Mélissange
Toréador
 |  Sujet: bureau de crise Lun 14 Jan - 12:40 | |
| [Entrée depuis bureau de la sénéchale.]
Mélissange pénétra dans le bureau sans vraiment s'attendre à des miracles, voir même avait elle imaginé un espace glauque avec meurtrière. Elle en rit sous cape puis déposa son sac sur le bureau, prêt de l'écran d'ordinateur. Elle observa les lieux avant de quitter aussitôt la pièce, n'en revenant qu'avec une énorme pile de journaux.
Il fallait trouver la trame qui soutiendrait le mensonge, quelque chose de solide qui mettrait des doutes dans les esprits les plus cartésiens. Car le doute serait la clée de la réussite. Réussir à ébranler les certitudes.
Prenant place, elle commença à compiler les journaux humains tout en laissant son esprit vagabonder vers les divers impostures de l'histoire servies par les politiques au fils des siècles.
Elle ne put s'empêcher de regarder son téléphone portable, regrettant de ne toujours pas avoir de nouvelle d'Isabelle. N'était ce pas à elle de lui donner des directives ?
Faisant mine de soupirer, elle replongea de nouveau dans sa lecture. |
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Mélissange
Toréador
| | Sujet: Re: bureau de crise Lun 14 Jan - 20:49 | |
| La lettre de Lou d'une main, les revues de presse de l'autre, un large sourire envahit le visage de Mélissange. - Citation :
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La nuit du mardi 15 au mercredi 16 , dix clients et salarier du Narcisse ont été tué dans une attaque à la roquette, les secourt malgré tous leurs efforts vous le savez n'ont retrouvé que deux survivants, mais cette nuit l'un d'entre eux à perdue la vie au service de soin intensif des grand brulés au CHU ARMAND TROUSSEAU... Le Dr GALL Olivier, Anesthésiste Réanimateur, affirme que tout les moyen on était mis en œuvre pour le sauver, mais que ses blessures étaient trop importante.
Il maintient également un diagnostique vital engagé pour l'autre survivant qui a subit de grave lésions à la tête due à un choc avec une poutre enflammé qui est tombé sur lui semble t'il. La victime est sous respirateur et sa famille refuse de s'exprimer temps la souffrance et la peur de la perdre les ronges.
A ce jour nous ignorons encore qui sont les responsable de ce massacre et personne ne l'a revendiqué en temps qu'attentat. La police travail sur cette affaire.
Sur les lieux de se tragique événement les offrandes et les marques de soutient s'accumule pour les victimes et leurs proches. Il ne reste du Narcisse ce bar à l'ambiance si chaleureuse que des gravas et des larmes... C'était tout simplement parfait et exactement ce qui lui fallait. Apres tout, elle ne ferait que relier un fait à un autre et à son avis sans grandement se tromper sur qui avait fait quoi...Elle commença alors à pianoter sur le clavier, plutôt inspirée. - Citation :
- " Deux jours seulement après l'attaque honteuse du Narcisse, il semblerait que le même groupuscule armé ait décidé de s'attaquer à un haut lieu du tourisme, un symbole historique, visant une fois de plus des civils.
Un véhicule, encore inconnu des forces de police, s'est posté devant l'entrée du musée avant d'ouvrir le feu sur les touristes et passants, parmi lesquel des membres de la sécurité du bâtiment. Plusieurs victimes sont à déplorées et plusieurs blessés dans un état critique ont été transportés vers différents centres d'urgence.
La police recherche activement les responsables de cette attaque et demande à tout témoin ou personne ayant des informations, des clichés ou vidéos de la scène de se rapprocher de la cellule d'urgence dont les numéros vous sont communiqués plus bas." Mélissange se relut à haute voix. C'était court mais justement, pourquoi vouloir en faire trop ? Si Lou voulait quelque chose qui colla à la vérité, là était le plus sûr des moyens. Maintenant peut être voulait elle quelque chose de beaucoup plus éloigné de la réalité ?Elle alla porter à la secrétaire son premier jet, attendant les critiques pour savoir si elle devait continuer dans cette voie, laissant quelques annotations dans les marges.Les membres de la sécurité du bâtiments : Cela permettra, si il le faut de justifier ceux qui se sont t relevés d'entre les morts. Un gilet pare balles, une poussée d'adrenaline, un medecin chef des urgences attestant de différents cas similaires de par le monde et le tour est joué. Il faudra donc trouver un médecin réputé. La cellule d'urgence : Faire venir à soit les témoins et les preuves plutot que de les chercher dans une botte de foin, cela serait plus pratique et peut être même auront nous des surprises sur ce que les gens ont réellement vu. Il faudra donc mettre en place un numéro, une adresse mail et/ou une adresse physique. Les journalistes : ils sont la clée. Peut être devrions nous promettre l'exclusivité à un ou deux d'entre eux pour avoir la main mise sur les informations et connaitre à l'avance leurs papiers à venir. Elle continua de chercher et fouiner sur le net à la recherche d'indices, de commentaires ou de nouvelles preuves qui leurs auraient échappés. [Recherche des commentaires, vidéos, photos compromettant la mascarade sur le net]Antoine Galivic |
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Mélissange
Toréador
| | Sujet: Re: bureau de crise Mer 16 Jan - 21:18 | |
| Mélissange continua de chercher sans vraiment trouver de nouveautés, toujours les mêmes images et les mêmes vidéos, rien de quoi changer sa version des faits.
Finissant par se rendre compte qu'elle pianotait nerveusement sur le bureau (l'ennui sans doute.), elle décida de quitter le bureau. Si Lou voulait la contacter, elle avait son numéro, la rose avait assez de Louvre pour cette nuit.
[Sortie vers fée verte] |
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Mélissange
Toréador
| | Sujet: Re: bureau de crise Ven 21 Juin - 19:07 | |
| [Arrivée depuis bureau primogene des roses]
Mélissang fulminait et claqua la porte derrière elle dans un geste rageur, ne cessant de souffler "Quel con ! Quel con ! Quel con !"
Elle prit place à son bureau, ne cessant de se demander ce qu'elle pouvait bien faire pour ne plus penser à ses lèvres sur son corps et ses mots incessant. Harmonie avait raison, il parlait trop et comble du comble, n'écoutait point que ce qu'il voulait !
Décidant de parer au plus urgent, elle contacta Ludmilla (MP) puis sortie les journaux de la veille et de la journée. Même si Lou n'était plus là, elle continuerait son travail, essayant de ne plus penser à son ami perdu sur un malentendu et qui n'avait à aucun moment écouté le moindre mot de ce qu'elle avit dit.
"Armand vous n'êtes qu'un idiot !" Continua t elle tout en lisant et pianotant sur le PC. Mais sans arret les paroles d'Armand lui revanient en même temps que le champagne...Même saveur aigre et amère.
Il voulait l'utiliser contre le bali ! Il allait la donner en pature au prince et lui suggérer de l'utiliser en appât. Elle douta que cela fonctionna mais préféra ne pas être le dindon de la farce...Grotesque farce menée par un idiot.
Se levant d'un bond, elle fila hors du Louvre, laissant son ordinateur portable et ne prenant que son sac.
[Sortie] |
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