Il, était assit sur un banc au fond de la salle d'arme, près de son sac de sport ; les yeux dans le vague , comme quelqu'un de résigné..

"Oui ? C'est donc vous qui venez m'anoncer la mauvaise nouvelle ?"

Il était pret...

Dans les yeux d'Arthur la colère avait fait place au mépris . Il fit mine de cracher aux pied de Syriniel

"Alors dans ce cas , il n'y a plus rien à dire ! Je quitte le Louvre sur le champs, et dieu ait pitié de ceux qui essaieront de m'en empêcher ! Dès cet instant je renie la camarilla et tous les engagements passés, plus rien ne nous lie à part la haine Guardienne ; vous avez fomanté un assassinat dont j'ai été l'instrument, un jour j'aurais probablement à en répondre , et vous aussi soyiez en assurée! Adieu ! ET prenez garde à vous si d'aventure nos chemins venaient à se recroiser !"

Il prit son sac de sport et s'avança pour sortir



Sortie du Louvre si personne ne le retient

[Entrée depuis la salle des fêtes]

A peine la porte de la grande salle d'armes refermée, Mélissange s'adossa à la porte en soupirant d'aise. Enfin seule ! Loin de ces immortels ennuyeux à mourir pour certains ! Elle qui pensait que le clan de la rose était rempli de personnages pétillants, exaltants, amplis d'une vie qu'ils n'avaient pourtant plus, mais soucieux de mordre à pleine dents dans leur humanité, se vautrant dans les arts, les plaisirs, l'extravagance. Ne jurant que par la beauté de toute chose, s'extasiant pour une rien, réclamant encore et toujours plus de savoir, assoifé de tout ce que ce monde avait à offrir...

Elle n'avait trouvé que de la glace...Des femmes splendides certes, mais à moitié endormies, jouant aux effarouchées, portant sur leurs épaules tout le poid d'un monde qu'elles semblaient craindre. Ce n'était décidément pas l'idée de l'accueil qu'elle s'était faite et encore moins de ses futurs soeur de clan. Seule Isabelle brillait dans cette noirceur glaciale.

"Merrit..." Une larme roula le long de son visage, laissant derrière elle un sillon rougeatre. Son sir lui manquait : Sa verve, sa joie de vivre pleinement une immortalité adorée, ses envolée lyriques pour un rien, juste pour le plaisir, juste comme ça. Leurs chamailleries pour une broutille, leur manoir au milieu des Highland, loin de toute cette mascarade de pacotille.

Elle ravala ses sanglots et essuya son visage d'une main trembante. Elle ne devait ni ne pouvait faillir aussi facilement. Que la cour se débrouille, que ses roses de glaces continuent à se complérent dans leur role marmoréen, une seule chose devait la motiver...Les fouilles et les découvertes qu'elle pourrait y faire.

Ces moments qui n'appartiendraient qu'à elle. Après tout, quitte à être seule, autant s'y complaire et la compagnie des archives était certainement plus agréable.

Elle sourit tout en otant ses escarpins, les déposa sous un des bancs, puis choisi un sabre. Elle en vérifia la lame, esquissa quelques mouvements tout en riant au souvenir de sa première venue en cette salle puis se mit enfin à s'entrainer sur le mannequin, pauvre souffre douleur de ses nerfs à bout.

La rose s'acharnait sur la silhouette de tissus et de métal tout en essayant de bien garder son équilibre, ses pas aussi gracieux que ceux d'une ballerine alors que son visage reflétait une haine sans pareil.

Le mannequin finit par céder sous les assauts acharnés de la rose qui esquissa un signe de croix tout en souriant devant la débacle de sa cible. Laissant sur le sol l'être de plastique tranché en plusieurs morceaux, elle jeta rapidement un oeil à sa montre.

Il était temps de se diriger de nouveau vers la salle des fêtes. Mais si jamais Isabelle n'était toujours pas là ? Devrait elle rester ? Elle n'en avait aucune idée, bien trop étrangère aux affaires politiques.

Tout en pestant, elle remit un peu d'ordre dans sa tenue, remis ses escarpins et se dirigea vers la salle de tortures.

[Sortie vers la salle des fêtes.]

[Arrivée du bureau du primogène Brujah]

Gallus entra dans le pièce visiblement vide.

Il lui fallait se vider la tête de toutes ces bêtises bureaucratiques, aussi, il il attrapa une arme d'entrainement et commença ses exercises.

En ces jours sombres il lui fallait rester aiguisé.

Comme il était seul il se permit des mouvements d'escrime qu'il gardait habituellement secret, mais se battre contre le vent ne le calmait pas, il lui aurais fallut un adversaire pour cela, même pour un combat amical.

Il dut se stopper lorsqu'il reçu un sms.

Décidément cette soirée allait de surprise en surprises, ce message était aussi inquiètant qu'enigmatique.

Avec difficultés et en prenant son temps, il répondit à ce message puis se remis à son entrainement.

Que c'etait'il donc passé pendant son absence?

Spoiler:

De nouveau le téléphone qui interrompue son entrainement. décidément ces machines infernales ne laissaient jamais de répis.

Il décrocha le mobile.

-"Ici Gallus Sollers..."

Pendant un instant il écouta d'un air grave, puis conclu par :

-"Ne bougez pas, j'arrive le plus vite possible!"

Il raccrocha, parti vider son grand sac de voyage qu'il mis sous le bras et sans perdre une seconde de trop partis vers : [ http://vampiredeparis.jdrforum.com/t929-toujours-la-meme-histoire#15124 ]