Fleur hausse un sourcil avec un sourire pour Heinrich.

"Vous savez très bien qu'elle n'a pas eut besoin d'ouvrir la bouche pour que je sache, mais puisque vous semblez ne rien vouloir me dire alors soit......"

Elle continue a sourire au primogène, il n'était pas de bonne humeur et clairement tenter d'aborder des sujet délicat avec lui en se moment relèverait du défie. Elle s'incline devant l'homme avant de sortir. Elle avait réussit se qu'elle voulait après tout éviter à une consœur une frénésie et la mort bien inutile d'un du primogène malkavian.

Elle laisse donc l'homme pour se diriger vers la sortie afin de voir ou en était Marion et Oana, en ayant toutefois fait signe à Thurim.

Alors que vous discutez tous ensemble tranquillement, vos conversations s'interrompent peu à peu... Tout vos regards se tournent vers la petite Rosie qui vient d'entrer et se tient sur l'épaule d'un Géant. Vous restez un moment bloqué sur elle comme si son aura semblait peser sur vos épaules et qu'elle vous observait tout particulièrement sans pour autant poser son regard sur vous. La sensation d'être sa proie vous saisit et si vous arrivez tous à contrôler votre bête vous n'en êtes pas moins très mal à l'aise en sa présence et l'envie de sortir du petit Salon commence à se faire de plus en plus présente, mais celle - ci semble lutter avec celle de ne pas lui faire cet affront... Ne sachant pas comment la petite peut réagir les possibilités se mêlent dans votre esprit...

... alors qu'un silence de mort règne dans pièce.

Mal, elle avait mal, d'un coup d'un seul, surgit de nul par il était présent.

Sans le vouloir elle leva la tête et regarda cette petite créature sur les épaules d'un géant.

Le mal l'envahissait, comme si une cage enfermait sont esprit, trop tard le mot pris de l'ampleur dans la tête de Roxana, le mot cage tournait en boucle, un combat était proche, il allait se faire aux yeux de tous mais sans que personne ne puisse le voir.




Il neigeait dans ce coin, tout était blanc, Roxana se trouvait face à une pierre ou était assis un lynx boréal:

"Ma chère enfant que se passe t'il? Sa faisait un moment que je ne t'avais pas vue"

"Tu sais très bien que se n'est pas moi qui suis venus ici, c'est toi qui ma appelé"

"Je le sais et toi aussi, tu est dans la pire des position possible , tu est enfermé et tu sais que seul moi peut te sortir de là"

"Non, je suis venus ici faire mes preuves et je le ferais sans toi au début, ne vois pas sa comme un affront, mais plutôt comme un défis pour nous deux"

"Comme tu veut mon enfant, si tu à besoin de moi tu sait ou me trouver"

Le blanc s’estompa peut à peut pour laisser revenir le paysage de la réalité.



Le combat avait été plus facile que prévus, maintenant il fallait faire face a cette peur sans nom.



Roxana regardait toujours la fillette, mais elle arrivait peut à peut a reprendre le contrôle de ces émotions, mais elle n'arrivait toujours pas à la lâcher du regard.

Fey eut à peine le temps d'arracher une bonne partie de sa cuisse qu'elle se Plie en deux , elle tomba à genoux sur le sol.


Fey était là, affaiblit, au milieu d'une flaque de son propre sang, Un morceau de chair entre les doigts, l'os de la cuisse saillant, ne comprenant certainement pas ce qui venait de se passer.

Edite discipline passif pas de perte de sang

Pendant qu'il retournait vers Lucas et Hadrien Rosie fit son apparition , il n'avait pas besoin de la voir,l'atmosphère de pièce changea instantanément en sa présence ..
Et voilà que FEy qui était jusque là blottit son coin mettait a se vider de son sang allongée au sol , un morceau de sa propre cuisse dans la main .
Cette fois avait fait fort la petite !
Il se déplaça vers Rosie aussi rapidement et discrètement qu'il le pu

"Salut petite fée , dis moi , on avait a parler non ?
Tu veux bien aller m'attendre dans mon bureau là tout de suite ? Avec Amelie si tu la trouve ok ? "

Hadrien avait l'air lui aussi dépassé par les événements, sa question pouvait en témoigner. Tout en réfléchissant, Lucas haussa les épaules pour montrer que lui non plus ne comprenait rien du tout.

