Les archives du Louvre

Toréador

[Oublie de préciser MP à Sly]

Toréador

"Rien, rien, rien et toujours rien !" Mélissange repoussa avec violence le clavier de l'ordinateur puis prit son bloc note et dessina le glyphe trouvé au pere Lachaise.

"Voilà le glyphe Hélène, il est peut etre référencé quelque part...Livres, murs, sol, ouevres d'art !" Elle s'était levé d'un bond pour rejoindre la goule.

"Savez vous où Raphael se terrait sur Paris ? Lui où les siens ?" Une ombre passa dans son regard avant qu'elle ne s'éffondre au sol, en tailleur, le visage entre ses mains.

Elle essaya de remettre en place ses idées, revoir ses recherches depuis le départ. Le code trouvé, le livre Feng Shui, les différents noms des protagonistes, le glyphe, les énigmes du pere lachaise...Bref tout, depuis le départ sans omettre le moindre détail, jusqu'aux mots de Raphaël. Elle devait trouver un moyen d'avancer dans ses recherches et en trouver la clée. Rien n'était à mettre de côté...

[Jet érudition afin de trouver la faille ou une étincelle de génie]

Le membre 'Mélissange' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 9, 10, 7, 3, 3

Toréador

Elle jetât un regard un peu étonner à la Toréador quant elle lui
montrât la glyphe. Elle pensait sérieusement que la son maitre ne la lui
avait pas montré ?

La goule secouât négativement la tête.

"Ce n'est pas le genre d'information qu"il a du faire connaitre de qui que ce soit..."

Ou pourrait elles trouvaient des informations ? Peut-être qu'une partie des archives tenu par le secrétaire du prince de l'époque avaient finit par être classer ici ? A moins que...

"Vous êtes certaine qu'il n'y a aucune autre bibliothèque ici ? Des livres dont l’existence est garder secrète, les archives des princes..."

Elle lui jetât un regard interrogateur, avant de balayer les murs du regard en fessant le tour de la sale. A tout hasard, il y avait peut-être certain livres légèrement mis à l'écart des autres par un moyen peu... commun ?

[Auspex]

Le membre 'Sly' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 9, 5, 1, 1, 10

Ventrue

[Arrivée du 3ième sous-sol]

La porte permettant de pénétrer les Archives grinca lorsqu'elle fût poussée. D'aucun ne s'était inquiété de déranger, ne prenant pas la peine de frapper avant d'entrer. La lumière du couloir perturba l'ambiance tamisée, à peine tâchée de points lumineux des lampes de bureau et des écrans d'ordinateur. Une ombre inquiétante s'étendit sur le sol au pas de la porte, courant jusqu'aux pieds de Mélissange, assise au sol, avachie. Son regard remonta les traits au sol. Cheveux courts, épaules carrées, bosses sous les aisselles, bras légèrement écartés le long du corps, une épée à la ceinture, campé fermement sur ses jambes. Le temps qu'elle analyse, la silhouette blanche, dont l'ombre noirâtre contrastait violemment, s'approchait déjà à grandes enjambées vers elle…

« Mesdemoiselles… »

Le ton était donné, c'était poli mais lourd, sans la moindre trace de badinerie. La paire de chaussures Joseph Fenestrier, s'arrêta à un mètre de la Rose.

« Mademoiselle de la Ruisselière, veuillez me suivre immédiatement, je vous prie. »

Enfin il prit la peine de porter son regard sur elle, ce qui eût pour conséquence de le faire s'accroupir juste à côté d'elle, et sa voix devenir bien plus inquiète.

« Bon Sang Mélissange, vous êtes dans un de ces états ! Dans quel pétrin vous êtes-vous fichue ? Sa Majesté est sérieusement remontée contre vous et vous semblez avoir traversé un incendie ! Je ne puis toutefois faire autrement, je dois vous emmener au troisième sous-sol, ordre de notre Reine. Prenez ma main, je vais vous aider à vous relever et à marcher… »

Il se redressa de toute sa hauteur, se plaçant du mieux qu'il pû au vu des blessures de la Rose, lui proposant son soutien pour la relever du sol et l'aider à marcher.

