Bureau de la primogène Toréador

Toréador

[Arrivée du refuge Toréador]

Lady entra dans le vestibule désert, puis dans le bureau où elle posa son sac et sa veste. Elle attrapa ensuite son téléphone pour envoyer quelques messages et attendit simplement une réponse à qui voudrait en donner.

"Ceci est déjà fait... Nous verrons si la suite se passe aussi bien."

Toréador

Lady entra dans le bureau et fit de l'ordre dans les affaires de Isabelle avant de les ranger dans une armoire vide. Quelques heures de grand nettoyage afin de débarrasser la pièce des affaires de l'ancienne primogène, avant que l'une de ses secrétaire lui apport une tenue plus approprié pour les Ordalies : jean moulant, petite bottes de cuir lacées et chemise d'un blanc immaculé ferait l'affaire. Elle fini sa tenue en enfilant une veste légère de cuir brun assortie à ses chaussures, puis attrapa son sac afin de sortir du bureau, non sans fermer à clé au passage.

"Alexia, appelle Alicia afin qu'elle t'aide à nettoyer le bureau et la salle d'attente. Vous êtes plus efficace toute deux ensembles et mettez les affaires de Madame des Termes à l'abris. Celle - ci pourrait s'avérer utiles."

Elle confia la clé du bureau à son assistante et se rendit aux Ordalies.

* Le retard ... Encore une impolitesse que je ne puis supporter. *

[direction les Ordalies]

Toréador

[arrivée du petit salon]

Christine prit place sur l'un des fauteuils faisant face au bureau de la primogène et prit soin de sa robe en s'installant. Elle admira le décor de la pièce, on pouvait remarquer que des éléments avaient été déplacés, sûrement du fait de Lady Elisabeth pour pouvoir disposer ses propres effets en attendant de connaître le sort d'Iabelle de Trêmes, la primogène étrangement disparue sans nouvelles.

Elle se disait que Lady Elisabeth avait une place inconfortable en ce moment, placée à un poste en tant qu'intérimaire jusqu'à ordre du contraire, elle devait jongler avec son clan et le prince pour redorer le blason des roses. Elle secoua la tête d'un air contrarié,certains membres ne faisaient pas l'effort d'améliorer le statut des roses en adoptant des conduites inqualifiables. Elle pensait surtout à Armand Duplessis qui s'était permis d'insulter...

*Seigneur...*

Elle ne croyait plus en dieu depuis qu'elle avait été étreinte mais elle ne put s'empêcher d'invoquer son nom lorsqu'elle pensa qu'il avait osé insulter le primogène des gangrels. Il ne connaissait ni d'ève ni d'adam le vampire et s'était permis de le railler sur son apparence. Elle était prête à témoigner en faveur du gangrel pour exiger réparation à l'insolent. Elle ne voulait pas que les choses tournent plus au vinaigre qu'elles ne l'étaient. Le gangrel avait eu raison d'être outré de ne point avoir été salué lorsqu'elle était entrée et qu'elle avait rejoint sa primogène.

*Enfin... Il ne pouvait exiger de moi que je le hèle depuis l'entrée du petit salon et Lady Elisabeth était bien plus près de moi que monsieur Sherped. Il ne peut décemment exiger que j'ignore ma propre primogène pour le saluer en premier! J'aurai fini par aller me présenter.*

Christine se mordillait distraitement la lèvre inférieure tout en prenant garde à ne pas l'entailler pour ne point tâcher sa robe de haute couture signée à son nom.

Toréador

Abigail avait trouvé un endroit ou se changer, et avait fait
du mieux qu’elle pu, se rafraichissant et se changeant et remontant ses cheveux
et se maquillant et… *ciel ! même avec tant d’effort tu es moche ma vieille…*
elle avait replacé son pendentif et avait marché rapidement, son sac sous le
bras au bureau de sa primogène… mais ou il était ce fichu bureau… elle chercha
chercha chercha… finit par se renseigner et… frappa délicatement à la porte

*si ca ne répond pas dans les 15 secondes ca veut dire que tu peux partir c'Est ca...?*

elle attendit

Toréador

Christine sortit de ses réflexions en entendant frapper. Ce ne pouvait être Lady, elle ne frapperait pas à la porte de son propre bureau. Elle se leva et alla ouvrir pour se retrouver nez à nez comme elle le subodorait à Abigail.

