Bureau du Fléau

*Une fois invité à entrer là ventrue s'adossa au mur directement à côté de la porte. Qu'elle surprise de voir Venise, surement présente pour les mêmes raisons.*

Bonsoir Venise.

*Elle salua également le fléau d'une petite révérence.
Le fléau exposa la situation, quand il eut fini elle décroisa les bras pour laisser son poing ce fracasser contre le mur avant de se redresser. Personne ici n'avait besoin de problème en plus*

Qui l'a aperçue ? qu'a-t-elle fait ?

*Rozen ferma les yeux. essayant de retenir sa colère. Elle se mit à réfléchir, vite car le temps manqué. "innocence des nosfératue", "ces deux-là", Kaoum qui était venue se pavaner avec le potentiel traître lui vient en tête en premier, il pouvait aussi s'agir de Phantom après tout.*

Je veux bien vous aider mais restons pragmatique. On dit que le monde des affaires de dors jamais, pourtant avoir accès à telle information à 2h du matin est quasiment impossible. Je rajouterai que ça le prend plus de temps que juste quelques coups de fil.
Ensuite ça nous donnera quoi ? une adresse . Si elle sait qu'elle a était aperçue elle n'y est déjà plus.

Je dois aider à organiser une bataille comme vous le dites et il manque du temps. Je préfère m'attendre à l'avoir en renfort et organiser le plan en fonction que perdre du temps à une traque dont je sais que peu de chose qui devra se faire dans une poignée d'heures.

Si après-demain je suis encore de ce monde, et qu'elle n'était pas au Panthéon, je serais honorée de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour non seulement la retrouver, mais également découvrir ce qu'elle fait là et qui sont encore ses fidèles afin de vous permettre d’accomplir votre devoir de fléau et les exécutés.

Cependant une chose me chiffonne. Jusqu'à Présent personne n’avait de preuve de son affiliation au démon. Juste une simple note laissée par l'ancien prévôt qui n'avait fait que la suspecter, une accusation très grave dont peu de monde est au courant.
Que s'est-il passé pour qu'en une nuit elle soit déclarée infernaliste avérer ?

Fléau [Gangrel]

Julien... A les yeux pratiquement exorbités au vus de la réaction de la Ventrue. Il s'attendait à tout, à vraiment n'importe quoi et même à nainportenawak, mais pas à ça. Donc notre Gangrel... Est sur le cul ! Ca a fait son petit effet la comédie de Rozenmilna.

"Abigail, il ne c'est rien passé, elle a juste maltraité notre charmante Toréadore à grand coup de mots dure. Il n'y avait pas de mensonge dans les yeux de notre camarade. Le Prince s'occupe de ses rapports passé, soyez rassurées."

Il sourit devant les remarques de Rozenmilna, il ne pense pas, à chaque fois, que ce qui est évident pour lui ne l'est pas pour quelqu'un d'autre.

"Madame, croyez bien que je vous entend et que je le savais avant notre rencontre. Comme je crois vous l'avoir dit votre application doit attendre après demain. Le but n'est pas d'avoir une adresse, mais l'état de ses investissements en pierre. Qu'est-ce qu'elle possède encore, est-ce qu'elle a vendue ses possessions en France. Est-elle toujours active ici. Avant de vouloir une adresse je veux connaître l'état de ses biens chez nous."

Il écoute attentivement la Primogène Ventrue.

"Je vous l'ai dis, je m'occupe de m'assurer qu'elle n'interviendra pas, je vous demande de vous préoccuper de ce problème avec moi, après notre premier soucis. Chaque chose en son temps, bien évidement. En revanche je soulève un dernier point important. C'est moi qui suis honoré que vous soyez si prête à me porter assistance une foi passé ce monstre."

Il sourit à la dernière remarque de la responsable des balais dans le... Qui, ici semble l'avoir enlevé assez rapidement. Julien est très désorienté.

"Il n'est pas déclaré officiellement qu'elle est une infernaliste déclarée. Il est avéré qu'une note la soupçonne, qu'elle est revenue en ville sans se présenter au prince, qu'elle a maltraité l'une des nôtres, qu'elle est plus vielle que tout ce que l'on trouve dans la ville, peut être même plus vielle que Parménion et surtout... Qu'on ne doit prendre aucun risque et envisager le pire. Donc pour moi, c'est une très vielle peau fripée colérique mortel et infernaliste qui est là pour nous balancer des coups tordus. Dans le doute je prévois le pire."

