Fey se tourna et s'éloigna de la fenêtre, remerciant Balthazar, du coup de téléphone, d'un sourire sincère. Le trou dans la cuisse était fermé à présent et Fey était d'une blancheur incroyable...

Victor préférait attendre... soit... c'était son affaire


 elles resteront ici jusqu'à ce que vous soyez prêt...

puis il demanda encore quelque chose... il n'avait pas parlé à Venise encore, il n'avait pas fouillé les archive encore et là de la sale magie trémère dans l'élyséum... Elle ferma les yeux... l'idée même lui faisait mal, elle trembla légèrement sa tête douloureuse les fils s'entremêlaient à nouveau...et on frappa à la porte

 je veux connaitre l'opinion de votre primogène à ce sujet...

elle marcha vers la porte

Madame la primogène... bienvenue ...désolée de vous déranger à la veille de cette bataille, comme nous tous vous devez avoir beaucoup à faire... entrée, ce ne sera pas long je vous le promet !

Elle lui fit place et lui indiqua un fauteuil ou elle pouvait s'assoir, si elle le voulait bien.

Je ferais court... très très court ... nous nous inquiétions au sujet du mathusalem qui avait été enfermée... enfermée avec le Baali sou...sous le Louvre... par...par..sous le règne de...de son excellence le prince Villon. était ce un sacrifice de votre clan afin de maintenir l'artéfact et le baali sous terre ? ou devons nous en cette bataille qui nécessitera toutes les forces possibles... s'attendre à une attaque surprise... ou une tentative de voler l'artéfact qui..qui a été con..confié au clan trémère

Elle avait été s'assoir... elle devait se contenir... elle parlait en regardant droit devant elle ne fixant personne les souvenirs étaient terriblement douloureux

Balthazar laissa Fey s'exprimer sur la question de Victor, n'étant pas dans son bureau, mais l'idée d'avoir un Tremere faisant ce qu'ils font, sans surveillance dans l'Elysium ne l'enchantait guère. 

La Primogène Nosfératu arriva sur ces entre-faits. La sénéchale la briefa assez rapidement. Peu après le Gardien reçut un sms l'avertissant qu'un serviteur attendait derrière la porte avec les rafraichissements qu'il avait commandé. Il alla ouvrir discrètement la porte et prit le plateau des mains du type. Il le remercia d'un hochement de tête et referma la porte. Il alla déposer le plateau sur un petit meuble dans le bureau où les gens pourraient venir se servir lorsqu'ils le voudraient. UNe fois fait, il alla reprendre sa place auprès de Fey.

Victor fut surpris par les mots que Fey prononça. Il n'avait pas du être clair dans ses propos. Que faire ? Rapidement, il se remémora que les règles de l'étiquette imposaient de ne jamais mettre en défaut son hôte, aussi Victor opta pour aller dans le sens de ce que Fey avait compris, et, tout en se disant qu'il devra prendre son mal en patience, lui dit :

"Je vous remercie encore une fois pour ce geste, et avec votre accord, je reviendrai demain si mon état me le permettra, pour lui adresser mon ultime adieu."

Puis la Sénéchal semblait hésiter quant à sa demande d'autorisation. C'était prévisible et compréhensible, au vu de son expérience avec la magie de son clan. Sa réponse était clairement de botter en touche : demander à De Lestrain ne posait aucun problème en soit, seulement, Victor savait qu'il était occupé à préparer le rituel du lendemain, aussi il était peu probable qu'il puisse lui répondre suffisamment rapidement ; le but initial était de gagner du temps dans les recherches, pas d'en perdre. Mais bon, envoyer un message ne prendrai pas trop de temps, alors, pourquoi pas...

"Je comprends bien vos réserves", dit-il sans arrières-pensées. "Je vais directement envoyer une demande auprès de mon primogène."

Spoiler:

La Sénéchal alla ouvrir la porte, pour laisser entrer la primogène Nosfératu, qu'il n'avait jamais rencontré auparavant. Victor ne put qu'être impressionné par la vitesse de réaction de cette dernière, et la salua avec respect. Et en même temps, se sentant de plus en plus petit ici, il ne se présenta pas lui-même, ne souhaitant pas interrompre les grands de la Praxis dans leur échange. S'il venait à les intéresser, bien évidemment il le ferait avant d'entrer dans la conversation, mais en attendant, il observa un silence respectueux, se plaçant légèrement en retrait.

