[petit salon---->]

Balthazar arriva devant son bureau. Il s'agissait de l 'ancien bureau de Gardien. Il n'avait pas encore pris le temps de changer la décoration.
Ce boulot le rendait malade. Ce n'était vraiment pas pour lui ce genre de tralala.

Il s'assit à sa chaise et commença à regarder les différentes notes qu'il y avaient sur le plateau.

Jean avait suivit le gardien depuis le petit salon, passant un peu devant le nez de tout le monde mais il n'en avait cure. Ce gardien il l'aimait bien au premier abord. Il lui avait offert une bonne part de rigolade.

Il arriva dans le vestibule menant au bureau où il fut arrêté par un garde.

"Veuillez m'annoncer au gardien je vous pris."

Il avait parlé suffisamment fort pour se faire entendre par l'homme qui était passé à peine quelques secondes avant lui.

Quelqu'un parlait fort dans son vestibule. Il ne reconnaissait pas la voix d'un des hommes avec qui l avait échangé quelques mots...
Balthazar se le va et alla voir de quoi il retournait. Le Gardien avait vu l'homme dans le petit salon. Il était assis dans un fauteuil.

- Oui en quoi puis je vous aider?

Balthazar fronça les sourcils à l'idée qu'il n'allait plus être tranquille une minute jusqu'à ce qu'il connaisse la Mort Ultime...

Le Gardien venait de sortir voir lui même qui le dérangé, ce qui fit sourire Jean. Il appréciait cette attitude, un bon point pour ce type à l'allure pas prise de tête.

"Monsieur le Gardien, je me présentes, Jean le Forestier, du clan Brujah. Je me présente à vous car je souhaiterais vous demander une faveur qui pourrait vous plaire. Pouvons nous discuter dans votre bureau ?"

" Une faveur? " A peine installé dans son bureau et déjà quelqu'un venait lui demander une faveur. Il savait ce que cela représentait pour la société qui était la sienne depuis plus qu'un siècle.

- Entrez je vous prie. Fermez la porte derrière vous.

Balthazar commençait à entrer dans son bureau lorsqu'il fit soudain demi tour. Il apostropha le garde en faction.

- S'il vous plait, faites attendre les suivants, si jamais il y en a. Par contre je ne veux pas être dérangé lorsque je reçois quelqu'un. Hors mis le Prince et la Sénéchale bien entendu. Voilà...enfin...hum. Voilà quoi. Merci.

Il fit entrer le Forestier et l'invita à s'assoir dans un fauteuil en face de son bureau. Il s'installa pour sa part dans le sien.

- Bien Mr le Forestier, je vous écoute. Que puis je faire pour vous?

Jean suivit Le gardien dans son bureau et resta debout le temps que celui-ci s'installe. Puis il prit place aussi et regarda le gardien directement dans les yeux.

"Monsieur, premièrement je vous pris de m'appeler Jean et de me tutoyer. Je suis pas à l'aise avec toutes ces formalités et l'étiquette. J'ai cru comprendre que vous aussi aimiez plutôt les approches direct."

Il sourit au gardien et chercha une approbation de sa part qu'il attendait à recevoir avant de poursuivre.

"Pour ce qui est de ma demande elle est simple. Mais avant de la formuler laissez moi vous dire pourquoi je suis là."

Il marqua une nouvelle pose puis reprit.

"Je suis un combattant et un nomade. J'ai pas mal voyagé à la recherche de combats à mener. C'est ma façon à moi de donner un sens à ma non-vie. Et si je suis venu sur Paris il y a un mois c'est dans l'espor de profiter de la situation actuelle de la ville en matière de combat."

Il regarda le gardien tout à coup avec  un sérieux et une férocité où pouvait transparaitre une bestialité et une férocité qui aurait fait tremblé un humain. Malgré qu'il n'ait pas bougé le gardien pouvait surement sentir son besoin féroce de combat transparaitre dans son regard.

