Petit salon: 23/02/20011

*Deux nuits, deux Brujah qui la menacent de mort. Cette fois-ci elle n'y était pour rien. Rozen avait l'habitude qu'on lui promette une mort finale imminente, par exemple avant son départ pour Berlin elle avait "malencontreusement" confondu un Giovanni avec une goule. Sauf que cette fois elle ne comprenais pas trop. certes les Brujah retiennent difficilement la bête, mais il faut tout de même plus qu'un prénom comme raison.
Dire à Rozenmilna de ne pas faire une chose, surtout quand elle peut prendre ça comme un défi, c'est-à-dire un jeu stupide, c'est le meilleur moyen que justement, elle le fasse.
Pourtant c'est la partie "Je suis claire ?" qui enfonça le clou.*

Pardon ?

*Non non non non... C'était la nuit de la commémoration de Lou. Ne pas foutre le souk en Elysée. Fey depuis son arrivé au petit salon semblais revenir d'une Rave de 48 heures. Elle n'était surement pas dans son état normal. De plus Dimitri allez surement devoir gérer la situation alors elle n'aller pas en rajouter.
La ventrue se contenta d'aller au devant des gardes qui aller être attirer par le bruit du mobilier fracassai, pour leur signaler que ce n'était rien de grave.
Elle croisa un vampire qu'elle ne connaissais pas s'en suit un salut amical*

Balthazar prenait congé et Dimitri répondait d'un léger signe de tête.

" Reste sur tes gardes et n'hésite pas à me contacter au besoin "

C'était bref mais Dimitri n'aimait pas en faire trop, surtout quand il était évident que les deux avaient autre chose en tête vu leurs attitudes respectives. Et tout à coup Fey venait les menacer de mort ultime en plein Elysée après avoir fait voler une chaise. Son regard d'habitude si bienveillant devenait plus duret il avançait d'un pas vers elle en se redressant de manière à lui faire face. Cette manoeuvre avait pour but de lui faire comprendre qu'il n'était pas intimidé mais aussi de subtilement se placer entre elle et Rozenmilna.

" J'aimerais que tu m'expliques ce qu'il te passe par la tête. De telles menaces dans un Elysée pourraient te coûter très cher. Je m'arrangerais avec mademoiselle de Sancy pour que cette affaire ne sorte pas des murs du petit salon mais je ne compte pas abuser davantage de sa «générosité» en lui demandant de vous assister, malgré sa proposition, après de tels propos."

Il marquait une courte pause et l'attitude de Rozenminla le confortait dans son choix de ne pas faire plus de vague. Le message était passé à Fey, inutile d'en faire plus, après tout elle n'était pas dans son état normal. Quand il reprenait, c'était d'un ton plus chaleureux.

" Tu devrais le rejoindre Fey. Je ne me mêlerais pas de vos histoires plus que ça mais ça me semble préférable. Tu risquerais d'avoir des propos ou des gestes que tu regretterais, où regrette déjà, influencée par la colère que cette situation provoque chez toi."

Un nouvel arrivant passait les portes à ce moment-là et c'était d'un hochement de la tête poli et sobre qu'il répondait à son salut étant déjà en affaires avec la brujah avec laquelle il restait très attentif vu son état bien qu'il espérait avoir influencé son apaisement en ayant réagi avec calme à cette situation.

Brujah

Elle était a se tourner vers la femme pour lui dire de se fermer sa grand gueule quand Dimitri fit quelques pas vers elle, elle fit de même... l'écoutant, rageant pour qui il se prenait... nouveau en ville, nouveau primogène... et il se permettait de lui faire la morale...de se moquer d'elle...

Je ne vous dois aucune explication et encore moins ici et elle fera ce qu'elle veut... si le mot était pour moi ca sera la troisième fois... peut être la bonne ! si c'est Balthazar je ferais ce que je peux pour sauver un frère...

il continua de parler, elle n'écoutait plus... elle se rendait bien compte de ce qui se passait ce soir, elle aurait du suivre son instinct hier et s'attacher quelque part... chez elle ... pourquoi ceux qui auraient pu l'aider n'étaient plus là ?

Je peux disposer ou tu veux encore tenter d'être impressionnant ?

Fléau [Gangrel]

Des trucs pétés, des machin qui volent, des engueulades... Ha ! Mieux, des menaces de morts ! Mais c'est vivant ici ! Vivant et charmant ! MAIS OUI ! Ca lui rappel quelque chose , des menaces de morts, des injonctions comportementale... Ha bas en faite Julien avait raison ! L'endroit le plus dangereux de la ville... C'est pas le quartier Sabbatique, pas même le quartier Gangrel ou Brujah, non, du tout ! Loin de là !

