Bureau de la Sénéchale 20110217

Ventrue

[Arrivée du bureau du Gardien]

Il ouvrit la porte, fît signe à sa secrétaire de rester assise, puis l'amena à son bureau dans un silence religieux. Une fois la porte refermée. il s'arréta comme si son lacet était défait, se penchant.

« Laisse-toi faire. »

Il se releva, la prenant derrière les genoux et sous les épaules, la soulevant de terre avec douceur, l'amenant à son bureau, la déposant comme s'il s'agissait d'une jeune mariée. Il posa chacune de ses mains sur les accoudoirs du fauteuil, non sans avoir enlevé ses lunettes pour la regarder.

« Lou. Tu as pris énormément de risques cette nuit. Trop de risques. La prochaine fois que tu me fais un coup pareil… »

Son absence de réaction était pire qu'un poignard. Ses doigts se serrèrent sur les accoudoirs. Il se pencha, déposant un baiser sur son front, se redressa sans un mot, faisant demi-tour pour aller s'installer dans un siège face à elle. Il s'assit, immobile comme une statue, la regardant, silencieux.

Ventrue

Il avait déjà été capable de passer des nuits complètes, immobile, à ruminer, se contentant de descendre une bouteille de Cognac. Mais pas cette nuit. Pas face à elle. Il se leva sans un mot, faisant à nouveau le tour du bureau, s'agenouillant face à lou, posant ses mains sur les accoudoirs. S'approchant d'elle pour lui parler à voix basse.

« La nuit a été pourrie pour toi comme pour moi. Je suis navré, mais il n'y a pas de raison que je me sois sacrifié pour cette…chose et que je reste face à toi comme ça. Oh et puis merde ! »

Il se pencha, à la vitesse d'un escargot, l'œil rivé dans son regard, s'approchant sans cesse, jusqu'à ce que ses lèvres se posent sur les siennes dans un chaste baiser.

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

elle l'avait laissé faire, elle n'avait plus beaucoup de force de toute manière et faire montre de trop de fierté ne l'aiderait pas. Une fois à son bureau elle allume son ordinateur mécaniquement sans vraiment y penser. Puis elle sort son portable pour regarder l'heure et si elle avait un message, mais il n'y avait rien. Elle allait de remettre à ses dossier lorsque d'Arcy vint se mettre à genoux devant elle, l'obligeant à ne plus l'ignorer. Elle le laisse parler sans savoir s'il fallait vraiment répondre quelques choses et enfin quand il se penche pour l'embrasser elle ne montre aucune réaction, elle attend juste qu'il est finit et qu'il recule pour soupirer.

"Monsieur d'Arcy, je vous prierez de ne pas recommencer ceci, vous oubliez ou vous vous trouver et à qui vous vous adressez."

Elle avait eut son comptant de mâle jaloux et orgueilleux pour la nuit, elle désirait juste pouvoir terminer son travail avant la prochaine nuit. Elle ne pouvait pas laisser cette ville sombrer, plus maintenant que la reine était détrôné. Elle se détourne donc du gardien et commence à taper sur son ordinateur.

Ventrue

Il se redressa sans un mot, retournant s'asseoir avec un calme olympien, posant le fourreau et son épée, gênants, sur le bureau devant lui.

« Bien essayé. Mais tu n'arriveras pas à te débarasser de moi ainsi. Je serais avec toi 24/7 jusqu'à ce que tu retrouves santé et lucidité. Et même après. »

Il croisa les bras, se fixant sur elle.

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

Lou décroche un quart de seconde de son ordinateur pour lancer un regard surprise au gardien puis se replonge dans ses rapports, ceux que lui avait laissé monsieur Daragon avant de disparaitre. IL avait était bien renseigné, elle aurait eut besoin de lui à se moment la..... Elle pianote avec application lisant chacun des écrits qu'il lui avait laissé. Elle découvre avec stupeur qu'il avait prévue beaucoup de choses et même sa possible mort et la suite des évènements s'il venait à ne pas être la. A croire qu'il lui avait laissé un guide expert pour elle. D'ailleurs comment se faisait il qu'elle ne tombait sur sa que maintenant... Elle recule légèrement dans le fauteuil en retenant une grimace de douleur, elle avait mal partout et sela l'empêcher de bien se concentrer, par contre elle sembla oublier totalement d'Arcy.

