John salut son frère en passant. '' a plus tard mon frère nous allons nous rencontré plus tard''
S installe en attendant la disponibilité du gardien .

Spoiler:

Jea s'apprêtait à répondre au gardien quand un deuxième nosfératu débarqua dans le vestibule. Il se tut alors laissant ces être faire ce qu'ils avaient à faire, il n'avait aucune envie de se mêler de leurs histoires à chaque fois plus tordus les unes que les autres.

Finalement l'un partie et l'autre s'assit. Sentent que c'était enfin vraiment son tour il se regarda le gardien et parla.

"Tout d'abord navré de vous dérranger pour la troisième fois de la nuit."

Il lui fit un sourire d'excuse.

"Mais c'est Dimi.. euh mon primogène qui m'envoie dans l'espoir que vous puissiez m'aider. Il se trouve que par malchance je me retrouves sans refuge cette nuit. Je me demandais si par hasard vous n'aurriez pas un endroit à me fournir ? Je vous en serais vraiment reconnaissant."

Puis il voulut mettre une petite pointe d'humour pour atténuer ses parole trop sérieuse et officielles à son goût.

"Sinon au pire je peux aller dormir sou un pont ?"

Il se retint d'éclater de rire et laissa échapper un petit rire amusé. Il espèrait vraiment dérider un peu le gardien.

Jean exposa sa demande. Vu l'heure qu'il était c'était en effet assez urgent comme demande. Mais Balthazar décida de jouer le jeux qu'avait commençait le colosse.

- Sous un pont? Pourquoi pas? L'air est revigorant en ce moment, puis vous trouverez à n'en pas douter quelques SDF pour étancher votre soif demain soir.

Il avait dit cela le plus sérieusement du monde, avec un regard froid. Il attendit quelques instant de laisser mijoter Jean. Puis un sourire s'étendit sur son visage et il fit un clin d'oeil.

- Veuillez m'excuser mais avec la perche que vois me tendiez, c'était trop tentant. Bien sûr que je peux vous arranger ça, pas de problème. Il y a des chambres disponibles. Allez vous installer. Vous êtes mon hôte pour la journée. Avez vous encore besoin de mes services? Un plan de paris pour voir quel pont est le plus confortable?

Il affichait toujours son sourire malicieux. Il s'agrandit d'autant plus qu'il avait toujours en mémoire la conversation avec le Prince concernant le colosse.

Jean rit franchement à la répartit du Gardien, malgé le doute évident qu'il avait eu un moment, inclinant même la tête quand celui-ci s'excusa pour lui signifier qu'il n'y prenait pas ombrage, au contraire.

"Je vous remercie monsieur. Sachez que je me souvendrais de votre geste et de votre accueil."

Puis quand balthazar relança le sujet il afficha un nouveau sourire amusé.

"Eh bien celà pour se révéler fort intéressant à savoir maintenant que vous le proposer."

Il mit un moment avant de poursuivre, jouant le même jeux que le gardien mais en moins bien ne pouvant dissimuler son sourire.

"Mais je penses finalement que j'ai déjà de trop abusé de votre temps. De plus il semblerait que quelqu'un attend de vous paler."

Il finit par s'incliner, le bras en travers du torse pour montrer son respect, et fit un salut digne d'un officier à un supérieur.

"Messieurs je vous souhaites une journée sans encombre. Au revoir."

Et il se dirigea vers les chambres se doutant que le gardien veillerait pour qu'on lui indique la sienne.

Balthazar regarda partir Jean avec un sourire aux lèvres. Enfin des rapports normaux dans ces lieux. Lorsque le colosse eut fermé la porte, le Gardien se tourna vers le nosfératu installé dans fauteuil.

- Bonsoir Monsieur, puis vous aider?

‘’Bonjours  M le gardien je viens simplement annoncer mon retour en paris comme il se doit m le prince mas déjà reconnue je me nomme John Griffin j’étais bourgmestre Nosferatu mais je sais que le poste a été abolie. Si il n y a pas d’objection j’aimerais habiter ici  et par le fait vous félicité pour votre poste voici mes coordonné‘’  t en une carte au gardien

Balthazar prit la carte qu'on lui tendait.

- Bourgmestre du Clan Nosfératu? Bien. Je pense alors que vous ne causerai pas de soucis en ces lieux. Je vous souhaite donc un bon retour parmi nous. Je pense que nous aurons l'occasion de faire plus ample connaissance. 

Il leva la carte de visite à hauteur de ses yeux.

- J'ai donc vos coordonnées. Si vous le permettez j'en ferai bon usage pour le bien des Elysium, le cas échéant. 