C'est le Louvre ! Faut quand même le faire pour que l'endroit le plus violent de Paris sois le Louvre !?

Du coup... Julien se redresse, s'ouvrant les écoutilles, des pieds il recule son fauteuil bien contre le mur, si jamais quelqu'un vient faire le mariole avec lui, cette fois il se fera déchiqueter comme un bébé ! C'est que ça suffit maintenant, hein ? HO ! Merde alors !

Dimitri soupirait devant une telle incohérence. C'est d'un ton sec qu'il finissait par répondre après avoir réfléchi quelques instants.

" Tu devrais y aller oui, avant de continuer à dire n'importe et faire n'importe quoi. Car quand tu menaces de mort et l'instant suivant dit subir une tentative d'intimidation inexistante c'est qu'il y a un réel souci oui, surtout que je pensais t'avoir montré que je n'étais pas ce genre de personne la nuit de la Rant. Je n'ai pas l'habitude de côtoyer des brujah qui aime se donner en spectacle en s'énervant sans aucune raison et incapable de gérer leurs émotions. La prochaine fois, évite de me contacter une nuit où tu vas mal et arriver ensuite comme une espèce de sous «racaille» qui vocifère.

Quand il eut terminé, c'est vers Rozen qu'il se tournait et s'inclinait pour s'excuser d'une telle farce. Puis c'est vers Julien qu'il se tournait ensuite et il s'inclinait humblement devant ce dernier, prenant sur lui les mots et actions de sa soeur.

" Veuillez m'excuser ainsi que le clan Brujah pour ce «spectacle». L'Elysée est et devrait par-dessus tout être un lieu de sérénité et de paix pour nous tous, je comprendrais si vous souhaitez vous plaindre auprès du Prince, étant donné qu'il n'y a plus de gardien actuellement "

Nul doute que si le gardien était toujours présent, les choses se seraient sûrement déroulées d'une manière plus radicale pour Fey et Dimitri était soulagé que ce ne soit pas le cas.

Fléau [Gangrel]

"Je n'en ferai rien, j'ai bus bien pire de la part de Ventrues pour m'offusquer du sang chaud des Brujahs."

Plus de gardien ?
Une merveilleuse chanson, un hymne à la joie, un bonheur intense vint dans la tête de Julien : IL A ÉTÉ VIRÉ!
Alléluia mes frères ! Enfin ! Enfin la justice s'abat sur une enflure, les choses arrivent de nouveaux à rentrer dans l'ordre. Un sourire ayant tout juste du mal à ne pas se transformer en rire pus se voir, de la joie, du bonheur, un inconditionnel sentiment de soulagement et d'euphorie... Rarement Julien ne fut si heureux !

Brujah

Elle observa l'attitude de son primogène, ses mains gagnèrent ses cuisses alors qu'il se tournait vers les autres, le pantalon déjà déchiré du grattage de la veille lui permis d'aller directement à la chair qui se rompit en moins de deux... il avait raison, une partie d'elle le savait, l'autre ne voulait l'admettre le conflit commençait dans sa tête, le sang commençait à se répandre sur le vêtement de Fey, sa tête à lui faire mal... elle resta figée quelques secondes jusqu'à ce que la douleur des chairs de ses cuisses vienne lui permettre de surpasser le mal de tête qui a paralysait

sans dire un mot, elle se tourna... pourquoi Alex ou Fleur n'était pas là...elle savait que c'était une nuit ou les conneries et les colères seraient nombreuses. Elle se rappelait de ce côté enfouit loin...

ce soir elle devrait trouver une solution qui soit simple et qu'elle puisse gérer seule à ce reste de caractère à la con de son enfance...

il voulait du spectacle le gros con... elle laissa un bout de sa chair sur le sol avant de quitter

(vers je sais pas ou encore...)

*Rozen se tourna à temps pour voir Fey se mutiler. Elle devait avoir de sérieux problèmes mentaux. Elle aurait aimé demander au garde de la retenir, pour son bien, mais ce n’était pas ses affaires. Dans une situation normale, la ventrue se serait amusé à faire un esclandre cataclysmique, seulement c’était une nuit de deuil pour le Prince. Elle s’écarta en soupirant, laissant la furie partir.*

Dimitri… Auriez-vous le numéro de Balthazar ? Je ne veux pas m’en mêler plus que ça, mais il faut le mettre au courant, qu’au moins il la surveille qu’elle ne fasse pas de bêtise. Dans un sens, il semble avoir déclencher ce... cet état chez elle.

