Ainsi, elle aimait les étoiles presqu'autant qu'elle... la chose fit sourire la sethite un peu plus...
rendant ses yeux brillants... restant dans les yeux de la jeune femme, elle se redressa lentement, d'un mouvement presqu'invisible

 elles sont d'autant plus belle ici à partir du toit...

Luddmila suivit le regard de la jeune femme vers Morgan... et observa Victor s'éloigner également... que préparait le clan trémère... humm ?!?

puis la jeune femme se présenta... Luddmila replongea son regard dans le sien, l'écoutant attentivement, tentant de lui communiquer son calme à elle par une position attentive, enveloppante, protectrice même... ainsi la nervosité venait probablement de la présentation...


 Je suis ravie de vous rencontrer ce soir mademoiselle Elisa... je m'appelle Luddmila !

tout en restant assise elle pencha légèrement la tête en fermant quelques secondes seulement les yeux.


 et non je ne viens pas me présenter à son excellence le prince Parménion... la chose est faites depuis fort longtemps maintenant... j'attends un jeune ami...

Elle avait hésité sur le terme ami... mais l'avait quand même employé

est ce cette présentation qui provoque chez vous autant de stress ?

Morgan acquiesça à la demande de Victor. Il était des choses que l'on ne devait pas raté ou remettre et de plus cela allait dans le sens des récentes consignes de Morgan envers son apprenti.

Luddmila venait de faire son entrée, il la salua donc d'un signe de tête. La vie de la pseudo-toreador ne devait pas être simple. Une question brûlait les lèvres de Morgan mais la bienséance faisait qu'il ne la posait pas à la dame. Avait elle la maitrise de serpentis?... Il aurait été interessant de récupérer des éléments... Mais bon...

IL revint vers ses apprentis comme Victor le quittait.

- Luddmila. Content de vous voir ici. Les nouveaux venus sont toujours stressés à l'idée de se présenter au Prince. Même si il n'y a pas de raison.

Luddmila se leva à l'arrivée du primogène, faisant une légère révérence afin de saluer le primogène 

 monsieur De Lestrain...

puis elle se redressa complètement et lui sourit, se retournant vers la nouvelle venue dont il était question et la regarda ... rassurante, protectrice, laissant son regard sur elle


 comme je la comprend vous savez...

Et la sethite s'assit, croisant dans un geste lent ses longues jambes...son cellulaire vibra dans son sac... elle n'y porta pas attention


Vous savez demoiselle Elisa... on m'avait dit la même chose... de ne pas m'inquiéter...de ne suivre que la procédure... mais je me suis inquiétée! et lorsque je ne suis approchée et inclinée devant le grand Nicolai... j'ai hésitée... j'ai butée sur des mots, ce qui, croyez moi n'est pas à mon habitude... puis je me suis relevée et lorsqu'il m'en a donné la permission je suis sortie...il n'avait pas bronché et il n'avait pas rit ! et les harpies s'étaient montrée clémentes !

Le cellulaire vibra a nouveau...et il resta dans le sac

 Demoiselle Elisa... éprouver du stress pour une chose qui peu secrètement effrayer des êtres de 100 ...200 ans est tout à fait normal...

Luddmila se tourna vers la fenêtre et pointa là ou devait se trouver Orion

 Le grand chasseur et le taureau s’entremêlent encore à la hauteur du baudrier à ce temps ci de l'année sur Paris... au moment ou la porte de la salle du trône s'ouvrira... au moment ou vos yeux croiseront ceux du charmant Général Parménion... penser au chasseur... il vous partagera son courage et sa force... imaginez ses étoiles l'espace d'une seconde ou deux dans votre esprit et... tout sera plus facile ! je vous le promet...

elle replongea ses yeux dans ceux de la trémère et lui fit un tout petit, tres léger clin d'oeil en se penchant vers elle murmurant


 que ca se passe tres bien ou non... Parménion ne pourra vous en tenir rigueur... prenez cette expérience comme une école... tous doivent apprendre avant d'exceller non ?!?