Il senti son portable vibrer. Quelqu'un cherchait à le joindre. Puis une brève vibration lui indiquant un message. Ça plus l'enveloppe que lui avait déposé Phantom, il avait encore pas mal de boulot devant lui avant la fin de la nuit.

- Maintenant si vous voulez bien m'excuser, il me reste pas mal de tâches à superviser. Je vous souhaite à nouveau un bon retour parmi nous. Au revoir Mr Griffin.

Balthazar inclina la tête en signe de politesse puis s'enferma dans son bureau. Il reprit son portable et consulta son journal d'appel. *" Fey "* Il sourit. Il écouta sa messagerie. Malheureusement ce n'était pas un message personnel mais plutôt une directive de la Sénéchale. Il écouta sa demande.

*" Bordel! Qu'est ce qui se passe encore? "*

Il allait sortir de son bureau quand son regard se posa sur l'enveloppe. Il resta un moment indécis puis s'en saisit. Il l'ouvrit. Elle contenait un mot ainsi qu'un " bidule" technologique.

Après la lecture de ce mot, il regarda par réflexe aux alentours. *" Finalement j'irai pas les mains vides voir la Sénéchale "*

Il sortit enfin de son bureau, informa le secrétaire de sa destination en le priant de refouler toute visite en son absence. Il n'était plus disponible pour le reste de la nuit.


[----> bureau de la Sénéchale]

''Tres bien m le gardien au plaisir''

incline la tête et ce retire

direction petit salon

[Bureau de la Sénéchale--->]

Le secrétaire eut à peine le temps de se rendre compte qu'il s'agissait du Gardien, tellement la silhouette était entrée vite dans le bureau. La porte claqua à s'en dégonder presque. Balthazar était soucieux. Il regarda son bureau différemment. Il posa l'enveloppe sur le plateau et commença à regarder partout, à retourner des livres, à vérifier les lampes. Il fouillait son bureau avec précaution.

Spoiler:

(bureau de fey)

elle frappa et entra dans le vestibule, la secrétaire était visiblement décontenancée... elle lui raconta un mensonge... tout allait bien...

ben oui c'est ça ! et je m'appelle Roger !

Fey ignora la secrétaire et frappa à la porte du bureau

Balt c'est moi... je peux entrer ?

Il entendit une voix l'appeler. Il se redressa de sous le bureau en fronçant les sourcils. Il se rappela soudain que Fey devait passer le voir. Il se remit debout et alla lui ouvrir. Sans rien dire il la pris par le bras et la tira sans ménagement dans son bureau. Avant qu'elle ne puisse protester, il lui fit signe de se taire avec un doigt sur la bouche puis lui montra une enveloppe. Il la ramassa du plateau de son bureau et lui tendit afin qu'elle prenne toute l'ampleur de son contenu. Puis il commença une discution des plus banales.

- Alors ma douce as tu passé une bonne nuit? On t'a pas trop embêté ce soir?

Quand il ouvrit, elle le trouva bizarre, il voulait la voir, mais la "bayonnait" elle ne comprit que lorsqu'il lui montra l'enveloppe et le micro... elle fit signe qu'elle avait comprit et se dirigea vers le sol, loin de tout et s'assit tout en lui répondant elle sortie de sa poche un bout de papier et et un crayon...


ma nuit ? elle fut bien! tranquille par contre que de petits et menus détailles... je te promet rien de bien fascinant! le seule rendez vous intéressant avait lieu au moment ou vous êtes venus me voir julien et toi...le jeune homme qui était dans le bureau était bien agréable et un peu maladroits... il avait des demandes des plus légitimes et avait l’appuie du primogène alors...

tout en parlant elle écrivait sur le papier

Spoiler:

Balthazar lut la réponse de Fey. Il fit signe "non" de la tête puis demanda qu'elle lui passe le papier et le stylo. Il vint s'assoir à coté d'elle et gribouilla quelque chose.

Spoiler:

- Ah ben moi c'est pareil. J'ai été pas mal sollicité. Ce travail m'ennuie. Toujours à devoir répondre à des demandes, légitimes ou pas... C'est fatiguant.

Elle reprit le papier et le crayon et lut en faisant non de la tête

c'est vrai que... enfin parfois c'Est vraiment nul et que je m'ennuie de courir partout... non je vais être honnête être dans un bureau a rien faire qu'écouter les gens c'est nul a chier mais... faut que quelqu'un le fasse non !??!

Spoiler:

Elle sortie son téléphone

s'cuse moi message de ... oh merde ! M'sieur Martin a brisé sa voiture...

elle disait n'importe quoi mais ca lui donnait une raison d'écrire

mp parménion...

Balthazar hocha la tête et la vit sortir son portable.

- Ah merde le vieux pervers à bousillé sa caisse? Rien de grave pour lui j'espère?