Toréador

La rose aurait eut envie de hurler sa frustration de ne pas trouver une réponse, pourtant elle devait être juste là, sous son nez. Elle sentait cette satanée réponse la narguer de toute son importance et visibilité, pourtant, elle ne la voyait pas !

Quelqu'un rentra dans la salle des archives, ce qui lui fit tourner son regard vide. Elle mit du temps à reconnaitre le gardien et en fut presque déçue. Alors que ses yeux croisaient l'épée, elle avait pensé sa délivrance venue. Un bourreau aurait été de meilleure augure.

"Non, pas un incendie, juste un gardien de sceau mécontent de son brusque réveil...J'ai vu pire." Elle haussa mollement des épaules, tenta un sourire amusé bien trop fatigué, rajusta le peu de tissus carbonisé qui ornait encore tristement ses chairs cendrées puis se releva lentement, refusant poliment l'aide proposée.

Si elle devait aller à l'échaffaud, elle irait la tête haute, n'ayant rien à se repprocher !

"Je voulais juste vérifier par moi même les pièges, ne pas me laisser berner cette fois ! Si seulement j'avais pensé à interdire l'acces au souterrain !"

Elle chercha du regard son sac avant de se souvenir qu'il était resté dans la salle du glyphe.

"Le troisième sous sol ? A quoi bon ? C'est ici ma place pour le moment ! Les réponses sont ici !" Elle fit mine de rechigner adorablement puis commença à rejoindre la porte d'entrée tout en boitant douloureusement, suivant d'Arcy.

"Hélène, il faut absolument trouver les archives cachées. La réponse y est ! J'ai cherché sans grand résultat jusqu'à présent, mais ce qu'on a voulu si astucieusement nous cacher, n'est pas loin. Je compte sur vous madame." Elle avait juste tourné la tête vers la goule, la gratifiant d'un clin d'oeil chaleureux malgré son coeur fendu de devoir quitter ses recherches pour perdre son temps à Dieu seul savait quoi.

Ventrue

« Pire vous dites ? »

Il éclata de rire.

« Mieux vaut entendre ça que d'être sourd ! Prenez donc mon bras plutôt que de jouer les héroïnes ! Après avoir transmis vos informations au Régent, vous avez rendez-vous avec Sa Majesté…je vous conseille de garder vos forces…l'entrevue ne sera probablement pas beaucoup plus agréable que le dit-Gardien…pas moi, l'autre ! »

Il sourit de toutes ses dents, tentant un trait d'humour pour alléger la gravité de la situation.

« Oh, avant que je n'oublie, je n'ai pas encore eu l'occasion de vous remercier de m'avoir prévenu de l'attaque…et je préfère le faire de face plutôt que via ces boitiers tout ce qu'il y'a d'impersonnel. Merci, donc, Mélissange. Par contre, vous me feriez très plaisir de cesser sur le champs de vous retrouver dans des états peu enviables dès que je dois avoir à faire à vous…si vous désirez à ce point devenir plus résistante à la douleur, je connais d'autres méthodes…et vous ne serez pas forcée de ruiner votre garde-robe »

Toréador

Mélissange se mit à rire de bon coeur.

"Si vous doutez de mes propos, c'est que vous ne connaissez pas mon sire..."

Rire qui mourut subitement à l'annonce de l'entretien avec la reine. Elle regarda ses bras noircis, dévisagea d'Arcy de la tête au pieds avec un air navré.

"Je ne saurais ruiner un costume aussi saillant et immaculé..."

Elle se redressa de toute sa fierté blessée puis avança de nouveau.

"Vous n'avez pas à me remercier..."

Avançant d'un pas, elle se figea puis tourna son regard ensanglanté vers le gardien.

"D'autres méthodes ? Comme finir embrochée par une lame ? " Elle se pinça les lèvres pour ne pas rire "Je ne puis vous promettre monsieur le gardien d'exhausser vos souhaits, ce serait vous mentir. Je pense que la reine m'a réservé un sort peu enviable, le sort de mes vêtements sera le dernier de mes soucis. Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir crié au loup lorsque Raphael m'a obtenu l'autorisation de fouiller..."

Dodelinant de la tête, elle sembla hésiter.

