Bureau de Pierre

Gangrel

[i]D'un pas rapide et toujours de mauvaise humeur, Thomas arrive devant lu bureau de l’archonte Gangrel et l'ouvre à la voler, pour un peu on aurait pu croire qu'il l'avait enfoncé et non ouverte via la poignet. Il repousse la porte d'un geste vif, la laissant claqué derrière luit et observe la pièce qui l'entour.

Des murs froids, sans décoration ou presque, juste quelques tableaux sans grandes valeurs, ou du moins au yeux de Thomas, un bureau vide ou presque, juste quelques pile de paperasse parfaitement rangé.
Il traverse la pièce marchand avec précaution sur le vieux tapi et s'installa sur la chaise du Primogène.

San trop savoir ce qu'il chercher, il commence à fouiller dans les dossiers posé sur le bureau, les feuilletant un à un avant de les reposer à l'emplacement exacte ou il les avait trouvé. Lettre personnel, rapports d'activités des goules, requête mineur de différents Gangrel... rien de bien intéressant. Peux être Pierre avait il emporté tous les dossiers qui aurait pu intéresser Thomas. A moins qu'il les est dissimulé.

Ouvrant le premier tiroir du bureau pour y découvrir un ramassis de chose diverses. Cartes, papiers, boussole, couteau... rien qui ne l’intéresse vraiment.
Il fourra la boussole et le poignard dans sa poche, au moins il aurait quelques chose à fournir au Giovanni.

Résigner à fouiller méticuleusement la pièce, il commence à vérifier chaque cachette possible. [i]

Gangrel

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'Dés 10 faces' : 7

Gangrel

Après vingt bonnes minutes de recherches, Thomas en vient vite à la conclusion suivante: Ou il n'y a rien, ou il est vraiment très mauvais pour ce qui est des investigations.
D'un pas las, il retourner légèrement dégouter vers la chaise, retrouver Pierre s'annoncer encore plus difficile que prévue. Ses pieds presque trainant viennent vite raccrocher un planche de parquet mal emboiter, manquant de provoquer un chute ridicule.
Après l'avoir rageusement "remise" à sa place d'un grand coup de pied et entendu le claquement évocateur d'une pièce en bois s’enclenchant dans une autre, il glisse temps bien que mal ses ongles dans l'interstice et la soulève.

"Ha... ba il avait bien laisser quelques chose le vieux Pierre."

Il passe un index sur l'imposant coffre d'acier et constate que malgré son emplacement, aucune poussière ne c'était installer sur la carlingue métallique.
Tirant sur la poignée, il découvre sans étonnement que la porte était verrouiller par un code. Doutant fortement de ses capacités à déduire le code, il saisi fermement la poignée et concentrant son sang, commence à essayer de forcer l'engin

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'Dés 10 faces' : 1, 9, 1, 6, 1

Gangrel

Le métal gémit à peine sous la traction exercer par le vampire.Résignait, il replace les planches dissimulant le coffre et se relève.
La nuit risquait d'être longue et il avait beaucoup de chose à faire, il vérifie rapidement que tout était en ordre et repart en prenant soin de bien refermé la porte derrière lui. Il y reviendrait d'ici peu, mais inutile de laisser les affaire du Primogène exposait à tous les Camaristes rodant dans les couloirs du louvre.

Contactant rapidement sa goule, il la rejoins pour récupérais les outils du "parfait du parfait cambrioleur": un solide piolet et un pied-de-biche. Serte, si Pierre reviens, il aurait du mal à lui expliqué pourquoi il avait sauvagement démoli son coffre fort, mais pour l'heure c'était un soucis relégable au second rang.

Revenant une bonne heure plus tard, il passe devant les goules vêtu d'un blouson de cuir lui évitant toute question indiscrète de leur part et retourne au bureau de son Primogène.

Si on lui avait dit que un jour il se retrouverait à faire ce genre de conneries au Louvre...