puis elle se redressa

La jeune femme se présenta sous le nom de Luddmila et lui expliqua la raison de sa présence en ces lieux. Puis elle lui posa une question. Alors qu'Elisa allait répondre, elle vit approcher Morgan. Visiblement il avait terminé sa conversation avec Victor. Ce dernier répondit à la question de la jeune femme. La Trémère ne quittait pas des yeux son Sire écoutant avec une grande attention ce qu'il disait. Même s'il assurait qu'il n'y avait aucunes inquiétudes, l'infante n'avait jamais aimé ce genre de situation. Puis Luddmila reprit la parole et tenta de rassurer la jeune fille. Elisa lui sourit touché par cette attention.

Elle n'avait pas vraiment voulu paraitre aussi nerveuse, mais la demoiselle ne savait pas vraiment cacher ses émotions. Penser au chasseur et au taureau. Cela amusa la jeune vampire. Puis elle lui murmura quelque chose, lui conseillant de prendre cela comme une école. Tout ce qu'elle découvrait depuis la nuit dernière était nouveau pour elle. Elle se sentait comme un bébé qui venait de naitre et qui devait tout apprendre. La jeune infante regarda Luddmila avant de répondre :

"Merci mademoiselle Luddmila pour ces conseils."

Puis après lui avoir sourit, elle regarda Morgan et reprit :

"Père, c'est juste que j'ai l'impression de me retrouver comme lorsque je suis entrée au lycée et que j'attendais devant le bureau du proviseur. Je me sens aussi nerveuse que ce jour-là. Et puis... vous allez trouvez ça idiot, mais j'ai l'impression d'être redevenu un bébé qui doit tout apprendre."

Elisa se passa la main dans la nuque visiblement gênée d'avouer cela en baissant le regard. De plus,  il y avait autre chose qui travaillait la jeune fille. Mais cela elle n'en parlerait pas ici à son Sire, mais une fois qu'ils seraient retourner à la Chanterie. Malgré tout une question concernant Luddmila lui triturait l'esprit, mais elle ne savait pas si cela ce demandait le cla  d'un autre vampire. Sa curiosité fut plus forte que sa prudence et elle releva les yeux pour la poser à la jeune femme :

"Euh...mademoiselle Luddmila, vous appartenez à quel clan si c'est pas indiscret ?"

Puis la jeune infante regarda son Sire et Luddmila en espérant ne pas avoir fait d'erreur ou de bêtise. Elle ne connaissait rien encore des subtilités sociale vampirique.

La jeune femme semblait toujours aussi nerveuse... quoi que différemment peut être... et il n'y avait rien a craindre puisqu'elle était l'infante du primogène trémère tout ce passerait bien !
Elle sembla finalement un peu mieux puisque la curiosité prit le dessus...

Luddmila sourit à la question... regardant Morgan, elle haussa légèrement les épaules avant de se retourner vers Elisa

 Je suis de la famille sethite... que tu ne connais probablement pas !

elle rit... peut être serait elle surprise

 Mais ici dans cette cité je suis sous la tutelle du clan toréador !

Tout était si silencieux, si pesant. Ce silence légèrement troublé par les messes basses de Morgan et Victor devenait de plus en plus troublant, lourd, voir même poisseux. Les paroles de Victor semblaient avoir eu l'effet inverse sur Elisa. La jeune vampire stressait encore plus.

C'est à ce moment-là qu'une nouvelle personne fit son apparition dans la pièce. Une jolie femme, très élégante. Elle salua chaque personne présente d'un mouvement de tête et d'un sourire poli. Albin lui rendit doucement son salut en ponctuant doucement par un léger murmure.

-"Bonsoir."

La caïnite alla s'installer près de la fenêtre, regardant les étoiles en silence.

Elisa s'éloigna de ses frères. Elle semblait troublé et pensive. Le rouquin comprenait cela parfaitement. Elle avait sans doute besoin de se recentrer, de faire le vide et de changer un peu de la compagnie de ses frères aussi silencieux et pensifs.