*Génial ! Vu ce qui vient de se passer il ne faudra pas faire de remous avec Heinrich ce soir. Histoire de ne pas l'énerver encore plus...pfff...galère !!*

Il jeta un regard vers le Malkavian assit à coté de lui et en pensant à ses sœurs, il se dit que la soirée allée encore être délicate à gérer. Son corps se relâcha, las de ce qu'il s'imaginait déjà.
Au bout de quelques minutes, il sentit la pièce s'alourdir. Une tension nouvelle fit son apparition et pesait sur lui de façon écrasante. Bizarrement cette sensation ne lui était pas inconnue et il releva les yeux pour voir que ses sœurs étaient arrivées. Il croisa le regard de la petite Rosie et un courant glacé lui remonta le long de l'échine. Il baissa les yeux et mis une main en visière pour se protéger de tout nouveau contact visuel avec la jeune fille.
Il sentit quelque chose remuer en lui et décida de fixer son attention sur le seul sens qui, à son avis, ne risquait pas de lui faire défaut : l'ouïe
Le silence totale fut rafraîchissant, du moins pendant quelques instants. A nouveau son esprit gambergea seul essayant de deviner ce qui se passer autour.

*Le calme avant la tempête ? On est dans l’œil du cyclone !*

Sitôt qu'il eut cette réflexion, son esprit commença à s'imaginer une scène loufoque où la petite Rosie serait le centre de l'action.

Il voyait la pièce et ses occupants lutter contre un vent improbable, se raccrochant au mobilier.

Un premier éclat de rire le secoua et sa main s'agrippa au rebord du fauteuil. Un second éclat fit son apparition et il mit sa main libre devant sa bouche afin de prévenir tout son qui aurait pu en sortir. Pourtant, son esprit ne lui laissa pas de répit et son imagination continua à lui envoyer des images délirantes.

Tous les vampires de la pièce volaient de concert avec le mobilier, il pouvait presque entendre les cris courroucés de certains d'entre-eux. Il voyait la petite Rosie au milieu de ce fatras, sautillant gaiment et donnant de-ci de-là des coups de sa baguette magique.

Un fou rire le prit et il n'avait plus assez de retenue pour le contenir. Il explosa dans la pièce, résonnant dans le silence, rien de chaleureux là-dedans, c'était un son froid et légèrement lugubre. Lucas se plia sur son siège, ignorant complètement ce qui se passait autour et perdu dans « sa vision du cyclone Rosie ».

Spoiler:

Lucas ne semblait pas plus comprendre la situation que lui. Il décida donc d'attendre tranquillement le retour d'Heinrich, pour peut-être avoir des explications plus précises. Il se remit à contempler le plafond, c'était un moyen efficace pour éviter que les gens ne viennent l'embêter. Mais cela ne voulait pas dire qu'il était dans la lune, il en profitait pour écouter ce qu'il se passait dans la pièce. Il n'entendait pas grand-chose d'ailleurs, car il y avait beaucoup trop de monde dans le salon et les conversations se mélangeaient.
Puis tout à coup, il se sentait écrasé par l'atmosphère et n'entendit plus un bruit.

*Mais qu'est-ce qu'il se passe ?*

Il eut le courage de diriger son regard vers la foule et aperçu Rosie.

*C'est elle qui provoque ça, mais qu'est-ce qu'elle fait ? *

Il avait l'habitude d'être mal à l'aise, mais là ça dépassé tout ce qu'il connaissait. De plus il se rendit compte qu'elle n'était pas seule, il apercevait une de ses soeurs. Il se raidit instantanément sur sa chaise.

*Oh non, pas ça ... Pas déjà ...*

Puis il entendit Lucas qui rompit le silence par un rire plutôt flippant. Il ne comprenait pas le comportement de Lucas, mais là il n'était pas en état de réfléchir à autre chose. Il se tourna vers lui et lui dit d'un ton sec, mais totalement désespéré.