-"Entre donc, Lady Elisabeth arrive dans quelques instants."

Elle se recula et jaugea la tenue de la timide toréador.

-"Tu es ravissante, voilà ce qui est mieux pour l'Elysée."

Elle lui sourit amicalement tout en évitant de la toucher, elle se souvenait encore de sa réaction de fuite lorsqu'elle avait établi un contact physique dans le petit salon. Contact anondin qui se voulait rassurant et qui n'avait pas eu l'effet escompté.

Toréador

Oh... non ! on répondait... et évidemment elle se ferait gronder devant témoin... elle tremblait un peu, tentait de se contenir.

La pauvre rose devint écarlate devant le compliment de la dame qui était devant elle, elle se replia un peu sur elle-même, ses épaules se voutèrent, ses yeux fixant le plancher

"mer..merci..."

puis elle entra, restant là debout près de la porte, prète a fuir si ca devenait nécessaire

Toréador

Christine reprit place et regarda la pendule du bureau avant de se mettre à tapoter distraitement ses doigts sur l'accoudoir de son fauteuil style Louis XIV relativement confortable. Il ne remplaçait pas les stompueux canapés profonds et douillets que fabriquaient les entreprises de produits de luxe modernes. Ils reprenaient même des anciens styles tout en donnant une assise bien plus confortable. Elle pensait distraitement à l'évolution des meubles d'intérieur depuis son étreinte et était fascinée par le savoir faire qui s'était amélioré avec le temps. Elle se rendit compte qu'Abigail n'avait toujours pas pris place et la regarda d'un air étonné.

-"Mais voyons, prenez place, je ne vais pas vous manger ma chère!"

Elle indiqua de la main un fauteuil identique au sien et relativement éloigné de son propre fauteuil, ce qui ne pouvait pas imposer une proximité trop proche à la rose apeurée. Elle la regarda avec insistance et argumenta pour la convaincre de se détendre.

-"Je vais finir par me vexer, vous me donner l'impression de sentir le chien mouillé!"

Elle avait dit ça d'un ton amusé tout en restant calme.

Toréador

Les yeux d'Abigail cherchèrent a fuir encore davantage, elle se mordit la lèvre inférieure prenant conscience de la grossièreté de son geste... *resté là debout, rien dire, rien faire... reine de conne!* Elle son corps suivit le geste de la dame et alla s'assoir dans le fauteuil proposé par Christine

Elle croisa ses jambes et replaça sa robe se demandant si c'était cette femme, l'endroit ou ce qui allait suivre qui lui faisait peur...*t'aurais pas du laisser Frédérique te détourner de ton chemin la dernière fois... tu n'en serais pas là!* Elle devint blanche, observant son pied qui jouait au pendule.

"madame... je... je ne vou..voulais pas vous....vous vexer... je..je suis dé...désolée, vraiment!"

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Toréador

Christine regarda Abigail prendre place dans des mouvements dénotant de la maladresse dûe à une timidité ou une frayeur qu'elle lui inspirait. Christine s'en étonnait car elle n'avait jamais inspiré une telle angoisse sans mot dire, ce n'était pas dans ses capacités surnaturelles. Etait-ce sa renommée parmi les humains qui l'intimidait? Ou son manque d'expérience? Car cette petite lui donnait l'impression qu'elle manquait d'expérience en matière de haute société. Lacune gênante chez une toréador, bien qu'il était reconnu que le clan était surtout principalement composé d'artiste.

-"Ce n'est rien." fit-elle d'un geste de la main. "Puis-je savoir ce qui vous trouble mademoiselle Mac Gowen?"

Christine la regardait d'un air attentif et concentré, réellement intéressée par la vampire.