Soudain, un petit oiseaux se met à frapper à la fenêtre du bureau, de manière frénétique. Julien ouvre la porte. Quelques piallement et c'est le Gangrel qui se met à doucement imiter le piaf. L'oiseau s'éloigne. Le Fléau se dirige vers le téléphone qu'il prend en main.

"Pardonnez ma grossièreté, je dois passer un coup de téléphone important, j'en ai pour une seconde."

Le Vampire donne quelques ordres rapidement et une situation géographique en pleins territoire Sabbat...

"Encore mille excuse.

Bien bien bien...

Je vous aiderai donc mardi si je ne suis pas devenue un petit tas de cendre entre-temps.

**A la veille d'une bataille importante elle juste venue pour faire... Mais bien sur...**

*Rozen pas tous les éléments, tout juste lui avait était livré ce qu'elle avait besoin de savoir pour remplir sa part. Elle maudit le temps qui lui permit pas de pousser la conversation pour connaitre les moindres détails.
Une personne comme d'Orceaux prendre autant de risque . Il n'y avait que deux possibilités, soit le contact a été établie par la "victime" et dans ce cas Abigail aller devoir s'expliquer. Soit elle est venue lui dire ou donner quelque chose afin de la retourner au dernier moment. Après tout cela c'était déjà produit auparavant.
Peu importe qu'il n'y est pas de mensonge dans ses yeux... Rozen avait bien compris que la gent féminine avait tout "pouvoir" à Paris, il n'y avait qu'à voir le cas séthite.*

Merci de m'avoir demandé venir. Grace a vous nous allons pouvoir interdire la présence d'Abigail au panthéon.

*Son regard se dirigea vers sa collègue primogène.*

Dame Venise j'imagine que vous étiez là pour la même affaire. Si vous n'aviez rien de plus à dire je vous propose que ce rende dans les alentours du Panthéon pour mètre en place le repérage la mascarade. J'imagine que Kaoum ou Phantom y sont déjà.

Nosfératu

C'était une séance de tennis à laquelle assistait Venise. Très divertissant et instructif. Sa tête allait de l'un à l'autre des protagonistes où à chaque question fusait une réponse. Pour un peu, si l'on avait été en juin, on se serait cru sur le court de Roland Garros. Mais ce n'était pas un jeu; il était question de trahison et de potentiels cadavres.

Son téléphone sonna et elle ne répondit pas. Elle fronça les sourcils lorsqu'elle vit le Gangrel discuter avec l'oiseau. Et elle devait perdre du temps à lui constituer une escouade renifleuse? Il semblait capable de s'en occuper lui-même, pourquoi lui demander ce service? Il y avait une histoire louche là-dessous, elle en était maintenant certaine. Rozenmilna la secoua un peu pour lui rappeler qu'elle n'avait pas de temps à perdre avec tout cela. Elle leva un index pour faire attendre la Ventrue et consulta ses messages. Son visage se renfrogna puis elle se tourna vers Rozenmilna, de sale poil.

"Figurez-vous que le Gardien me fait savoir que la Sénéchale veut un rendez-vous pour parler du mathusalem... Nosferatu." Elle serra son sac contre elle, ses yeux lançant des éclairs. "Cette nuit infernale ne finira t'elle donc jamais? Est-ce que nous aurons le temps de nous occuper de la mission que le Prince nous a confié? On dirait que tout le monde invente des rendez-vous pour nous en empêcher." Sur ce elle se leva, le téléphone en main pour envoyer un mail. "Monsieur le Fléau, si vous n'avez plus besoin de moi, il faut que je rejoigne vos collègues... Puis que je voie le primogène Malkavien."

Spoiler:

-> direction le bureau du Sénéchal si pas retenue.

[La retiens... dan un sens]

**Ne t'énerve pas.. Ne t'énerve pas... Ne t'éne...**

MAIS MER... FLUTE !!!