De même, quand Balthazar déposa un plateau de rafraichissement sur un petit meuble, et signifiant par son attitude que chacun pouvait venir s'y servir, et alors même qu'il ressentait la nécessité d'accepter, Victor patienta afin que ce soient d'abord ses hôtes qui commencent avant de se servir lui-même. Il adressa un petit signe de tête pour remercier le Gardien et lui faire comprendre qu'il en prendrait bien un, mais un peu plus tard.

Venise ne se gênait pas pour faire la gueule et envoyer des regards noirs à la ronde pour bien exprimer son contentement d'être là. La Sénéchale bafouillait des questions qu'elle aurait pu lui poser depuis un mois, et Venise aurait eu tout le temps d'y réfléchir.

"Merci madame la Sénéchale. Je suis touchée... Réellement... Par la sollicitude dont vous manifestez pour ceux de mon Clan."

Mis à part le Fléau et très récemment le Prince, elle n'avait reçu aucune condoléance d'usage de la part de la Sénéchale ni du Gardien. Venise trouvait que c'était vraiment osé de la part de la Sénéchale de lui demander des comptes alors qu'elle s'était désintéressée du dossier et des Nosferatu morts dans le sous-sol. Et maintenant il fallait prendre le temps de tout expliquer? Puis des rafraîchissements furent apportés. S'abstenant de tout commentaire, la femme masquée ignora le plateau pour se concentrer sur ses réponses qu'elle débita d'une traite avec son manque de tact habituel.

"Parlons vite, parlons bien. Je n'ai connu l'existence de ce mathusalem qu'il y a un mois. Impossible de vérifier son existence, s'il est mort ou encore en vie. C'était théoriquement un ennemi de Boubanos. C'est tout ce que je sais. Sa présence ou non est un facteur pris en compte pour la bataille. Le Prince n'est pas idiot et il a dû calculer les différentes stratégies avant de mettre en œuvre son plan. Pour plus de précision allez voir le primogène Gangrel, il semble tout savoir sur le Baali. Vous avez d'autres questions ou je peux y aller?" 

Venise avait déjà la main sur la poignée de la porte, prête à rejoindre sa prochaine destination.

elle écouta la primogène avec attention... elle lui en voulait visiblement... pourquoi parce qu'elle l'avait importunée... parce que depuis que sa tête était parti en vrille et qu'Egareg lui avait interdit de faire des chasses elle avait délaissé le dossier des sous terrain... elle attendit donc que la primogène finisse son texte empreint de colère... colère qu'elle pouvait comprendre, elle avait eu droit à la même chose avec Solar.

elle s'était calmée lentement en l'écoutant elle se leva, regarda la main de la primogène sur la poignée... puis la primogène. elle la regarda quelques instants silencieuses...


 non... aucune autre question...cela ne donnerait rien de toute façon... pour une raison obscure, vous m'en voulez et ne répondrez pas car y voyez une perte de temps!

Elle lui sourit... calme... compatissante

 lorsque vous irai par les catacombes... passez le bonne nuit pour moi à Solar... et dites lui qu'elle a gagnée et que je lui dois un service !


passez une bonne nuit madame la primogène... bon succès pour la suite de cette bataille... elle a commencé bien avant votre arrivée et se terminera bien après moi...

puis elle alla s'assoir après s'etre prise un verre. Il n'y avait eu aucune arrogance dans le ton... un peu de désarroi peut être... si ce soir elle se rappelait de ce qu'elle avait fait pour cette ville... le reste des gens semblait l'avoir oublié

Le Gardien assistait à une scène fantasmagorique. Encore une fois on se plaisait à tirer sur l'ambulance. Mais il s'abstint de tout commentaire, Fey ayant répondu à Venise. Il se contenta d'aller servir deux verres et en déposa un à portée de main de la Sénéchale. Devant autant de mauvaise foi, il ne proposa aucunement d'en servir un à la Primogène, qui visiblement n'en avait cure. Des fois Balthazar se demandait si la Camarilla Parisienne n'aller pas s'écrouler par le biais de ses membres, plutôt que par l'action d'un ennemi externe. Ce qui le ferait grandement rire. 