Ventrue

Il resta immobile face à elle, décrochant un petit sourire quand elle daigna le regarder. Sourire qui disparut aussi vite qu'il apparut.
Il resta encore figé de longues minutes, avant de se pencher sur le bureau, prenant un stylo et une feuille, la noircissant, puis une seconde, sans émettre le moindre son. Il finit par plier les dites-feuilles, les glissant dans une enveloppe qu'il alla chercher en fouillant dans le bureau comme si Lou n'était pas là. Enveloppe qu'il cacheta, utilisant celui qui était à disposition. Il composa ensuite un message sur son téléphone, et s'absenta au plus dix secondes du bureau. Il se réinstalla, silencieux et immobile, face à elle, la fixant.

Brujah

[/color]Arrivé de là

Il avait passé la garde rapidement en demandant ou se trouvait la reine et Madame Guil, puis avait demandé ou se trouvait le gardien et il fut surprit d'apprendre que la sénéchal était déjà de retour.
C'était parfait, les deux personnes qu'ils voulait voir dans la même salle, il n'aurait pas à courir. Il traversa donc les couloirs rapidement pour rejoindre les bureau de mademoiselle Boniface et s'arrêta devant afin de frapper.

*Premièrement les défenses du Louvre, deuxièmement celle de la ville....... Pourvu qu'ils ai fait quelques choses de bon depuis son départ.*

Elle leva la main et frappa trois fois de manière audible.

Ventrue

La secrétaire de Lou invita le visiteur à entrer. À L'apparition d'Egareg elle se retrouva instantanément sur ses pieds.

« Je, euh…bonsoir, mademoiselle Boniface est dans son bureau… »

D'un pas rapide, elle se dirigea vers la porte du bureau de Lou, y frappant.
La main droite de d'Arcy se posa instinctivement sur la garde de son épée qui était posée devant lui, tandis qu'il se tournait pour regarder vers la porte. Deux secondes, interminables passèrent. Il se tourna vers Lou, rivée à l'écran de son ordinateur, l'air complètement absorbée par ce dernier. Il se tourna à nouveau vers la porte, donnant de la voix.

« Oui, entrez ! »

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

La voix du gardien semblait l'avoir tiré de son ordinateur, elle s'est retourné en atteignant l'écran de sa machine. Elle n'en veut pas à d'Arcy d'avoir répondu à sa place, voir sans lui elle n'aurait pas réagit. Elle se demande juste qui peux bien arriver à son bureau, mise à part les officier que d'Arcy avaient convoqué.... D'ailleurs comment allait il leur faire accepter que cela se passe dans son bureau et en sa présence ? Elle ne réfléchit plus à sa puisque lorsqu'elle vois qui se tiens derrière la porte, elle se relève rapidement sans pouvoir totalement étouffer un gémissement de douleur

"Votre Seigneurie..... "

Le son de sa voix n'est pas très ferme et légèrement chevrotante, mais elle arrive à esquisser une révérence correct.

Ventrue

Qui pouvait être ce type ? La voix étranglée par la douleur de Lou lui arracha un petit rictus en même temps qu'elle l'informait. Ce ne pouvait être que cet Egareg, Archonte de la Justicar Madame Guil. Il lâcha la garde de son épée, se redressa pour aussi vite se retrouver genou à terre.

« Votre Excellence… »

Trémère

[viens de la chantrie]

Doryan entra dans le vestibule flanqué d'Aziel, il se présenta poliment à la secrétaire avant de passer la porte du bureau expliquant qu'il était attendu. Il salua l'ensemble des personnes présentes, fronçant un peu les sourcils.
Il aurait voulu parler seul à seul avec Lou mais cela devrait surement attendre...

Fléau [Gangrel]

[Vient de la Chanterie.]

Il salua tout le monde sans un mot, un pas derrière le Régent, visage inexpressif.
Une attitude de garde du corps, ou de guerrier accompli selon ce que pouvait lire les initiés de ses mouvements. Difficile de croire ainsi qu'il était Tremére.

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

Elle n'avait pas bougé, d'un pouce, même en voyant le régent entrer dans son bureau, son regard se porte directement sur l'homme qui l'accompagne. Ses sourcil se fronce légèrement, mais aucune expression ne vient habiter se visage masqué. Lentement elle revient sur le régent le regard toujours vide, mais elle hoche la tête comme pour le remercier d'être venu. Enfin elle reporte son attention sur l'archonte qui se tenait devant elle.