*Elle soufla un grand coup*

Excusez moi Fléau... Excusez moi Venise pour cet écart de conduite.

Le cirque a suffisamment duré. On sait pas ou le nosfé et je ne vois pas pourquoi vous en sauriez plus. Il a déjà était dis qu 'il était PARTI, PLUS LA, POUF !!!!

Que ce Nosfé vienne ou non, seul un medium pourrai le savoir a l'heure actuel.

Ha mais oui ! la sénéchal était pas a la PUTAIN DE REUNION ! *Un putain lui avait échappé c'était la première fois de le 18 avril 1986*

Venise, je vous implore de mettre fin à ce cirque. C'était il y a quelques jours qu'il fallait s’intéresser à tout ce qui entoure Boubanos, et non a quelque heure avant qu'on l'on joue tous nos non-vies.
On a du repérage à faire, un système informatique a mètre en place et dresser toute la fumée et les miroirs que l'on peut pour cacher ce qui s'y passe demain et maintenant moins de 8 heures pour le faire.

*Une colère intense prit le corps de Rozen, pourtant son regard envers la ventrue imploré véritablement la pitié.*

Nosfératu

Venise se retourna vers Rozenmilna. Pas besoin de monter en pression comme une cocote-minute, la primogène avait déjà explosé. Un sourire cynique déforma les lèvres de la Nosferatu.

"Eh bien accompagnez-moi. Vous leur raconterez tout cela. Ensuite nous irons ensemble chez le primogène Malkavien. Nous sommes tous les trois responsables du troisième groupe, nous devons discuter. Au fait, le système informatique est déjà en place. C'est déjà ça." Elle allait sortir, mais se ravisa.

"Ah oui, monsieur le Fléau... Votre escorte vous attendra dès que j'aurais mis un pied en dehors du palais. J'espère que vos collègues seront concis. Bonne fin de nuit. "

-> direction le bureau de la sénéchale

pffff....

Fléau, bonne fin de nuit et bonne traque.

[dans le couloir]

Sétite (Toréador)

(devant le louvre)

elle passa par des escaliers discrets... habitude, elle ne souhaitait pas être brulé. Puis elle se faufila jusqu'au bureau de Julien et frappa à la porte

elle replaça sa robe et son manteau, attendant que Julien ouvre

Fléau [Gangrel]

Julien ouvre la porte en entendent les quelques petits coups frapper sur le bois. Voyant Luddmila se tenir devant lui, il se fige quelques instants tandis que rapidement, un profond sourire illumine son visage entre l'adolescence et l'âge adulte. Il prend la femme dans ses bras en quelques secondes, la serrant contre lui après ces jours loin d'elle. Son corps indiquait un manque, comme si elle avait disparut depuis des années, une sorte de retrouvaille pourtant loin de la réalité. Lorsqu'il la regarda de nouveau, ne la lâchant pas vraiment, ses yeux indiquent presque le retour d'une disparue depuis des siècles.

Il l'a fait entrer sans un mot, lui tirant son propre fauteuil afin qu'elle puisse s'installer le plus confortablement possible dans ce lieux spartiate et envahit de poussières. Les secondes passent, il ne dit rien, se contentant de regarder la femme qu'il a sous les yeux.

"Tu m'as manquée. Comment vas tu ?"

Le vampire se pose alors devant elle, le cul sur le bureau. Ses pupilles pétillent, ses doigts se crispent sur le bureau, il respire plus pour rester calme et se contenir sachant pertinemment que ça ne sert à rien.

Sétite (Toréador)

La sethite sourit en voyant le visage de Julien, il la serre, elle le prend contre elle et lui caresse le dos... ils entrent, il la guident, elle s'assoit défaisant son manteau, posant son sac, croisant ses longues jambes... il l'observe les yeux brillant, elle plonge son regard dans le sien, heureuse !

Tu m'as aussi manqué mon coeur ! tout va bien ... j'aurais aimé passé avant, mais... j'étais avec Gatien...

Elle replace le bas de sa robe si courte

et toi... beaucoup à faire ? tu voulais me voir !

