Salle d'arme

Toréador

A genoux sur le sol, la tête penchée en avant, tenant son ventre d'une main, la rose serrait le poing de l'autre, furieuse malgré la douleur lancinante. Elle avait faillit lamentablement et n'arrivait même pas à lever le regard vers son adversaire, fulminant sur ce qui venait de se passer. Son amour propre venait de subir un terrible affront, comment avait elle put perdre l'équilibre aussi bêtement, cela la dépassait.

Elle ne répondit pas de suite à d'Arcy, essayant de maitriser ses nerfs bouillonants.

*Pinédjem,Smendès, Pinédjem, Masaharta, Menkheperrê,Amenemnesout, Psousennès Ier,Aménémopé ,Smendès, Pinédjem II ,Osorkon l'Ancien, Siamon, Psousennès, Psousennès II *

Elle énuméra les membres de la 21 eme dynastie d'Egypte pour essayer de faire fuir la rage qui montait, puis enfin, fut capable de répondre avec une voix à peut prêt nette.

"Je suis navrée monsieur D'Arcy, je ne sais pas ce qui s'est passé..." Le regard toujours fuyant, elle regarda son chemisier blanc déchiré, poisseux de son propre sang. D'une main fébrile, elle le retira, le laissant choire à ses côtés, observant la blessure avec curiosité.

"Aussi impresionnant que dérangeant..." Murmura t'elle pour elle même devant l'étendu des dégats auxquels, mortelle, elle n''aurait pas survécue. Elle blémit avant de se relever maladroitement, se tenant toujours les cotes d'une main et pudiquement cachant ses dentelles blanches tachées de liquide carmin de l'autre.

"Délicieuse je ne sais..." Elle tordit du nez devant le geste qu'elle trouva dérangeant. "Mais déroutée avec beauté, j'en suis certaine...Mes affaires sont en haut, dans ma chambre." Se trainant telle une âme en peine jusqu'au banc, elle se saisit de son sac puis vit enfin l'objet de sa chute. Le fil de ses écouteurs avait dû se prendre dans sa montre, sortant l'appareil de sa poche qui avait chût au sol. Il n'en avait pas fallut plus pour qu'elle marche dessus et le transforme en patinette désormais inutilisable.

Elle pesta quelques mots en anglais, dans un murmure.

Ventrue

« Ce n'est rien mademoiselle de la Ruisselière, vous auriez simplement pû vous jeter sur moi, je ne vous aurais pas rejetée ! »
Il avait l'air persuadé de l'avoir faite craquer. Mélissange resta interdite, ne s'attendant pas à un tel culot. Puis il éclata d'un rire franc, semble-t-il très amusé par son propre humour.
« Cette situation n'a rien de bien tragique, si ce n'est pour votre chemisier, alors autant en rire…c'est une des rares choses qu'il nous reste ! Nous sommes encore de ce monde, c'est là tout ce qui importe. Quant à votre blessure, vous vous en remettrez bien vite, ce n'est pas grave…je vais vous faire chercher du change. Je reviens de suite. »

Il lui sourit d'un air navré, se redressa sans attendre pour quitter la salle, laissant la Rose se relever sans lui porter assistance. Le Ventrue n'avait pas eu l'air de prêter attention aux charmes dévoilés de la Rose…mais son regard resté caché derrière ses lunettes noires. Il était rapidement sorti de la pièce, toujours torse et pieds nus. Il était revenu tout aussi rapidement, se dirigeant droit vers son épée au sol, dont il essuya avec minutie la lame ensanglantée dans le chemisier déjà fichu que portait Mélissange. Enfin il daigna tourner à nouveau son visage vers elle pour lui adresser la parole.

