Lou n'est plus en état de bouger ou même de tenter une réponse. Elle est toute concentrée à sa guérison. Pendant se temps la la secrétaire prit note des besoins de sa maitresse et prit les choses en main afin de s'en occuper au mieux. Elle téléphona au refuge afin qu'on lui amène des poches de sangs ainsi que des affaires. Ensuite elle fit préparer une chambre et un lit pour Lou ou on l'installa avec beaucoup d'attention. Très rapidement le majordome de Lou arriva avec des poche de sang qu'on lui administra par perfusion.

On laissa ensuite Lou au calme avec le régent, mais avec toutefois le majordome qui veillait à se que le régent ne fasse pas de mal à la primogène. Alors qui celui-ci était était occuper sur la perfusion, Lou bougea à peine et murmura le nom d'Adrien avant de retomber en torpeur.

Jonathan entre dans la pièce et s installé dans un confortable fauteuil qui lui permet de voir Lou et le reste la pièce. Sa silhouette à moitié dissimulé par l'ombre environnante.
Il parle calmement sans détourner le regard de son Primogene assoupi.

" Passons aux choses sérieuses Sorcier, nous avons un ennemi mortel à faire tomber. Que suggérez vous, et ne craignez pas de parler sans détour, je saurai de quoi vous parlez. "

{Chuchotement} "Vous voulez la laisser seul avec sa goule ? Si qui que ce soit découvre son état de faiblesse il pourrait profiter de l'instant. Hors de question de la quitter des yeux vous comme moi, ne serais ce qu'une seconde temps qu'elle ne sera en état de se défendre."

Jonathan fait signe à Doryan lui indiquant un épais fauteuil permettant lui aussi de ne rien rater de la pièce.

{Murmure à peine audible} Installez vous donc, et cessons de perdre notre temps en simagrées, nous avons du travail, et la Camarilla n'attend pas.

Doucement elle ouvre les yeux. Elle cherche un instant ou elle se trouve, la mémoire lui faisant quelques peux défaut. Puis il lui revient en mémoire les évènements de la nuit et elle repousse les couvertures pendant que son majordome la regarde les yeux ronds. Assise sur le bord du lit elle regarde l'endroit ou aurait du se trouver les cicatrices, rien. Avait elle rêvé l'attaque d'Arthur ? Non elle se rappelle trop bien la douleur. Soudain elle avise la perfusion accroché a son ras et elle l'a retire en même temps ou l'anneau d'acier tombe à terre.

"Siegfried, prévenait les personnes qui m'ont installée ici que........ Je vais mieux."

Il sort sans demander son reste tombant sur monsieur d'Arcy à qui attendait l'autorisation d'entrer. Il regarde Lou pour savoir la conduite à tenir et celle ci lui fait signe de faire entrer l'homme et de continuer ce qu'elle lui avait demandé. Elle regarde Auguste entrer dans la chambre toujours assise sur le bord du lit.

Lou posa un regard menaçant sur Auguste avant de se relever. Comment osait il, et en plus cet idiot se trompait.

"Je n'ai certainement pas à vous répondre, monsieur d'Arcy, je ne me rappelle pas vous avoir autorisé autant de familiarité dans un lieu publique.........."

Elle se rapproche rapidement de lui ses yeux jaune remplit de colère. Elle s'arrête toutefois à un distance raisonnable de lui.

"Faut il que je vous montre ce qu'est une domination pour que vous vous rappeliez que vous ne risquez pas d'avoir utilisé sa sur moi, monsieur."

Lou était droite, raide, mais surtout prête a arracher l'oeil unique du Ventrue.

lou resta éberluée quelques secondes, se qui permit au régent de l'analyser tel une bête de foire. Ses yeux ocre regarde l'homme, repportant sa colère contre lui.

" Je ne vous ai pas parmit de critiquer mes actions monsieur le régent."

elle aurait surement déversé toute sa colère sur lui s'il n'y avait pas eut l'intervention de jonathan. Elle avait du mal a se rappeler tout se qui s'était passé après l'attaque de Duffeau, mais elle se rappelait parfaitement qu'il l'avait insulté. elle ne laisserait pas passer sa, oh non !

"Quel fine analyse monsieur livingston. Eh avez vous trouvez pertinant, de me dire se que j'ai a faire sans m'avoir laisser suffisament de dignité pour débarquer dans la chambre sans me laisser le temps de me changer avant ?"

elle toise les trois hommes avant de reprendre la paroles.

"Auriez vous la bonté de me laisser me changer avant."

Jonathan ne peu retenir un sourire de plaisir. Le choc et la mort n'avaient pas entaché lesprit combatif de la Louve, et la voire mordre de nouveau lui procurait une récréation bienheureuse après tout les soucis de la soirée.

Il pousse un soupiré de soulagement, fait une grande révérence alambiquée comme il en a le secrêt et sort sans mot dire pour attendre devant la porte.

Jonathan pèse les mots du tremere et reste pensif. Au bout d' un moment il réalise que DArcy lui parle ?

" Vous disiez ? "

Puis il reprend.

" Ho attendez... Non ce n'est pas la peine merci "

Il se replonge dans ses ruminations, sa main caressant son manton. Il était visiblement très préoccupé.