Elle avait traversé le couloir rapidement faisant claquer ses talon sur le sol, laissant sa colère montrer jusque dans ses yeux. Elle espérait de tout son cœur que Doryan n'ait pas fait la bêtise à laquelle elle pensait. Elle se disait que si elle lui avait expliqué les raison de son geste, jamais il n'aurait eut une idée pareil et elle s'en voulait vraiment. Elle pousse la porte du Bureau , traverse le vestibule et entre dans la salle ou le Gardien devait être, mais arrivée la elle bloque sur place.... Elle ne met que quelques secondes à analyser la scène, lui faisant durcir le regard et lancer un regard meurtrier à Auguste, puis se reprend rapidement, après tout il faisait bien se qu'il voulait, mais qu'il ne vienne plus l'ennuyer avec le clan trémère.

"Bien je vois que vous êtes fort occuper monsieur d'Arcy, j'irais donc seule régler le soucis du régent, sur ceux bonne soirée."

Elle tourne le dos à la scène avec mépris et sort du bureau.

(Sauf si d'Arcy m'en empêche)

Lou prend le temps de regarder le message et elle découvrit qu'il avait bien fait exactement se qu'elle ne voulait pas le voir faire. Elle crispa de nouveau la mâchoire avec fureur, mais ne bouge pas lorsque Auguste se penche pour lui murmurer à l'oreille. Elle regarde droit devant elle tombant justement sur Ivan qui l'attend, ses yeux ocre annonce un fureur sans nom. Elle avance de trois pas avant de répondre au gardien.

"Je ne prendrait pas de risque avec le Louvre monsieur d'Arcy, terminez donc votre entretient, je par chercher monsieur le régent."

Elle avance pour arriver jusqu'à Ivan et le regarde avec sympathie.

"Je doit aller aider monsieur le régent à s'attaquer à monsieur Duffeau, si vous voulez m'accompagner j'en serais plus que ravis, mais je ne vous oblige à rien...."

Elle avance pour descendre au parking et récupérer quelques armes.

Lorsque Monsieur d'Arcy se dirigea vers lou, Luddmila se leva de sur le bureau, elle reprit son sac et se dirigea vers la porte d'un pas lent

s'inclinant légèrement en signe de respect pour la sénéchal

Le seconder ?!? non il blaguait... le clan ventrue avait un humour fort particulier !

elle se dirigea vers sa chaise d'origine puis elle s'assit de nouveau, toujours aussi gracieuse curieuse de connaitre les questions du ventrue !

elle lui sourit, intriguée

Et bien que voulez vous savoir monsieur d'Arcy ! toute cette agitation m'a fait perdre le fil de votre discours !

Elle rit... il était toujours à l'âge ... elle devrait répondre maintenant qu'elle avait dit répondre à tout.

eh bien.. en voilà des questions ! on m'a déjà appelé mademoiselle Koiduta, mais ca fait beaucoup trop longtemps de ca... environ 300 ans !

elle mordit sa lèvre inférieur en souriant

mais je préfère de très très loin Luddmila ! s'il vous plait

Une différence importante entre elle et son clan et surtout le clan ventrue... elle l'observa boire, elle trouvait ce geste que certains avaient gardé, élégant, la manière qu'ils avaient d'avaler le liquide, de tenir leur verre...il y avait un je ne sais quoi de suave dans le geste..

aucun... et je ne les cherche pas ! Je ne reste jamais assez longtemps a un endroit pour avoir des statuts... enfin

elle haussa les épaules

je n'ai jamais eu de raison de rester ou que ce soit !

elle décroisa les jambes pour les recroiser dans l'autre sens.

j'ai beaucoup voyagé, fréquenté un peu toutes les cours camarillienne autant ici qu'en amérique et je n'ai jamais trouvé une âme qui sache me garder fixe...

il se dégageait de son sourire et de son regard, une tendresse, une douceur désarmante, elle le fixait, l'imaginant tantôt moins sérieux, tantôt plus ferme... il y avait un petit quelque chose chez lui...

Elle replia ses genous contre sa poitrine tout en riant...

ainsi donc vous pensez être assez... hummmm... assez rafraichissant pour me retenir en Paris ! Et bien très cher j'attend votre proposition ! Je vous en prie, surprenez moi monsieur d'Arcy ! rendez moi heureuse de vous dire oui !

Elle le regardait exitée comme tout !

Ahhh... oui il était surprenant elle s'attendait à une autre corde ! Il n'en parru rien... qu'une grande tristesse...

il semble alors que nous ne pourrons nous voir d'avantage car... je suis une fort mauvaise élève et si j'ai bien quelques connaissances et talent cher ami ce que vous souhaitez je ne le possède guère ! j'en suis peinée ! la perspective de passer du temps en votre si charmante compagnie m'était agréable ! enfin... qui sait !peut être aurais je l'occasion de vous aider et vous de même évantuellement !

ses yeux étaient devenus tristes, elle esquissa tout de même un sourire...

vous voyez ! même vous n'avez pas les cordes nécessaire à me garder en un endroit !

elle haussa a nouveau les épaules

dommage... vraiment dommage!