Toréador

La jeune fille se replia un peu plus sur elle -même, elle ne la connaissait pas et ne savait pourquoi elle était là assise a côté d'elle... si elle l'avait déjà vue, elle n'était plus certaine d'ou et... Abigail respirait de plus en plus difficilement, tremblant légèrement...

"je... c'est que... "

Elle ferma les yeux une longue minute tentant de reprendre le dessus sur elle-même. ses souliers se retrouvèrent au sol, ses genoux vinrent contre sa poitrine

"je devrais pas être là..."

C'est tout ce qui sortie... rapidement... d'un souffle... sa mâchoire se serra... Effectivement elle ne devait pas être là, c'était du moins son sentiment premier. Elle n'avait aucune raison d'y être outre que se faire punir... et elle était capable de le faire seule...

Toréador

Christine médita quelques instants les propos d'Abigail, elle venait de comprendre qu'elle se sentait comme une écolière convoquée chez le directeur. Elle eut un sourire compatisant et tint à rassurer la timide rose.

-"Que voulez-vous dire? Bien sûr qu'on doit être là si notre primogène l'a demandé. Vous avez oublié la réunion qu'on a tenu avant-hier? Nous devons nous serrer les coudes pour redorer l'éclat de notre clan. Il est essentiel qu'on puisse communiquer là dessus n'es-ce pas?"

Elle se tut un court instant pour laisser la jeune fille s'imprégner de ses propos.

-"A moins que vous ne préfériez user de ces textos si pratiques mais si impersonnels?"

Toréador

Elle serra ses genoux contre sa poitrine... elle se rappelait bien cette rencontre Frédérique avait insisté pour qu'elle y soit... se n'était pas sa place non plus.

Elle ne voulait pas la connaitre cette primogène, comme elle ne voulait plus connaitre les membres de son clan... elle avait tenté 5 fois... les cinq avaient été douloureuses.

sa place n'était pas dans ce bureau... bien qu'elle avait tout gâché encore une fois et qu'il revenait a la primogène de l'humilier pour la punir...ça, ça elle avait comprit ça devait d'ailleurs pour avoir témoin de l'humiliation que l'autre rose était là

Redoré l'image du clan... je... je ne servirai à rien sur cette question... je ne suis que bêtises... bêtises, sur bêtises, sur bêtises...

Elle haussa les épaules... elle était pourtant pas si conne et gauche et angoissé avant... si seulement elle ne les avaient jamais rencontré tous les deux, tout irait encore bien.

Toréador

Christine haussa un sourcil devant l'auto-dénigrement dont faisait preuve Abigail. Elle était étonnée de voir un tel vampire manquer de confiance en lui-même, elle la soupçonna d'être nouveau née un instant puis se demanda si elle avait toujours son sire pour l'éduquer et l'aider.

-"Qu'est-ce qui vous fait dire ça ma chère? C'est votre sire qui vous en fait le reproche?"

Elle attendit la réponse, une curiosité non feinte se lisait dans ses yeux, sans jugement pour la timide rose.

Toréador

Elle devint plus pâle quand Christine parla de Nathan... la jeune fleur se replia un peu plus sur elle même...

je...je ne dis que...que la vé..vé...vérité madame. Il l'a sou...souvent... dis lui..lui aussi ! Il.. il n'aurait ja..jamais du!

elle étouffa un sanglot, fixant une œuvre au mur pour se changer les idées, elle ne devait pas pleurer, elle ne devait pas

Il disait que...que j'avais pas ce qui faut...ce qui faut pour être par...parmi vous et...et que je ne savais que..que faire des erreurs et ...

elle se tut, pourquoi elle racontait tout ca à cette étrangère ! *arrête Abi, elle a pas à savoir ça, ferme ta gueule tu es ridicule...encore !*

je..je suis désol...désolée je..je ne devrais pas vous... vous embêter a..avec tout ca!

