plaisir de vous recevoir. Je ne puis cacher mon impatience quant à connaitre la véritable raison de notre entrevue."

Il s'affaissa à nouveau dans son fauteuil les doigts de ses mains cadavérique entrecroisés.

Ventrue

La porte s’ouvrit pour laisser place à une horreur de plus. Ce qui l’étonna fût qu’il se lève pour l’accueillir. Sans doute l’habitude d’un monstre ayant compris sa place, ou pire, faisant fî d’y croire…car chacun sait que la place accordée à chacun dépend de la position de force des divers courants politiques. Bref…ces considérations étaient pour le moins accessoires. Mais il était néanmoins toujours en train de se demander s’il n’allait pas commettre une des plus grosses erreurs de sa non-vie.
S’avançant vers le bureau, il s’arrêta un peu avant le fauteuil dans lequel il avait été invité à s’asseoir, pour s’incliner profondément.

« Mes respects, Sénéchal. »

Laissant les trois secondes réglementaires s’écouler avant de se redresser, il finit par s’installer à l’endroit indiqué.

« Je comprends votre impatience, Messire de la Rochère. Aussi, permettez-moi de rentrer dans le vif du sujet. »

Une pause purement sociale, permettant au Sénéchal d’acquiescer. C’était sans nul doute osé de sa part, mais les Nosferatu étaient curieux. Et il l’avait fait savoir. Aussi une infime entorse telle que celle-çi passerait à l’as, comme le veut l’expression populaire.

« Officiellement, vous n’êtes pas sans savoir, je suppose, que Son Altesse et moi-même avons eu…un léger…différent vis-à-vis de ma conduite au sein de l’Elyseum. De là, il était question d’une mise au point, que j’ai eu de manière officieuse, son Altesse ayant bien d’autres chats à fouetter. Officiellement donc, toujours, je suis là pour que vous me mettiez au pas quant à ce qui a déplu à propos de mon comportement passé. Non pas que je sois opposé à cette mise au point, bien sûr…mais… »

Une nouvelle pause sociale, mais suffisement courte pour reprendre la parole sans pour autant paraître insultant, l’interlocuteur n’ayant normalement pas eu le temps de se lancer.

« pour tout vous avouer, Sénéchal, j’aimerais que nous soulevions sans tarder un problème qui me semble d’une importance bien plus capitale, et que les officiers que nous sommes pourrions régler avant que la situation n’empire. »

Les mondanités passées, il était clair que d’Arcy n’était pas là pour plaisanter. Droit comme un i, sa voix et son visage ne faisaient que refléter un sérieux pesant, inquiétant même. Il en avait dit bien assez. Soit le Sénéchal allait le remettre sur les « rails », soit l’appât était assez conséquent et ferait son office. D’Arcy espérait bien que la seconde solution fût la bonne.

Face au Ventrue droit comme un platane, un Nosfératue plus angulaire qui sembla plus frêle, une apparence bien trompeuse.
Le monstre décroisa ses doigts pour joindre les mains uniquement par les extrémité de ceci, puis se tapota les index.

"Officiellement oui... Madame de Sancy et Monsieur Romanoff ne vous on pas ménageait à la réunion. Or j'ai cru comprendre que votre patience fut mise à rude épreuve. Je vous invite à partir de Zéro, Le Prince et moi somme conscient du bénéfice que vous représentez pour la praxis."

Le sénéchal avait beau avoir des gestes typiques et être boiteux, le regard enfoui dans son visage ingrat en receler beaucoup. Il ne plaisanta pas. Il émana de lui le genre d'aura qu'ont les vampires de qualité avec qui l'erreur ne serait pas tolérée.

"Je vous en prie, continuez monsieur D'Arcy."

Non sans un plaisir curieux dans la voix.

Ventrue

Du cirage et la brosse à relire dans le sens du poil…compagnon d’arme du Prince, qui aura beau se parer de n’importe quel atour, il n’en restera pas moins quelqu’un de redoutable…et son âge allait en ce sens. Un léger sourire accueillit la flatterie, ainsi qu’un mouvement de tête acquiescant quant à sa patience mise à rude épreuve.

« Effectivement Sénéchal. Mon réveil ne se fît pas sous les meilleurs hospices, mais passons, je n’ai, in fine, pas démérité ces remontrances. »

L’air grave et sérieux, il semblait avoir prît parfaitement en considération les faits. Un signe de tête suite à son invitation à poursuivre.

« Vous savez que j’ai été responsable des passe-droits de la protection installé par l’ancien Primogène des Sorciers. Par conséquent, il a dû, à contre-cœur, me faire partager une partie de son art. Or, j’ai appris que la potentielle future Prévôt avait la ferme intention de faire détruire − par les us…Sorciers eux-mêmes − »

Discrètement, une sourde colère s’emparaît de sa voix, rendant sa voix à peine plus rauque, le ton employé légèrement plus vindicatif.

« les dits passe-droits. Je ne vous ferais pas l’offense de vous éclairer sur ce que font les Sorciers avec le Sang, vous en savez sans nul doute bien davantage que moi. Or, le Sang contenu dans ces pièces n’est ni plus ni moins que celui de Son Altesse en personne, le mien et celui d’autres personnalités. J’imagine qu’aucun n’apprécierait plus que moi que leur bien le plus précieux échoue entre leurs mains… »

La bombe était lancée. La tension dans sa voix s’étiola quelque peu. Maintenant le coup de grâce.

« Je sais vider ces objets de leur contenu. Ce qui nous permettrait de rendre en main propre et à qui de droit ce qu’elles contiennent. Le Gardien pourrait s’en charger, à condition d’être appuyé en ce sens. Il me semble, en tout cas, qu’une personne n’étant pas encore Prévôt n’en a pas la prérogative. Qu’il s’agisse de rendre ou détruire dans des conditions floues ce qui ne lui appartient nullement, d’ailleurs. »

Il ne restait plus qu’un petit as dans sa manche. Mais il fallait d’abord voir comment le rusé Nosferatu réagirait à tout ça. Sa pomme d’adam s’agita.

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