Bureau du nouveau Primogène Ventrue [Ivan]

Ventrue

Oui ses défenses il en avait entendu parler. La Sénéchale les avait déjà évoquer lors d'une conversation qu'il avait eu avec elle.

"Mademoiselle Boniface n'est elle pas au fait de ces défenses ?"

La suite, la Gardien risquait de rapidement la comprendre. Si la Sénéchal savait pour les défenses, elle aurait transmit l'information au Prince. Voilà qui aurait évité au clan une erreur politique.

Avec un peu de chance, la chose serait trop subtil pour la majorité des Parisiens et le clan Toréador n'étant que l'ombre de lui-même ne relèverait pas la chose pour s'en servir contre eux. Contraint de compter avec des facteurs aléatoire pour connaitre tous les impactes de la rencontre des Roys et du Prince, quel déchéance.

Ventrue

* Comme si vous ne connaissiez pas la réponse, Primogène…touché. *

« Notre Sénéchale fait partie de la dite liste, bien évidement. »

* Coulé ? *

Sa machoire se crispa.

Ventrue

Crispement de mâchoire de la part de son interlocuteur. D'arcy avait déjà comprit où il venait en venir.

"En ce cas, pourquoi ne pas l'avoir laissait elle qui siège à la droite du prince l'avertir de la situation ?"

Avait il agit dans la précipitation ou par désir de se mettre en avant ? Ce point restait à déterminé, même si aucune des deux choses n'étaient excusables.

Le Primogène s'appuyât contre le dossier de son fauteuil, les coudes sur les accoudoirs, les doigts croisaient devant lui, le regard toujours river sur celui du nouveau née qui se tenait devant son bureau.

Ventrue

« J'espérais bien ne pas être celui qui l'avertirait, Primogène. Il est tout naturel que notre Sénéchale se soit chargée de cela avant moi. Je désirais simplement donner au plus vite à Son Altesse l'opportunité de régner pleinement. »

Il restait maintenant à espérer que cette minuscule brêche puisse contenter un minimum son interlocateur…

Ventrue

Trop jeune pour ses fonctions. Le clan devrait faire avec et espérer qu'il apprenne vite de ses erreurs.

"Apprenez à faire confiance à mademoiselle Boniface. Elle n'aurait pas oublié de transmettre l'information et il n'est pas impossible qu'elle ait eu l'idée de garder cette carte à abattre au bon moment de leurs conversation.

Vouloir vous attirez les bonne grâce du Prince est naturel, mais ne doit jamais passer avant les intérêts du clan monsieur d'Arcy."

Ventrue

* Lui faire confiance ? Mais il n'a RIEN compris ! Ça n'a rien à voir…mais il a tout de même raison pour le reste…je crois que c'est le bon moment pour fermer ton clapet Louis ! *

« Je…vous prie de croire que mon intention était tout le contraire de nuire à notre Famille, Primogène. »

D'Arcy avait hésité dans ses mots au début de sa phrase. Son corps mort lui, n'avait pas bougé, énoncant son erreur en regardant son supérieur, sans ciller.

Ventrue

Poursuivre cette conversation ou achever celle-ci ? Ils n'avaient pas de temps à perdre et il avait encore un sujet à aborder avant de libérer le gardien.

"Mettons cela sur le compte d'une erreur de jeunesse."

Son visage restât impassible, il aurait bien adresser un sourire au gardien pour l'humilier un peu plus, mais n'en fit rien. Il n'avait rien à y gagner.
"Un certain Edward Escado devrait arrivé à Paris d'ici peu de temps. Je compte sur vous pour lui faire bon accueil et me prévenir quant il arriverait au Louvre."

Inutile de s'épendre d'avantage sur l'identité de celui-ci pour le moment.

Ventrue

Le grognement qui résonna dans sa tête lui donna l'impression que ses viscères vibrèrent à l'unisson alors que l'écho du mot jeunesse retentissait encore dans son crâne. Il ferma son œil une seconde, se forçant à ravaler son orgueil, ses mains se crispant sur les accoudoirs du fauteuil.
L'évocation d'Estacado lui fît l'effet d'une douche froide après une soirée arrosée. On se sent minable, mais au moins les idées sont à peu près claires.

* Quelle poisse ! *

« Monsieur Estacado est dans ces murs, Primogène. C'est l'un des nouveaux arrivants que j'ai eu à accueillir ce soir, ce qui explique mon arrivée si tardive devant vous. N'ayez crainte, j'ai accueilli ce dernier aussi bien que possible. »

* À votre tour, Primogène… *

Ventrue

Déjà en ville donc ? Plus rapide qu'il ne l'avait espéré. Aucune importance, il offrirait ce que Escado était venu cherché. Les chose prenait une tournure étrange et il en trouverait bientôt les raisons.

