Réveille tardif pour le Ventrue. Peux être était il victime du décalage horaire ? Habituellement il ne dormait pas autant, même en été..

Encore engourdit de sa torpeur, il se lève et vas prendre un douche pour se débarrasser des lourdeur acquise durant la nuit. Sortant de la salle de bain encore à moitie nue, il intercepte une des magnifique rousse qui lui servait de calice et plante ses crocs dans la chair tendre de la belle, prenant même plaisir à la sentir frémir contre lui au contacte de la morsure toute en se disant qu'il s'occuperait peux-être de son cas de façon plus approfondit à son retour.

Retournant dans sa chambre, il s'habille, vêtement de tissu et de cuir noir comme à son habitude depuis quelques années, enfile ses lunettes de soleil fétiche et part en direction de sa voiture ou l’attend déjà une goule.

Au Louvre, et change donc de musique !

(direction "devant le Louvre)

Le soleil allait bientot se lever, avant de sortir de la voiture, elle demanda à Martin de retourner à la maison durant la journée faire une valise avec les éléments essentiels, papiers, armes et de faire réexpédier la salle du sous sol chez elle... et de faire venir le petit pour le soir suivant... s'assura qu'il n'y avait personne et sortie... Ils avaient fait énormément de détour et n'avaient pas été suivit !

Elle entra, demanda qu'on l'escorte à l'endroit ou elle dormirait et qu'on lui prépare rapidement un bain, elle se déshabilla et s'installa doucement dans la baignoire !

Elle se détendait dans la baignoire... on frappa .

Oui et non ! j'ai pas tout ce que je voulais, mais j'ai passé à un cheveux d'y laisser ma main !

Il pu l'entendre rire


Un homme bien charmant ! quoi que plutôt rustre pour un dirigeant... j'ai l'impression qu'on est dans la merde jusqu'au cou mon chéri ! Mais pourquoi si rapidement ses questions... ne me dit pas que tu étais inquiet ?!!!

Elle sorti du bain, s'emmitouffla dans un peignoire et ouvrit la porte tout en se démêlant les cheveux

eh bien... la chantrie a été attaqué, ils ont kidnapper l'un des notre, et Ariok a laissé des hommes à Eriel semble-t-il ... ils croient que nous sommes vulnérable en se moment et...

*Je lui dit ou je lui dit pas... * le silence fut long

... ils préparent quelque chose contre paris ! Il faudra plus de bras ... et la négociation ne sera pas possible...

L'idéal serait que je sois envoyée ailleurs ! je ne serai pas utile ici, pas du tout

Elle continuait a lisser se cheveux, elle semblait perdu, loin dans sa tête. Puis, elle se leva, posa la brosse à cheveux et se dirigea vers Ivan, le prenant dans ses bras, elle le serra fort, longuement, ne disant rien, puis délaissant l'étreinte, elle prit son visage dans ses mains, le regarda... ferma les yeux et s'éloigna vers sa chambre... elle allait dormir !

Elle se tourna en l'entendant

Pas cette fois mon cheri, pas cette fois!

Et elle partie pour la journée

La journée fut difficile et la torpeur ne fut pas de grand repos. Isabault se leva et machinalement elle s'habilla, se coiffa et se maquilla... elle ouvrit la porte, Martin était là, avec le petit ! elle se nourrit, prit les rapports de la journée et les journaux et alla s'installer à l'étage pour lire tout ca !

Elle leva les yeux et déposa son journal, non elle n'avait pas passé un bonne nuit, elle se sentait seule, elle avait encore eu raison, mais avait fait une bétise... elle lui sourit

mais oui, ma journée a été belle, tu étais pas si loin de moi !!

*et pour le reste, j'ai besoin que tu restes près de moi, ca me fait du bien de te savoir là, de savoir qu'il y a au moins une personne sur qui je puisse compter réellement...et non j'ai pas besoin de cette info de merde...

Elle le regardait tout en réfléchissant... l'envoyer ailleurs, le garder avec elle...

non mon coeur pas pour l'instant ... maintenant j'ai besoin de parler au représentant trémère...

Il faudra aussi que je rencontre le shérif ! une autre soirée très agréable ! De ton côté, quoi de prévue ?

Elle prit son téléphone et pianota rapidement un message, puis un autre tout en écoutant Ivan...
Puis elle releva la tête vers lui, attentive.

