*Morgan fidèle à lui-même. Un potentiel traître avait était annoncer chez eux mais à part ça rien ne desservait son clan dans les sujet évoqués alors autant aller dans le sens du Prince.
Visiblement, s'occuper des envahisseurs du Louvre lui avait était confié a la Ventrue, pourtant personne ne l'en avait chargé. soit un message ne lui était jamais parvenue, soit le sénéchal présumer de ce que le Prince avait confié à Rozen. Peu importe, elle avait décidé de rien dire pour ne pas froisser le sénéchal et bon de toute façon elle aurait enquêté quand même.

Puisque Morgan regardait ses messages, Rozen estima estimé qu'elle pouvait en faire autant ! Et son visage affichait une déconvenue certaine à la lecture de son message précédemment reçu. Elle mit une seconde avant de réagir.
Elle s'adressa à Philippe plutôt que se poser en réponse au sénéchal pour une fois de plus éviter de froisser ce dernier.*

Vous posez une question intéressante monsieur Merle, que faire des territoires... hum... Or, a moins que la gravité de la sanction m'est échappée, ses clans ont juste perdu leur chaise au conseil des primogénes, pourquoi serait il question de remettre leur droit de chasse et leur territoire ? ce que ça change c'est qu'en cas de faute de chasse ils n'auront de Primogéne pour les soutenir ou les punir, mais subiront directement l'autorité du Prince et donc du fléau.
Bref généralement même certain caïtif ou autre indépendant, ce qui et le cas des Gangrels, se voit attribuer un morceau de territoire. Ce n’est pas en lien avec le primogénat,  pas directement du moins.

De toute façon j'évoquerai de la seconde tradition, le domaine. Seul le Prince a le droit de décider. Alors peu importe mes humbles paroles.

*Pour la suite elle ne pouvait pas esquiver le sénéchal.*

Tous les clans au sein du Louvre posent un énorme problème, cela nous mettrai sous la responsabilité du gardien sans compter qu'on serait en territoire Elyseum avec toutes les règles qui en découlent. Certains clans ont des traditions pratiquées en réunion interne qui ne sont pas possible en Élysée.

*Rozen pensa que si Vivian pouvais carré des GPS dans le train de chaque Vampire il le ferait.*

L'idée des salons évoquée par le Prince me semble la meilleure des solutions. Mon sire m'a raconté que dans les villes très peuplées les grandes coteries et certains clans se servaient justement de club ou de bar moins luisant *Pensant au Brujah* pour en faire des sortes de QG.

*Le visage neutre :*

Et j'ai l'honneur de vous annoncer que Monsieur d'Arcy vient de sortir de sa longue torpeur et qu'il est probablement déjà ici.

**...**

*LA guerre est donc déclaré*

Jacques écouta de nouveau madame de Sancy, Monsieur Dimitri et les autres aussi, tout particulièrement l'abomination. Il lui semblait important de revenir sur un point important. Jacques prit donc la parole à nouveau.

"Alors voilà j'aimerais revenir sur certains points qui ont été évoqués au sujtets de mon clan. Tout d'abord, si je m'en réfère aux traditions, aux lois internes de notre clan, je serais plus le représentant du clan. C'est de nouveau le seigneur Ahuizotl qui sera la voix du clan. Et là j'y pourrais rien, sauf décision des membres du clan présent sur Paris, et je sais déjà que ce ne sera pas le cas. De toute façon j'en parlerais aux autres, et je vous ferais part de leur décision.

Je tiens à remercier Monsieur Dimitri et Madame de Sancy, avant d'aborder le point suivant.
Monsieur Merle, que je sache, le Prince ne nous pas retiré notre territoire, et quand bien même, je ne doute pas que certains d'entre nous passeraient outre cette éventuelle décision, pour défendre ce qu'ils considèrent comment étant un bien acquis de manière définitive. Aussi j'espère que le clan Malkhavian a bien conscience de ce point précis.  "

Jacques arrêta là de parler, il n'avait plus rien à dire pour le moment. Il espérait que tout le monde avait bien compris, ce qu'il avait tenté d'expliquer.

Spoiler:

HRP:

Philippe en venait presque à moins regretter sa présence à la réunion, ou à oublier les insupportables comptines qui s'acharnaient à la périphérie de son esprit, tant cela commençait à devenir drôle.
Le Sénéchal déclarait que son clan était incapable de gérer son domaine, tandis que Delcroix affirmait qu'au contraire, même en cas de décision princière, les Gangrels continueraient à considérer la zone qui leur avait été gracieusement attribuée comme la leur.
Lorsque son tour fut venu, le petit Primogène prit la parole de sa voix égale et calme :

- Quelles seront les attributions de cette nouvelle coterie, monsieur Romanoff ?