Fléau [Gangrel]

CROM

Voilà a peu près ce qui passe dans la tête de Julien quand les longues jambes se mettent à se trémousser et que la si courte robe est remise en place. Vous avez déjà vus un homme baver véritablement comme une larve devant de jolie jambes ? Bon bas c'est pas encore pour cette fois, mais je peux vous certifier que c'est pas loin. Du coup il se relève et commence à marcher dans son bureau pour penser à autre chose. En faite ce qui illustre le mieux cette situation c'est la blague des petits neurones. Vous ne l'à connaissez pas ? Roooo je la lance...

C'est un p'tit neurone qui se ballade dans la tête d'un homme. Le p'tit neurone... Qu'on va appeler Paul, est malheureux, il ne croise pas un seul autre p'tit neurone. Il est inquiet tout de même ! Puis, d'un coup, sortant de nul part il croise un copain p'tit neurone ! ROGER !

"Paul ! Paul ! Qu'est-ce que tu fou encore là ? On est tous en bas !"

Donc ! Alors que les p'tits neurones s'affolent le fléau marche et remarche dans son bureau pour se concentrer.

"Tout se passe bien avec Gatien ? Il est au courant de nos... Émois avec son ex garce de Dame ?"

NON ! Je n'ai jamais prétendu Julien polie.

Il attend la réponse de préférence rassurante de Luddmila avant de se lancer.

"Geneviève est de retour. Définitivement, pour quelques heures, nous ne le savons pas. Pourquoi, nous ne le savons pas plus. Toutefois, nous devons l'apprendre. Pour ça j'ai besoin de gens aux connaissances ou contacts bien particulier. J'aimerai déjà savoir si ses intérêts en ville existent toujours. Toi qui a su te faire passer pour une Toréadore si longtemps, est-ce que tu saurais découvrir qu'elles étaient ses activités, ses possessions en ville ? Les artistes qu'elle suivaient, envers qui elle était un mécène. Voir peut être si elle suit toujours ces gens, les soutiens ou autre ?"

HO PUTAIN NON ! UNE JAMBES !

Et pouff dans la tête de juju ça fait des chocapics...

Sétite (Toréador)

Il avait quoi là le beau Julien... il était nerveux? humm ?!? elle plaça ses mains sur ses cuisses, l'observant se balader partout. Elle se leva lorsqu'il parla de Gatien et s'assit sur le coin du bureau

non... non il ne sait pas et il n'a pas besoin de savoir tout ca... il est déjà ébranlé de la perte de sa sire... il ne doit en garder qu'un beau souvenir... ca l'aidera a passer au travers sans souffrir comme j'ai souffert...

elle l'écouta attentivement... il voulait qu'elle fouille sur Geneviève et sur la présence de contactes restant dans Paris... Elle l'observa, songeant aux meilleurs moyens a utiliser pour cela...

humm?!!

déployant ses jambes elle l'attira à elle, enroulant ses jambes autour de lui

je peux voir avec les quelques humains influents que je connais... mais comme il semble que la majorité des contacts et influences de l'ancienne reine étaient dans les média... enfin si j'ai bien compris. donc ... l'idéal resterait que tu t'adresses à la maitre des harpies... ou.. abigail je crois ! mais je peux voir de mon coté

elle lui sourit, câlinant son bras, le maintenant contre elle

Fléau [Gangrel]

Il n'est pas très dure pour elle de maintenir Julien contre elle car, évidement, une fois attrapé ce n'est pas comme s'il avait dans l'idée de s'éloigner. Loin de lui cette pensée. A vrais dire, une fois qu'il est là, non seulement il y reste avec plaisir, mais en plus il répond au caresse de Luddmila par les sienne sur les jambes nues. Le seul petit problème dans la "mignonité" du tableau, c'est que du coup Julien ne regarde plus un seul instant les yeux de Luddmila. Non mais sérieux, vous croyez vraiment qu'un homme moyen, encore jeune dans sa tête, très impressionnable va réussir à avoir de la contenance ? Mais vous pouvez toujours vous fourrer le doigt dans l’œil mes bons lecteurs. Toutefois, saoyez rassurée d'une chose, lui vient plus en tête des souvenirs des rayons et des ombres plutôt que de...