"Voici ma requête. Je souhaites faire partie des forces armées du Prince ou les votres, peut m'importe. Je veux pouvoir exprimer mon envie de combat dans un cadre qui me condamnera pas à une chasse de sang. Celà fait un mois que je n'ai pu avoir un combat digne de ce nom !"

Il serra ses point sur les bras de son fauteuil et resta à attendre la réponse du gardien, calmant par la même son envie de le prendre au mot et de le défier en duel.

Balthazar entendait ce que lui disait Jean. Cet homme rongeait son frein depuis trop longtemps, du moins selon son échelle d'appréciation, on dirait. Il garda le silence quelques instants, cherchant une réponse qui pourrait convenir.

Il se décida de lui répondre.

- Je ne puis accéder à votre demande, du moins en ce qui concerne le protocole. Sachez toute fois, qu'étant frère de clan, il m'aurait été agréable de vous tenir un discours moins...chia...pardon... protocolaire... Mais j'ai un rôle à tenir. Ma nature, comme vous l'avez dit n'est pas de prendre des chemins détournés pour faire passer ce que je pense. Ainsi laissez moi vous dire ceci. Le poste de Gardien a beaucoup souffert ces derniers temps. Je ne juge pas mon prédécesseur. Mais il est vrai aussi que nombre de nos semblables semblent oublier où ils se trouvent lorsqu'ils sont mes hôtes. Car vous l'êtes tous, comme je me permets de vous le rappeler, à moins qu'avec assentiment du Prince, je n'en décide autrement.

Balthazar fixa dans les yeux son interlocuteur. Sa stature de guerrier ne l'impressionné pas le moins du monde. Pour sa part il n'était pas à plaindre lorsqu'il fallait mettre les mains dan s le cambouis. 

Il se leva fit le tour de son bureau et vient s'assoir sur un des coins, e, face de Jean.

- Par contre pour votre autre demande je pense que je peux toujours glisser un mot pour vous, à l'oreille de notre Primo et même du Prince. Comme vous le dîtes si bien, la ville est en guerre. On a besoin de personne telle que vous. Vos talents pourraient être utiles. Je ferai donc mon possible pour intercéder en votre faveur. Par contre je vous le dit tout bonnement, en parlant de faveur j'ose espérer que vous saurez vous souvenir de mon geste lorsque le moment sera venu.

Balthazar croisa les bras. Il n'aimait pas se faire passer pour un vieux con, mais avec le job que le Prince lui avait filé, il n'avait pas trop le choix. De plus avec l'ouverture prochaine du nouvel Elysium il se devait de mettre les points sur les " i" à ses Semblables.

- Voilà Mr Le Forestier, j'espère avoir pu vous être d'aide précieuse. Sachez néanmoins que ma porte vous sera toujours ouverte. Prenez ceci comme une approche directe.

Balthazar fit un clin d'oeil amusé à Jean. Il se leva et lui ouvrit la porte.

- Je vous souhaite une bonne soirée et j'espère que votre attente pourra vite toucher à son terme.

Jean l'écouta. Devant le refus du gardien il devint blanc. Enfin plus blanc que devrait l'être un vampire. Ses poings se serrant sur le fauteuil. Puis il se calma, faisant les exercices mentaux qu'il avait appris auprès de son maitre pour contrôler sa rage. Il se détendait, il se calmait, il reprenait le dessus.

Quand le gardien finit de parler et partit ouvrir la porte, Jean était toujours assis et n'avait pas bougé. Il finit tout de même par se lever et se tourna pour faire face au gardien. Il se rapprocha de lui et de la porte et s'arrêta au seuil et tendit la main vers son interlocuteur pour serrer la sienne.