Quand il prit sa main pour l’aider à se lever, il pu la sentir tremblante, mais elle obtempéra. Elle le sentait près d’elle, aurait tant aimé voir ses yeux…



Je sais… mais…



Je ne sais vraiment pas ce qui sera possible d’oser vous demander… ou que je puisse vous apprendre… peut être pourrions nous apprendre a mieux se…



Il posa ses lèvres sur les siennes… malgré son jeune âge il était fort doué… elle l’embrassa dans une passion soudaine, ses mains caressant son dos, remontant lentement jusqu’à la tête… la bouche de Luddmila était exigeante, demandante… puis délicatement, longuement ses mains redescendirent vers le bas du dos… puis reprirent leur place.



Il faudra trouver…



Elle lui sourit



Peut être que mes maigres connaissances te seront utiles… qui sait ! et dès que j’aurais gagné mon parie avec mon grand sir… si je le gagne ! je pourrais t’aider et… enfin passer plus de temps ici …

[Entrée depuis bureau gangrel]

Mélissange n'aimait pas se plier aux règles, mais Merrit avait su être plutôt convainquant lors de leur dernière entrevue et n'avait de cesse de le lui rappeler.

Elle se rappela le colis chez sa chere Ekaterina et en frémit de tristesse. Fallait il être pervers pour avoir osé faire ça ! Elle chassa ce souvenir plutôt malheureux comme elle eut chassé une mouche puis toqua à la porte du gardien sans beaucoup de rafinement, ses nerfs lui faisant quelque peu oublier toute délicatesse.

Pour ce qu'elle voulait faire, il lui fallait une arme. Peut être n'en aurait elle même pas l'utilité, mais la compagnie d'un 9 mm peut s'avérée plus chaleureuse et réconfortante que toute autre.

Le seul obstacle entre elle et le desert eagle, restait le gardien, ce qui l'excédait. Pourquoi perdre autant de temps pour une broutille administrative ! L'ennemi avait il rempli les formulaires avant de rentrer avec ses armes dans le palais royal ?

Soupirant derrière la porte toujours fermée, elle changea d'avis. Elle se débrouillerait sans : Ses pinceaux, ses blocs notes, couteau suisse, lampe torche et autre matériel archéologique de première urgence dans son sac devraient lui suffir.

"Audentes fortuna juvat " Murmura t'elle comme pour se donner du baume au coeur alors qu'elle tournait le dos à la porte.

Spoiler:

Il y avait une autre possibilité, celle de passer par les égouts en dehors du Louvre et de ce rendre ensuite par les sous terrain jusqu'au sceaux. Elle tordit du nez. Il n'était pas certain que les voies se rencontrent. Elle n'avait pas le temps pour les "peut être". Elle se promit de juste jeter un oeil au passage menant au sceau, de ne pas trop s'approcher et de faire demi tour au moindre doute. Mais avait elle jamais tenu ses promesses faites à elle même ?

[Demi tour et départ pour le troisième sous sol]

Elle le laissa partir, s'éloigner sans grand plaisir, tentant même de le retenir part de doux gestes... rien ni fit... mais elle acceuillit son retour avec joie, le caressant tendrement, le serrant contre elle.

le jeu est ridicule en fait, je suis venue ici pour écrire, mais il est un peu étrange par fois... je dois trouver avant la fin de cette nuit ou ils ont caché le gamin ! Il a entendu parlé que l'on aurait trouvé un gamin, un jeune garcon, avec des "pouvoirs" et comme il doit être bien caché, mon défi pour rester est de savoir ou il est... tu vois le genre il veut que je rentre, il espère que je ne le trouve pas !

Elle rit...l'embrassant doucement dans le front, caressant ses cheveux, Luddmila, d'un geste délicat de la main remonta le visage du ventrue et cherchant son regard au travers des lunettes trop noir, elle approcha son visage du sien et l'embrassa

Elle frotta son nez avec le sien, les deux mains de la rose caressant le bas du dos du ventrue, s'aventurant sur le haut de la fesse. Elle déposa, dans un baisé volé, sa bouche sur la sienne.

Je ne sais pas du tout quoi vous proposer en échange...

le regard coquin, elle se détacha de lui, marchant dans le bureau, affichant un air pensif, lui jettant un regard de temps à autre

Quoi vous offrir si vous m'aidez a rester à Paris, pour que je puisse passer plus de temps à vos côtés et avec un peu de chance avoir le privilège de... profiter de la douceur de vos gestes...Je n'ai malheureusement pas grand chose... enfin pas grand chose que vous ne possédiez déjà