"Je dois avouer que je préférerai que ça passe par toi. J'apprécie beaucoup Abigail, mais quelle influence la reine peut encore exercer sur elle, ce serait prendre trop de risques. D'ailleurs Kaoum pourrait également se retrouver embarquer dans une histoire peu souhaitable. Aussi si ces deux là reste loin de ça, c'est un gros problème en moins à gérer. Concernant la harpie... Rien que l'idée d'avoir ce rôle ne m'encourage pas à lui faire confiance. J'ai confiance en toi. Si tu penses y arriver alors je préfère travailler avec toi."

Le jeune vampire se tait, ne bougeant plus, ni main, ni cille, ni rien. Perdu dans une infinité de bonheur, il ne fait que plonger dans l'éternité du regard en face du sien. Pris au piège entre douceur et volupté, il reste tétanisé dans une transe sans égard pour le temps qui s'écoule. Nul murmure, nul son discordieux ne perce ce silence angélique où d'un oeil hypnotisé il sombre dans une contemplation de cette femme, enivrante.

Sétite (Toréador)

Ses donc dans cette présence rassurante qu'elle sombra elle aussi dans la torpeur journalière et dans cette même position qu'elle se réveilla.

La main de Luddmila se remit à caresser le bras de Julien, la sethite ouvrit les yeux... le regarda et sourit. Elle embrassa le nez du jeune homme et défit lentement l'étreinte de ses jambes.

je vais tenter quelques petites choses concernant ce que tu m'as demandé... et toi que feras tu ce soir ?

Fléau [Gangrel]

Julien se réveilla à son tour, toujours contre sa belle. Alors que la douceur de ses jambes commence à s'échaper, il les retient contre lui, se sentant très bien dans cette étreinte audacieuse. Ses doigts en profite pour s'échapper sur la douceur de ces jambes et ces yeux pour se nourrir de cette vision exquise.

"Dans un premier temps... J'ai un peu de temps pour toi et rien que pour toi. Ensuite je dois commencer à traquer Geneviève. Le Prince à peur qu'elle soit revenue à cause de Boubanos, que tous soit lié. Je dois en savoir plus et garder l'oeil ouvert."

Il embrasse timidement Luddmila, toujours impressionné par cette femme venant d'un monde si différent du sien.

"Mais pour le moment tu es à moi et je profite de toi !"

Sétite (Toréador)

Il la retint, elle referma l'étau de ses jambes... elle lui sourit... il avait du temps pour elle, elle aima cette phrase. Puis l'histoire de Geneviève... Elle haussa les sourcils, peut être... peut être tout était lié

- qu'est ce qui c'est passé exactement ? les faits c'est quoi ?

il l'embrasse... timide comme toujours. Elle se saisit de ses lèvres et lui vol un baisé passionné, le pressant encore davantage contre elle.

il avait quelque chose d'intrigant quand même ce Julien... elle plongea ses yeux dans les siens, heureuse... elle ne voulait pas se poser de question, elle profitera des quelques secondes... minutes de calme

- explique moi ce que tu sais de la situation et de l'ancienne reine... que je cherche aux bons endroits

Fléau [Gangrel]

Lorsque les lèvres de la femme vinrent se plaquer contre les siennes, le jeune homme pris de baiser comme une source de vie, serrant Luddmila contre lui, perdant ses doigts dans les cheveux de la femme, réalisant que c'était bon de tout abandonner. Les premières secondes évacuant sa fougue, sa rage de vivre, de combattre. Les secondes passent et le mur s'effrite pour laisser apparaître sa fragilité, son corps redevient plus calme, plus paisible, abandonné contre sa compagne.

Il la garde près de lui, ses bras voyageant à la découverte de chaque endroit qu'il peut caresser, bercé par un amour sans fin.

"Elle est soupçonnée d'infernalisme et a psychologiquement mal traitée Abigail avant hier, pile quant on doit affronter Bouba.
Elle est une ancienne reine de France Toreadore, donc mécène avec de l'argent, je soupçonne galerie d'expo, trafique d'art. Bien immobilier d'architecte "artistique" comme Jacquemain. Je m'attend a des ventes de patrimoine d'hôtel particulier ou d'appartement de luxe, massif à une même période, voir à du déménagement par entreprise spécialisée. Je la connais très mal."