"J'imagine que vous êtes venu demander un point sur l'état des défenses du Louvre ?
Nous sommes actuellement en train de nous en occuper, le gardien ici présent à déjà préparé la coterie de combat et le régent qui vient d'arriver va nous aider."

Son regard se pose sur le gardien afin qu'il poursuive le compte rendu et comme ses jambe ne la tienne plus elle se rassoit.

Brujah

Egareg, n'eut pas le temps de se présenter que déjà d'autres personnes entaient dans le bureau de la sénéchal. Il fronce les sourcil mécontent, mais ne dit rien, elle gérait les affaires du Louvre après tout et ce malgré ses blessure encore visible. Il ne restait plus qu'à savoir dans quel état se trouvait la ville elle même, mais il n'eut pas le temps de lui poser de question que son téléphone vibra, il le sortie pour y lire un message de sa supérieur. Finalement il n'aurait pas le temps de poser plus de questions, il était attendu ailleurs.

"Désolé Sénéchal, mais je dois m'absenter, je repasserais plus tard dans la nuit afin de faire un point détaillé avec vous."

Il se retourne sur les autres occupants de la pièce.

"Messieurs, à plus tard surement."

Egareg sort rapidement de la salle.

Ventrue

D'Arcy se releva, saluant le départ de l'Archonte.

« Votre Excellence… »

Puis se tourna vers les Tremere, affichant un sourire purement protocolaire. Deux d'un coup, rien que ça. Le ton de sa voix était grave, il n'était clairement pas là pour badiner.

« Messieurs le Fléau, Régent…prenez-donc un siège je vous prie. »

Il se rassit à la place qu'il occupait auparavant, face à la Sénéchale.

« Fléau, de part la gravité de la situation, vous êtes autorisé par mes soins, jusqu'à ordre contraire, à déambuler armé au sein de l'Elyseum. La Garde Carmine est déjà au fait. Sachez qu'il en est de même pour la Sénéchale, le Prévôt ainsi que pour les membres de la côterie de combat dirigée par messire Sollers, Primogène des Sages. »

Il marqua une petite pause, avant de se tourner vers Doryan.

« Régent. Il est grand temps que nous abordions en détail les protections que vous pourriez mettre en place afin d'aider à la défense de l'Elyseum. Que pouvez-vous apporter au Louvre ? Quels sont les avantages et inconvénients des dites-protections, et vos besoins en vue de leur potentielle mise en place ? Combien de temps vous faudrait-il pour qu'elles soient efficaces ? »

Trémère

Doryan s'inclina au passage de l'archonte avant de prendre place, jetant plusieurs coups d'oeils a la dérobée vers Lou, songeant que la situation s'etait quelque peu renversée depuis le début de la soirée.
Il regarda finalement D'Arcy poutre ondée a ses questions.

"Alors ce que je peut apporter au Louvre... Une protection efficace contre toute invasion non vampirique incluant démons, fantômes, et un peu plus tard fées, loup garous et mages. Je peut également faire en sorte que seules les personnes a qui vous l'autoriserez puisse user de leurs disciplines. Ceux qui contreviendront a cette règle ne seront pas tués, mais ils vomiront leur sang, n'en gardant pas plus qu'il n'en faut pour se trouver en état de soif et ne pourrons plus en ingérer la moindre goutte avant le soir suivant.
Ce que je compte faire est somme toute assez basique. Je vais user de rituels simples, mais renforcés de manière a couvrir l'ensemble du bâtiment. Ils seront reliés au node qui se trouve dans les sous sols, ce qui leur permettra de se maintenir sans mon intervention quotidienne.
Pour que quelqu'un ne soit pas affecté par le rituel il faudra qu'il verse son sang sur le glyphe auquel je rattacherais ma magie, je peut également prévoir un réceptacle pour des autorisations temporaires, mais cela me demandera un peu plus de temps."

Il marqua une pause, laissant les informations s'intégrer dans les esprits de ses interlocuteurs.

"Les inconvénients... Et bien c'est une arme a double tranchant, encas d'attaque les vampires non autorisés subiront les effets de l'enchantement en défendant le Louvre. De plus cela nécessite aussi que vous me fassiez confiance, totalement... Et il me faudra une quantité conséquente de calices, au moins une vingtaine même si plus me garantirait de meilleures chances de réussites. Et quand je dis calices, entendez sacrifices car ils seront utilisés comme composante a un moment ou a un autre, il est même peu probable que les corps restent.
Et pour ce qui est du temps, lorsque vous aurez rassemblés les calices nécessaire vous pourrez compter sur cette protection des le coucher de soleil suivant."