Les deux femmes commencèrent à entamer une discussion. L'élégante inconnue se présenta comme  Luddmila. Le rouquin nota cette information quelque part dans un coin de sa mémoire.

Puis Victor pris congé, visiblement il recevait un appel important. Morgan se tournant vers les deux jeunes femmes, expliqua la raison de cette tension palpable.

Après avoir répondu à Morgan, Luddmila, se réinstalla au près d'Elisa, lui racontant une anecdote pour détendre l’atmosphère et enlever un peu de cette pression qu’accumulait Elisa au fil des minutes. Les conseils de l’élégante vampire eurent le mérite de calmer également le breton. Bien qu’il ne disait rien et restait en retrait à observer la scène.

Elisa expliqua son stress en le comparant avec la rencontre avec un proviseur de lycée. Albin sourit. Il comprenait bien cela. Lui-même faisait le parallèle avec sa soutenance de mémoire. Il avait les acquis, le savoir, il n’allait pas dire de bêtises, du moins pas sur le fond, mais sur la forme il avait plus de doutes. C’était toujours impressionnant comme situation. Mais  là, le Prince de Paris tout de même !  C’était autre chose qu’un jury, ou même que le Prince d’une petite ville comme Rennes…

Elisa demanda alors à Luddmila quel était son clan. La curiosité démangeait également le rouquin mais il n’avait pas osé poser la question. On pardonnait plus facilement à une toute jeune néonate, dont le Sire se trouvait dans la salle, qu’un jeune avec déjà quelques années d’existence dans les pattes. Albin sourit doucement, il attendait de voir la réaction de Luddmila et, surtout, sa réponse.

Quel ne fut pas sa surprise lorsqu’elle annonça qu’elle était Séthite. Albin ne put réprimer sa surprise et sa stupéfaction. Il était calme à peine cinq secondes avant cette révélation. Bras croisés sur son torse, le dos légèrement appuyé sur un mur. Maintenant ses bras étaient ballants le long de son corps, les yeux ronds et la bouche légèrement entre ouverte.

*Une Séthite ! Rien que ça ! Whoua ! Si je m’attendais à ça. Bon reprends toi l’ami tu as l’air d’un demeuré comme ça. Elle a fait preuve de politesse, fais-en autant !*

Il se reprit en secouant la tête. Cette femme venait de faire preuve d’une franchise sans pareil et il était impoli de réagir de la sorte. Il reprit simplement son attitude précédente en souriant doucement.

Que de révélations ce soir.

En voyant que les Trémères se dispatchent dans le salon, Sebastian décide de rejoindre le confort d'un fauteuil installé un peu plus loin.
Il est toujours préoccupé par cette histoire d'antédiluviens, mais il se concentre pour placer ça dans un coin de sa tête. Il reprend contenance et affiche un petit sourire satisfait comme pour dire "Je suis heureux d'être ici", puis se met à détailler les personnes présentes. Elisa est assise près d'une caïnite aux cheveux d'ébène, très belle. Les deux femmes discutent avec De Lestrain. Le silence régnant, il n'est pas difficile d'entendre leur conversation, qui a pour but de rassurer la nouvelle-née.

Victor est au téléphone et Albin accoudé à une fenêtre, occupé à observer le trio comme lui. Sebastian pense un instant se lever pour entamer une discussion avec le rouquin, mais se rétracte du fait de leur présence à l'Elyseum. De quoi pourraient-ils parler sans divulguer de secret Trémère ? Non...si c'est pour dire des banalités, ce n'est pas la peine.

*De ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont encore ceux qui se taisent...* relativise-t-il.

C'est alors que la femme en face d'Elisa dévoile son clan. Et quel clan ! Une Séthite. Le genre de vampire qui est encore moins toléré que le Sabbat...Elle affirme ensuite avoir été accepté en ville, sous tutelle Toré.