« Mais qu'est-ce que tu trouves de si drôle ? Hein ! Il n'y a pas de quoi rire ...» lui il n'avait vraiment pas envie de rire, l'effet Rosie ainsi que la présence de ses soeurs, le rendait proprement malade. Il n'allait pas bien, il sentait la panique montait en lui. Puis il remarqua qu'une des personnes de la pièce faisait une sorte de malaise. Apparemment il n'était pas le seul à réagir violemment à la présence de Rosie. Même si ça devait être différent pour elle.

Il recommençait à trembler comme la veille, mais il essayait vraiment de se contrôler, il ne voulait pas faire une crise ici. Il avait déjà assez honte de ces poussées de panique, alors s'il en faisait une ici devant toutes ces personnes il ne s'en remettrait pas de si tôt. Il devait impérativement se calmer et rapidement avant que tout ne redevienne normale et qu'on le remarque.

Il faudrait qu'il remercie Rosie pour ce qu'elle venait de lui offrir : le plus beau fou-rire qu'il ait eu depuis un long moment. Il se réinstalla normalement dans le fauteuil tout en essuyant les larmes qui avaient coulé de ses yeux. Il était toujours secoué de quelques éclats de rire, mais au moins il avait repris contenance. Pris dans son délire, il n'avait absolument pas eut conscience de ce qui s'était passé, des allées et venues des gens dans le salon et encore moins de la présence et des paroles de Hadrien à ses cotés. Aussi, quand il releva des yeux pétillants sur ce dernier et qui le vit tremblant et en panique, il n'en comprit pas la raison.

*Là j'ai raté un épisode ! En même temps ça valait vraiment le coup.*

Il étouffa un nouvel accès d'hilarité et essaya de faire disparaître tout amusement de son visage, afin de se mettre au diapason de l'ambiance générale. Il jeta un regard circulaire pour évaluer ce qu'il avait raté.

*Tension générale !! Une femme à terre et en mauvais état, nos sœurs et le chef. Hum ! Ah oui ! J'oubliais !! Un Hadrien tremblotant et dont le regard trahit un malaise grandissant.*

Il souffla, quel dommage que son amusement est été de si courte durée. Il analysa les options qui s'offraient à lui...rectification : à eux. Jetant un nouveau regard vers Hadrien, il se leva et fit un mouvement de tête vers l'entre du salon. Si au moins il pouvait prendre en charge Hadrien afin de ne pas indisposer Heinrich, alors il ferait de son mieux. C'était son premier acte : « Pour la Famille ». Enfin de son point de vue en tout cas.

Il était resté assis aux côtés de Fleur, après que celle-ci ait répondue à sa question. Il n’avait pas besoin de parler, elle était à côté, lui allait aussi bien qu’il le pouvait. Il laissa donc son esprit se reposer, écoutant juste les conversations qu’il arrivait à suivre. L’amie de Fleur était légèrement distante avec lui et parlait désormais avec un homme, qui s’en allait tout juste alors que Fleur lui demandait de rester assis.
Un langage assez relâché dont il n’avait guère l’habitude... du moins pas avec elle.

Il s’exécuta donc autant que possible. L’arrivée de la petite l’avait certes déconcertée, même s’il n’en laissa rien paraître. Il l’avait observé calmement, tout du moins aussi calmement que ce dont il était capable. Si elle emplissait l’air de venin, elle ne semblait pour autant n’avoir intention malveillante – pas au premier abord en tout cas.

Si lui avait garder son calme, ce n’était pas le cas de Fey, l’amie de Fleur. Avait-elle essayé de canaliser la douleur en s’arrachant une partie de la cuisse ?
Une force exceptionnelle, nul doute qu’elle avait usée de quelques dons ténébreux.

Et la voilà maintenant qui était pliée au sol et qui s’agitait dans une marre de sang. Il lança un regard à Fleur, elle s’était déplacée vers la porte principale du petit salon. Bon, il n’allait quand même pas laisser une amie de Fleur dans cet état. Alors qu’il se levait, une femme, charmante, gracieux et visiblement d’une politesse qui sied en tout point aux convenances s’était approchée et leur proposait son aide.

Thurim lui adressa un léger sourire de circonstance.

