Jean profita de son attente pour faire
le point sur ce que l'on attendait de lui. Faire équipe avec D'ARCY
ne lui posait pas de problème particulier. Pour lui une fois la
mission donnée, rien ne comptait d'autre que son accomplissement. Si
son « camarade de jeux » le prendrait de haut, il lui
mettrait les points sur les « i ». Mais ne partons pas
pessimiste. D'abord échanger les informations que tous deux
possédaient. La recoupe d'information est primordial dans ce type
d'affaire.

En ce qui concerne les deux Will, vu
qu'il avait déjà établi le contact,il serait judicieux qu'il soit
toujours l'interlocuteur privilégié. La méthode du « bon
flic-méchant flic » pouvait marcher aussi. « Faudrait
pouvoir interroger plus fermement Willfred... » Peut être
laisser le soin à D'ARCY pour voir comment il travaille. En tout cas
il était impatient d'aller vérifier cette adresse. Trouver les
ramifications du sabbat à partir de ces deux rigolos aller être
plus compliqué qu'il ne l'avait pensé au début. Si effectivement
ils étaient des mercenaires, ils ne devaient pas connaître les
structures en place.

Après concernant l'affaire de
l'enlèvement de mlle Boniface, il faudra que son camarade le briffe
car il ne savait strictement rien de cette histoire. « On
peut pas être partout... ». Mais il fera en sorte d'être
on ne peut mieux au courant.

«je
vais vous demander d'être particulièrement disponible aux besoins
et demandes du clan Nosfératu ... »
Le primogène lui avait ordonné de fricoter avec les rats d'égouts.
Soit, se salir ne l'avait jamais offusqué. Puis on pouvait toujours
en apprendre des choses intéressantes avec eux. Suffit de pas les
prendre de haut. Le problème avec eux, c'est qu'ils prenaient tout
avec une théâtralité mélo-dramatique. Mais bon on pouvait au
moins leur laisser ça...





Ayant fini ses
réflexions, Jean fixa la secrétaire dans les yeux et s'autorisa un
léger tapotement des doigts sur l'accoudoir accompagné d'un sourire
poli de circonstance.

La secretaire l'accueillit avec sourire et révérence polis.

« Bonsoir monsieur Lefol. Je vais voir si monsieur d'Arcy peut vous recevoir. Je ne puis rien vous garantir, ce dernier m'ayant signifié ne pas vouloir être dérangé. »

Elle s'installa derrière son bureau, décrochant le téléphone. Elle sursauta lorsque le Gardien décrocha.

− …
− Je…euh…monsieur Lefol désire vous voir sur ordre de votre Primogène, monsieur d'Arcy.
− …
− Navrée de vous avoir dérangé, monsieur d'Arcy.

Elle reposa le combiné, avant de se tourner à nouveau vers le vampire qui s'était installé.

« Monsieur d'Arcy va vous recevoir dès que possible, monsieur Lefol. Si vous voulez bien patienter… »

Un sourire poli, accompagné d'un geste gracieux de la main désignant un siège. Puis elle se plongea à nouveau dans la paperasserie dont son bureau ne manquait point.

[Arrivée du bureau du Gardien]

D'Arcy arriva dans le vestibule 3 ou 4 minutes après que la Rose ait quitté son bureau.

« Bonsoir monsieur Lefol. Navré pour l'attente, mais je dois recevoir l'une des nôtres pas plus tard que maintenant.
Vous avez donc le temps que nous descendions jusqu'au petit salon pour m'exposer succintement les raisons pour lesquelles notre Primogène vous envoie. Je verrais ensuite comment m'arranger pour que nous puissions discuter plus avant, nombre de personnes m'attendent.
Sie können Deutsch sprechen, wenn Sie es wünschen. »

D'un geste de la main il invita son Sang à se lever et quitter la pièce en sa compagnie.

« Mademoiselle Constance, je serais de retour d'ici quelques minutes. »

[Sortie vers le petit salon, en passant par un escalier de service.]

Jean se leva et prit le rythme de
marche du gardien.