*Intriguant*

Comme bien des autres, s'imagine-t-il, il est intéressé par l'histoire d'une telle personne. Son intégration dans la Camarilla n'a pas dû être simple et elle doit avoir des choses à raconter. Il l'observe un moment, détaillant ses mimiques, découvrant son sourire, analysant son attitude. Elle parait agréable et sympathique, mais le jeune sorcier ne s'y fie pas. En Elyseum, tout n'est que paraître. Rares sont les caïnites qui restent naturels dans un tel lieu, et encore plus rares sont-ce les vampires à l'attitude bienveillante.

Il détourne alors le regard, le reportant sur la décoration de la pièce afin de chasser ces sombres pensées. Cette paranoïa que son sire lui a transmis malgré lui, contre laquelle il se bat quotidiennement mais qui refait toujours surface, envers et contre tout.


*Le clan. Toujours le clan en priorité, les autres doivent mériter ta confiance...* se rappelle-t-il les paroles de son père.

C'est alors qu'une autre personne pénètre dans la salle, un homme à la barbe de quelques jours. Il salue l'assemblée, puis vient lui aussi s'asseoir dans un fauteuil, à l'écart du blondin.

(les tuilleries)

Fey arriva au Louvre, demanda un état des lieux à la garde vérifia avec qui était le prince et demanda qui attendait dans le petit salon... fut surprise de tant de gens... elle espérait un louvre plus  tranquille... elle passa par les salles de bain, nettoyant au mieux le sang qui était sur elle... n'en restait que sur son jeans, quelques goutes et sur son hoodies en quantité minime... pas le temps de se changer, elle retournerait en chasse de toute façon ensuite... fallait les repérer avant le rituel afin de mieux les surveiller...

bon en fait de sénéchal on avait vue plus distinguée quand même... elle plaça ses cheveux un minimum... et entra... non elle avait pas besoin qu'on gueule son titre... ce n'était qu'un titre et n'avait pas de réel importance... ce qui l'était s'était les personnes et les idées non ?!?

Elle entra donc dans le petit salon et observa les gens présent...de la séthite de qui elle doutait à cause de son clan... à *ciel !* la totalité du clan trémère et... oh un représentant du clan ventrue... elle ne le connaissait pas !

Mesdames ... messieurs je vous souhaite une excellente soirée à tous... c'est un plaisir que de voir le petit salon aussi remplit.

Elel se dirigea ensuite vers Victor...

Monsieur ... sous souhaitiez me rencontrer... désolée pour la tenue... je surveillais la frontière...

Un garde s'avança dans la pièce. Saluant les occupants et rendant les hommages à la Sénéchale du royaume.

S'inclinant ensuite devant le primogène Tremere.


- Messire... Sa majesté vous attend.

Morgan salua la sénechale à son arrivée, poliment. Puis il fit un signe à Victor pour lui signifier qu'il pouvait y aller à sa guise.

Et enfin le garde annonça que leur tour était arrivé.


- Mes chers confrères, c'est à nous.

[direction la salle du trône]

Peu après son appel, Victor vit entrer un homme qui dégageait une certaine aura d'assurance, qui les salua tous avant de s'installer dans un fauteuil. Victor lui rendit son salut, le plus poliment possible, puis, pour patienter, attrapa les exemplaires des chroniques qu'il n'avait pas encore eu le temps de consulter.

Il commença leur lecture, mais s’arrêta soudainement, sa main se crispant sur l'exemplaire. Était-ce une farce ? Il relit plusieurs fois l'article incriminé, puis chercha dans d'autres de plus amples informations, n'en croyant pas ses yeux.

Un léger sentiment de malaise l'envahit, pourtant il n'arrivait pas à bien saisir pourquoi, n'osant s'avouer son faible. Mais il était trop tard de toute façon... Elle n'était plus. Il se tourna vers le mur, pour éviter de croiser les regards des autres caïnites présents, et en profita pour essuyer quelques choses qui humidifiait son œil... une trace sur son doigt, rouge. Il se concentra un instant, faisant comme s'il avait simplement changé de position pour une plus confortable, repassa son pouce pour essuyer discrètement et rapidement ces quelques larmes qu'il n'était pas parvenu à contrôler, mais ce rouge lui fit penser encore plus à elle... il la revit, quand elle était assise dans le vestibule de D'Arcy, sa belle chevelure, puis ses yeux magnifiques... certes elle ne lui avait jamais lancé autre chose qu'un regard méprisant, mais... quelle fougue dans ses yeux. Jamais elle ne saura ce qu'il avait éprouvé pour elle à ce premier instant...

