Elle le regarda... il n'était pas sérieux là... non ca sera pas un "beau couple"... elle réfléchit et vit un paquet d'images dans sa tête... elle éclata de rire...

 ouais... je vois ca d'ici !magique !

elle rigolait et lui rendit son coup d'épaule, juste un peu plus fort

 mais par précaution je vais quand même attendre un peu avant de de donner un coup de pouce pour ta force... c'est le seul avantage que j'ai en ce moment...

 elle lui sourit, tenté a l'idée de le pousser en bas du bureau... elle se retint ! elle décolla le t-shirt qui lui collait à la peau puisque tout mouillé et fit de même pour le jeans...

Il la regarda en biais avec un sourire en coin.

- C'est pour me mettre une fessée si je fais quelque chose de mal que tu veux garder l'avantage?

Il fit une pose, en faisant semblant de réfléchir.

- Et si j'agis bien, c'est quoi ma récompense?

Il la vit retirer son tshirt mouillé et son jean qui était dans le même état.

- T'as jamais pensé à faire miss tshirt mouillée?

Lui donner la fesser ?

 oh non ! jamais !

 franchement, jamais elle oserait faire chose pareille, comment pouvait il s'imaginer pareille chose...

s'il agissait bien ? une récompense ?

je.. euh...

 il avait quoi derrière la tete là... Fey était légèrement mal sur le coup, il pensait à quoi ... qu'est ce que les gars s'était compliqué !

dernier commentaire... la goute qui faisait déborder le vase... concours de t-shirt mouiller... elle le poussa en bas du bureau !

 t'en a d'autre des comme ca ?

elle était sérieuse ? elle n'avait pas apprécier  ?

J'ai l'air d'une...

Elle ne finit pas la phrase, elle resta dans le role le plus longuement possible... non elle avait pas apprécier mais elle lui ferait pas la gueule pour si peu... il était déjà sur le cul par terre... c'était assez... elle lui sourit !

Balthazar se retrouva le cul par terre, ebete. Il n'avait pas vu venir la ruade. Mais il partit à rire comme si on lui avait raconté une bonne blague.

- Ah voilà j'ai enfin réussi à t'énerver un peu. Il était temps avec tout ce que je t'ai fait subir cette nuit. C'est aussi pour ta douceur que je te veux.

Il se releva et se massa les fesses.

- Mais c'est que tu m'as fait mal dis voir.

Il souriait.

Il riait ? elle baissa les yeux...

 écoute... tu me dis une autre bêtise comme celle là et c'est plus que tomber du bureau qui t'arrivera... je ne fais pas ce genre de chose...

elle se leva et alla à la fenêtre

 c'est pas parce que je viens de...

Elle se tut, elle n'avait pas a se justifier, elle n'avait pas aimé... surtout de lui... surtout là...  ses points se serrèrent... elle avait toujours fait son possible pour s'en sortir sans être une trainée, elle n'aimait pas ca... trop fière peut être ?

de ses points commençaient a couler goute à goute un peu de sang... ses points trop serrés, les ongles étaient entrés dans la chair. tout son corps était pret a frapper... elle fixa au loin, fit le vide... et se calma...lentment

Balthazar s'aperçut que quelque chose n'allait. Fey s'était éloignée et semblait se refermer. Il se sentit coupable. Il se leva et vint vers elle.

- Fey...Visiblement j'ai dit quelque chose qui t'as énervé. Je te demande pardon. J'ai parfois la parole facile qui dans ma tête est sans conséquence , mais qui en ont pour ceux qui m'écoute. Suis pas doué pour lequel relations sociales. Je ne voulais pas te manquer de respect.

Il lui posa la main sur l'épaule quelques instant et la retira après. Il se sentait mal d'avoir dit quelque chose qui avait pu la blesser. Ce n'était pas digne d'un gentilhomme.

Fey senti la main de Balthasar sur elle...sur son épaule... elle se calmait lentement elle ne devait pas s'emporter, pas pour ca, ca se voulait une blague...du moins surement..

elle l'écouta... puis elle se tourna

 s'était une blague non ?!? tu ne me perçois pas réellement comme... comme une fille de bas étage, de... je suis visiblement moins bien née que toi, mais...

elle avait si peur de la réponse... elle le regardait, nerveuse... sa main grattant le vide... se dirigeant doucement vers sa cuisse... il ne fallait pas qu'il pense qu'elle fut ce genre de personne...