-Bonsoir à
vous Gardien. Si vous le permettez je préfèrerais parler en
français, je me suis assez battu pour avoir se privilège.

Le Primogène
m'envoie afin que nous travaillons ensemble sur deux dossiers. Les
deux prisonniers détenus dans les geôles et le cas de Mlle
Boniface. Pour les prisonniers j'ai déjà obtenus des
renseignements. Bon c'est pas du A1 mais on a tout de même une
adresse que l'on peut exploiter. Sur les deux je n'ai pu en
interroger qu'un, l'autre étant en torpeur suite à une perte
conséquente de vitea.. Il serait utile de le nourrir pour le ranimer
afin de lui poser des questions complémentaires. Pour Mlle Boniface
il faudrait me renseigner. Je ne possède rien sur le sujet.

[vestibule---->petit salon par escalier de service]


Jean suivait le Gardien à travers les
couloirs du Louvre. Comme de bien entendu pour la personne en charge
des lieux, celui ci n'hésitait aucunement sur la direction à
prendre.





-Une dernière
chose, plus personnelle. Avez vous dans les murs une femme rousse qui
se ferait un plaisir de soulager un peu de mes besoins journaliers?
Quelques gorgées ne me ferait pas de mal...

Jean attendit qu'ils soient isolés du
groupe de personnes attendant dans le couloir pour lui communiquer
l'adresse.




-Il s'agit du
85 rue des martyrs à Montmartre, au dernier étage. J'ai pensé à
plusieurs piste pour exploiter cette information. Je vous en ferai
part lorsque vous aurez plus de temps devant vous. Pour les
prisonniers je pense les aborder avec le traditionnel « bon
flic mauvais flic ». C'est un clicher mais ça a fait ses
preuves. Vu qu'ils me connaissent déjà, si ça vous dérange pas,
je prendrai le rôle du « gentil ».




Il entendit la réponse pour le calice
et ça ne le satisfaisait pas énormément.




- Je n'ai pas
de véhicule. Mais aurai je le temps d'aller au Bois et de revenir
avant que vous ne finissiez vos rendez vous? Je pense que comme moi,
vous avez hâte de vous mettre au travail le plus vite possible.

« Montmartre… »

Il avait dit cela d'un air pensif. Même s'il avait été bien peu probable qu'il s'agisse du même endroit, cela ne faisait que conforter d'Arcy dans l'idée que Luddmila lui avait menti. Une fois dans l'escalier, il desserra les dents.

« À vrai dire, je m'attendais à un interrogatoire bien plus expéditif. Le dernier Sabbat que j'ai eu à interroger, 2m20, 150 kilos de muscles et un cerveau digne d'un pois chiche était prêt à m'épouser. Ça a été rapide et sans bavure. Nous n'avons hélas pas le temps de jouer… »

Il semblait presque peiné de ne pas avoir de temps à accorder pour un interrogatoire en « profondeur ».

« Vu le nombre de personnes que j'ai à voir cette nuit…vous pourriez même presque faire le tour de Paris que je n'aurais pas encore quitté mon bureau. Je dispose de plusieurs véhicules, Mademoiselle Constance vous prêtera un jeu de clefs. »

Ils arrivaient au rez-de-chaussée. La main sur la poignée de la porte…

« Oh, une dernière chose, ne vous avisez pas d'user de vos Dons au sein du Louvre, à moins que vous ne désiriez finir comme notre futur rendez-vous… »

Il sortit une carte de sa veste.

« Voici de quoi me joindre. Soyez prudent en route, je détesterais avoir à faire avec la police, faire amener ce véhicule en réparations, ou devoir vous chercher…
Sur ce, je vous dis à tout à l'heure, monsieur Lefol. »

Il tourna la poignée de la porte, s'éloignant sans se retourner vers le petit Salon.

[Sortie vers le petit Salon]

Jean prit la carte
que le Gardien lui avait tendu. Il hocha la tête et le salua d'un
merci. Il fît le chemin à rebours et revint auprès de la
secrétaire du Gardien.