« Des affaires de rechange vont vous être apportées. Ah, je vois que nous devons ce vilain tour à cette satanée technologie ! »
Il désigna de l'épée la babiole écrasée.
« La prochaine fois, nous tâcherons de nous entrainer de manière…disons plus classique. Vous m'attaquerez, je ferais la défense. Histoire que je puisse vous jauger plus précisément…enfin, si ce malencontreux incident n'a pas eu raison de vos ardeurs. »

Toréador

Mélissange regarda le ventrue sortir avant de replonger le nez dans son sac, en sortant son téléphone portable sur lequel elle se mit à tapoter. Quand D'Arcy revint, elle était toujours entrain de pianoter tout en souriant, l'air enfin redevenue calme.

"La prochaine fois ? Je crois qu'après une performance aussi médiocre, il faudra mettre des bouchons de liège sur nos lames ou je risque de vous éborgner malgré vos lunettes." Elle tendit la main à la goule qui venait de rentrer avec une veste. Elle la remercia du regard et prit le vetement qu'elle enfila prenant soin de refermer chaque bouton.

Son regard se perdit dans l'observation de l'appareil écrasé au sol. "je pensai plutôt que vous auriez pensé avoir perdu votre temps et auriez fuit cette salle en espérant ne jamais avoir à recroiser le fer avec une telle gaudiche !" Elle se mit à balancer sa tête doucement, visiblement encore honteuse du déroulement du combat.

Elle prit son sac, y plaça son téléphone et le mis sur son épaule, prete à partir.

Ventrue

Il étais resté debout face à la Rose assise, ne cessant de mouvoir son épée, sans agressivité.
« M'éborgner ? »
Il eût une moue dubitative.
« Les membres du clan des Roys, avons une résistance hors du commun…ne craignez donc pas de me blesser. Et si cela devait arriver, notre nature nous permet de régénérer, il ne faut qu'un peu de Sang et savoir soumettre notre corps à notre volonté propre. »
Il posa le tranchant de sa lame sur son poignet gauche et tira d'un coup sec. Mais rien ne se produisit. Pas la moindre trace de coupure n'était visible sur sa peau.
« Pourquoi voudrais-je fuir un élément plein de bonne volonté et au charme ravageur ? Vous êtes idéale, que dis-je, parfaite pour le fonctionnement que j'imagine de cette escouade. De plus, je préfère largement une amatrice qui veut faire ses preuves qu'un maître ayant perdu goût en ses propres valeurs. Gaudiche, vous y allez fort avec vous-même ! Je suis certain que sans cette…chose, vous vous seriez défendue avec brio ! »
Il semblait sincère.

Spoiler:

Le membre 'Monsieur d'Arcy' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 5, 2, 9

Toréador

*Chez moi, aller chez moi*

Ses pas l'avaient conduit machinalement au Louvre , les goules surprises de le voir l'avait laisser entrer ; il n'avait plus ses dagues .... Vaguement conscient que la nouvelle de son arrivée ne tarderait pas à arriver aux oreilles de la reine , mais s'en vraiment s'en soucier , il se rendit instinctivemen dans son antre .

Arrivé à quelques mètres de la salle d'arme il y entendit du bruit , celui de l'acier contre l'acier, n'y prétend pas non plus grand cas , il entra couvert de sang salua vaguement les personnes présentes sans les regarder ni répondre avant d'aller dans le banc sur lequel était posé son sac de sport .

Sans aucune pudeur , il se déshabilla, laissant tomber ses vêtements imbibés du sang de pas moins de trois cainites ; une fois nu comme un vers il s'étira et enfila un caleçon, un pantalon treillis et un haut moulant . Puis il se lassa tomber sur le banc calant son dos contre le mur et ferma les yeux . De temps en temps il les ouvrait quand un bruit attirait son attention avant de les refermer.

On aurait dit un junky sous héroine

Prévot [Brujah]

[Arrivé du bureau du primogéne Brujah.]

Gallus entra à son tour dans la salle d'arme, visiblement il était accompagné.

Saluant l'assemblée.

-"Messieurs, dames..."

Son regard se posa sur Arthur Duffeau, inquiet il se dirigea vers lui.