Pour échapper à cet échange qui l'ennuyait au possible, il fit le catalogue mental des choses qu'il souhaitait se procurer pour le combat de demain.

*" Je récupèrerai mes joujoux préférés déjà. En suite vais essayer de dégoter un gilet pare-balle et une cote de maille. Les deux combinés pourraient être sympas. Et pourquoi pas une hache et une batte de baseball en alu. LA batte ça devrait pas poser de problème un décathlon et le tour est joué, faut juste envoyer quelqu'un. Pour la hache... ben je prendrai une hache à incendie.... "* 

Il pensait avoir fait le tour de la question.

Venise semblait plutôt agacée, et Victor devinait à son attitude qu'elle avait été dérangée très certainement au beau milieu d'un travail mais avait pris la peine malgré tout de venir à cette convocation. Sa réponse fut rapide et laminaire, bien qu'elle sembla partager tout ce qu'elle savait au sujet du Nosfératu. Hélas, peu, trop peu d'informations étaient disponibles.


La réponse de la Sénéchal intrigua le Trémère, car il ne savait pas du tout à quoi ou à qui elle faisait allusion, mais ce n'était pas le bon moment pour s'intéresser à cette histoire, et Victor contraignit son esprit maladivement curieux à se contenter de mettre cela de côté.

De plus il était désolé que rien de positif ne sortit de cette entrevue : les deux protagonistes ne se comprenaient pas, et n'avaient pas le temps de faire des efforts pour cela. Voilà qui était fâcheux, car cela risquait de fragiliser le pouvoir en place.
Une remédiation serait nécessaire, mais comment faire ? et qui pour le faire ? ce genre d'exercice était toujours périlleux, car chaque personne avait sa propre perception des événements, avec souvent deux visions différentes et toutes autant vraies, et il fallait aussi ménager les susceptibilités de chacun.
La zizanie risquait de s'installer...Décidément, ce Baali était vraiment doué pour créer le trouble. Serait-ce là une de ses manipulations ?

* ! ??*

Victor se raidit tout d'un coup. Il ressentait une certaine appréhension, ce qui était visible dans ses yeux.

HRP:

"Mince, en y réfléchissant, tout remonte à la mort du chevalier. C'était ce qui avait mis le feu au poudre, en déclenchant l'ire du Prince, qui avait précipité les choses pour qu'on s'attaque à l'ennemi rapidement."

Victor regarda les caïnites présents, se rendant compte que, plongé dans sa réflexion, il avait prononcé ses pensées à voix suffisamment haute pour être entendu de tous.

"Excusez-moi... Je suis désolé."
Victor s'inclina à nouveau.

"Je suis Victor Kastler" dit-il poliment à l'intention de Venise,"et je suis inquiet à un sujet : et si c'était le souhait de l'ennemi que nous l'attaquions ?
Laissez-moi vous expliquer l'origine de mes craintes. J'ai fait des recherches sur lui, et j'ai retrouvé sa trace dans certains événements importants de l'histoire, souvent dans la chute de certaines cités. Je pense notamment à Carthage. Or, Parménion y était très certainement à l'époque.
Peut-être que je me trompe, ce ne sont que des conjectures, mais... et si Boubanos l'avait déjà rencontré ? peut-être savait-il comment le provoquer, et le faire sortir de sa réserve. Bien sûr il ne peut pas anticiper tous les mouvements de son adversaire, mais il n'y a qu'un seul objectif vraiment important à réaliser : le faire sortir du Louvre, car les protections de ce lieu sont très importantes. Mais en-dehors de ces lieux... le Baali pourra affronter le Prince directement, usant de toute sa puissance, et donc tenter de l'assassiner.

J'ai donc peur que l'ennemi se soit préparé à cette éventualité, et ait à sa disposition des forces mieux préparées que ce que nous envisagions."

Puis un autre élément faisant alors irruption dans son esprit :
"Et il y a cette fameuse épée qui fut apportée ici-même. Au début, je pensais qu'il s'agissait de l'acte de provocation Boubanos, mais il aurait pu aussi y mettre un système d'écoute, peut-être par l'intermédiaire d'un démon... ainsi tout ce qui aura été dit dans la salle du trône aurait pu lui être rapporté."