• Rebonsoir,
  Mr D'ARCY m'autorise à prendre un véhicule. Veuillez bien me
  donner une clé s'il vous plait.
  

La secrétaire
s'exécuta comme il se devait.




Avec les clés en
main il lui demanda la direction des garages et s'en alla. Aux
garages, il prit le véhicule qu'on lui prêtait. Un véhicule sans
prétention, discret. Juste ce qu'il lui fallait.

Il monta dedans,
démarra le moteur et prit la direction du bois de Boulogne en ayant
pris soin de programmer la destination sur le gps embarqué.

[ vestibule---> bois de Boulogne]

[vient du bureau du primogène]

Errant un peu, Gatien trouva finalement ce qu'il cherchait : le bureau de son nouveau tuteur.
Comme c'était étrange de se dire ça...
Il avait tellement hâte que sa Dame revienne saine et sauve...

Il entra et se présenta à la secrétaire.

- " Bonsoir mademoiselle. Je suis Gatien de Cambiaire. Monsieur d'Arcy peut-il me recevoir ? "

Il se doutait bien que ce dernier aurait du travail par-dessus la tête, mais on ne sait jamais. Peut-être qu'il accepterait de le voir quelques minutes quand même.

Il s'inquéta toutefois de ce qu'il répondrait si son tuteur lui demandait quelles étaient ses capacités. "Je n'ai aucun contact, aucune influence. En fait, je suis un super majordome. Idéal pour résoudre une affaire d'enlèvement, n'est-il pas ?"
C'était pitoyable, et il en était bien conscient.
Il savait quand même faire deux-trois choses en plus, mais probablement rien que n'importe quel membre du Clan ne saurait faire mieux que lui.
Il avait deux mois, que diable ! On ne pouvait quand même pas lui demander d'être superman après si peu de temps...

L'entrée de monsieur d'Arcy surprit un peu Gatien. Il ne se savait pas transparent...
Toutefois, il comprenait parfaitement qu'on puisse être perdu dans ses pensées, et il ne doutait pas qu'en tant que Gardien et meneur de l'enquête, son nouveau tuteur devait être débordé.

Cependant, déjà il acceptait de le voir sans planifier un rendez-vous, ce dont il était assez content, et de plus, il le rassurait par des propos réconfortants.

Par contre, la suite le prit au dépourvu.
Un entretien d'embauche en speed dating ???!!

Ou plutôt, peut-être, une raison de l'apprécier ou le haïr.
Car autant demander quelles sont les capacités et les connaissances de quelqu'un dont on accepte de se porter garant est bien normal, autant demander à un Infant pourquoi il a été Etreint est déjà nettement plus tendancieux.
Gatien se souvint que sa Dame lui avait parlé de l'inclination du Gardien pour elle. Il se souvint aussi qu'elle n'avait dit que du bien de lui, même si ses propos n'étaient pas spécialement chaleureux.
Aussi, il décida de s'ouvrir sincèrement à son nouveau tuteur, et au risque de perdre une ou deux des précieuses minutes qui lui était royalement accordées, il commença par ce qu'il avait sur le coeur.
Tout en se dirigeant vers la porte du couloir qui lui était désignée, il répondit :

- " Monsieur d'Arcy, je vous remercie d'avoir accepté de vous porter garant pour moi. "

Il se demanda brièvement s'il allait rajouter que c'était un honneur, bla bla, compliments, et se dit que, d'une part il ne connaissait pas assez son interlocuteur pour être sûr du résultat, et d'autre part, il n'était pas d'humeur. Il se contenta donc d'aller droit au but et de rajouter :

- " J'espère que vous m'autoriserez à participer aux recherches... "

Bien entendu, cela dépendrait de s'il arrivait à le convaincre qu'il pouvait être utile d'une quelconque façon...
Il posa la main sur la poignée de la porte, réfléchissant à la façon dont il allait présenter les choses, et la tira.
Il ouvrit la bouche, prêt à parler, et la referma aussitôt en constatant qu'il y avait quelqu'un devant lui, dans le couloir.
Hécate la pouffe...
Zut, elle tombait mal, celle-là.
En même temps, vu le caprice qu'elle avait fait à l'entrée, il n'était pas étonnant qu'elle se retrouve là...