"Je vous remercie Gardien et je n'oublie pas que je suis ici votre hôte. En effet, et pour vous parler franchement, je n'ai jamais considéré aucun Elyséum comme ma maison, comme certains vampire se plaisent à le croire. Je suis un nomade, comme je vous le disais. Mais ne vous inquiétez pas, si vous ou le Prince m'accordez ce que je demandes nous y seront certainement tous gagnant et personne ne devra rien à personne."

Il prit la main du gardien et la serra. Il ne la serra pas de toutes ses forces, mais suffisament pour que celui-ci ait une idée de la force que cache ce corps énorme.

"J'espère d'ailleurs que vous m'en voudrais pas, mais je compte moi même aller voir le Prince, si il accepte bien sur de me recevoir, pour lui faire ma demande."

Il sourit.

"Je vous aime bien Gardien. J'espère qu'à l'avenir nous pourrons parler aussi franchement l'un à l'autre. Et n'hésitez pas à toquer à ma porte si vous souhaitez un coup de main."

Sur cette dernière phrase il fit un clin d'oeil discret, faisant face à la pièce qu'il quittait, au gardien et lui tendit une carte avec son numéro. Puis il fit demi tour et s'en alla vers le petit salon

" Bon débarras, au moins un qui me cassera plus les couilles. Si seulement c'était possible d'avoir quelques instants pour moi, afin que je puisse au moins m'informer de ce qu'on attend de moi..."

Balthazar ferma avec lassitude la porte de son bureau. Il se rassit à sa place et commença par ouvrir les tiroirs, chercher des dossiers. Il devait bien y en avoir.

Après quelques minutes il trouva enfin ce qu'il cherchait. Il les ouvrit devant lui sur la plateau du bureau. Il alluma sa lampe de bureau et se longea dans une profonde lecture. Cet exercice l'avait presque toujours ennuyé, mais là il cherchait quelque chose de bien précis. Il tourna des feuilles de prise de notes que son prédécesseur avait laissé. Une aide précieuse pour sa nouvelle fonction. Quand il eut fini de tourner la dernière page, un petit sourire énigmatique s'afficha sur ses lèvres. Il avait trouvé quelque chose. Ou plus précisément il avait relevé une absence d'un fait, même de plusieurs. Il se fit un plaisir d'en prendre note mentalement pour, l'avenir.

En provenance direct de la salle du trône Jean arriva dans le vestibule du gardien. Il s'approcha d'une goule se trouvant là.

"Excusez moi. Pourriez-vous voir si le Gardien est disponible s'il vous plait ? Dîtes lui que c'est Jean le Forestier qui le demande. Merci"

L'attitude de Jean changeait du tout au tout par rapport à ce qu'en vait pu voir les goule un peu plus tôt. Il semblait bien plus calme et bien plus polie qu'avant. Un sourire amical s'était même dessiné sur son visage pendant qu'il parlait.

La goule prit le téléphone et appuya sur un bouton d'appel. Jean pu entendre une sonnerie dans le bureau voisin. Le garde prononça quelques mots puis raccrocha.

- Le Gardien vous prie de bien vouloir patienter quelques minutes. Il finit de consulter quelques dossiers.

Après effectivement un temps certain, la porte du bureau s'ouvrit et laissa la place à un Balthazar tout sourire.

- Monsieur Le Forestier, je ne pensais pas vous revoir de sitôt. Que puis je pour vous? Avez vous pu exposer votre requête au Prince?

Balthazar s'appuya contre le montant de la porte en mettant es mains dans es poches. Il avait mit sa capuche sur la tête, signe qu'il voulait plus que tout au monde être seul.

Jean attendit donc patiemment dans un coin de la salle le temps que le Gardien daigne venir le voir. Puis il sortit enfin. Il se redressa et sourit lui aussi au Gardien. Ce gardien aimait bien les tenus décontractés on dirait.

"Oui monsieur, je sors à l'instant même d'une entrevie avec lui. Mais si je viens vous voir c'est pour une toute autre affaire."

Il marqua une pose le temps d'éveiller la curiosité de Balthazar.

