Ahuizotl était satisfait de sa nuit. Une fois de plus, il avait réussi à trouver quelques réponses et surtout quelques alliés dans cette guerre qui semblait déloyale.

Il marcha dans les rues de Paris, le sourire aux lèvres et le visage apaisé.

Il marchait en direction de l’hôtel particulier de Stanislas.

Alors qu’il arrivait sur les lieux, un sentiment étrange s’empara de lui, comme si quelque chose d’étrange s’était produit. Son instinct le mit en garde et il se mit à longer les murs, observant tout autour de lui pour voir s’il était épié.

Prudemment, il s’approcha et vit que personne n’était là pour l’accueillir à l’entrée qui n’était pas fermée d’ailleurs …



*Un piège ! N’entre pas !*



Qui avait pu trouver sa trace aussi rapidement ? Un lupin ? Certainement pas, il y aurait des cadavres sur son chemin ! Mais là, personne, comme si les lieux avaient été désertés à vitesse grand V … Amandine se serait elle réveillée et aurait fait fuir tout le monde ?

Il s’engouffra à toute vitesse dans le bâtiment et se dirigea le plus vite possible vers le sous sol pour voir si Amandine pouvait encore être là. Malheureusement, elle avait disparu !

Il s’en voulait de l’avoir laissée seule. Où pouvait elle se trouver à présent ? Etait elle seulement en vie ?

Il décida d’en savoir plus et se dirigea vers la sortie. Il regarda autour de lui et vit qu’un bar était encore ouvert sur le trottoir d’en face.

Il se dirigea la bas et demanda interpella l’un des hommes qui nettoyait une table avec son chiffon.

« Excusez moi monsieur ? J’ai pris une chambre en face mais il n’y a plus personne ! Que s’est il passé ? »

Zone bouclée ? Mes coordonnées ?!? mais qu'est ce qu'il racontait celui là ?

Il fallait lui tirer les vers du nez.

"Je peux avoir un verre s'il vous plait ? ... heu .. Qu'est ce que vous voulez dire par la zone est bouclée ? Où sont les gens qui travaillent dans cet hotel ? Je vais tout de même pas dormir dehors !.."

Cet homme était de toute evidence un agent de police et il n'était pas seul ... Il avaient dû débarquer et fouiller les lieux ... mais où avaient ils pu emener Amandine ?

Il sortit du batiment sans sourciller, regardant attentivement cet homme qui avait une attitude de meneur. Peut être qu'en le suivant ... Mais la nuit touchait presque à sa fin ...

Il s'éloigna de plusieurs metres de la scene puis regarda un des pigeons qui s'eloignait en sentant toute cette agitation autour de lui.

"Viens par ici mon ami !..." [jet d'animalisme]

En sortant quelques graines de sa poche, il dit à l'oiseau :

"regarde cet homme la bas" en designant petivier. "Tu vas le suivre jusqu'à sa maison et dans la nuit de demain tu reviendras ici et tu auras ta récompense"

C'est alors qu'un autre oiseau vint se poser sur l'epaule du vieux Gangrel pour lui delivrer un message plus qu'inquiétant. Il laissa partir le premier pigeon et suivi celui le mystérieux messager ..

[vers un hotel non loin du Louvre]

heu ... jet d'animalisme pour voir si mon ami va revenir me voir !

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'Dés 10 faces' : 3

un hotel non loin du louvre

Il arriva sur place, évitant de s'approcher trop près de l'hotel. Il y avait toujours trop de policiers pour tenter une approche sans se faire remarquer. Pourtant, il ne devait pas lacher la piste qui le menerait à Amandine sinon, les danseurs prendraient un avantage certain ...

Il regardait les pigeons et faisait connaitre sa présence dans le quartier mais au bout de plusieurs longues minutes, son informateur n'était toujours pas là. Le temps qui passe n'est pas un concept animal et son informateur n'aurait pas été "en retard" à moins d'avoir été tué ou de ne pas avoir tenu compte de la demande du vieux Gangrel.