Passant du coq à l'âne :

"Jà appris à danser. Pour toi. "

Sétite (Toréador)

Elle sentait les mains du jeune homme sur elle, elle ferma les yeux, savourant les gestes si doux, si innocents, si tendres. Le sourire qu'elle avait sur les lèvres en disait long à la fois sur le calme et le bien que la situation lui procurait. Les mains de Luddmila caressaient délicatement les bras puis les épaules de Julien...

il lui parlait de la reine... enfin l'ancienne reine... elle avait tourmenté Abigail... pas un très gros défi quand même... ses intérêts étaient dans des domaines connexes aux siens...

je vais voir ce que je peux faire...

elle avait toujours les yeux clos, dans ses bras, lorsqu'il changea de sujet. Le sourire de la belle grandit, et Luddmila rouvrit les yeux

Vraiment ? montre moi ca !

Fléau [Gangrel]

Le jeune vampire prend Luddmila par la main, mettant l'autre derrière sa taille. Il la tient contre lui pour la porter le temps de l'éloigner du bureau. Il l'embrassa encore une fois avec passion, avant de sourire et de commencer à valser. Il entraîne sa partenaire dans une danse gracieuse et douce ou le rythme musicale est remplacé par un amour battant et frénétique.

Dans les yeux de Julien on peut voir la robe de Luddmila se rallonger, ses propres vêtement se transformer pour la situation. Le bureau autour d'eux disparaît, laissant place à une immense salle obscure où seul les danseurs sont visible,

Il tourne et virevolte entraînant Luddmila dans ces quelques pas. Il l’entraîne tout d'abord dans des mouvements lents, histoire de prendre ses habitudes. Les secondes passent et les mouvements sont de plus en plus rapide et précis. Il mène la danse sans hésitation, sans défaillir. Il n'est pas le meilleur danseur, mais aucunes fautes n'est faites.

Il finit par arrêter de tournoyer, gardant Luddmila contre lui, il la bascule en arrière pour l'embrasser.

Sétite (Toréador)

Elle se leva, prenant délicatement sa main. Lorsqu'il plaça son autre main dans son dos dans un geste qui était si doux et ferme à la fois, elle ferma les yeux... sourit... nostalgique peut être... non surement !

La belle gracieuse comme toujours se mit à suivre le rythme et les pas imprimés par Julien, ouvrant les yeux quand la valse fut revenue à son rythme normal, plongeant son regard dans celui du jeune homme gardant la distance, suivant le rythme... pour elle aussi plus rien n'était... Elle avait quelque part le sentiment de revivre sa première vrai valse, entre les mains d'Antoine... près des semaines d'entrainement... Elle était bien...

puis... visiblement, dans la tête de Julien la musique s'arrêta... Elle se retrouva dans ses bras, contre lui, l'embrassant tendrement, ne souhaitant pas que le moment se termine, elle prolongea le baisé et lorsqu'ils se redressèrent, elle laissa ses yeux dans les siens, son corps contre le sien

merci... pour ce moment magique... pour cette danse

Fléau [Gangrel]

Lorsqu'il est en sa présence, il ne sait que sourit, de bonheur. Depuis qu'il n'est plus humain ces moments sont les seules choses qu'il recherche véritablement. Se raccrochant à ce qu'il ne comprenait pas avant sa mort. Les griffes plantée dans ce qui le garde loin d'un animal, d'un monstre.

Les mots de Luddmila ressemblent a de la soie embaumant son âme afin de la garder précieusement au fond de son cœur. Il ne pût s'empêcher d'agrandir la joie imprimée sur son visage.

"Merci à toi d'être entrée de ma vie mon amour. Je suis tellement effondré de passer tant de temps loin de toi. Ce désert ne me quitte pas."

Il lui caresse la joue d'une main.

"Tu ne me quitte pas."