-"Sire Duffeau? "

Primogène [Gangrel]

[ Arrivée du Bureau du Primogène Brujah ]

Jonathan emboite le pas au Primogène Brujah, il s'apprête à ouvrir la bouche pour saluer tout le monde quand il voit un étrange Caïnite entrer à son tour. Il en reste bouche bée. Gallus se dirige vers lui, Jonathan le suit.

" Par Caïn ! Qui est ce pauvre individu ? Il doit être malade ou blessé il faut l'aider..."

Le Primogène s'adresse à lui.

" Vous le connaissez Monsieur le Primogène ? C'est un des votres ? Le pauvre à l'air secoué. "

Prévot [Brujah]

Visiblement trés inquiet il se tourna vers Livingston.

-"C'est le Sire Arthur Duffeau, le Fléau de la reine...
C'est très mauvais signe.

La garde l'a surement vu entrer, mais que quelqu'un previenne les goules qu'il est souffrant, s'il vous plait"

Il se tourna de nouveau vers Duffeau.

-"Sire Duffeau, vous m'entendez? Que vous est il arrivé?"

Primogène [Gangrel]

Jonathan se précipite vers la première goule ou le premier serviteur lié au sang qu'il croise pour lui dire de prévenir la Reine que son fléau est à la salle d'arme dans un triste état.
Puis il revient vers Gallus et s' accroupit près d'Arthur pour aider le Primogène.

" Soyez prudent Primogène, il semble s'être battu, s'il est en manque de sang il pourrait bondir à votre coup. "

Toréador

Il eut vaguement conscience que deux personnes s'approchaient de lui, il avait du mal à sentir le banc sous son corps ou le bois sur lequel il faisait glisser ses doigts machinalement, il était presque déconnecté.... Quand le dénommé gallus s'adressa à lui il prit un peu plus conscience de son environnement; son comportement devait être bie étrange... la sécurité ne devrait plus tarder..et que ferait il??? Il chassa cette interrogation ; chaque chose en son temps... Il sembla faire un effort pour composer sa réponse.

" Le sabbat..deux ....un brujah et l'autre un ventrue .plus fort que je ne le pensais ...."

Primogène [Gangrel]

" Prenez votre temps mon ami, détendez vous et racontez nous calmement ce qu'il c'est passé. Avez vous réussi a prendre la fuite où vous ont ils fait prisonnier ? "

Jonathan garde son calme mais son corps se contracte intérieurement, prêt à bondir hors de porté du Vampire qui est peut être proche de la frénésie.

Toréador

Losqu'Iris lui annonça que Duffeau était revenu Syriniel se précipita vers la salle d'arme...
Elle allait devoir payer ce qu'elle avait fait, elle s'en doutait, pourtant elle ne pouvait faire autrement que d'aller à son chevet...

Elle croisa la pétale qui allait annoncer à la reine que ses ordres avaient été trahis par sa propre infante...

Elle déboula dans la salle d'arme et constata le spectacle...
Quatre vampires étaient déjà là, plus aucun espoir d'étouffer l'histoire. Elle se força à oublier le sort qui lui était réservé et s'agenouilla devant le si beau visage du fléau.

"Vous avez réussi mon ami ?"

D'un regard elle défia les autres caïnites d'oser rester à portée d'oreille pour entendre leur échange, puis retourna à la contemplation d'Arthur, fixant ses lèvres charnues qui semblaient n'attendre que son baiser....

Primogène [Gangrel]

Jonathan s'écarte pour laisser la belle toréador devant le Fléau. << Au moins s'il doit sauter sur quelqu'un >> se dit il.

" Madame, prenez quand même garde, vous savez comment chacun de nous peut être dans ce genre de circonstances... votre ami pourrait avoir du mal à ce maitriser... "

Jonathan se tourne vers l'assistance.

" Quelqu'un peut il apporter quelques poches de sang bien frai à Monsieur le Fléau ? "

Prévot [Brujah]

["Soyez prudent Primogène, il semble s'être battu, s'il est en manque de sang il pourrait bondir à votre coup. "]

Il lanca un regard amical à Livingston.