Il referme soigneusement la porte derrière lui et la verrouiller de l'intérieur avant de retourné vers le bureau pour vérifier par acquis de conscience que Pierre n'y avait pas laisser bêtement le code, et vérifia par la même occasion le vieux manteau accrocher à un porte manteau au quel il n'avait pas prêtait attention le première fois.

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Gangrel

Hrp:J'ai oublié de lancer le dé, désoler.

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'Dés 10 faces' : 5

Gangrel

Maintenant certain que le code ne se trouvais pas dans le bureau, il retourne à la cachette ou se trouver le coffre fort du Primogène et le regarde un moment avec hésitation, pas vraiment convaincu que ce qu'il s’apprêtait à faire soit une bonne idée. Après un bref regard en direction de la porte, il s'empare résolument du pied-de-biche et se prépare à forcer un coffre pour la première fois de sa vie, mais comme il parait qu'il y a un début à tous et que le bureaux son insonorisé...

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'Dés 10 faces' : 9, 3, 5, 2, 2, 2, 8, 6

Gangrel

Le pied de biche ripe de la fente ou il avait été placer dans un désagréable bruit de frottement métallique et manque de finir dans le visage de son utilisateur. Passablement énerver par ce désastreux échec, Thomas plante proprement l'objet dans la fente du coffre , pose un pied sur le rebord du coffre et force à nouveaux en espèrent que la porte céderait avant son pied-de-biche.

"Si je réussi, je faite ça en me dégotant deux jolies calices !

Spoiler:

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'Dés 10 faces' : 1, 7, 6, 10, 5, 5, 2, 8

Encore une fois, la porte refusa de céder, contrairement au pied de biche. Avec tant de force mit à faire s'ouvrir cette porte, Thomas se retrouva face contre le mur, y laissa sa marque...

Gangrel

Énerver, il balance ce qui reste du pied-de-biche sort son piolet. Après avoir ruiné le mur du bureau, il pouvait bien ruiné le coffre, il n'était plus à ça prêt !

Saisissant fermement le coffre d'une main et le piolet de l'autre, il lève son outil de fortune et l'abat violemment contre le flanc du coffre.

Spoiler:

Gangrel

Hrp: Et je re oubliais les dés !

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'Dés 10 faces' : 2, 6, 10, 2, 1, 4, 7, 8

Gangrel

La tentative se solde par un échec retentissant, le choc du piolet sur le coffre fort na eu pour effet que de fissuré l'outil de Thomas et d'émettre un notre grave. Au moins il "tait sur d'une chose à présent, le bureau état bien insonorisé, dans le cas contraire l'archonte serait sans doute en train de lui fracasser le crane sur le coffre !

Sentant la tension monté en lui et sa bête menacer de se réveiller, il lâche son piolet et retourne reprend la recherche du code histoire de se calmer un peu le nerfs.

Même pas fichu d'ouvrir un coffre...

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'Dés 10 faces' : 10

Les goules étaient a faire leurs diverses tâches, sécurité, ménage... quand elles entendirent des bruits étranges venant de l'un des bureaux, elles communiquèrent entre elles et la sécurité fut avertie et dépêcha des hommes pour vérifier que tout allait bien dans... le bureau du primogène Gangrel.

La dizaine de goules se présenta au bureau, frappa a la porte

Monsieur ?? Pierre ? nous entrons ?

L'un d'entre eux ouvrir la porte pour apercevoir pas Pierre jouant avec le coffre. Ils avaient déjà vue cet homme avant dans le Louvre et ne surent pas trop comment réagir Certains pointant le gangrel avec leur arme a feu, d'autres reculant.

Le responsable du groupe, recula et vérifia le gangrel avait le droit de fouiller les lieux, mais de là a brutaliser le coffre...

Gangrel

Il observe un moment les goules qui braque leurs armes sur lui, puis reporte son attention aux pile de papiers comme-ci les flingues pointer sur lui n'avaient été que de vulgaire pistolet à eau non bénite.