Il est agréable, ma dame, de constater autant de sollicitude en ce lieu. Ma méconnaissance du l’Elyseum pourrait jouer en ma défaveur quant à ce qui est de placer mon amie en sécurité le plus rapidement possible. S’il ne pèse pas sur votre temps de m’accorder votre aide en tant que guide, c’est avec plaisir que je l’accepte, gente dame.

Il s’agenouilla près de Fey, passant ses bras sous la fragile personne, il la souleva aisément et prit soin de compresser sa cuisse en amont de la blessure, évitant de la sorte que la pauvre ne perde tout son sang.

Après un moment il entendit que le rire de Lucas s'était tu.

*Il était temps. Mais qu'est-ce qui lui à pris à la fin ?*

Il arrêta vite de penser au comportement de Lucas, c'était le moindre de ces soucis. Ces soeurs étaient toujours là... Il remarqua que Heinrich s'était rapproché de Rosie. Hadrien n'avait rien compris à ce qu'il se passait depuis le début de cette soirée. De l'accrochage d'Heinrich avec les femmes, ainsi que le phénomène lié à l'arrivée de Rosie, en passant par cette pauvre femme qui était par terre et sans oublier le rire de Lucas. Il était totalement dépassé par les événements. Il essayait de rester calme, mais il commençait à se rendre compte qu'il y avait énormément de femmes dans le salon. Il avait tenté d'occulter cette information depuis son arrivée au petit salon mais Rosie lui avait fait perdre le contrôle de ces sentiments.

*Non, non, non, non, non, il ne faut pas que je panique, pas maintenant ... Il faut que je me contrôle, il ne faut pas que je disjoncte ici. *

A côté de lui, Lucas c'était levé.

*J'espère qu'il ne va pas me laisser seul ici ? S'il part je n'arriverais pas à me maîtriser...*

Dans le doute, il se hasarda à se mettre dans une sorte de bulle, il se plia en deux sur sa chaise, la tête contre ses genoux et les mains sur les oreilles. Il espérait oublier ce qu'il se passait autour de lui. Il essayait de se convaincre qu'Elles ne lui feraient aucun mal, qu'Elles n'étaient pas là. Mais son esprit l'empêchait d'être logique pour le moment. Il resta donc dans cette position ridicule, en espérant que quand il se redresserait tout serait redevenu normale : plus de fille ensanglantée, plus de soeurs et plus de sensations déplaisantes...

Il regarda Hadrien se recroqueviller sur lui-même et ignorer totalement l'offre d'échappatoire que Lucas lui donnait. Voilà que maintenant il était passé en mode autiste !!! Lucas jeta un coup d’œil dans la pièce pour comprendre le comportement du jeune brun et ne voyant rien de plus que précédemment il laissa tomber.
Il posa une main sur son front, combien de fois il allait vivre cette situation dans l'avenir ? Il ne pouvait pas décemment planter Hadrien dans cette situation, sans compter ce que lui ferait Heinrich s'il le laissait faire une crise sans l'aider. Ils étaient une Famille et ils étaient en train de se donner en spectacle au beau milieu du petit salon du Louvre : le point de ralliement des vampires de la ville. Il s'approcha doucement du jeune homme, posa une main sur son bras et serra délicatement.

« Viens ! On va dans le couloir, comme ça tu pourras...changer d'air ! »

*Depuis tout à l'heure tout va bien et là il nous craque un plomb, c'est quoi la différence ? Rosie ? L'ambiance ? Nos sœurs ?*

Il arrêta de réfléchir, après tout Hadrien devait avoir ses raisons même si cela ne tombait vraiment pas au bon moment. Il tira le jeune homme vers lui, afin de le faire bouger.

Au contacte d'une main, Hadrien sursauta, il se redressa rapidement sur son siège et reconnu Lucas.

*Il n'est pas parti finalement ! *

La présence de Lucas le calmait un peu et lui permettait de se raccrocher à la réalité. Mais son malaise était toujours là, comme un voile entourant son esprit et l'empêchant d'être rationnelle.
Ce dernier l'invitait à sortir de la pièce. Hadrien ne demandait que ça, mais quelque chose le gênait.