Il essaya de ne pas montrer sa contrariété, mais quelque chose lui dit qu'il allait devoir attendre encore avant son speed dating.
Ce qui n'était pas forcément une mauvaise chose. Avoir du temps pour réfléchir est toujours plus confortable.

Le Roy hasarda un petit sourire lorsque l'infant le remercia.

« C'est tout naturel voyons. »

Le sérieux de sa voix semblait sincère. Qui aurait voulu partager sa situation et être abandonné par ses futurs pairs ? Cela aurait été parfaitement indigne de leur éducation. En tout cas de la vision qu'il en avait.

« Autorisation accordée. »

Lapidaire. Mais clair comme de l'eau de roche. Il s'apprétait à lui emboiter le pas quand la traînée apparut dans l'encadrure de la porte. Il la fixa deux ou trois secondes dans un silence de plomb, tout en sortant une montre à gousset de sa poche, l'ouvrant, regardant l'heure avant de la ranger et de replonger ses verres fumés dans le regard de la jeune femme.

« Monsieur de Cambiaire, léger changement de programme, nous allons passer quelques minutes dans mon bureau en délicieuse compagnie. Suivez-moi. »

Un demi-tour des plus militaires l'entraîna vers son bureau, sans plus un mot ni un regard pour l'aguicheuse de service.

[Sortie vers le bureau du Gardien]

Gatien ressentit un réel soulagement, et une véritable gratitude lorsque son nouveau tuteur lui donna l'autorisation de participer aux recherches. Sans arguments, sans conditions, juste ce cadeau qui le ravit.

Un sourire enchanté flotta sur ses lèvres, et il hocha la tête pour remercier celui qui venait de lui faire si plaisir.

Il fut un peu intrigué d'être invité à assister à l'entrevue entre le Gardien et Hécate, mais cela promettait d'être intéressant. Il apprendrait sans doute beaucoup de ce moment, aussi, il suivit très volontiers monsieur d'Arcy dans son bureau.

(les toits)

faisant milles détours, elle arriva devant le vestibule...elle replaça robe et cheveux sorti un miroir, refit son maquillage... elle y était venu des dizaines de fois, mais là... elle était nerveuse... quel serait la réaction du gardien à sa demande... et à la présence de Kovacs a ses côtés... elle soupira et afficha un magnifique sourire puis, elle ouvrit la porte se dirigeant vers Constance.

Celle ci avait un air un peu différent, elle avait peur ou avait eu peur ou... Luddmila n'était pas certaine... elle fit signe a Kovacs d'attendre un peu plus loin... au cas ou ce fut l'apparence du nosfératu.. on sait jamais !

Elle sourit à la dame

"Est ce que Monsieur d'Arcy aurait un tout petit instant... pour moi ?"

[Sort du bureau]

Gatien referma la porte, et sortit de la poche de sa veste son téléphone portable qui vibrait.

Son champ de vision périphérique l'avertit qu'il y avait du monde, et il leva la tête de son petit appareil. Il vit deux jolies femmes qui semblaient attendre.
Il hésita un court instant à les informer qu'elles risquaient d'attendre en vain, puis se dit qu'il n'était pas la secrétaire de d'Arcy non plus, et qu'il avait d'autres chats à fouetter.
Il se contenta donc de les saluer poliment :

- " Bonsoir mesdemoiselles."

Il inclina la tête et sourit à chacune d'elle, n'oublia pas de saluer également la pauvre Constance, qui semblait se remettre, et passa la porte.
Ou il buta presque contre un Nosferatu, qu'il esquiva toutefois d'un pas sur le côté, réussissant à ne pas le bousculer, ni même l'effleurer.
Il ne put s'empêcher, sous le coup de la surprise, de faire une sorte de grimace tiraillée entre un oh ! et un berk !, avant de se rendre compte de son intolérable grossièreté, et de se confondre en excuses.