Elle accota sa tête sur ses genoux

Toréador

La fleur semblait craquer, des sanglots étouffés se faisaient entendre tandis qu'elle bégayait. Christine comprit que celle-ci avait perdu son sire, sans doute par imprudence. Il était trop naïf, dire tout le temps la vérité pouvait être mauvais pour ses chances de survie en tant que toréador. Et d'autres clans encore pire. Elle se livrait dans le bureau, fort heureusement à l'abri des oreilles indiscrètes grâces aux épais murs de pierre. Christine ressentait des émotions pour cette petite, quelque chose qui lui donnait peut-être envie de la protéger. La pauvre se repliait sur ses genoux, comme pour étouffer son chagrin.

-"Ce n'est rien, on est dans un bureau bien isolé et vous ne m'embêtez pas ma chère."

Christine réfléchissait à la question d'éducation d'abigail dans le but d'assurer qu'elle soit équipée pour survivre. Elle aurait été désolée de voir une si ravissante vampire disparaître. Elle se posait des questions et réfléchissait car cette rose n'avait pas encore provoqué de scandale à sa connaissance et elle souhaitait que ça reste ainsi pour qu'elle n'aie pas à devoir se défendre. Celle-ci lui semblait si fragile émotionnellement.

Bien que compatissante, elle était distraite par ses propres préoccupations personnelles et ses ambitions, Christine offrit toutefois un sourire compatissant et se retint de caresser les cheveux de la rose.

Toréador

*Mais quand vas tu apprendre a fermer ta gueule !* elle ferma les yeux ! tentant de reprendre vainement le dessus... combien de temps faudrait il attendre dans l'angoisse avant que la lionne lui saute au coup? Était elle obligé d'attendre ? elle n'en était pas à une bêtise près. elle aurait a subir de toute façon alors en prendre un peu plus ou un peu moins... Elle regarda la porte, hésitante... *pourquoi tout simplement pas rentrer à la maison!?*

Elle resta immobile, immobile et silencieuse

Toréador

Christine deumeura silencieuse, commençant à sentir le temps s'étirer tout en admirant le bureau de la primogène toréador. Elle se demandait si la conversation qu'elle avait avec le primogène gangrel se passait bien. Inconsciemment, ses doigts commencèrent à tapoter les accoudoirs de son fauteuil. D'abord une seule main bougea les doigts sur un rythme lent, puis la seconde main se mit à faire pareil. Soudain, la vampire bougea et posa son menton sur sa main gauche en fermant le poing puis sa main droite accéléra ses petits tapotements de plus en plus rapidement en variant le rythme.

*Bon sang, j'espère qu'il n'est rien arrivé à Lady Elisabeth? Si dans cinq minutes elle n'est toujours pas là, je vais appeller sur son téléphone.*

Christine serrait contre elle sa pochette blanche assortie à sa robe blanche munie d'une cape de la même couleur.

Toréador

Elle sursauta quand Christine commença à « jouer de la chaise » avec ses doigts. Le silence qui s’était précédemment installé étant subitement interrompu par ce bruit régulier et pourtant oppressant.

Elle résista le plus longtemps qu’elle pu, se disant que ce geste devait calmer une impatience… mais elle ne pouvait plus le supporter et… en plus le rythme n’était pas juste et… et il lui semblait que la chaise enfin sonnait faux et… Elle se leva dans un geste soudain, resta figé quelques instants, se calmant

Je.. je suis dé..désolée, mais.. je … je crois que.. qu’elle nous a oublié et… et je vais profiter de… de cet oublie pour… pour éviter des réprimandes… j’ai.. j’ai pas fait exprès de..de paniquer devant le prince et… je mérite pas de…

Elle se dirigea vers la porte

Toréador

Christine vit qu'Abigail tentait de s'esquiver, comptant sur un oubli de la primogène pour échapper à une entrevue qu'elle ne souhaitait guère affronter. Elle sortit son portable et jeta un regard sévère à la jeune vampire qui tentait de fuir une confrontation.

-"J'espère que vous ne tentez point d'insulter notre primogène en vous esquivant. La politesse voudrait qu'on lui envoie un message pour savoir si nous pouvons disposer et revenir plus tard. N'est-ce pas?"

Elle pianota sur l'écran tactile et envoya un sms à Lady Elisabeth.