A moins que vous n'ayez l'intention de déranger l'archonte pour lui signaler une chose qu'il sait déjà, vous feriez mieux de retourner à vos occupations avant que tous les vampires présents ne viennent à leur tour, mais bien sur si vous préférez attendre de savoir ce qu'en dit Egareg oublier ce que je viens de dire, il sera sans doute très heureux que vous lui offriez une distraction en plein milieu de son travail.

Il relève la tête vers les goules observant leur réaction. Si jamais Egareg venait, il n'en mènerait pas large.

Et baisser moi ces fichu jouer ! Si j'avais eu l'intention de partir ou de m'en prendre à vous ce serrez déjà fait et ce n'est certainement pas ça qui peux vous protéger contre un des miens.

Tombant enfin sur un papier griffonner d'une série de chiffres, il se retourne vers le coffre pour l'ouvrir. Dommage pour lui que les numéros en soit en faite le montant d'une facture quelconque.
Se retournant vers les goules exaspérer tant par son échec que par le manque de réaction de celle-ci il s'adresse à elle en élevant légèrement la voix de façon involontaire.

Bon ?! Vous avez l'intention de me regarder chercher comme ça longtemps ? Ou vous aller chercher votre maître, ou vous m'aidez ou vous dégagez c'est pas plus compliquer !

Mais qu'est ce qui se passe ici ?

Sous la voie de cette femme, les armes baissèrent et les hommes se tassèrent... Elle observa le bureau, il était dans un état déplorable. Une fraction de seconde cette goule là sembla découragée. Elle se tourna vers les gars de la sécurité

Il a le droit d'être ici et de fouiller le bureau, partez!

ils s'exécutèrent, pour quel raison ??? mais ils partirent. Elle referma la porte se tourna vers le gangrel

Monsieur, je on m'appele Catherine, j'étais a Pierre, enfin je m'occupais de lui quand il était ici et j'entretiens ce bureau. Si je puis vous êtes utile...

Gangrel

Il jette un regard dépité au décorations qu'il avait fait subir au bureau, puis reporte son attention sur la goule.

Catherine ? Enchanté, moi c'est Thomas, mais je suppose que vous le savez déjà.

Il range les quelques documents qu'il avait sortie et se lève.

Peux être pourriez vous effectivement m'être utile. Je suppose que Pierre ne vous à rien dit au sujet de son départ ?

Elle secoua la tête en signe de négation

Monsieur, mon maître a quitté il y a un temps déjà emportant avec lui que très peu de chose, me confiant ce bureau et les paperasses habituels pendant son absence. Ce n'est pas la première fois qu'il quitte Paris pendant quelques semaines, mais je ne sais aucunement ou il est allé. Pardonnez moi !

Gangrel

Pourquoi les goules avaient elles la fâcheuse habitude de s’excusaient en toute circonstance ? C'était presque agaçant à force.

Malheureusement, cette fois-ci son départ pose quelques problèmes,la période n'est pas la mieux choisi et c'est à moi qu'on a demander de le retrouver.
J'avais pensé trouver un début de piste dans son coffre, quelques chose qu'il aurait laissé, mais je me retrouve dans l'incapacité de l'ouvrir.

*de le retrouver !?!?* Catherine parue inquiète, pourquoi cet homme devait-il retrouver son maître. Il est vrai que Pierre était étrange avant son départ cette fois-ci, il avait même prit la peine de ranger le bureau, mais de là a ce qu’il y a une nécessité de le retrouver. Elle se dirigea vers le coffre

Si vous me permettez ?!?

Elle se pencha et entra la combinaison, le coffre s’ouvrit, révélant… un vieux bouquin, un calepin, un collier et de l’argent…

Tout y est … Je vais rester avec vous si vous le souhaiter de cette manière, si vous avez des questions…

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