Bien… je vais me rendre à la commémoration maintenant…

Dimitri regardait Fey partir après avoir hésité un instant à la retenir mais ça lui semblait inutile vu l'état mental qu'elle affichait. Il hochait ensuite la tête pour répondre affirmativement à la question de Rozenmilna tout en sortant son téléphone de sa poche.

" Je vais le faire tout de suite, vous avez raison. Mais vu la situation je pense qu'il vaut mieux que ce soit moi qui le prévienne."

Il se tournait légèrement vers Julien.

" Merci pour votre compréhension. Je suis Dimitri Romanoff, primogène du clan Brujah. Mais appellez-moi simplement Dimitri "

Le ton était accueillant, comme pour le mettre à l'aise. Que le mot «primogène» ne devienne pas une barrière entre eux. Une fois présenté il reportait son attention sur la Ventru tout en écrivant un SMS.

" Je vais vous accompagner si vous n'y voyez pas d'inconvénients."

Spoiler:

Fléau [Gangrel]

Julien n'était absolument pas impressionné, il avait ignoré son propre primogène, méprisé un autre... Ce n'est pas pour être impressionné par le troisième. Et puis encore un primogène qui change et qui au final n'est pas là depuis longtemps, c'est à prendre le paris de savoir combien il lui reste de nuit avant de se faire gicler comme les autres.

"Comme vous voudrez Dimitri, dites moi, de quelle commémoration parlez vous ?"

Julien est cordiale, mais méfiant, il sait que les possesseurs de pouvoir prennent vite la mouche, autant faire attention...

Dimitri jetait une oeillade vers Rozenmilna quand Julien posait la question.Il n'y avait pas de malice dans cet acte, il s'assurait juste de la réaction de cette dernière avant de répondre.

"Un hommage pour la sénéchale que nous n'avons pû secourir la nuit dernière et à qui nos ennemis ont donné la mort ultime."

Il ne pouvait pas résumer plus simplement la situation. Il hochait légèrement la tête à l'intention du Gangrel avant de reprendre.

" Le prince a dû préparer la salle prévue pour les évènements importants. Toute personne voulant s'y rendre y sera la bienvenue je pense."

Fléau [Gangrel]

Julien jubilait tout simplement, il exultait, l'un viré, l'autre décédée, encore une toute petite chose à régler et la soirée deviendrait parfaite. Il semble qu'ils tombent en disgrâce les uns après les autres ou qu'il disparaisse, la non vie reprenait enfin du poile de la bête dans on estimation de celle-ci, comme quoi la justice divine sait s'abattre lorsque c'est nécessaire. Des heures de souffrance, des jours de retenue, il ne pouvait cacher cette fois-ci ce qu'il pensait, même à l'oeil avisé et encore moins aux vampires présents dans la salle au vus de leurs compétences sociales.

Il cherche à cacher son sourire, son bonheur, qui ne cesse sans cesse de revenir à l'assaut, il finit même par baisser la tête afin de cacher le mieux possible son visage et le rictus de joie qui s'affiche. Enfin, il est enfin débarrassé d'elle, sa vie va pouvoir prendre un nouveau sens.

"Je vous remercie, malheureusement je ne vais pas vous accompagner là bas, je ne faisait pas partie de ses amis ou de ses proches et je n'ai rien à dire à son sujet qui conviennent aux des présents."

Il reprit une pose bien plus décontractée, elle à payée pour tout le mal, les mensonges et les manipulations qu'elle a mené, quelque part, nous avons gagnés. Il n'est même pas capable de compatir à la peine des aveuglés ou des sincères qui la pleurerons. Le monde à perdu une personne cruelle, il ne peut le regretter, même s'il ne souhaitait pas sa mort.
S'adressant à Dimitri et à la Rozenmilna tout en continuant de cacher sans trop y parvenir la masse de sentiments qui s'impose à lui :

"Je vous souhaite une bonne soirée malgré les circonstances."

Nul : je compatis, toutes mes condoléances, non, elle ne mérite pas que l'on se soucis de sa disparition, la page est tournée, elle n'est qu'une éclaboussure dans l'océan de l'Histoire.

Dimitri ne relevait pas particulièrement l'attitude de Julien. Ca ne le regardait pas et n'avait aucune raison de la commenter. Après tout lui-même ne connaissait pas la sénéchale en personne et sa mort ne le touchait pas personnellement. Il se rendrait néanmoins à la cérémonie par respect. Il jetait un nouveau coup d'oeil sur Rozenmilna afin de voir comment cette dernière allait réagir à l'attitude du Gangrel et peut-être la dissuader de le faire si telle était son intention puis c'est à Julien qu'il s'adressait.