Spoiler:

Elle regarda Abigail qui se dirigeait vers la porte. Elle l'avertissait qu'elle risqiait pire si elle partait sous prétexte que Lady l'avait oubliée.

-"Je n'ose imaginer quelle serait sa colère si elle entrait et ne vous trouvait point où elle vous avait demandé d'attendre. De plus je doute qu'elle aie des reproches à vous faire. A moins que vous ne m'ayez caché une sordide histoire?"

Christine provoquait ainsi la rose pour obtenir une réponse plus précise et cohérente, bien que le risque d'un résultat inverse existait fortement avec une fille ausi timide et introvertie.

Toréador

Abigail regarda Christine, enfin, elle regarda dans sa direction... elle avait peut être raison, mais elle avait si peur ! Elle avança lentement pour retourner s'assoir sur la chaise ou elle était.

Je..je n..ne voulais ins...insulter personne...

elle se replia sur la chaise et elle se replia dans le silence

Toréador

[ile saint Louis]

Mélissange avait passé les gardes et traversé le Louvre à grand pas. Apprenant à l'entrée qu'il n'y avait plus de Fléau ni de prévot, elle avait décidée de filer droit vers Harmonie.

Celle ci savait déjà une bonne partie de l'histoire, mais elle devait à tout prix la guider pour la suite.

Pénétrant dans le bureau, elle saluat ses soeurs avec grâce malgré les longs sillons de sang séché parcourant ses joues rosées.

Directement elle alla vers la sécrétaire, lui demandant à prendre rendez vous avec sa pirmogène.

Membre du Staff

Alicia saluat avec une grâce polie la jeune femme puis répondit au vibreur de son appareil. Après avoir lu le message, elle se tourna vers les jeunes femmes patientant dans la salle.

"Vous me voyez navrée de vous informez que Lady Elisabeth est retenue pour la nuit pour une réunion. Elle me demande de l'en excuser et de vous demander de revenir demain." Un petit sourire timide, elle retourna à ses occupations.

Toréador

La rose soupira, comme si le sort s'acharnait contre elle...

Pas de Fléau, pas de prévot, pas de primogène. Que restait il ?

"Dites lui que Mélissange souhaitait la voir de toute urgence...Je serais dans le bureau de gestion de crise, juste en face" Levant les yeux au ciel tout en se tordant les mains, elle fila dans le bureau de crise où elle pourrait réfléchir à la suite donner à tout cela.

Elle saluat de nouveau les deux jeunes femmes, avec un air triste à crever puis fila à la porte d'en face.

[Sortie vers bureau de crise.]

Toréador

Christine eut à peine le temps de saluer sa soeur Melissange que la secrétaire annonçait que Lady Elisabeth ne pourrait les rejoindre. Elle remercia celle-ci d'une inclinaison de la tête puis se tourna vers sa timide soeur Abigail.

-"Voilà qui résoud le dilemme, nous pouvons disposer sans avoir commis d'impair. J'espère que ça ira pour vous ce soir? A moins que vous n'ayez besoin d'aide?"

Christine s'était imperceptiblement détendue, elle avait craint qu'Abigail ne parte sans respecter le protocole, la colère de la primogène était à craindre, elle se souvenait trés bien de la critique de mode qu'elle avait croisée le soir de son arrivée. Elle avait essuyé une sévère remontrance et se demandait si elle était restée à Paris ou si elle avait choisi de prendre ses cliques et ses claques pour des destinations plus hospitalières.

Toréador

La jeune rose se leva dès qu’elle eut recu la permission de quitter… elle tenterait de ne plus remettre les pieds au Louvre…enfin ! Difficile tout s’y passait mais… à cet instant elle se disait que… pour éviter les problèmes c’était une solution et une bonne solution !

Son cellulaire vibra… elle regarda le message et triste, elle rangea le téléphone tout en quittant le bureau. Elle repasserait par le salon et ensuite fuirait vers la maison…

Elle fit une petite révérence à Christine

Bon..bon soir …

Puis, elle quitta rapidement le bureau et l’étage et ajustant la robe, tenant son sac contre sa poitrine.

(départ petit salon)

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