"Je n'ai pas oublié que j'étais votre hôte entre ces murs et c'est donc vers vous que je me tournes. Je souhaiterais pouvoir utiliser une salle d'entrainement de l'Elyséum si vous en avez. Une dans laquelle je pourrais m'entrainer non seulement mes capacités physiques mais aussi cainites. Auriez-vous cela à me fournir ?"

Balthazar s'attendait à autre chose mais fut soulagé par ce qu'il venait d'entendre. Ainsi Jean désirait un salle pour s'entrainer. Pourquoi pas après tout on ne devait pas s'endormir sur ses lauriers. Il savait que la salle d'arme était disponible.

- Je ne vois qu'une solution pour le moment. Je vous propose la salle d'arme. Mais je tiens à vous préciser, avant qu'un incident ne se déclare, que malheureusement vous ne pourrez pas utiliser vos dons du Sang. Des mesures ont été prises pour que ces pouvoirs ne puissent être utilisés dans l'enceinte de l'Elysium. Vous ne pourrez donc que vous exercer de façon naturelle.

Balthazar se tourna vers le personnel de service.

- Veuillez rédiger une autorisation pour la salle d'arme au profit de Mr le Forestier je vous prie.

Puis se retournant vers Jean.

- Voilà. J'espère que j'ai pu vous rendre service. En vous souhaitant bonne continuation.

Sans attendre de réponse il tourna les talons et referma la porte de son bureau. Tout en parlant avec le Forestier, une missive s'était écrite dans son esprit. Il s'assit donc à son bureau et prit un bloc de correspondance et un stylo. Il rédigea son courrier en s'appliquant du mieux possible. Il scanna la lettre et l'imprima puis Il mit le courrier sous enveloppe et écrivit le nom du destinataire dessus. Il fit de même pour un autre enveloppe.

Il prit son combiné de téléphone et informa le personnel de service de bien vouloir faire en sorte que les enveloppes soient apportées à leur destinataire.

Un fois cela fait, il commença à se pencher sur le problème que la demande de Jean avait soulevé. En effet où trouver un endroit sous contrôle camariste qui pourrait permettre à la Famille de s'entrainer à développer ses capacités. Balthazar était du genre à être persuader que bien sûr l'influence, le contrôle et autre moyen de pression étaient des moyens utiles pour mener une guerre, une bonne action de terrain permettait de reporter des phases décisives. Et pour cela il fallait de la pratique. Il débuta donc des recherches de sites qui pourrait accueillir un tel endroit. L'internet facilité énormément la recherche. En entrant plusieurs notions dans le moteur de recherche on obtenait des résultats intéressants.

Spoiler:

Les recherches entreprises par Balthazar avaient abouti sur un résultat. Sans y avoir réfléchi particulièrement, cette proposition pouvait satisfaire le Prince sur de nombres domaines. Le Gardien prit des notes et imprima quelques photos pour illustrer le dossier.
Il rassembla l'ensemble et le cala sous le bras. Il sortit de son bureau et informa le secrétaire qu'il se rendait chez le Prince.

[---> chambre du trône]

Jean salua silencieusement le Gardien et quitta la pièce. Il suivit le garde vers la salle d'arme

[Vient du petit salon]

Lorsque Gatien se présenta, le secrétaire lui apprit que Balthazar n'était pas là.
Ce n'était pas de chance...

Que devait-il faire ?
Il souhaitait voir le Fléau, mais également la belle Elea.
A vrai dire, il savait qu'il aurait dû se présenter à celle qui avait été nommée Sénéchale, au lieu du Gardien, mais il ne s'en sentait pas la force...
Peut-être serait-il plus simple de s'adresser directement au Prince, mais il avait raté le coche, le serviteur qui était venu prendre les noms dans le petit salon était reparti...

Il savait qu'il était en situation irrégulière et c'était son devoir d'y remédier au plus vite.
Il resta dans l'indécision un instant.