...Victor se concentra sur autre chose, sur la raison de sa présence au Louvre, afin de reprendre une contenance.

A peine eut-il parvenu à le faire, que la Sénéchal fit son entrée, tel qu'elle le lui avait annoncé quelques minutes plus tôt. Ce fut toutefois le signe de Morgan ainsi que les paroles de la Sénéchal qui le firent réellement réagir, et Victor s'inclina devant elle avec un profond respect avant de saluer le départ de ses confrères vers le Prince. Il remarqua alors que la tenue de Fey était marquée de traces de sang, qu'il attribuait pour le coup à son travail à la frontière qu'elle avait évoqué.

Il était toutefois surpris que ce fut à la Sénéchal elle-même d'effectuer cette surveillance. Mais il était encore plus déstabilisé par le fait qu'elle ait choisi de venir en personne à sa rencontre, considérant qu'il s'agissait plutôt à lui de le faire.

"Madame la Sénéchal, je vous remercie de m'accorder cette entrevue. Pourrions-nous passer à votre bureau, ou bien tout autre lieu qui vous siérait ?" demanda-t-il poliment.

De l'entrée

Gatien, un peu embarrassé d'arriver en retard, croisa dans le couloir un garde, le Primogène Tremere et une jeune fille brune. Il les salua, et entra dans le petit salon.

Il y avait du monde, et il eut un grand sourire pour Lucien, qui se trouvait là.
Il salua respectueusement la nouvelle Sénéchale et Victor. Il lui aurait bien tendu la main, mais ce dernier était en conversation, aussi, il ne le dérangea pas.
Il y avait également un inconnu, ainsi que le rouquin qui était avec Victor la dernière fois. Il les salua aussi, avant de se diriger vers Luddmila.
Sa robe était jolie, mais pas aussi élégante que la Toréador l'aurait mérité. Un peu trop... heu... peu couvrante, peut-être.
Mettant de côté ses considérations vestimentaires pour le moins futiles, il s'inclina devant sa tutrice.

- " Bonsoir, mademoiselle.
Excusez-moi si je vous ai fait attendre."

Il n'était pas sûr d'être en retard, mais la moindre des choses était de s'en assurer.
Il lui sourit, car il était content qu'elle soit venue. Puis il se rappela qu'elle n'aimait pas les espaces confinés, et lui proposa :

- " Voulez-vous que nous devisions en marchant ? "

Le jardin des Tuileries était à deux pas, et il gagea qu'elle préfèrerait un jardin à la française, au décor, même charmant, du Louvre. De mémoire, il n'y avait pas de grilles qui les empêcherait d'aller y faire un tour.

Elle regarda Victor...surprise l'espace d'un instant... puis sourit... évidemment il ne voulait pas la voir que pour jaser du sens de l'Existence...elle rit doucement d'elle même...et fit un geste de tête affirmatif

 oui monsieur Kastler... avec plaisir !

puis elle se tourna vers la porte, marchant lentement vers le bureau


alors... outre cette problématique qui vous amène vers mon bureau en ce moment, vous vous portez bien ?...

elle papotait... il fallait briser cette ambiance que trop lourde... le stress pré bataille ? surement le clan trémère y avait une charge importante, certes ils devaient être pres, mais...pas aussi nerveux... a moins que ce fut pour les présentations à Parm ?!

Elle arreta dans le couloir et les regarda marcher...

 Monsieur Kastler... cette odeur de stress c'est... le rituel de demain ou la présentation ?!?ou un peu de A et un peu de B ?!?