Il reçut la réponse comme un crochet du droit dans le foie. Il resta coi un moment puis la pris dans ses bras et la serra si fort que s'en était presque désagréable.

- Grand dieu non! Non Fey! Non! Non pas ça!

Il ponctuais chaque non en lui déposant un baisier sur l'épaule, la joue, le front.

- J'ai eu un discours déplacé du à mon humour parfois potache. Je suis désolé, vraiment. Je voulais pas te peiner. Jamais! Je suis un idiot voilà tout!

Il resta silencieux en la serra encore contre lui mais cette fois la tendresse l'emportait sur l'intensité. Puis il se recula un peu, pris une de ses mains et la posa sur son torse.

- Sens tu quelque chose?

Bien sûr elle ne sentit rien du tout.

- Je sais que mon cœur est mort et ne plus battre, que mon âme est damnée. Mais je sais que mes yeux voient, et que j'aime te regarder. Que mes oreilles entendent et que j'aime ta voix. Que mon nez hume, et que j'aime ton parfum. Que mes lèvres goutent, et que j'aime t'embrasser. Que mes mains touchent, et que j'aime te caresser. Pour tout ça j'aime être avec toi.

Il déposa un baiser timide mais tendre sur ses lèvres.

- Et jamais je te jugerai sur tes origines. Mon père était peut être de famille noble, mais je n'étais qu'un bâtard. Une chose qui lui rapellait chaque fois qu'il posait les yeux sur moi, qu'il avait commis une faute. Je me fous d'où les gens peuvent venir, leur héritage ou autre. Ce qui compte pour moi c'est leur valeur, leur beauté d'âme. On a beau être des créatures de la nuit, la tienne m'attire comme un papillon de nuit avec une lanterne. Tu es comme un phare dans ma nuit de solitude.

Quand il eût fini, il posa sa tête sur son épaule et resta comme ça, les yeux fermés.

Elle avait bien fait de demander avant de s'emporter... une blague... pourrie mais une blague. Elle resta avec un doute, un doute qu'elle chassa rapidement

 je ne veux pas te bruler papillon...

Elle passa lentement ses bras autour de lui... lui signifiant par le touche la trajectoire que ses bras prenaient

Je m,emporte parfois facilement pour des trucs comme ça je suis désolée, terriblement désolée...j'ai préféré demander au lieu de...

elle soupira... ses mains avaient au moins arrêtée de gratter !

 ces bras avait dès lors fait le tour de Balthasar, risque qu'elle avait besoin de prendre... peu importait la conséquence, peu importait le temps que cela durerait...

La tête de Balthazar était toujours posée sur l'épaule de la brujah. Ses bras l'entouraient doucement. Les yeux toujours fermés, il s'abreuva du parfum de Fey. Elle sentait si bon. Le fait qu'elle était trempée ne le gênait pas plus que ça.

- Ne t'en fait pas pour ça. Je sais bien que nous autres, nous avons tous nos petits sujets délicats à ne pas aborder sous peine de grande fureur de notre part.

Il finit par déloger sa tête de son épaule la regarda et lui sourit timidement.

- Tu veux dormir dans mes bras aujourd'hui?

Il restait calme... elle l'avait serré et il restait calme... et en plus il la regardait et... il se passait quoi avec lui ! elle sourit ... il n'avait pas réagit !

 Balthasar...

elle exerça une toute petite légère pression de ses bras autour de lui pour lui signifier qu'elle le tennait contre elle. peut être n'avait il tout simplement pas remarqué... et en plus de ne pas réagir a son câlin, il lui demandait de passer la journée avec lui...là elle se referma... dans un endroit qu'elle ne connaissait pas... dans les bras de... pourquoi elle se méfiait tant ? ca ne lui ressemblait pas...

Elle était confuse tout à coup... elle se laissa glisser contre lui jusqu’à se retrouver au sol...

 il se passe quoi avec moi là ?

Balthazar la regarda glisser a sol avec un air interrogatif.


- Fey qu'est ce qui t'arrive? Tu ne te sens pas bien? Dis moi quelque chose!

Il la releva et la transporta sur le lit. Là il la coucha et cala sa tête sur sa cuisse. Il lui caressait les cheveux.

- Qu'est ce qui t'arrive Fey?

Il la relevait... la soulevait... l'installait sur le lit ?... il s'installa avec elle, lui caressant les cheveux... il voulait savoir... elle aussi voulait savoir ! elle ne se comprenait pas...