Gatien consulta sa montre.
Le nouveau Gardien se faisait désirer, et il n'avait pas envie d'attendre toute la nuit.

Il comprenait qu'il y ait des affaires plus importantes à régler que de s'occuper de régulariser un changement de "propriétaire" pour des goules, mais bon. On fait les choses bien et c'est tout.

Il se décida à aller voir celle qui avait pris la place de sa Dame, et c'est un peu la mort dans l'âme qu'il se dirigea vers le bureau de la Sénéchale.

[salle du trône---->]

Balthazar arriva d'un pas rapide de chez chez le Prince. Il était suffisamment intervenu en faveur de l'inca pour qu'il se débrouille tout seul à présent.
Il salua le secrétaire puis s'enferma dans son bureau. il alla s'assoir et prit son téléphone.

- C'est moi. Pour demain soir, changement de programme, ou plutôt supplément d'édition. Le dress code du carré VIP sera un bouton de rose noire pour les hommes et une broche noire pour les femmes. Vous ferez en sorte de draper de noir le salon aux arches. Appelez moi si il y a des difficultés. J'en ferai de même si il y a de nouveaux un changement.

Son interlocuteur acquiesça et Balthazar raccrocha. Il était content d'avoir reçu ce type. Il semblait efficace.

Balthazar rangea son bureau. Pour le moment tout était en ordre. Il décida donc d'aller faire un tour dans le petit salon .
Il sortit de son bureau et indiqua au secrétaire sa destination et de rediriger tous les visiteurs potentiels là bas.

[------> petit salon]

Arrivant du petit salon Jean se présenta pour la troisième fois de la nuit dans le vestibule menant au bureau du Gardien. Il s'adressa ainsi toujours au même garde.

"Monsieur, veuillez m'annoncer au Gardien s'il vous plait, il me faut l'entretenir de toute urgence."

Voilà des mots alarmant dient sur un ton amical voir jovial, mais pas moins vrai. La nuit finissait bientôt, il se devait de trouver un refuge au plus vite.

[petit salon---->]

Le Brujah et le Nosfératu arrivèrent devant le vestibule du bureau du Gardien. Balthazar étant maître des lieux devança son accompagnateur et s retrouva derrière une masse imposante; Il reconnut les vêtements de le Forestier.

- Re bonsoir Monsieur le Forestier, avez vous oublié quelque chose? Un instant je vous prie.

Il se tourna vers Phantom.

- Si vous ne voyez pas d'inconvenant, je fais en sorte que nous puissions discuter en toute tranquillité le plus rapidement possible.

Il s'adressa à nouveau à son frère de clan.

- Je vous écoute, à moins que vous ne désiriez une entrevue plus discrète et dans ce cas nous passerons dans mon bureau.

Il se voulait amical car il avait conscience qu'il l'avait un peu expédié la dernière fois qu'il avait parlé avec lui. C'était un Frère tout de même.

petit salon

* bureau de m D'arcy humm non c un m Balthazar decidement beaucoup de changement en cette ville m D'arcy avait une secrétaire donc je vais juste cogné et voir ce qui arrive *

TOC TOC TOC

Quelqu'un frappait à la porte. Balthazar regarda le secrétaire et lui signe d'aller voir ce que c'était. L'homme se leva, et s'excusa en passant trop proche de Phatom à son goût.
Il posa la main sur la poignée et entre-ouvrit la porte.

- Bonsoir...

L'homme marqua un temps d’arrêt devant la vision peu engageante qu'offrait le visiteur. Mais il se reprit bien vite.

- Hum... Bonsoir Monsieur? Que puis je faire pour vous rendre service?

*Que j aime faire cette effet *

''simplement pour signalé mon retour de voyage je me doute quil est occuppé dite moi ou doi je l attendre je promet que je ne prendrai  pas trop de son temps merci bien''