-"Oui c'est un risque."

Mais il ne semblait pas plus inquiet pour autant, courage? Calcul? Folie?

Sire Duffeau pris enfin la parole.

-"Hum! gardez conscience..."

d'autres personne prirent la parole, Livingstone puis Dame Syriniel, qui sembla visiblement rester seul avec le Fléau.

Il salua alors la dame et le fléau et sortit dans le couloir.

Sortie : http://vampiredeparis.jdrforum.com/t699-couloir-devant-la-salle-d-arme#10828

Toréador

" Non pas de sang ....." Il regarda son bras droit..ou ce qu'il en restait ....des slambeaux de chair et de stendons pendaient à côté de son os coupé au niveau du coude sans aucune forme de finesse....

"Ils étaient deux sabbat...et 5 serviteurs.....j'ai voulu l'aider mais.....ils étaient trop fort..pas moyen de tous les tuer avant qu'ils ne le détruisent eux !! Le Giovanni...je n'ai pas pu le sauver...il est mort ....mais il a été vengé! Je les ai tous détruits... Dieu me pardonne ma lenteur !!"

Primogène [Gangrel]

Jonathan se garde bien de crier victoire pour le Giovanni, d'abord parce que cela aurait été de mauvais gout et surtout parce qu'il n'en croit pas un mot. Cela puait la manipulation et la domination à plein nez, et en temps que roy le Goéland en connaissait un rayon sur le sujet... et les Giovanni maitrisaient cette puissante discipline...

" Monsieur le Primogène ? "

Il était sorti

" Mais il est fou... si notre pauvre ami ici présent perd la tête nous sommes perdus sans sa force... Madame je vous en pris, ne restez pas là, vous êtes en danger... "

Toréador

Pendant qu'il lui répondait Syriniel caressa tendrement les cheveux d'Arthur...
Il était mort !
Il allait lui falloir rencontrer Geneviève au plus tôt pour lui expliquer, même si elle n'avait que peu de doute quand à l'issue.

"Merci mon ami. Merci beaucoup...
Que puis je faire pour vous soulager ??"

Elle se pencha pour embrasser son front, le geste était exécuté avec la plus grande tendresse, telle une princesse chaste avec son champion...

Le ventrue lui parlait, elle se retourna vers lui les traits déformés par l'indignation.

"Que faites vous encore là ! Si vous n'avez pas l'intelligence de votre confrère brujah, je vais être plus claire ! DEHORS !!!"

Primogène [Gangrel]

" Diantre ! Dame votre comportement risque de vous couter la vie ! Je sors, très bien, mais hurlez s'il vous attaque, nous attendront devant la porte de la salle d'arme. "

Jonathan sort de la salle sans quitter le couple des yeux, prêt à bondir si le Fléau manifeste les premiers signes de la folie meurtrière.

[ Sortie vers : http://vampiredeparis.jdrforum.com/t699-couloir-devant-la-salle-d-arme#10828 ]

Toréador

* SOn sang est ancien et puissant* pensa t il quand elle se pencha vers lui....

Il dévoila ses crocs et eut le réflexe d'ouvrir la bouche pour les planter dans le cou de nacre de la gardienne mais se ravisa vite

*Pas ici... trop de monde....*

Il secoua la tête pour chasser cette idée .... avec succès.

"Non rien , merci du repos et de l'exercice, je vais mettre quelques nuits à faire repousser ce bras si tant est que j'y parvienne...."

Toréador

Syriniel se recula un peu, elle n'avait pas vu qu'il lui manquait un bras. Sa main se porta a sa bouche et ses yeux s'écarquillèrent.

"Mon pauvre ami, comme vous devez souffrir.
Ne vous inquiétez pas je veillerai a ce que personne ne vous dérange pendant votre convalescence. J'arrangerais les choses dans la mesure du possible avec Geneviève. Vous pouvez dormir tranquille, nous vous devons tant..."

Elle se pencha pour lui déposer un doux baiser sur ses lèvres si bien dessinées, et se releva, vérifiant que nul ne restait dans cette pièce.

Une fois assurée que nul n'était resté, elle sortit, laissant le fléau en paix.

Spoiler:

Le membre 'syriniel' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 6, 8, 4, 8, 5

Ventrue

L'arrivée de Duffeau avait coupé net l'élan de d'Arcy, l'arrivée de Livingstone, de la gardienne et d'un inconnu connaissant Arthur lui avaient vite fait comprendre l'importance de ne pas se faire remarquer et de quitter les lieux en silence. Ces gens voulaient leur tranquillité, et ils était au mauvais endroit au mauvais moment. Il avait chuchoté à Mélissange deux mots, avant de l'accompagner vers l'extérieur de la salle, tout en gardant son épée à la main.
* Diantre, serait-ce elle qui l'a fait sortir des geoles ? Raphael détruit ? Ce serait une excellente nouvelle ! Si cela s'avérait vrai ! *

[sortie vers le couloir de la salle d'arme.]

Spoiler:

Toréador

Monsieur d'Arcy réussit à arracher un sourire à la rose qui se sentait un peu moins mortifiée d'avoir trébuchée aussi bêtement. Elle allait pour lui répondre lorsqu'un éphèbe pénétra dans la salle d'arme pour aller se dévétir un peu plus loin, ignorant superbement leur présence.

La bouche en "O", de surprise ou d'admiration, elle ne put s'empécher de fixer la scène comme elle aurait pu détailler une statue d'appolon surgit subitement des vastes ruines d'un temple oublié. L'arrivée d'un deuxième homme, qu'elle sut être plus tard un primogène puis de monsieur Livingston la sorti de sa contemplation. Elle se rendit compte alors horrifiée de l'état du pauvre ère, le sang, sa mutilation et sa compassion prit alors la place de l'appréciation.

Elle allait pour lui porter secour ou tout du moins s'inquiéter de son état lorsqu'une femme cette fois, fit son apparition dans la salle. Tout allait très vite, trop vite, elle se sentait spéctatrice impuissante puis admis ne pas avoir sa place en voyant le doux tableau amoureux se déssinnant devant elle.

La scène était poignante, elle pensa qu'elle aurait pu avoir sa place gravée dans la pierre sur le frontont des amours malheureux légendaires.

Monsieur d'Arcy lui glissa deux mots à l'oreille, elle sortit de sa rêverie et le suivit en dehors de la salle, peut être saurait elle enfin ce qui venait de se dérouler...

[Sortie vers "devant la salle d'armes.]

Toréador

Une fois seul, Arthur se détendit il s'allongea sur un banc et ferma les yeux, ses souvenirs étaient de plus en plus clairs et précis. cela le rassura. Il n'entendait pas les conversations du groupe de plus en plus nombreux amassé un peu plus loin dans le couloir, mais il se doutait bien que sa présence , et son étant plus encore ne manqueraient pas d'intriguer ou d'affoler . Qu'importe , il attendrait. Il attendrait de voir ce que son destin lui réserverait , ce que La reine lui réserverait . Avec un peu de chance il ne serait pas détruit, avec un peu de chance tout cela l'aura servis....

Il sourit en réalisant qu'a présent il espérait vivre et non plus que sa vie s’arrête . Était-ce là un progrès? Qui sait .... peut être ...en tout cas un premier pas vers l'acceptation, un premier pas et encore des milliers à venir .

Il était prêt ! Les yeux fermés les sens en alerte il attendait ce qui ne manquerait pas de venir et alors , à ce moment là, il vendrait sa vie bien chère... Il rit et s’arrêta hébété .....

Il avait eut une sensation étrange , il n'avait pas su l'analyser comme un afflux de sang , mais il constata que sa vitae venait de régénérer son avant bras . Il se recoucha sur le banc les bras croisés derrière sa nuque , un sourire de prédateur aux lèvres. Il se demandait si finalement quelque chose pouvait encore le détruire...

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