Elle se remis à marcher vers le bureau

(bureau de fey)

Elle salut la jeune trémère quand celle ci quitta... et se leva en voyant Gatien entrer... elle lui sourit !

 vous n'avez pas a vous excuser Gatien ! vous n'etes pas en retard c'est moi qui suis en avance !

Elle répondit d'un signe de tete affirmatif à la proposition de Gatien

 avec joie...

Elle se pencha gracieusement, prit son sac et fit un détour dans le louvre pour prendre son manteau long et ses bottes... et rejoint Gatien


soyez le guide mon cher je vous suis

elle lui sourit

(départ vers... suivre gatien)

Le jeune Ventrue fut rassuré de l'affirmation de sa tutrice. Il ne l'avait pas faite attendre, c'était une bonne chose.

Elle eut la bonne idée de mettre des chaussures plus confortables avant d'aller marcher un peu. Contrairement à la légende sur la rapidité de changement vestimentaire des femmes, Gatien n'attendit pas longtemps.
A l'invite de son élégante accompagnatrice, il passa un peu devant, récupérant son écharpe auprès des gardes, histoire de prendre en compte la température extérieure. Il préféra laisser son blouson de moto sur place, pour une très bête question d'assortiment avec le manteau de Luddmila.

Vers le jardin des Tuileries

Victor sortit du petit salon à la suite de la Sénéchal, en direction de son bureau.

A peine eurent-ils quitté la pièce que Fey lui posa une question certes des plus communes, mais que l'on pose toutefois aux gens lorsqu'on souhaite leur faire montre d'intérêt. Cependant celle-ci eut pour effet de déstabiliser une seconde le Trémère. Avait-elle remarqué quelque chose dans son attitude qui puisse trahir son état d'esprit ?

L'hésitation provoquée fut courte, mais perceptible au vu du temps qu'il lui fallu pour simplement déclarer :

"Je vous remercie, je vais bien."

Mais il était visible dans l'intonation de sa voix au début de sa phrase que Victor avait quelque chose sur le cœur. Lui-même s'en rendant compte, il ajouta alors :

"Je viens juste d'apprendre une mauvaise nouvelle, qui me touche davantage que ce que je n'aurai pensé..." Il n'avait pas envie d'en parler, mais peut-être en avait-il besoin ?

Il se ressaisit cependant lorsque Fey lui posa une question plutôt humoristique, qui le mit naturellement dans un meilleur état d'esprit.

"Hum...." fit Victor faisant semblant de réfléchir à une question très importante, se frottant le menton entre son pouce et son index droit.

"Et bien, vraiment, si votre question est : qu'y a-t-il de plus stressant entre affronter un être multimillénaire à la puissance à la fois inégalée et inconnue, dans une bataille épique voire homérique où chacun devra mettre en jeu son existence, ou bien faire sa présentation devant le Prince Parménion lui-même ? ...

... Sans hésitation, faire sa présentation !" dit-il en souriant. "Ayons donc une petite pensée pour mes confrères, confrontés à ce terrible entretien."

Puis il entra dans le bureau de la Sénéchal, en souhaitant vraiment que tout se passe bien pour les nouveaux membres du clan.

Lucien offrait un petit clin d'oeil devant l'enthousiasme d'Alice.

" Original oui. Pratique aussi, car je passerai plus rapidement !"

Il écoutait ensuite la Malkavian qui s'égarait légèrement dans des pensées à voix haute mais ne commentait pas pour autant jusqu'au moment où elle lui posait quelques questions.

" Je suis au courant des choses que Mademoiselle de Sancy nous a transmises. Sûrement les mêmes que votre Primogène à partagés avec vous."

Un brin amusé il fixait la demoiselle.

" Je serais aussi utile qu'un boulet attaché à la cheville d'une personne tentant de nager donc je vais m'abstenir. Mais je ne compte pas me rouler les pouces en attendant que les autres affrontent cette menace là."

Il agitait ensuite la main comme pour chasser les propos de son interlocutrice.

" Allons allons, nous discutons et vous êtes inquiète. Il n'y a pas de mal à me poser quelques questions."