En l'espace d'un mois son existence de Caïnite avait pas mal changeait. Il ne savait pas trop si cela lui convenait d'ailleurs. Sa position l'exposé indubitablement mais lui offrait normalement une certaine sécurité sous le Prince.

Elle rit

ben si m'sieur Martin m'écrit c'est qu'il doit être pas si mal et c'est pas un vieux pervers! il est tout gentil ! arrête 

elle rigolait en écrivant

Spoiler:

- Oui c'est bon il a pas l'air méchant.


Il reprit le papier et lui répondit

Spoiler:

Elle calma son rire...

 je veux bien ... qu'il soit pas méchant! il l'est moins que toi vue que... tu ne m'a même pas embrassé encore !

elle avait insisté sur le je veux bien et s'était levée afin de commencer a fouiller... se promenant dans le bureau, elle regardait un peu partout, méthodiquement un mur à la fois, un meuble à la fois comme si elle faisait le ménage, replaçant au fur et a mesure les choses

tu sais que tu es cruel de me faire venir ici ... j'avais vraiment espoir d'au moins un calin ... que ce ne fut pas seulement pour papoter en fin de nuit...

Il se leva à son tour. Il fouillait la pièce de son coté.

- Un câlin? Oh oui j'y ai pensé toute la nuit. Mais à chaque fois c'était pareil, il y avait toujours quelqu'un pour m'empêcher de venir te voir. Mais je crois que j'ai peut être trouvé une solution pour qu'à l'avenir on soit un peu plus tranquille.

Elle lui sourit tout en fouillant délicatement

super tu vas démissionner et venir faire ma secrétaire ?

- Ta secrétaire? Manquerai plus que ça. Non j'aimerai revenir à ma tranquillité d'avant. Faire ce que je veux quand je veux. Parfois je me demande si je ferai pas mieux de reprendre la route, changer d'air...

Il se tut soudain. Il avait vu quelque chose. Il s'approcha et bougea un petit présentoir. Et c'est là qu'il vit... rien de plus qu'un cadavre de mouche... Décidément la recherche ne donnait pas grand chose pour le moment. Fallait il prendre ça pour un signe positif?

Elle arrêta de bouger quelques secondes... il voulait repartir ?!? Elle se tut...elle se concentra sur la recherche, elle était nerveuse là et...et ce n'était pas bon! pas bon du tout ! elle se mit a chercher, frénétiquement... il ne fallait pas se gratter, il ne fallait pas s'énerver... il fallait rester concentré une chose.. le micro, le fichu micro le foutu micro...

elle ne regardait plus Balthazar, ne parlait plus non plus... que le micro uniquement le micro... rester calme... Parfois elle surprenait ses mains sur ses jambes, elle se dépêchait alors à les retourner à l'action... la recherche du maudit micro

La fouille de Balthazar ne donnait rien de rien. Soit il n'était pas du tout doué pour ça, soit les micros étaient très bien dissimulés. Il penchait pour la première option, et le problème c'est que ça lui donnait envie de mettre le feu là dedans et s'en aller en fermant la porte.

- Putain c'est pas vrai ça!

Il frappa du poing sur la desserte. Il vit qu'il venait de faire sursauter Fey alors il vint vers elle et la prit dans ses bras.

- Excuse moi, c'est le boulot qui m rend dingue. Je sens que si je relâche pas la pression tout ça va me péter à la gueule...

Il lui chuchota à l'oreille à peine perceptible:

- Tu as trouvé quelque chose? Moi que dalle.

elle cherchait, cherchait cherchait... tentait de se contrôler et y arrivait pas si mal jusqu'a ce qu'il frappe sur un meuble...Elle sursaute, perd sa concentration... tente de se reprendre de se resaisir en vint... il la serra contre lui, mais déjà elle n'y était plus vraiment.

Elle sentait ses bras, elle sentait sa présence, mais n'arrivait plus a émerger de sa tête, elle la sentait partir en vrille et avait des vertiges. ses mains gagnèrent ses cuisses, elle n'entendit jamais la question

elle devint molle dans les bras de balthazar, les yeux fermés, les mains gratouillant ses cuisses, elle avait opté pour le silence, pour le vide, pour... plus rien. sont corps réagissait encore, mais la tête n'y était plus

Balthazar sentit Fey partir dans un autre monde. Elle ne tenait presque plus debout, et comme à son habitude dans des moments pareils, ses mains s'en prenaient à ses jambes.

Il glissa ses mains jusqu'aux siennes et les plaqua contre la cuisse histoire que les phalanges ne puissent plus se plier. Puis il la souleva et la coucha par terre, au milieu du bureau. Il s'allongea près d'elle et la serra contre lui.

Il lui murmura à l'oreille:

- Chut t'inquiète pas, ça va passer. Ça passe toujours.