"Stanislas a été le seul à me préter une oreille attentive. Je l'ai trahit lui aussi...Foutue impatience !"

Ses lèvres frémirent, comme sur le point de se mettre à pleurer, elle serra les poings.

"Lui, ainsi que Rodrigue...Je voulais juste bien faire, ne mettre personne en danger, juste moi..." Elle se parlait à elle même, comme essayant de se convaincre que tout n'était qu'un cauchemar sur le point de se terminer, avant de passer le pas de la porte.

Ventrue

« Connaître votre Sire ou non ne change rien…il ne faudrait plus grand-chose pour que vous ne soyez plus de ce monde. »

Il la regardait, incrédule, qu'elle puisse encore être tant orgueilleuse vu l'état de délabrement avancé qu'elle affichait.

« Ce serait dommage de vous perdre…nous avons toujours une nuit à partager…et n'espérez pas vous débiner sous le prétexte fallacieux de votre destruction… »

Il décrocha un sourire sûr de lui, jusqu'à ce qu'elle refuse, cette fois, le bras qu'il lui proposait.

« Soit, mademoiselle de la Ruisselière, soit ! La prochaine fois je vous ramènerais un déambulateur, nul doute qu'il vous siéra à merveille, mieux que moi à vos côtés en tout cas semble-t-il ! Ainsi vous aurez l'esprit tranquille quant à ma garde-robe. »

S'il n'avait pas affiché un air faussement outré, nul doute que ses mots auraient fini d'achever les loques qui tenaient encore tant bien que mal sur ses frêles épaules.

« Je vais charger ma secrétaire de vous obtenir des vêtements de rechange. N'essayez même pas de vous présenter à Sa Majesté dans cet état…ou je me verrais contraint de vous achever moi-même…autant dire que le défi serait bien fade vu votre état ! »

Il en rajoutait…se moquait, certes gentiment, mais en n'hésitant pas à appuyer là où ça faisait mal…c'est à dire un peu partout vu son état.

« Ah ! Justement, en parlant de lame et d'impatience… »

Il ne sût retenir un rictus de douleur, se frottant l'abdomen là où sa lame avait transpercé la Rose quelques nuits auparavant… Ils quittèrent la salle des archives, s'engouffrant dans les couloirs menant au 3ième sous-sol…il s'adressa à elle à voix basse, sur le ton de la confidence, bien loin de la taquinerie qu'il arborait en la présence de la goule.

« J'ai bon espoir que vous puissiez apprendre à améliorer ces points, mais il faudra vous tenir à carreau, accepter de baisser pavillon et ne plus faire cavalier seul quand vous êtes face à des choses qui vous dépassent. Je puis, peut-être, avec un peu de votre coopération, trouver un moyen de redorer votre blason. Laissez-moi vous expliquer… »

Spoiler:

[Sortie vers le 3ième sous-sol]

Toréador

"Une nuit ? " Mélissange fit mine de chercher, penchant doucement la tête sur le coté. "Ah oui, il est vrai, j'avais oublié..." Elle lui sourit malicieusement puis s'excusa d'une mimique enfantine pour avoir refusé son aide.

"Je voulais juste épargner votre costume et vous éviter de finir aussi lamentablement que moi ! Plutôt que le déambulateur, préparez une urne, ce sera plus pratique." Elle tombait dans l'humour noir, mais comment ne pas devenir cynique dans ce genre de situation ? Si par miracle la reine l'épargnait, Merrit serait beaucoup moins clément.

La rose le regarda faire sa mimique et dû encore se pincer les lèvres pour ne pas rire. Un Ventrue avec le sens de l'humour et qui l'aidait à chasser quelque peu ses idées noire, ayant même réussi à lui faire oublier l'espace d'un instant ses recherches, elle ne put s'empêcher d'être suspicieuse.

Elle écouta ensuite attentivement sa demande puis glissa doucement son bras sous le sien, essayant tant bien que mal de ne pas trop essuyer la suie sur le blanc immaculé.

"Y auriez vous prie goût ?" Murmura t'elle avec étonnement avant de porter aux lèvres du ventru son poignet de porcelaine à peine touché par le feu. "Faites monsieur, j'espère que vous m'expliquerez par le suite."