" Merci, à vous aussi. Et si je peux me permettre, vous feriez mieux de contrôler vos émotions avant de croiser d'autres personnes qui s'y rendraient."

Ces mots ne sonnaient pas comme un avertissement ou une menace, c'était même le contraire. Une chose pouvait sauter aux yeux de Julien.Il n'y avait aucun mensonge dans ses mots ni manipulation dans son attitude. Après tout il ne savait rien de son passif avec Lou et ça ne l'intéressait pas. Il se permettait juste ces quelques mots de manière sincère pour éviter au Gangrel des ennuis éventuels avec d'autres caïnites comme Gatien avec qui ces sourires et rictus auraient causé un véritable incident.

Après avoir parlé il s'inclinait légèrement pour éventuellement prendre congé ou laisser Julien le faire. Lui n'avait rien à ajouter sur cette histoire.

*Cela faisait deux fois que le Brujah jeta des regard sur Rozen, elle voulait le surveiller, mais en fait c'était elle qui se faisait surveiller. En ce qui concerne Julien, elle crue se voir la veille a l'annonce de ce qui était arriver a l'ex gardien. elle aussi avait du retenir un sourire.*

Je ne la connais pas non plus. Tout ce que je sait c'est que ça affecte le Prince.

[Direction la salle des fêtes]

Fléau [Gangrel]

"Il est dommage que cela affecte le Prince, ça ne le devrait pas... Je vous prie de me pardonner Dimitri, mais si je sais parler, voir parfois choisir mes mots, je ne fais pas un bon artiste de cour à cause de ma gestuelle, c'est malheureusement ainsi, je suis fait pour bien des choses, mais non renfermer profondément le passé... Je vais toutefois essayé afin d'éviter d'être la cause de troubles en ce lieu, cela me déplairai."

Il n'avait toujours pas réussit à masquer ses émotions, même s'il savait le conseil du primogène comme étant une nécessité, malheureusement c'est vrais, c'est sa plus grande faiblesse et elle l'a toujours été.

Dimitri souriait en toute franchise au gangrel et hochait légèrement la tête aux propos de Julien alors que Rozen prenait congé à son tour.

" Ne vous en faites pas, il n'y a pas de mal en ce qui me concerne, et je comprend svotre point de vue. Je vous souhaite une agréable nuit, peut-être à une prochaine fois "

Une fois ces quelques paroles terminées il sortait à la suite de la ventru.

[ direction la salle des fêtes ]

Brujah

venant de devant le Louvres

Jean pénétra dans le petit salon et regarda un peu qui était là. Il aperçut un homme seul dans cette grande salle. Enfin, il ressemblait plus à un clochard qu'à un vampire. Il vérifia les traits de l'homme pour êter sûr qu'il ne sagissait pas d'un nosfératu. Pas qu'ils les aiment pas mais il s'n méfait depuis une certaine affaire à Montréal. Mais non l'homme ne semblait pas déformé.

Il se dirigea alors vers lui et lui sourit avant de lui tendre la main.

"Salut mon gars. J'mappel Jean et chuis un nouveau dans le coin. Ça te dis un peu d'compagnie dans cette grande salle vide ?"

Fléau [Gangrel]

Mais qu'est-ce que c'est que cet énergumène aux manières de plouc inachevé ? Encore un bouseux de la campagne qui débarque avec ses gros sabots comprenant pas autre chose que le pet de son cul en manière de politesse.

ET BIEN TANT MIEUX ! Enfin quelqu'un qui avec un peu de chance est bien ! Pas dans le sens bonne âme bien brave et bien gentille, mais généralement les péteux sont pas forcément les plus sympathique. Y a qu'à voir cette bande de Primo-de-la-classe avec leurs petits yeux vicieux et la bouille condescendante, même dans l'coin des Gréleux ça fait peur à un jambon.

"Vous pouvez poser votre cul, on est pas vraiment en pays libre, mais je ne vais pas vous casser les noix. Qu'est-ce qui vous emmène zoner dans le coin ?"

Brujah

Le type avait la dégaine et le parlé de la rue. Tout pour plaire à Jean. Rien ne l'insupportait plus que les manières des bourgeois et surtout des bourgeoises. Ces gonzesses là elles vous montaient vite à la tête. Enfin bref.

"Bah je viens d'arriver en ville et j'espérais faire un coucou au Prince pour pas qu'il me décapite si tu vois le genre."

