Lou fronce cette fois les sourcil de méchante humeur alors qu'elle sort encore une fois son portable.

*Décidément, ils se donnent le mot se soir.*

Elle parcourt rapidement le message et pousse un nouveau soupire las, comprenant qu'elle n'y couperait pas même avec la meilleur volonté du monde. Elle range son cellulaire toujours un air maussade sur son délicat visage, puis reporte un regard vert et triste au primogène.

"Je me vois dans l'obligation de vous laisser primogène, il semblerait que notre invité réclame à me voir et au vu de qui il semble être je ne peux le laisser sans réponse."

Elle se relève doucement, remet de l'ordre dans ses vêtements et alors qu'elle commence à reculer vers la sortie demande :

"Autres chose primogène ?"

Elle laissant Ivan la rejoindre avant de poser la main sur la poignet de la porte et de se retourner pour lui répondre.

"Je ne laisserais pas Luddmila accéder à ses archives sans une personne de confiance pour nous rapporter exactement le résultat de ses recherche....... Je sais que vous lui faite confiance, mais il n'en va pas de même pour moi, j'en suis désolé."

Bien sur, elle n'était pas désolé, son regard aussi froid que vert, pouvait clairement l'exprimer. Elle eut un petit sourire amicale sous son masque.

"Prenez garde, primogène l'on pourrait croire que vous vous inquiétez pour moi."

Elle pose la main sur sa joue et la laisse un instant sur place.

"Vous ne devriez pas."

Elle retire sa main et ouvre la porte.

Direction le fumoir

Le Primogène adressât un sourire à Lou avant de refermer la porte derrière elle puis profitât du reste de la nuit pour envoyer des longues suite de messages et en recevoir quelques autres.

Jusqu'à un message imprévu qui réhussit à lui faire sérer les machoires et froncer les sourcils.

Composant rapidement le numéro, il appel le bureau de la Sénéchal qui n’était revenu et quitter le Louvre.

Attrapant sa veste, il sortit de son bureau, laissant claquer la porte et prit la direction du parking.
[sortit vers le fumoire]

[Arriver du refuge Ventrue]

Le primogène entrât dans son bureau, y déposant un exemplaire de chronique de l'ombre sur celui-ci avant de décrocher le téléphone, contactant son premier rendez-vous de la nuit tout en parcourant le journal de la harpie.

Le Primogène se calât au fond de fond fauteuil, les yeux pétillant d'amusement.

"Nous verront donc cela quant le clan sera réunit dans son ensemble. Je suis tous de même déçu d'apprendre que l'ephorat n'est toujours pas au fait de mes compétences après plusieurs siècles. Je pense que monsieur Gildven sera bien plus adapter que moi pour la tache que vous désirez me confié que moi-même."

Pathétique, ridiculement prévisible et pathétique. Comme tous les hommes qui s'apuyait autant sur leur statut, on pouvait deviné plusieurs nuits à l'avance ce qu'ils désiraient faire.

Seul le rôle qu'il projetait de lui attribuer était surprenant.

Il aurait pu éclater de rire temps cette conversation tournait comme il l'avait déjà deviné la veille. Si il en avait eu le temps, il aurait même pu la conter en avance à la Sénéchal.

"C'est probable, mais cela m'importe peu. Paris a bien plus besoin de personnes compétentes aux bonnes places que de quelques personnes voulant préservé leur statuts."

Posant les coudes sur les accoudoirs du fauteuil qui était encore le siens pour quelques instants, il continuât à fixer le licteur.

"Autre chose monsieur Estacado ?"

Une fois dans le couloir, il sortit son téléphone:

Spoiler:

Le raccrochant... Il composa un texto:

Spoiler:

Ensuite il reprit son téléphone et composa un autre numéro:

" Oui c'est moi... Plan A activé... Tenez-moi au courant..."

Direction le Fumoir