« On va devoir traverser toute la salle ... Je ne sais pas si j'y arriverais, Elles sont trop nombreuses... Je suis désolé d'être un pareil boulet, Lucas ... »

Lucas lui tira sur son bras et n'ayant ni la force, ni l'envie de s'opposer, il se leva. Ses jambes tremblaient, comme le reste de son corps d'ailleurs.

« Je dois avoir l'air pitoyable, non ? »

Il esquissa un léger sourire, autant pour se donner de la contenance que pour montrer à Lucas qu'il s'était (un peu) reprit. Il regarda la porte de la pièce, elle lui paraissait si loin. Il sentait la panique qui revenait en lui, mais il focalisa son attention sur Lucas, avant que sa crise ne reprenne le dessus et qu'il s'écroule en pleure au milieu de ses compatriotes.
Puis il se laissa traîner par Lucas jusqu'à l'entrée du petit salon.

>Devant le petit salon

Luddmila discutait avec ses freres et soeurs tout allait bien tout était calme... elle était pour expliquer a Frederique que la situation en générale la chagrinait quand la jeune femme fit son apparition... qu'une folle s'arracha la cuisse... et que...un autre fou réagit comme s'il s'agissait d'une fin du monde en se repliant sur lui meme...
elle resta de marbre... rien de très impressionant en fait... le primogène malky gera l'enfant qui semblait être de son clan... un homme s'approcha de la folle en sang et... Lady ? enfin... la lionne avait peut etre un coeur finalement elle les garda sortir... jetant un oeil sur la fumeuse immobile dans son coin...

le calme revint... elle se reconcentra sur les roses qui restaient près d'elle
" il faudra donc rapidement tenter de nous réunir a nouveau afin de pouvoir nous présenter ! et surtout rétablir la situation... "

Elle passe la tête dans le salon à la recherche de Thurim et de Fey, mais elle comprend bien vite qu'il ont disparu alors qu'elle voit enfin
Arrivé de la

la cause de son trouble. Elle laisse échapper un juron malgré elle,
tandis que sa main inconsciemment à récupéré son chapelet qu'elle égraine en même temps qu'elle prie intérieurement. Après quelques seconde d'immobilisme, elle reprend le contrôle de ses émotions.

* Bon reprend toi, faut dégager de la, je préviendrais Thurim par portable. Je reste pas plus longtemps dans se salon de m....*

Elle ressort aussi vite qu'elle le peut, en pensant qu'elle avait besoin de se défouler et la salle d'arme serait bien plus approprié pour attendre le bon vouloir du prince. Elle attrape un garde et lui fait par qu'elle attendrait d'être convoquée dans la salle d'arme et alors qu'elle s'y dirige elle envoi un message à son ami.

Direction La

Bah au moins il était à nouveau apte à parler, mais encore une fois il se rabaissait. C'était définitif, cette personne avait un problème d'auto-persécution ! Pourquoi cette tendance à toujours vouloir se rabaisser ? Enfin, il ferait avec !

« Ne t'inquiète pas, nous allons traverser la salle ensemble et puis dehors nous serons tranquille » Il réfléchit quelques secondes avant d'ajouter « Enfin certainement plus qu'ici ! »

Il attrapa le jeune homme plus fermement, le soutenant à moitié pour faciliter leurs déplacements parmi le nombre de personne occupant la pièce.
À la seconde phrase prononcée, il lui jeta un regard critique et riva son regard sur le chemin qu'ils prendraient et qui éviterait au mieux les personnes de sexe féminin.

« Pitoyable n'est pas le mot que j'aurais utilisé, mais il est vrai que tu n'as pas l'air au sommet de ta forme. » Il rajouta beaucoup plus bas, pour que seul Hadrien l'entende. « Je doute que qui que ce soit, en dehors de Heinrich et nos sœurs, soit en mesure de comprendre pourquoi tu as agi de cette façon. Voit ça comme un plus ! »

La traversait fut éprouvante, il lui avait fallu louvoyer entre les différentes personnes en supportant Hadrien. Quand il fut devant la porte il vit une femme sortir rapidement et ne chercha même pas à comprendre, trop content qu'elle ne leur barre pas la route. Son attention entièrement fixé sur Hadrien, il franchit les portes menant dans les couloirs.

Direction : Devant le petit salon