Il fit un grand sourire à Julien, du genre "c'était une bonne blague hein ?".

"Et sinon toi qu'est que tu fou à zoner ici ? Et d'ailleurs je peux savoir ton nom ?"

Fléau [Gangrel]

"Je suis Julien, j'attend quelques personnes pour aller expliquer à quoi ressemble la Camarilla. Tout le monde ne semble pas saisir. Autrement afin de ne pas se faire décapiter par le grand chef, je t'invite à... Parler autrement. Il est admis, en notre beau Paris, que débarquer à coup de tape m'en cinq... Vaut le retour direct à la case frontalière. Moi je dis ça, mais je ne dis rien. Après on ne peut pas dire que je le connais."

Julien était un peu soulagé du vocabulaire argotique du type en face de lui. Le langage soutenus à l'art de cacher la pensée et est le conjoint des faux semblant et de l'éternelle langue de bois. Au moins, ainsi, la pensé devance les mots.

Brujah

A la dernière remarque de Julien, Jean leva les yeux au ciel.

"Ouais tu dois avoir raison. De vrais p'tit bourgeois par ici. Rien qu'à l'entrée j'ai eu droit à des remarques des garde, j'te jure ! Enfin content de tomber sur un mec comme toi lord de ma première nuit."

Il regarda un peu autour de lui.

"Mais pour un Elyséum de Capital il m'a l'air bien vide . . . pourquoi ?"

Jean n'avais pas relevé l'allusion de JEan sur ses amis. Il aurait bien le temps de les rencontrer.

Fléau [Gangrel]

"La nuit vient de débuter, une disparition fâcheuse s'ajoute à ça, mais également le fait qu'il n'existe pas qu'un Elyseum dans une ville comme Paris."

Il regarda des pieds à la tête Jean.

"Ils ont malheureusement eu raison de t'emmerder, le Prince est comme il est et semble aimer les convenances, je ne me paramétrait pas d'aller le voir vêtu comme je suis. C'est lui qui décidera de ton avenir ici, faudrait voir à la prendre en considération. Quand j'ai dû me présenter à la précédente patronne, crois moi que j'avais ma cravate et que mon langage était autre."

Il fixa les yeux du nouveau.

"Ca me ferait chier des bulles que ça se passe mal juste pour ça..."

Brujah

"Ah ouais ? a ce point ? J'peux bien parler s'il faut mais ça me ferais chier. Et puis j'tavou que j'ai rien d'autre a m'mettre et surtout pas un rond pour me payer un costard."

Jean semblait géné.

"Sérieux j'ai entendu dire que le Prince de Paris étais un Brujah et j'ai pensé qu'il serait moins chiant que les autres."

Jean fronçait les sourcil semblant réfléchir.

Fléau [Gangrel]

"Un Brujah, un Gangrel ou un Nosfé... Qu'est-ce que ça change face à un Ventrue ou à un Toré ? On ne devient pas prince en pétant du cul en pleine réunion. Les anciens on des règles et c'est en respectant les règles qu'on prend du galons. Après respecter ces traditions... C'est simplement l'affaires des quelques minutes que l'on passe avec eux. Qu'elle importance d'être polie si ça évite les emmerdes ?

Par ailleurs, même si le Prince s'en fou royalement, il doit au moins garder la face et les illusions face aux autres. Il ne peut pas se permettre de se mettre en défaut juste pour nos beau yeux."

Il se renfonça dans son fauteuil tout confortablement.

"Laisse leurs les convenances qui leur plaisent et vous gagnerez les nuits à venirs... Après tout, c'est nous les petits derniers, à nous de nous adapter ou il faut partir ailleurs."

Brujah

Jean éclata de rire face à la première remarque de Julien et resta avec un sourire amusé tout le reste du temps.

"Ouais mon t'as t'tête raison. Tu sais quoi j't'aime bien toi, tu m'as l'air simpa et pas prise de tête comme ces péteux de la haute. Mais sérieux ! Un Brujah en Prince."

Il partie dans un grand éclat de rire sonore et bref.

"POUAHAHAHA ! Sérieux faut que je vois ça. Mais parais que ca va pas être pour s'soir. Parait qu'il est occupé ! Du coup j'sais pas quoi faire moi c'te nuit. C'qu'il me faudrait c'est une bonne fight. Tu saurais ou j'pourrais trouver ça ?"

Il était toujours debout les poings sur les hanches s'en foutant un peu que quelqu'un entende ce qu'il disait.

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Petit salon: 23/02/20011

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