J'en sais rien Balthasar... soit... soit j'ai changé sans m'en rendre compte, se qui serait surprenant vue que généralement j'ai un mal de tête qui donne envie de mourir et qui me fait déconnecter de tout quelques instants... soit il se passe quelque chose que je sais pas c'est quoi !

Elle se tourna sur le dos, pour le voir...

 je me sens étrange... j'ai peur, je suis nerveuse, chaque fois que j'ouvre la bouche je me demande si j'ai dit une bêtise... ce que tu dis qui serait généralement fâchant, mais anodin, me blesse...je me sens gauche, mal habile mais en même temps bien... je stress a l'idée de rester et je hais l'idée de partir...

elle mit les mains devant son visage

je ne me comprend pas là ... pas du tout !

Il l'avait écoutée, cherchant la cause de son désarroi. Puis il tenta une explication.

- Je...hum... je ne veux pas passer pour un égocentrique, mais ton tracas est peut être du au fait que je t'intrigue plus que de raison?

Il attendit qu'elle réponde, mais au fond de lui espérait une réponse bien particulière. Il espérait peut être même un peu trop.

Lentement elle retira ses mains de son visage... la théorie de balthasar n etait peut être pas fausse, du moins l idée valait que l on prenne le temps de se questionner! Oh oui il l intriguait, definitivement, mais...pourquoi? Qu est ce qu il avait de si intriguant... bonne famille mais maltraité car le bâtard, agresser, sodomie probablement vue sa crainte a etre touche a cet endroit et son affection particuliere pour le popotin de la gente feminine. Son besoin de comtroler expliquait la difficulter a l approcher et a faire confiance, mais... pourquoi il l intrigait a ce point car c était le bon mot intriguer...

* tu as raison balthasar... tu m intrigues...mais, pourquoi? J veux dire que... ma curiosité ne m a jamais fait me sentir etrange comme ca et parler pour rien comme je le fais et...

Elle soupira et tourna les yeux vers lui

* tu me mélange... je ne me comprend plus et c est de ta faute... je me sens ridicule!

- Le ridicule ne tue pas, J'en sais quelque chose. Ne T'en fais pas de trop. J'aspire à des choses simples.

Il l'attira contre lui pour qu'elle vienne se caler dans le creux de son épaule. Il lui fit un baiser sur le front et mis son bras sur le ventre de la femme. Il sentait qu'il repartait vers le sommeil. Il n'aarrivait plus à réfléchir. Toit ce qu'il voulait c'était dormir avec Fey dans ses bras. Il ferma les yeux et sombra.

il l,avait attiré contre lui... visiblement il était a sombrer, la torpeur diurne venait lentement le chercher tandis que Fey se posait toujours milles et une questions... il faudrait vraiment qu'elle apprenne un jour à se fier à son instinct et qu'elle tente de ne plus rationaliser les choses ou... tenter de comprendre et accepter ! quoi que... comprendre, rationaliser et accepter l'avait sauvé a plusieurs reprises... elle serait encore en train de déprimer sur son agression si elle ne s'était pas expliquer que le pauvre bougre qui lui avait fait vivre cet horreur avait un paquet de motivations et de circonstances qui l'avait mené à ca ! Elle savait que quelque part elle était toujours dégoutée du geste, elle savait que quelque part elle avait encore peur quand elle était seule, elle savait qu'il avait brisé des choses en elle... qu'elle le haïssait... mais...

Mais là ici maintenant à quoi lui servirait de comprendre pourquoi Balthazar la rendait toute bizarre, elle cherchait, la tête au creux de son épaule, déposant son bras sur son torse... se disant ici qu'elle ne comprendrait jamais... se disant là que ce n'était pas une raison d'arrêter d'essayer !

la torpeur venait la chercher elle aussi, elle la sentait venir alourdir ses membres... le soleil allait montrer son nez bientôt...elle ferma les yeux !

Balthazar ouvrit les yeux. Il fixa le plafond pendant quelques instants. Il avait fait des rêves bizarres, mais agréables. Le style de rêve qu'on regrette quand on le fait, mais qui laisse une agréable sensation lorsqu'on se réveille.
Il baissa les yeux sur ventre et vit la tête de Fey posée sur son torse. Il eut un sursaut mais se calma dans la foulée. Ça lui revenait à présent, ils avaient passé la journée ensemble. Il sourit mais fit son possible pour se dégager sans la réveiller. Il lui mit l'oreiller sous la tête et s'assit sur le lit. Il resta à la regarder dormir avec un sourire collé aux lèvres. La nuit commençait bien. Il se pencha sur elle et lui déposa un baiser sur la joue et lui passa la main dans les cheveux.
Puis il, se leva à regret et alla dans la salle de bain.
Il se brossa les dents puis se déshabilla. Il entra sous la douche et fit couler l'eau. Il avait réglé l'eau pour qu'elle soit juste suffisamment chaude sans être bouillante. Il mit la tête sous le jet d'eau. Cela lui fit du bien, finit de le réveiller. Il posa ses mains sur le mur en face de lui et resta sous le jet. Là il repensa aux choses qui furent dites et faites la nuit passée. Quelques passages le troublaient comme les fois où Fey put le toucher sans que cela entraine une réaction de carnage de sa part. Pourquoi? Pourquoi elle? Que cela pouvait il signifier? Il resta là se poser mille questions qui se préoccupaient.

Elle sortie enfin de torpeur...elle s'étira lentement, comme un chat...enfin presque ! Quelque chose n'allait pas ! la position dans laquelle elle avait dormi, ce n'était pas la bonne... enfin pas la même que d'habitude. l'odeur, les draps... elle n'était pas chez elle ? Suite à la rant elle avait été au Louvre, blessée, puis le gars bizarre qu'elle était pas certaine de connaitre l'avait ramené chez elle à la demande du nouveau primo...le jour se levait pas possible qu'on l'ait déplacé.

 Fey ouvrit les yeux... elle était dans le Louvre elle reconnaissait le genre ! du bruit dans la salle d'eau ? elle était nue... Nue dans un lit qu'elle connait pas et pas seule... Elle n'aimait pas ca, pas ca du tout ! Elle chercha ses vêtements des yeux, ne les trouva pas... trouva des vetements à elle éparpiller, mais... enfin mieux que rien, elle s'habilla...son téléphone était dans la poche... elle le prit... et regarda les messages...* Dimitri ca va... Oana et Balthazar moins sur... me manque un bout là...*

Elle rangea le cellulaire et se dirigea vers la salle d'eau... un gras ? la tête lui disait quelque chose *ca doit être Blthazar je suis revenu au Louvre avec !* d'un geste rapide, elle ferma l'eau et planta son regard droit dans celui de Balthazar... elle n'entendait pas à rire, dans sa tête il lui devait une explication...

Ok... té qui ? qu'est ce que je fais là ? pourquoi j'étais nue dans le lit ? et ne me niaise pas...

L'eau s'arrêta de couler. Balthazar se retourna et vit Fey qui se campait devant l'air, l'air colerique. Elle s'était habillée de façon brouillone.

- Bonsoir Fey. Tu as si mal dormi que ça?

Il levait un sourcil interoggatif. Si elle était vêtue, lui faisait face dans le plus simple appareil. L'eau finissait de s'egouter sur son corps.

- Je suis Balthazar. Nous avons passé la nuit ensemble. On attendait une entrevue avec Dimitri mais elle ne vint jamais. Alors je t'ai proposé de faire un tour dans les couloirs du louvre. On a flâne. On s'est rapproché l'un de l'autre puis on a atteri ici dans ma chambre. Nous avons fait l'amour, ce qui explique pourquoi tu étais nue. Et après avoir discuté, nous nous sommes endormis. Si je ne me trompe pas tu dois avoir une série de photo de nous deux dans tes affaires pour le cas où justement tu ne te rappellerais plus de moi.

Cette dernière phrase il l'avait dite les yeux baissés au sol, la voix à peine audible. Bien qu'elle l'avait prévenu que ça pouvait arriver, il était peine de la chose.

[ Prière de ne pas tenir compte de mon post précédent jen'avais pas vu que j'étais sur mon autre compte, si il y a possibilité pour le staff de le supprimer ]

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L'eau s'arrêta de couler. Balthazar se retourna et vit Fey qui se campait devant l'air, l'air colerique. Elle s'était habillée de façon brouillone.

- Bonsoir Fey. Tu as si mal dormi que ça?

Il levait un sourcil interoggatif. Si elle était vêtue, lui faisait face dans le plus simple appareil. L'eau finissait de s'egouter sur son corps.

- Je suis Balthazar. Nous avons passé la nuit ensemble. On attendait une entrevue avec Dimitri mais elle ne vint jamais. Alors je t'ai proposé de faire un tour dans les couloirs du louvre. On a flâne. On s'est rapproché l'un de l'autre puis on a atteri ici dans ma chambre. Nous avons fait l'amour, ce qui explique pourquoi tu étais nue. Et après avoir discuté, nous nous sommes endormis. Si je ne me trompe pas tu dois avoir une série de photo de nous deux dans tes affaires pour le cas où justement tu ne te rappellerais plus de moi.

Cette dernière phrase il l'avait dite les yeux baissés au sol, la voix à peine audible. Bien qu'elle l'avait prévenu que ça pouvait arriver, il était peine de la chose.

Ok ! c'était ce qu'elle pensait... il lui manquait une case... un casier pour être exacte...il lui manquait a elle ! elle prit son cellulaire regarda la date...paru dépassée. La brujah rangea lentement le cellulaire dans sa poche, vida le contenu des autres, regardant le mot qu'elle ne comprenait pas... le jetant au sol... regardant les photos dont avec parlé ce Balthazar... elle se retrouvèrent au sol... puis aussi lentement que le contrôle de la colère l'exige, fey se tourna et sortie de la salle de bain en faisant exploser le cadre de la porte... il y avait déjà un trou dans le mur tout près elle pouvait se le permettre non ?!?

Elle alla s'assoir dans le fauteuil et envoya un message...

Visiblement on a passé la nuit dernière ensemble... autre chose que je devrais savoir ?

le ton était froid... direct. Elle ne savait pas trop quoi penser de la situation et elle n'aimait pas ca !elle ne comprenait pas pourquoi elle ne se rappelait pas, elle ne comprenait rien à ce qui se passait et ca la faisait royalement chier !

Fey sortit de la salle de bain en se contrôlant à peine. Le montant de la porte n'y résista pas. Il allait vraiment se faire tirer les oreilles quand il rendrait la chambre.

Il se sécha et enfila ses vêtements. Puis il ramassa les photos qui étaient devenues trempées. Le mot, il le laissa dans les flaques d'eau. Il sortit de la salle d'eau se s'arrêta à une distance raisonnable de la brujah vu son état.

- Autre chose que tu devrais savoir? Un truc dont tu n'es pas concerné, mais que si tu restes en ma compagnie pourrait te valoir des ennuies.

Il était reste vague intentionnellement. Il n'avait pas envie de tout lui expliquer à nouveau depuis le début. Puis en y réfléchissant bien ça la mettrait en sécurité si elle s'éloignait de lui pour le moment. Le problème c'est que l'idée le faisait souffrir. Mais un gentilhomme savait faire passer l'intérêt de sa belle avant le sien.

- Et autre chose, j'attends toujours ta réponse officielle pour savoir si je peux te faire la cour.

Il s'approcha, elle le fixa...

 des ennuies ? ca un lien avec le fait que j'ai demandé a Dimitri une rencon...

La phrase s’interrompit... pourquoi le m'sieur chef l'avait confié a Balthazar quand elle était blessée ?

 une rencontre ?

et il changea de sujet bien rapidement de sujet pour... lui demander la permission de lui faire la cour ? une permission de... elle le regarda hébété. lui, lui faire la cour à elle ? elle avait une tête de fille que l'on courtise ?

 J'ai l'air d'une petite fille de la haute qui se cherche un mari ? me faire la cour ! mais c'est quoi ça ? ça sort d’où cette histoire là ? qu'est ce que ... OK !?!!! Stop... tu poses ton cul sur le lit et tu m'expliques tout... bon il m'en manque un bout ça me parait évident... on a baiser, bon ! vue l'air que t'as, c'est plus que possible, mais... pourquoi m'sieur dimitri m'a confié a toi ? comment ca tu me connais ? pourquoi tu me courtiserais ? et outre baiser et marcher dans le louvre et faire des petite photos cutes...il s'est passé quoi ?

Balthazar prit sur lui. Vraiment beaucoup. Il la savait deboussolée mais il n'aimait pas trop qu'on lui parle de cette façon. Il s'assit donc sur le lit, la mâchoire crispée. Un silence plus tard qui lui permirent de trouver des mots neutres, il prit la parole.

- Je ne sais pas pourquoi Dimitri t'a confiée à moi. Peut être a-t-il jugé que je serai apte à prendre soin de toi. Puis c'est lui le boss maintenant alors je fais ce qu'il me dit de faire. Les ennuis, je pense pas que c'est du au fait que t'ais demandé une rencontre. Ça me concerne plutôt. Tu serais juste un dommage collateral pour eux. Et il ne t'ai rien arrivé d'autre. Je ne suis pas ton ennemi. Je ne te veux pas de mal. Au contraire.

Il acheva sa réponse. Il se tenait droit, les bras croisés sur son torse.