Se reprenant, car son téléphone vibra dans sa main en cet instant, il ajouta :
"Enfin, ce n'est peut-être que pure spéculation de ma part, et les capacités de notre ennemi et ses actes passés me laissent peut-être prévoir le pire, mais ne vaut-il pas mieux l'envisager plutôt que de se laisser surprendre, à savoir que ce n'est peut-être pas nous qui sommes en train de tendre le piège ?"

Il tandit ensuite son téléphone à la Sénéchal afin qu'elle puisse découvrir par elle-même la réponse du primogène Trémère :

Spoiler:

Cette femme vivait dans un autre monde ou du moins c'est ce qu'elle voulait peut-être faire croire. Rozenmilna l'avait prévenue. Hélas, elle avait eu raison. La femme masquée eut l'amabilité de répondre brièvement à la Sénéchale afin d'éclairer sa lanterne à propos des reproches que la Nosferatu lui faisait.



"Le clan Nosferatu et les primogènes auraient souhaité que vous, Sénéchale, vous intéressiez au dossier bien avant cette nuit, que vous vous impliquiez dans les recherches et que vous nous aidiez à préparer la bataille."

Elle se tourna ensuite vers l'inconnu qui se présenta comme Victor Kastler. Elle l'avait laissé parler et écouté attentivement comme à son habitude. Pendant ce temps elle le jaugeait pour essayer de deviner le message qu'il essayait de lui faire parvenir, car derrière des questions, il y en a d'autres non formulées.


"J'ai eu l'honneur si l'on peut dire d'avertir le Prince à propos de Boubanos. Il n'a pas semblé reconnaître ce nom. Quant à l'histoire du Baali, elle est connue par le primogène Gangrel sous un nom de dieu des Mayas ou quelque chose comme ça. Il semblait bien connaître le mathusalem Nosferatu aussi et le pourquoi du comment de leur soit-disante haine. C'est la seule personne que je connaisse qui ait survécu à ce Baali, lui seul sait pourquoi. Quant à Boubanos, il aurait pu attaquer ma planque ou celle d'autres, mais il ne l'a pas fait. De ce que j'ai pu remarquer, il s'est contenté de rester en-dessous et de tuer à vue ceux qui s'introduisaient sur notre territoire qu'il estime être le sien. D'ailleurs il est resté scellé depuis tellement longtemps qu'il ne doit pas être à l'aise avec la modernité. Il aura sans doute tendu des pièges demain; il est trop tard pour changer la stratégie du Prince, et ce n'est pas le genre de général avec qui en discuter une fois sa décision prise. Mais vous pouvez toujours essayer. Moi, tout ce qui m'intéresse pour cette nuit et la suivante, est qu'il y ait le moins de morts ultimes de notre côté lors de la grande boucherie annoncée. Les questions et les investigations des nôtres reprendront quand les catacombes seront libérées." 

C'était fort long. Son téléphone vibra à nouveau et émit quelques notes.

"Mon prochain rendez-vous m'attend. Madame, messieurs, bonne fin de nuit et bonne journée."

Sur ce, Venise prit la porte de sa démarche raide, indifférente aux réactions qu'elle aurait pu provoquer.

-> direction le bureau du primogène Malkavien.

Elle prit le téléphone tendu par Victor... et cala le verre qu'elle avait en main écoutant d'une oreille ce qui se disait de part et d'autre. Elle comprenait les récrimination des primogènes... on se serait attendu à ce qu'elle le fasse... elle était en poste depuis... elle n'était plus certaine... 2 semaines... quelques nuits... elle regarda Venise quitter... et redonna le cellulaire à Victor


 si vous croyez que c'est vraiment utile... allez y... faites attention de ne pas libérer autre chose...

Elle se releva et reprit un verre... elle était vidée... elle n'était pas fait pour cela... elle n'avait aspirée a rien d'autre que de défendre le territoire et la ville et... discourir et lire... comment elle avait fait pour s’emmêler autant les pinceaux ?!? elle ne savait plus

sinon vous avez accès aux archives... Balthazar... mon frère... je voudrais te parler ensuite... cette nuit...

l'expression mon frère, sonna trop solennelle peut être... mais s'était au frère qu'elle voulait parler, pas a l'amant ou au gardien... elle trouvait important qu'il le sache... puis elle rebut un autre verre... marchant vers sont bureau ... s,assurant que les armes et armures de la salle d'entrainement soient pres pour demain et mis à la disposition de tous... prévenant ses contacts de se tenir près a créer des diversions ailleurs en ville au moindre appel... notant quelques trucs sur un bout de papier...

Des interrogations laissaient la place à d'autres. Chacun avaient ses théories. La Primogène partit pour un autre rendez-vous. Il était certain que les postes officiels, et même officieux par la même occasion, étaient très occupés ce soir. Balthazar avait observé le Tremere pendant ce temps. UN homme réfléchi à n'en pas douter. Mais bon en général son Clan ne badinait pas avec les nouvelle recrue donc il était sûr d'avoir affaire à quelqu'un de sensé.

Puis Fey lui adressa la parole d'une façon pour le moins... inattendue. C'était bien la première fois qu'elle l'appelait comme ça. Ca devait être important.

- Je suis toute ouïe.

Il lança une œillade en direction de Victor pour qu'il comprenne qu'il était temps pour lui.

Assise au bureau, elle avait sourit a Balthazar et écouta la demande de Victor... oui tout ca lui était sortie de la tête... encore ! Elle avait l'esprit ailleurs

eh bien... Balthazar tu veux régler ca avec Vic...monsieur Kastler et ...

elle se leva et sortie du bureau...

pour y revenir avec la secrétaire.


Elle est beaucoup plus douée que moi pour la recherche en papier... elle ne se sent pas l'obligation de tout lire en détail ce qui lui passe dans les mains...

puis elle regarda la jeune femme...

les archives peux tu sortir toutes les infos possibles sur les dessous du Louvre et ce qu'il cache ?

la jeune femme fit signe que oui avec le regard intrigué, excité... Fey lui donna les clefs et la secrétaire disparue

voilà c'est réglé !

puis elle retourna prendre un verre à son bureau... le pire était a venir

Le téléphone portable de Fey retentit dans la pièce. Le numéro qui s'affiche est celui d'un de tes contacts importants dans la mafia.

Fey posa le verre et prit son téléphone. en voyant qui appelait, elle paru surprise ! Elle n'avait pas eu de ses nouvelles depuis longtemps, elle espérait que tout allait bien... elle s'éloigna des gens encore présent, s'isolant dans un coin tranquille et répondit

Spoiler:

Avant de ce coucher... fey nota quelques petites choses sur une feuille... d'autres dans son cellulaire... puis écrivit trois lettres... une pour le prince, une pour son primogène et une... pour Balthazar.

Elle se leva, et se regarda dans le miroir... avait elle le choix ? elle douta longuement...non... non elle n'avait pas le choix elle ferma les yeux et soupira avant de disparaitre dans la petite alcôve ou elle pouvait dormir... cela lui rendrait peut être sa tête ... l'idée même la fit rire ! elle abandonnait ?!? peut être.

puis à peine fut elle dans le fauteuil que le sommeil diurne se saisit d'elle... Elle se leva, s'attacha les cheveux, alla porter les lettres, passa a la salle d'entrainement prendre un couteau et une arme à feu...

Puis la brujah sortie du louvre en laissant aux gardes sont cellulaires... ses clefs... ses papiers... les notes sur sa tête. Elle ne servirait à rien dans cette bataille elle irait le tuer lui...

(vers l'infini et plus loin encore...)

HRP:

Victor prit congé de la Sénéchal, non sans la saluer respectueusement de prime abord, et quitta la pièce en laissant s'attarder son regard sur l'urne, pour accompagner le Gardien afin de lui fournir le sang nécessaire pour qu'il lui donne l'autorisation.

[-1 PS]

"Si vous le souhaitez, vous pouvez m'accompagner, ou même me rejoindre d'ici une vingtaine de minutes. Mais je crains fort que ce ne soit pas des plus passionnants pour un observateur extérieur.
En revanche, si vous le souhaitez, je peux vous tenir informer des résultats de cette recherche, par message téléphonique."

Victor attendit la réponse du Gardien, prit sa carte si celui-ci la lui tendit, lui offrit la sienne, et se rendit au sous-sol, accompagné ou non.