Ventrue

« Une urne ? Ma foi, même s'il existe de belles pièces…vous êtes bien plus agréable à regarder, même présentement ! Restez donc sur pied voulez-vous ? »

Il accueillit son bras avec plaisir, lui souriant de manière avenante.

« Il faut bien avouer qu'une cuvée aussi rare que la votre, si vous me permettez l'expression, recèle moults saveurs et arômes que l'on ne trouve pas chez…notre nourriture habituelle…merci Mélissange, je savais pouvoir compter sur vous. »

Il fit jaillir ses crocs, prenant son poignet d'une main, plantant des dents délicatement dans le fin poignet de la Rose, s'y abreuvant sans s'y attarder, léchant ensuite la plaie. Il faisait des mimiques dignes d'un œnologue, faisant rouler le précieux liquide sur sa langue, Le manège dura une bonne minute. Il avait relâché la Rose, veillant à ce qu'elle ne soit pas victime d'un accès de faiblesse suite au baiser, vu son état, Il se tourna enfin vers elle, un léger sourire sur ses lèvres encore ensanglantées. Il se pencha, déposant délicatement ses lèvres sur celles de Rose. Le baiser devint rapidement intense, et cessa aussi vite qu'il avait commencé. Il passa sa langue sur ses lèvres pour les nettoyer des dernières gouttes qu'il n'avait pû rendre à sa propriétaire légitime…

« Merci de votre coopération, Mélissange, j'espère pouvoir vous annoncer une bonne nouvelle sous peu. Nous sommes arrivés. Je compte sur votre discrétion…et n'oubliez pas de passer par mon bureau pour vous changer avant d'aller voir Sa Majesté. »

[Sortie vers le bureau du Gardien pour d'Arcy]

Toréador

La rose frissona alors que les crocs se plantaient délicieusement dans sa chair manquant la faire vasciller. Quel idée d'accepter cette demande saugrenue, mais était elle seulement en position de le faire ? Il s'agissait du gardien et Merrit avait été si convainquant quand au respect de la hiérarchie.

Il sembla se délecter alors que la rose observait le manege du gardien, soulevant les sourcils devant sa manière de se délecter de sa vitae, comme attendant un verdict qui tarda à venir.

"Alors ?" La réponse vint sous la forme d'un baiser innatendu qui fit se figer la rose , ses yeux grandissant d'éffarement. A quoi jouait il ? Elle n'y répondit pas, se contentant de se réapproprier son sang.

"Je vous en prie...Bien entendu...Je le ferais...Merci..." Furent tout ce qu'elle réussit à murmurer, encore sous le coup des manières du ventrue.

[Sortie vers le 3em sous sol]

Toréador

La goule les laissât partir sans mot dire, fulminant contre l'idiot qui venait de mettre un terme à leur collaboration.

Comment était elle sensé trouver ce qui était caché depuis autant de siècle ?

Le sang des caïnites fessait de nombreux miracles, mais ou avaient il bien pu cacher ces informations ? Dans un livre ? Une pièce cacher ? Une armoire simplement dissimuler ?

Elle lui textât un message, l'avertissant qu'elle était à présent seul dans les archives puis concentrât de nouveau son sang, après ça, il faudrait que Rodrigue lui en redonne suffisamment pour reconstituer ses réserves...

[Auspex + Occulte]

Le membre 'Sly' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

#1 'Dés 10 faces' : 4, 9, 3, 5, 1

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#2 'Dés 10 faces' : 2, 10, 5, 1, 3

Toréador

[Entrée depuis salle du trone.]

La rose resta un moment debout à regarder les archives, enfin plutôt à les dévorer du regard comme pour les graver dans son esprit. Elle caressa quelques tomes, sourit tristement à Hélène puis se dirigea vers le bureau, ramassant les quelques affaires qu'elle avait laissé là.

Son téléphone norcit, un calepin et un stylo.

Qu'était elle censée faire maintenant ? Jouer à la cruche jusqu'à la fin de ses nuits ?

Elle ferma son regard à la salle, la décision était prise...Sortant le briquet gracieusement offert, elle en joua entre ses doigts fins... Bientôt.

[Sortie vers le bureau du gardien.]

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» à la sortie du Louvre !

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