Il espérait intérieurement que le pauvre pigeon ne soit pas mort en mission ... Puis il se resigna à quitter les lieux avant de se faire repérer ...

Un peu plus loin, alors qu'il s'appretait à passer le pont pour regagner l'autre rive, il vit un jogger qui courait courageusement dans le froid de cette nouvelle nuit d'hiver qui s'annonçait.

L'envie de gouter sa vitae lui monta soudainement à la gorge et il se mit en embuscade sous le pont, contre le mur crasseux, attendant son arrivée ... Aussitôt qu'il passa à quelques metres de lui, il se leva pour courir à une vitesse extraordinaire pour arriver derriere lui et se jeta sur son cou sans la moindre hésitation. Le pauvre homme ne vit rien venir et en quelques secondes, il était posé par terre, contre le mur, sans force et sans defense.

Ahuizotl avait un leger sourire. Ces petites chasses n'étaient guère glorifiantes mais elles lui procuraient un plaisir certain, qui lui faisait commencer cette nuit sous les meilleurs hospices.

Il franchit le pont et entra dans l'immense Elyseum ...

[direction le louvre bureau du Primogene Gangrel]

oups !

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'Sang Humain' :

[Arriver de la cache du hackeur.]

Trois voitures arrivèrent quasi-simultanément, encerclant le refuge du Nosferatu à distance respectable avant qu'un bon nombre de personnes en descende pour s'approcher de la battisse. Rodrigue, Hélène, Hulrich, Adrian et Sybille. Les autres resterait aux voitures, juste au cas où.

Les petits groupes sortent chacun de leur coté pour s'approcher de la battisse. Ils devaient déjà vérifié que les flics qui étaient sensé être sur place en début de nuit n'y soit plus, dans le cas contraire, ils devraient s'en débarrasser rapidement.

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'Dés 10 faces' : 2, 4, 2, 3

Les petits groupes s'approchent de l’entrée, rapidement quelques message passe par les oreillettes pour signaler la présence de l'individu.

Sans sembler y préter attention ils pénètrent dans le jardin comme si il ne l'avaient pas pas repéré jusqu'à ce que le Toréador s’arrête net et regarde en direction de l'homme.

[Majesté]

"Approche !"

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'Dés 10 faces' : 4, 9, 1, 7, 1, 1

Un homme émergea de l'ombre, équipé comme pour la fin du monde : casque avec masque à gaz et lunettes à vision nocturne, combinaison de combat en Kevlar, fusil d'assaut avec lance grenade intégré et autres joyeusetés...
Il les observa un moment avant d'enlever son casque, Hélène reconnut immédiatement l'une des goules de Stanislas et partagea cette information avec son maître.
Se sachant reconnu il abaissa son arme et s'approcha lentement du groupe.

"Vous voulez quoi ?"

Le Toréador fit un pas vers la goule du Nosferatu tout en faisant signe à ses hommes de ne pas sortir leurs armes.
"Je cherche votre maitre, ordre de la Reine."

Avec un peu de chance il ne commettrait pas la folie de les en empécher.

"J'ai besoin de toutes les informations que vous pouvez avoir sur le lieu où il se trouve."

Le ton était suffisamment sec pour faire comprendre à la goule que sa collaboration était obligatoire, du moins si il voulait que l'échange se passe bien.

"Bonsoir mademoiselle."

Le toréador repoussât gentilment l'humaine, lui faisant simplement comprendre qu'il n'était pas intéressé.

"Qui es derrière cette... visite ? Elle est lié à la disparition de monsieur Daragon ?"

Tendit que le caïnite entamait la discussion, Hélène balayait la pièce du regard à la recherche d'impacts dans les murs ou autres indice qui tendrait à prouver la violence des évènements ayant eu lieu ici.