Elle le regarda tendrement, elle n'aurait pas du lui dire ca hier matin... elle se leva et approcha de lui, lui caressa la jou, le prenant doucement par les épaules

Je... suis inutile, enfin il est préférable que je m'en mêle le moins possible et... avec cette reine, ils n'auront probablement pas besoin de moi... je vais quand même faire ce foutu travaille de sénéchal puisque je le suis encore...

Elle lui sourit, le prit dans ses bras... elle avait besoin de se contact, collé à lui elle ferma les yeux et prit le temps d'être bien... les minutes passaient 1... 2... 3... elle le serrait, restait silencieuse

mais toi tu peux faire ce qui te plait, mais soit prudent, reste en territoire camarillien et...
... ... je t'aime mon chéri !

Elle ramassa son manteau et se dirigea vers la porte

Viens me rejoindre vers minuit à l'Élyséum
et elle sortie

(sortie Chantrie)

C'était rare de tomber sur un Caïnite dépressif et habituellement il trouvait cela risible, minable et les considérer comme des déchets à moins qu'ils ne se déclare officiellement Malkaviens bien sur, mais le fait que ce soit sa propre sire l’attristait. Il ne pouvait absolument rien faire pour l'aider sauf lui offrir sa présence, ce qui semblait lui faire du bien.

Il la sert donc dans ses bras sans un mots tout en espèrent qu'elle se remette rapidement sur les railles.

Après l'avoir laisser partir, il montât à l'étage pour retrouver le calice qu'il n'avait pas gouter depuis plusieurs semaines, restorat une partie de ses ressources et lit les journaux que sa sire avait laisser sur sa table. La harpie était efficace, peux être trop même. Une personne aussi bien informer était un véritable danger pour la Camarilla surtout en cette période.

Son téléphone sonne, un appel de Magalie. Ces derniers étant des plus rares il décroche un peu étonner en espèrent qu'il ne soit rien arriver de grave, mais non elle avait simplement besoin d'aide pour une enquête. Un truc trop sociale à son gout visiblement.

Après avoir reçut une brillante indication de la Gangrel "Le bois de boulogne, un bar, les Ravnos", le Ventru prend sa veste dans la quel ses armes était dissimuler, accroche son portefeuille au bout d'une chainette qu'il dissimule dans une poche intérieur et se met en route escorte par Nicolaï.

(hrp: sortie vers le bois de boulogne)

Hrp: Arriver sur le forum.

La nuit était a peine entamer quant la voiture du Ventrue se glissât silencieusement dans le parking sous-terrain. Le moteur se coupe rapidement, Ivan en sort juste après et se dirige vers le coffre pour y récupérer quelques affaires à se mettre pour la soirée. Aucune trace des goules qui le suivaient au par avant, une seul de ses calices qui sort enfin de la voiture semble l’avoir accompagner.

Rapidement il sort son téléphone pour régler un ultime détail et par se changer tout en téléphonant.

(Mp à Orléane)

Quelques minutes après, conversation terminer, costume de soirée enfiler, le Ventrue saute dans sa voiture et repart dans Paris.[i]

Hrp: Sortie vers chez Shanel.

Hrp: Arriver de la salle des fêtes (le Louvre)

Après s'être rapidement garer, le Ventrue retourne se changer pour la seconde fois de la nuit.

Délaissant le smoking rouge peux confortable, il enfile un jeans noir assortie d'une chemise de la même couleur et d'une pair de rangers avant de dissimuler le tous sous son long manteau de cuir toujours alourdit par quelques armes.

Il jette un rapide coup d'oeil à son téléphone, vérifiant qu'il n'avait manqué aucun message avant de remonter en voiture, se demanda ce que Abigail penserait de lui une fois le costume retirer.

L’habit ne fait pas le moine, mais il en donne au moins l'apparence.

Hrp: Sortie vers l’hôtel Crillon

(Retour de l’hôtel Crillon)

La porte de garage se referme silencieusement derrière la Berline du ventrue qui en descend peu après.

Il rejoint le salon du rez-de-chaussé en s'assurant que l'humaine le suivait bien pour se laissait tombé dans son fauteuil.

Sans quitter Julie des yeux, il commence à réfléchir. Il ne pouvait la laissé partir et la garder sous contrôle n'était pas la solution.

Il n'avait pas énormément de solutions et la plus simple serait sans doute de se débarrasser définitivement d'elle...