Un sourire en coin apparut sur son visage.

"Bien,c'est une bonne chose."

Peut-être pas en faite, mais ça le gardien n'avait pas besoin de le savoir.
"J’espère pouvoir compter sur vous pour m'avertir dans les plus brefs délais la prochaine fois que l'un des notre fera son arriver. Je préfère les rencontrer avant que le Prince ne le fasse."

Entre autres raisons.

"Monsieur Estacado est-il toujours au Louvre ?"

Ventrue

« Je n'ai malheureusement pas pû aller à la rencontre de monsieur Estacado dès son arrivée au Louvre, étant déjà en entretien, mais je me suis fait un devoir d'accueillir aussi vite que possible notre Sang avec tout les honneurs qui lui sont dûs. »

* Comprenez-y ce que vous voudrez, Primogène… *

D'Arcy se risqua à un petit sourire rassurant.

« Je prends bonne note de votre demande, Primogène, et tâcherais de vous satisfaire autant que faire se peut. »

* C'est la soirée des questions-pièges… *

« Absolument, Primogène. Désirez-vous que j'aille m'enquérir de sa disponibilité et l'amène dans votre bureau ? »

Ventrue

La conversation prenait la tournure voulut, parfait.

"Il est tôt monsieur d'Arcy. Je ne voudrais pas devoir hâter ma conversation avec lui. Auriez-vous un moyen de le contacter ? Il serait plus simple que je fixe moi-même un rendez-vous avec lui."

Il fixât le gardien. Restait à espéré que celui-ci ai fait pleine usage de son pouvoir de gardien.

Ventrue

« Je comprends bien, Primogène. L'entretien que j'ai eu avec monsieur Estacado n'est certainement pas le plus anodin qu'il m'est été donné d'avoir. »

* Une bouteille à la mer… *

D'Arcy laissant planer un silence avant de répondre à la question du Primogène, lui laissant la possibilité d'embrayer s'il le désirait.

« Bien sûr Primogène, j'ai son numéro de téléphone. Que voici. »

D'Arcy sortit son téléphone de sa poche intérieure de veste, énoncant le numéro, avant de le ranger.

« Autre chose, Primogène ? »

Ventrue

Le Primogène griffonnât le numéro sur un calepin avant de répondre au gardien.

"Oui, que vouliez vous dire quant vous avez dit que votre rencontre avec monsieur Estacado ne fut pas la plus anodine que vous ayez eu ?"

Avec un peu de chance, il pourrait connaitre l'angle d'attaque du nouvel arrivant des maintenant. Les choses seraient parfaite si elle tournaient ainsi.

Ventrue

« Sans doute ma méconnaissance des us et coutumes italiennes qui m'a décontenancé je pense, Primogène. À moins que cela ne soit le caractère bien trempé du personnage…mais vous vous ferez votre propre opinion, sans aucun doute. Cela sera-t-il tout, Primogène ? »

* Vous allez mordre oui ? *

Ventrue

D'Arcy venait de mettre son orgueil de coté pour ne pas en dire plus sur son entrevu avec le nouvel arrivant ? Leur conversation avait du être fort intéressante.

"Il doit effectivement avoir un caractère hors norme. ce n'est pas n'importe qui après tous."

Il observât une dernière fois la réaction du Gardien, curieux de savoir ce qu'il savait sur cette homme.

"Je pense que nous en avons effectivement terminé, je ne voudrais pas vous empêchez de remplir les taches qui vous incombent."

Ventrue

* Enfin ! *

« C'est ce que j'ai crû comprendre, Primogène. »

* Comment vais-je lui demander ça, moi ? *

La bouche de d'Arcy s'ouvrit, sans qu'aucun son n'en sorte, puis se referma, tandis qu'Ivan finissait sa phrase. Avait-il failli l'interrompre et s'était ravisé pour ne pas froisser Ivan ? Le doute était permis.
Il s'inclina pour saluer Ivan.

« Merci pour vos précieux conseils, Primogène… »

Il commença à reculer, face à lui, direction la porte. Il se retourna, posant sa main gantée sur la poignée.

* Interpellez-moi…interpellez-moi, s'il vous plaît…merde, et MERDE !!!! *

D'Arcy se râcla un peu la gorge, se tournant à nouveau, pour attirer d'attention d'Ivan qui s'était replongé dans ses papiers.