Il jeta un regard en coin a Aziel en se retenant de se mordre la lèvre. La présence de Lou lui ayant fait oublier la prudence....

Bourgmestres [Ventru]

[Depuis l'entrée du Louvre]

Sur les traces de la pétale, Gildven suivit les longs couloirs et monta
les escaliers du Louvre en quête du bureau de la sénéchal. Il n'y avait
pas à dire, l'Elyseum était un endroit de toute beauté. Gildven laissait
son regard se promener sur les fresques murales, les tableaux célèbres
et autres finesses du décor qui l'entourait. Arrivés en haut de
l'escalier, ils ne mirent pas longtemps à atteindre l'office du
sénéchal. Sans mot dire, la pétale fit volteface et s'en retourna d'un
pas rapide à son poste à l'entrée du Louvre. L'homme resta donc un
moment seul dans le couloir face au bureau de la Sénéchal.

Les raisons de sa venue en ces lieux étaient purement administratives. Il
était temps qu'en tant que membre du clan Ventrue, il se présente à la
Cour. La présentation était un acte solennel qui impliquait de faire
face au Prince ou à la Reine, mais en ces temps troublés, il pensait que
demander un entretien à la sénéchal et au gardien était la chose à
faire. Il savait que la sénéchal était une femme très occupée, surtout
en ce moment, ainsi il n'osait frapper. N'étant pas d'un naturel timide,
Gildven était toutefois impressionné par le faste et la solennité de
l'endroit.

Se rapprochant de la porte finement ouvragée, le
vampire décida qu'il ne risquait rien à frapper afin de signaler sa
présence. Si la sénéchal était occupé, elle n'y prêterait pas attention
et si elle ne l'était pas, elle saurait qu'il désirait une entrevue.
Après quelques secondes d'un silence pesant, le bruit sourd de ses coups
sur la porte se fit entendre dans le couloir du premier étage.

La ravissante secrétaire de la sénéchal regarda la porte quelques peut surprise, puis regarde l'agenda posé sur son bureau. La sénéchal n'avait pas de rendez vous se soir, elle se demandait donc qui pouvait venir. Elle se lève donc pour aller ouvrir la porte au nouvel arrivant avec un sourire poli sur le visage.

"Bonsoir monsieur, que puis je pour vous ?"

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

Elle écouta attentivement les paroles du régent sans paraitre le moins du monde dérangée par les regard de celui ci, en faite elle ne semblait même pas s'en apercevoir. Elle calculait déjà ou trouver les calices don ils auraient besoins tout en se posant plusieurs questions. Qui ferait se rituel ? Est ce que celui qui le ferait serait immunisé contre son propre rituel ? Pouvait on le désactiver en cas de besoin sans leur aide, ou fallait il forcément un trémère ? Elle envisageait déjà certains points de manière logique et froide, mais il allait lui falloir quelques réponses....

"Vingt calices, ce n'est pas facile à trouver régent, il va donc nous falloir l'aide de tout les clans pour vous les fournir............"

Elle continuait de réfléchit à toute allure.

"Pouvez vous faire en sorte que les nosfératu soit immunisé afin qu'il puisse nous épargner la vision de leur déformation ?
Et en cas de besoin pourrait on désactiver se rituel et dans quel condition."

une simple succession de question logique et froide débité sans aucune émotion alors que la sénéchal laissa échapper un mimique de douleur vite réprimé.

Bourgmestres [Ventru]

Gildven entendit des pas derrière la porte et quelques instants plus tard, une ravissante jeune femme lui ouvrait. Elle arborait un sourire courtois et semblait encline à l'écouter, si ce n'est à l'aiguiller. Le Ventrue aux cheveux blonds lui rendit donc son sourire, agréable convenance. Un rapide coup d'oeil à l'intérieur le renseigna. Il semblait s'agir là d'une antichambre du bureau de la sénéchal. Ainsi, celle qui lui avait ouvert quelques secondes plus tôt, devait être nulle autre que la secrétaire du sénéchal.

Après avoir réajuster le col de son manteau, encore une fois, le ventrue inclina légèrement la tête en signe de salut à son interlocutrice. La regardant dans les yeux sans toutefois être trop ostentatoire, il s'appliqua à lui expliquer les raisons de sa venue en ces lieux.