Sétite (Toréador)

Les propos du jeune homme firent briller les yeux de la sethite qui d'une main câline effleura la joue de Julien avant de délicatement, tendrement, poser ses lèvres sur les siennes.

le désert hein...

le sourire grandit

tu y es toujours avec moi ... peu importe ou quand je regarde les étoiles...

la main de Luddmila quitta la mâchoire de julien et descendit le long de son bras, pour finalement prendre dans un geste d'une douceur sans pareille sa main, l'entrainant vers le bureau, le gardant près d'elle. Elle s'assit et incita le jeune homme a se coller contre elle, gardant ses mains dans les siennes

Elle resta ainsi, silencieuse, le contemplant quelques instants

tu attends quoi de moi Julien...

la question pouvait avoir plusieurs censes, elle souhaitait savoir lequel il lui donnerait

Fléau [Gangrel]

Il suivit sa dulcinée sans se poser de question et resta contre elle avec grand plaisir, tout ses sens en éveille pa la présence de l'ansillae.

"Ce que j'attend de toi ?"

Il ne répondit pa immédiatement, prenant soin de réfléchir tout en ferma les yeux. La question était simple, mais demandai une sincérité qu'il devait d'abord trouver au plus profond de lui pour, que jamais, elle ne puisse être mise à défaut.

"J'attend tout de toi autant que je n'attend rien. Je désire ta présence, ton amour, des regards, un soutient, quelques mots, de l'envie, le pire et le meilleur et tout ce que je peux avoir. Mais je n'attend tout de même rien, car dans se monde qui nous enferme dans des cases qu'on ne choisit pas, seule la liberté de vivre et de choisir sa route compte. Alors je ne veux que ce que tu es prêté à me donner aussi longtemps que tu le veux. Si tout doit finir demain il en sera ainsi, puisse tu être à moi le temps d'un regard si l'éternité nous fuit."

Partagé entre tout vouloir et le désire d'une vie telle qu'elle la souhaite, l'amour est peut être de tout prendre en acceptant de tout perdre demain.

"Et toi ?"

Sétite (Toréador)

elle l'écouta... l'observant, lui caressant les doigts tendrement. Évidemment, une question comme celle là entrainant sa contre-parti... il osa la lui poser... elle prit un air terriblement sérieux, lâchant ses mains, jouant du pouce et de l'index sur ses lèvres à elle, songeuse... l'éloignant en croisant les jambes, perdant son regard à l'extérieur du Louvre par la fenêtre. Elle finit par se lever... croisant les bras dans son dos elle marcha lentement vers la fenêtre... songeuse... sérieuse ! trop sérieuse... elle jouait...

elle se tourna vers lui... l'observant, s'adossant à à fenêtre... regardant Julien des pieds à la tête...

euh..hummm ?!? ce que j'attends de toi hein ? bonne question...

elle laissa encore le silence prendre place... le détaillant... plus elle le détaillait plus un sourire renaissait à ses lèvres... elle lui fit finalement signe de s'approcher ... et attendit qu'il soit tout près... pour lui murmurer à l'oreille

que tu restes tel que tu es... tout simplement... j'aime ce que tu es...

Fléau [Gangrel]

Julien était très inquiet lorsque Luddmila le repoussa loin de lui. Il se voyait déjà repoussé, non désiré, ayant répondu tout sauf ce qu'elle pouvait attendre, malgré sa sincérité, il était déboussolé, il avait peur, très peur. Trop peur. Il se tenait non loin d'elle, s'étant rapproché de peur. Il aurait voulus lui prendre la main, plus pour se rassurer lui même, essaye de la faire changer d'attitude par un simple geste.
Il sursauta lorsque Luddmila lui demanda de s'approcher, puis elle amenant ses lèvres aux oreille du garçon. Se reprocha de lui, si proche. Frémissant de l'avoir si proche de lui, il tremblait, excitation, peur, désire, crainte. Il recula, par instinct, son corps et sa tête d'un ou deux centimètres lorsqu'elle approcha ses lèvres de son oreille.

Soudain, la délivrance, les paroles de la femme raisonnèrent sans cesse dans son esprit.

Sans attendre une seconde, il la prit dans ses bras, la soulevant, il la fit presque sauter contre lui pour mieux la porter en l'embrassant. Il retourna la mettre contre le bureau, n'attendant pas une seconde pour détacher ses lèvres. Il l'embrassa, sans cesse, sans arrêt, sans pause, la dévorant.

Julien explosa au sol tout ce qui pouvait bien être dessus afin de pouvoir la coucher. Il prit quelques instants pour simplement la regarder, la désirer des yeux...

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