Jean sortait du métro qui l'avait amené du bar. Il regarda autour de lui et marcha le long de la rue Danton en cherchant le numéro 15. Il finit par le trouver. Vieux bâtiment formant l'angle d'un carrefour. De style ancien il était d'architecture tout àâtiment fait pittoresque. Enfin, passons ces détails, Jean est en mission, il est sérieux, il est professionnel et . . il semble s'amuser beaucoup.

Il arriva à la porte du bâtiment, celle-ci était fermé, il chercha alors sur l'interphone et trouva le nom de sa cible. Il sonna chez quelqu'un d'autre et attendit.

"**gzzz** Oui ?"

"C'est moi !"

Il y eut un moment de silence.

"Et c'est qui ?"

"Je suis pas chez Gérard ?"

"Non monsieur, vous vous êtes trompé."

"Ah mince ! Euh vous pourriez pas m'ouvrir quand même s'il vous plait tant qu'on y est ?"

Un autre silence.

"Bon ok !"

La porte émit alors un bruit de grésillement annonçant que la porte était déverrouillée. Il l'ouvrit et entra dans le bâtiment en lançant un merci à la femme qui lui avait répondu. Demander un homme quand une femme répond et une femme quand un homme répond. Une bourde aussi grosse annihile tout sentiment de suspicion en général.

Jean monta les marche jusqu'au deuxième étage et s'arrêta devant la porte

Jean regarda la porte un moment. Une belle pièce de bois taillé et bien travaillé. Bon ça n'égalait pas le travail des artisans de son humanité mais c'était pas mal. Il finit par frapper à la porte 3 coups et attendit.

Après un moment la porte s'ouvrit sur un petit homme dans la quarantaine qui sursauta en voyant Jean ou plus exactement son plexus. Il leva la tête et regarda Jean dans les yeux d'un air de suspicion la plus totale.

"Monsieur Gérard Ressac ?"

"Ouiii . . . c'est pour quoi ?"

"J'suis envoyé par un pote à toi au sujet de 5000€ !"

Gérard blanchit d'un coup et commença à fermé la porte.

"j..j..je vois pas de quoi vous parlez j.."

Jean ne lui laissa pas le temps de terminé qu'il donnait une secousse dans la porte faisant tomber violemment l'homme dans le couloir derrière lui. Il rentra dans l'appartement le plus vite possible avant de refermer la porte derrière lui. Il s'avança vers l'homme d'un air menaçant en serrant les point pendant que le pauvre Gérard se trainait par terre essayant de se relever sous la frayeur qui le maintenait au sol. Jean finit par se pencher sur lui et sourire.

"Tu sais ça tient qu'a toi que ça se passe bien. Moi j'ai rien contre toi j'fais juste mon job."

L'homme déglutit.

"Vous voulez quoi exactement."

Jean eu tout à coup pitié du pauvre type qui semblait il était incapable de faire du mal ne serais ce qu'à une mouche. Il s'accroupit et le regarda dans les yeux.

"Ben on veut que tu rembourse les 5000€ avec les intérêt de retard, soit 10000€ demain matin à la première heure. On m'a dit que si tu le faisait pas je devait te casser la tronche pour que tu te retrouve forcé à au moins débourser le double en soins médicaux tu vois ?"

Jean sourit chaleureusement à Gérard étendu par terre. Il s'amusait.

jet:

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'Dés 10 faces' : 5

L'homme par terre regarda Jean en tremblant. Il semblait le prendre au sérieux. Il béguaya donc une réponse.

"M..M..Mais j..j'ai pa..as 10000€ sur m..moi là !"

"Et Dieux créa les comptes en banques !"

Jean prit le dossier et l'ouvrit avant d'en retirer deux papiers qu'il tendit à Gérard.

"Le premier c'est les infos du compte sur lequel tu dois faire l'virement. L'autre c'est un truc que tu vas me signer de suite."

Gérard regarda le second papier après avoir jeté un œil au premier et commença à le lire. Plus il lisait et plus il devenait blanc et ses lèvres finirent par trembler. Il regarda Jean horrifier, toujours effrayé, mais animé d'une volonté bien plus forte.

"Non mais ça va pas ! Je vais pas signé ça !"

"Si tu vas l'signer !"

"Non ! Je .."

Il fut mis aux silence par Jean qui venait de lui mettre un direct du droit sur le nez l'envoyant ainsi valdinguer par terre. Son nez soudain cassé laissa une trainé de sang sur le parqué parfaitement ciré.
Jean parla alors d'une voix étrangement calme. Pas une menace ou cajolerie. Rien qu'un ton si normal qu'il paraissait étrange en la circonstance.

"Si tu vas signer. Ce n'est qu'une garantit comme tu peux le voir. Si tu ne paye pas demain les 10000€ ton entreprise appartient de plein droit à mon employeur pigé ? Dans le cas contraire je serais obligé bon gré malgré d'en venir à la partit salissante de mon boulot. Aller j’attends que tu signe."

Gérard se releva alors sonné. Il chancela un instant en se maintenant au mur puis sortit un stylo de sa  poche et signa le papier qu'il laissa tomber par terre. Jean le ramassa et le rangea dans le dossier.

"Bien Gérard je suis content de faire affaire avec toi. Passe une bonne soirée.

Et Jean sortit calmement de l'appartement en refermant la porte derrière lui. Il descendit dans la rue et prit le chemin du métro. Il prit ainsi la direction du bar