"Bonsoir, ma dame. Je vous prie de bien vouloir excuser mon intrusion en ce lieu, sans vous avoir annoncer auparavant ma venue. Ne pouvant pas me présenter à sa Majesté, en cette nuit, je pensais que le moindre de mes devoirs était de m'entretenir avec la Sénéchal, si toutefois celle-ci pouvait m'accorder quelques minutes de son temps, dont je ne peux ignorer l'inestimable valeur."

Ayant exposé la situation, Gildven attendit calmement la réponse de la secrétaire.

Fléau [Gangrel]

Impassible, le fléau avait simplement aquiésé de la tête aux paroles du gardien.
Il avait écouté les divers protagoniste, enregistré en analysé les diverses informations.

Il rendis son regard au Régent , de manière neutre.

Le seul moment ou il fronça les sourcils, mais sans pour autant prendre la parole, fut lorsque Lou demanda si les Nosfératu pourrait être immunisés au système.
Aziel préférait de loin supporter la laideur des Nosfératu que de les savoir capables d'user de leur disciplines quand d'autre ne le pouvait.

De plus quel genre de monstre raté et dégénéré préférait échapper à la laideur en y laissant fuir une part de sécurité?
C'était là un concept qui échappait totalement à la logique froide du Trémére.

Membre du Staff

Un sourire courtois et un salut de circonstance, la jeune secrétaire fit entrer le Ventrue dans l'antichambre.
Elle désigna un des fauteuil.

-"Tres bien monsieur, installez vous, la Sénéchale est actuellement en réunion, je vous prie de patienter, je vais de ce pas la prévenir de votre présence.
Puis-je avoir votre nom pour vous annoncer s'il vous plait?"

la jeune secrétaire avait un ton de voix agréable, tout comme son visage, elle se dirigea vers son bureau afin de prévenir la Sénéchale par interphone.

Bourgmestres [Ventru]

Aux paroles de la charmante secrétaire, Gildven la suivit d'un pas fluide dans l'antichambre. Cette pièce était magnifique, laissant présager un bureau encore plus éblouissant. Il ne mit pas longtemps à discerner les fauteuils finement ouvragés, probablement d'époque victorienne. Tant de faste et d'aussi bons goûts, il ne pouvait s'agir là que d'un bureau Ventrue. Une certaine admiration pour les qualités de la sénéchal naquit en lui, en cet instant précis.

S'installant sur le fauteuil désigné par la femme, l'attention de Gildven se reporta sur la secrétaire, qui avait maintenant retrouvé son bureau. De la voix calme et profonde qui était la sienne, il lui répondit alors. Une légère appréhension se terrait en lui, en prévision de la rencontre prochaine avec la sénéchal.

"Je me nomme Gildven, de la famille Phoenix. Je vous remercie, ma dame."

Trémère

Doryan fronça les sourcils devant la froideur de Lou, elle était bien plus affectée qu'il ne l'aurait cru.

"Je ne pense pas qu'il soit réellement difficile de trouver une vingtaine de rebuts de la société dont personne ne s'inquièterait de la disparition. Surtout pour votre clan...
pour ce qui concerne les nosfératu la réponse est non. Je n'ait pas la compétence nécessaire pour ce genre de... petits réglages. Ce sera tout ou rien, désolé.
Je peut intégrer une condition annulative dans le rituel, opérable bien entendu par un non-thaumaturge. Quelque chose d'assez simple pour être réalisé dans l'urgence mais restant difficile d'accès.. Oui, c'est largement faisable..."

Sénéchal [Nosfératu] (PNJ)

L'interphone de Lou s'allume et la voix de sa secrétaire raisonne pour lui annoncer l'arrivée d'un nouveau Ventrue dans la salle d'attente. De toute façon elle n'avait plus rien à apporter, le reste était du ressort du gardien, tranquillement elle se penche sur l'appareil pour répondre.

"Merci, dite lui que je vais le recevoir d'ici peut mademoiselle."

Elle se retourne vers les occupant de la pièce le regard toujours vide d'expression puis se relève la laborieusement épargnant autant que possible les grimaces de douleur aux personnes.

"Sur ce messieurs vous n'avez plus besoin de moi, je vais donc recevoir le nouvelle arrivant..... Je vous laisse le bureau."

Elle se dirige vers la porte.

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Bureau de la Sénéchale 20110217

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