- " Je... Je suis vraiment désolé, j'ai été surpris, et... Excusez-moi de me montrer aussi grossier..."

Il était sincèrement navré. Ce n'était pas gentil de réagir ainsi à leur apparence dont ils n'étaient pas responsables, un peu comme les grands brûlés. Mais comme ces derniers, ils étaient quand même sacrément répugnants, et réussir à faire bonne figure devant eux n'était pas facile.
Surtout qu'il n'en avait pas encore rencontré beaucoup...

Pour essayer de faire oublier son affront involontaire, il fit un effort sur lui même, le regarda en face et lui tendit la main avec un petit sourire confus.

- " Je suis Gatien de Cambiaire. Si ma jeunesse est un argument propre à me faire pardonner, je l'invoque. "

Un jeune homme sortie du bureau, enchainant maladresse sur maladresse... Luddmila sourit et le salua

il y avait déjà quelqu'un... il était déjà en entretien... elle sourit a Constance

"non, rien... ne le dérangez pas pour si peu. Je venais seulement l'aviser que ... que je rentrerais bientôt et que je restais à sa disposition concernant ce dont nous avons parlé plus tôt cette nuit et que... dès que j'ai réussi a rejoindre Mélissange, et qu'elle est disponible je... je me met à la tâche avec joie."

Elle était honnête et avait parlez lentement afin que la pauvre note tous les détails.

Luddmila dévisagea Constance, elle avait beau se répéter que la pauvre n'était que la messagère, elle avait quand même envie de l'étriper... Elle n'avait pas l'intention de rentrer avec D'arcy, encore moins de rester prise dans le Louvre toute la nuit.

Elle resta debout dans l'entrer du vestibule, la colère pouvant se lire sur son visage. Valait mieux ne rien dire pour l'instant

Il entra dans le vestibule et un jeune homme le heurta avant de se confondre en excuses. Il avait eu une réaction de peur ou de dégoût à son encontre.

Phantom voyant l'embarras du vampire lui posa la main sur l'épaule. Au sabbat, il aurait du lui arracher la tête... Quels cons ces sabbatiques.

- t'inquietes pas va! C'est rien. Moi c'est Phantom, enchanté.

Il lui tendit une main robuste et puissante, puis après lui avoir serré la main alla vers Ludd.

Luddmila paraissait furax à la réponse de la goule.

- Rassurez vous Luddmila il y a des solutions à tout.


Phantom se cala contre le mur, sa masse synonyme d'une grande force resta à proximité de la belle.

Elle s'approcha de phantom, le regardant puis elle lui murmura

"ne fait pas de bêtise, ne dit rien... il est préférable pour moi et surtout pour toi que tout reste calme et que je collabore... je t'expliquerais plus tard..."

puis elle alla revoir Constance et avec un air plus posé elle lui demanda

" dans combien de temps il sera prêt à quitter... et pouvez vous savoir ce qu'il a l'intention de faire ?"

Gatien fut soulagé de voir que le Nosferatu ne prenait pas mal sa maladresse, et acceptait de lui serrer la main.
Malgré le contact un peu bizarre de sa peau, et le fait que lui aussi se présentait sous un pseudo pas très sérieux, il apprécia la poigne de Phantom, et lui adressa un sourire sincère en répondant avec franchise :

- " Enchanté aussi ! "

Puis l'homme se rapprocha d'un air protecteur de la demoiselle qui était debout, et qui ne semblait guère contente.
Un chevalier servant ? C'est la classe !

Toutefois, Gatien profita de l'instant pour s'en aller, lui aussi, se hâter de faire ce qu'on lui avait demandé.
Il s'éloigna donc d'un pas rapide, tout en tapotant sur son téléphone portable.

Spoiler:

Puis son téléphone vibra, il lu un message et répondit dans la foulée sans cesser de marcher pour se rendre au petit salon.

Spoiler: