Elle se rendit compte qu elle etait bete avec lui qui sembalit faire son gros possible... elle ne l admetterait jamais, mais le ton changea, devenant plus poli, plus agréable. Elle lui sourit aussi. Le telephone vibra, elle prit le sms.

* M sieur dimitri sera bientot au salon.. et visiblement e3frfectivement tu ne me veut pas de mal sinon je serais a t arracher tes crocs.

Elle rit elle faisait quoi maintenant... elle reprit son telephone et lut les messages envoye le jier qu elle ne se rappelait pas... elle reflechit tentant de faire des liens.

* s cuse? Tu dors avec un couteaux ?

Elle se radoucit, du moins en ton. Balthazar se decrispa mais resta sur ses gardes. Elle l'avait suffisamment prévenu qu'elle pouvait être aussi ... compliquée. Il eût un sourire en coin en ce qui concerne la remarque sur ses crocs. En toute honnêteté cet aspect de sa personnalité le surprenait vraiment, voir même le destabilisait. Mais un tel caractère l'attirait encore plus.

- Je dors avec un couteau car j'aime bien être paré pour toute éventualité quand je dors. Je suis quelqu'un de prévoyant.

Il lui sourit, puis se leva.

- Et en se qui concerne Dimitri, je suis convié ou pas?

Elle se pencha sur son téléphone et relut le tout ! elle devait comprendre... Elle le regarda, il se levait ?! oh bah pourquoi il se lèverait pas ! 

d'après ce que je vois ici, on a demandé un rendez vous a Dimitri à cause d'un mot d'Oana...

Une lumière dans ses yeux... Oana la grosse peau de vache de la rant... et le retour d regard qui comprend rien et le retour de la colère, la chaise se brisa, ses bras éclatèrent sous la pression des mains de Fey

J'ai surement pas demandé un rendez vous au primogène pour casser du grain sur le dos de la peau de vache et c'est quoi cette histoire de mot d'Oana ?

Elle poussa du pied les restes de la chaise. elle devait reprendre le dessus... sa bête était proche...elle devait reprendre le dessus

 Ok...calme toi...c'est pas grave... relaxe...relaxe... arrête de penser....

Elle s'allongea sur le sol...

Il la regarda briser la chaise, impassible. À ce petit jeu là il n'y aurait bientôt plus de mobiliers dans la pièce. Maintenant elle s'allongeait par terre. Il attendit qu'elle finisse son sutra d'apaisement pour prendre la parole.

- Oui en effet, le rendez vous me concerne plus principalement. Tu avais proposé ton aide. La grosse peau de vache comme tu l'appeles, personnellement je la nomme avec d'autres mots doux, est la complice d'une personne qui tient absolument à me détruire. Comme tu le sais elle était à la rant et je la soupçonne d'être à l'origine de l'effondrement du bâtiment. Le problème c'est qu'au stade actuel je ne sais pas encore si ce qui c'est passé à la rant était pour m'atteindre personnellement ou si ça visait le clan entier.

Elle le regarda...

 si mon primogène m'as confié à toi c'est que té un frère et donc il est évident que je te donnerais un coup de main! je ferais tout ce qui est possible pour t'aider... on va commencer par cette rencontre ensuite on trouve la peau de vache on lui fait la peau et.. eh té le gars du bar... c'est toi qui a acheter le vieux bar... on a danser ensemble ! 

elle lui sourit elle commençait à le replacer

elle te veut quoi cette personne qui a "embaucher la folle"

Elle replia ses jambes contre son ventre et se propulsa pour se retrouver debout.

 eh ! t'aime pas qu'on te touche !

Elle le regarda étrange, décontenancée

on a fait comment pour baiser ?


cette nuit était pas simple...elle comprenait rien et trouvait plus de question de de réponse...ca la faisait chier !

Balthazar sourit quand quelques fragments de la nuit passée remontaient à la surface des souvenirs de Fey.

- Oui en effet tu as raison sur toute la ligne. En ce qui concerne ta dernière question, j'ai découvert que j'arrivais à supporter que toi, tu arrives à me toucher. Tu serais une sorte d'antidote pour moi. 

Puis il fit silence pour se prendre quelques instants avant de répondre pour ce qui concernait son passé. Il fallait malgré tout reprendre depuis le début.

- Cette personne est mon grand Sire. Pour faire court, je fus créé pour servir de mannequin d'entrainement à mon Sire. Il ne me portait pas dans son cœur de son vivant et ça c'est pas arrangé quand on est passé de l'autre côté. Puis au fur et à mesure, je suis devenu plus fort que lui et j'ai profité d'une nuit que mon grand Sire nous laisse pour lui trancher la tête et lui foutre le feu. Le vieux a pas apprécié et ça c'est terminé par un beau combat. Je dois ma non-vie à l’effondrement de la bâtisse où on était. J'ai pas mal ramassé et je suis tombé en torpeur. Visiblement il ne m'a pas retrouvé jusqu'à maintenant. Voilà en résumé la situation.

* je peux?

Dit elle en venant s assoir sur le lit en tailleur

* je comprend que tu ais voulu le detruire, j aurais souhaiter pareille mais, du coup je comprend qu il désire faire de meme! La prochaine fois faudra pas le ratter hein!

Elle lui tira la langue a la fois joueuse et moqueuse.
Elle se remis a chercher la nuit derniere, il devrait en rester des fragments quelque part dans sa tete... elle soupira

* j y arrive pas... un gros paquet de vides... j arrive pas a me souvenir d hier... tu pourrais me raconter un paquet de conneries je devrais te croire... enfin bon! Faudrait que je prenne des notes...

Elle rigola

* il doit y etre la le m sieur dimitri... on y va quand t es prêt!

Il écoutait ce quelle disait avec sérieux. Surtout le passage de la vendeta.

- oh t'inquiète pas pour ça, je le raterai pas. Faut juste que je sois un peu plus fort. C'est pour ça que je t'ai demandé de m'aider à atteindre un niveau supérieur dans L'héritage du clan.

Il écarta les bras et la regarda.

- c'est quand tu veux, je te suis.

Elle se dirigea vefrs la salle d eau et reajusta ses vetements...elle ne correspondait pas au regles de lelyseum, alors aussi bien les porter comme il faut... elle placa ses cheveux et revient marchant droit vers la porte.

* allons y!

( sortie petit salon)

Fey avait remis de l'ordre dans son apparence et avait donné le top départ. Balthazar la suivit donc pour le petit salon. Il abaissa sa capuche sur la tête et ferma la porte de la chambre.
Sur tout le chemin du retour il eût le loisir d'admirer les hanches de la brujah se balancer aux gres de ses pas. Au moins il avait droit à un lot de consolation après la scène qui c'était passée.

[------> petit salon]