« Pardonnez-moi Primogène…une dernière chose, si vous voulez bien…j'aurais quelque chose de délicat à vous demander… »

D'Arcy semblait livide, à se demander si ce n'était pas la poignée de la porte qui le tenait debout.

Ventrue

Le Primogène relevât les vers vers son cousin. Celui qui semblait pressé de partir ne l'était plus finalement et surtout semblait plus que mal à l'aise.

"Je vous écoute monsieur d'Arcy."

Ivan se calât à nouveau au fond de son fauteuil, attendant la question du Gardien.

Ventrue

* Ah…la délicieuse sensation de tendre le bâton pour se faire battre… *

« Je…monsieur Estacado désire voir chacun des membres du Clan en tête en tête. Il est actuellement avec monsieur Phœnix, et veut voir mademoiselle Boniface avant de vous rencontrer. Je sollicite votre aide pour lui laisser le plus de temps possible. Je crains qu'elle ne soit pas encore en état de subir une telle tension après ce qu'elle a vécut ces dernières nuits. »

* Fais tourner le barillet, appuie sur la gâchette… *

Ventrue

D'arcy lui demandé de l'aide pour protéger Lou d'une rencontre avec le nouveau venu ? Voilà qui était plutôt ironique.
"Ne sous estimez pas mademoiselle Boniface. Elle est seul juge de son état de faiblesse."

Il adressât un regard dur au gardien avant de poursuivre.
"Si cela peux vous rassurez, j'ai besoin de la voir avant la fin de la nuit et ceux pour une raison plus qu'importante. Je ne pense pas qu'ils aient le temps de se rencontrer cette nuit.

Sur ceux, je vous souhaite une bonne fin de nuit monsieur d'Arcy."

Ventrue

Heureusement que ses dents étaient d'une résistance hors-norme, sinon il aurait pû parier qu'il aurait fait sauter l'émail d'une bonne partie d'entre elles vu la tension qui s'exercait dans sa bouche.

* Le…le…c'est noté, Primogène… *

Il réussi à grand-peine à articuler les mots suivants, sa machoire bougeant à peine.

« Comme il vous plaira, Primogène. Bonne journée. »

Ses talons claquèrent, il s'inclina, fît demi-tour et quitta le bureau sans plus se retourner.

[Sortie vers le bureau du Gardien]

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

Tout droit sortie de la salle du trône, Lou se dirigea vers le bureau du primogène qui avait réclamé à la voir.
Alors qu'elle avait réussit à s'arracher à un stresse, il fallait qu'un autres pointe le bout de son nez.
Ce n'était décidément pas sa soirée, non en faite sa n'était simplement pas sa semaine.
Lou arrive devant la porte du bureau de Ivan,elle remet de l'ordre dans ses vêtement et refait son chignon avant de frapper trois coup sec à la porte.
Lou soupire lasse et attend la réponse

Ventrue

"Entrez !"

La voix raisonne dans le bureau, arrivant jusqu'au couloir légèrement étouffer par la porte.
Le Primogène relève la tête pour découvrir l'identité de son visiteur alors qu'il ouvrait la porte et se lève en reconnaissant la Sénéchal.

"Ho Sénéchal, vous avez pu vous libéré plus vite que je n'osais l'espéré."

Il lui adressât un sourire avant de lui désigner un fauteuil.

"Je vous en pris, installez-vous."

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

Elle s'avança pour prendre place dans le fauteuil, son portable vibrant de nouveau. Elle retint un soupire, visiblement lassé par cette vibration bientôt omniprésente. Elle figea un expression neutre et détachée à la lecture du SMS, puis rangea le téléphone dans sa poche.

"Le prince n'avait plus besoin de ma présence dans la Salle du Trône. Vous vouliez me voir ?"

Ventrue

Le primogène s’appuyât sur son bureau alors qu'il reprenait place dans son propre fauteuil.

"Effectivement. Il y a quelques sujets épineux que j'aimerais éclaircir et j’espère que vous pourrez m'y aidé."

Il marquât un pause, cherchant par quel sujet il allait pouvoir commencé.

"Si
vous le voulez bien, j'aimerais commencé par fixer le moment où nous
tendront le piège que nous avons mis au points. Certains de mes hommes
auront besoin d'un minimum de préparation avant d'entamer un combat."

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

Elle se laissa aller en arrière avec un petit soupire, comme si elle était vraiment lasse de sa nuit, puis reporta lentement son regard sur le primogène le visage neutre.

"Je dois rencontrer Luddmila demain pour lui donner les fausses infos"

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