Il n'aborda délibérément pas le sujet d'une centralisation au Louvre, estimant que les réponses de ses pairs avaient été plus que suffisantes.

Fugacement, le pseudo-enfant se demanda qui était d'Arcy, avant de se souvenir avoir lu son nom dans les Chroniques. Heinrich avait aussi noté un truc à son sujet, il lui faudrait recompulser ses notes.

Si c'était Zozolt qui redevenait le leader, le clan Gangrel y perdrait beaucoup. C'était vraiment dommage...
Il prit note de l'avertissement de Jacques concernant la territorialité un peu extrême de certains membres de son clan, et lui répondit :

- Les membres du clan de la Lune sont conscients et respectueux de la deuxième tradition, et aussi de la cinquième.
Ils n'oublient pas non plus à qui appartiennent tous les domaines, et le fait qu'ils sont confiés, et non donnés.

Il continua en s'adressant plus généralement à tous :

- J'ai posé la question à ce sujet pour essayer de souligner le fait que les clans dépourvus de voix vont devoir continuer à veiller et gérer le domaine qui leur a été attribué, comme toujours. Ma crainte était qu'ils ne se dirigent vers une forte autarcie, ou qu'au contraire, ils se sentent démunis. Il semble que nous ayons eu un exemple de chaque autour de cette table.

Il écoutait toute la discussion avec attention. Des animosités parfois mais rien de méchant. Juste des points de vue différents.
Il prit à son tour la parole.


- Effectivement ne tirons pas de conclusion hative.


Il regarda Parménion.


- Notre prince a sans doute déjà décidé de quelque chose. Mais la remarque de monsieur Merle est intéressante, l'autarcie et l'anarchisation de ces clans est un soucis, en tout cas pour l'un d'entre eux.. Les nosfératus sont représentés mieux que quiconque, vu qu'un des leurs est le sénéchal de la praxis, monsieur Delcroix est un "invité" de marque à cette table... Le seul clan en porte à faux c'est celui de la Rose.


Peut être pourrions nous les mettre sous la tutelle d'une autre clan?

Spoiler:

 
Dimitri écoutait la suite des interventions.

Un léger signe de tête a l'attention de Jacques pour montrer une nouvelle fois son soutien. L'intervention de Philippe et Morgan interpellait le Brujah qui se tournait vers le pseudo enfant quand venait son tour de parole.

" Les évènements récents, inutile de les citer, ont mis en lumière beaucoup de failles directement liées à l'absence de certaines institutions séculaires de notre Secte.

Le Sabbat, jusque là insignifiant, qui, pour toutes les raisons que nous avons exposées, devient une menace que nous ne pouvons plus ignorer sous peine de voir Paris devenir un territoire disputé... ce qui est inacceptable.

J'aurais donc tendance à répondre qu'elle assumerait les fonctions d'une côterie de combat mais ce terme est trop réducteur dans l'esprit de nos semblables, notamment les plus jeunes, et surtout elle n'aurait pas pour seule vocation de lutter contre le Sabbat.

Un groupe qui pourrait collaborer étroitement avec le Prévôt à sa demande. Que ce soit comme force de frappe pure en cas de besoin ou pour faire appel à certaines compétences, ressources ou encore influences. Vous comprendrez donc que les critères que je me suis fixés ne se sont pas uniquement cantonnés à la valeur au combat."
 
Les réponses à ce sujet apportées, il passait au suivant.
 
" Concernant vos craintes, je pense qu'il ne tient qu'à nous que ça n'arrive pas. Les destituer du Primogénat est un acte fort mais ne doit en aucun cas être synonyme d'une mise à l'écart complète de la Praxis. C'est pourquoi, pour rebondir sur les propos de Monsieur de Lestrain, plus qu'une tutelle que je trouverais complètement déplacée, je serais plus pour une forme de mise à l'épreuve. "
 
Il laissait filer quelques secondes, balayant l'assistance du regard.

" Commencer par trouver un représentant dans un premier temps, bien que je ne doute pas qu'ils y travaillent déjà, et les impliquer activement dans certaines tâches qui seraient prolifiques pour le royaume. Monsieur Zilberman à parler de remettre la main sur le milieu de la mode et de l'art, ce qui ne pourrait que nous être profitable à tous les niveaux, alors laissons le faire...laissons les Roses nous prouver qu'ils n'ont pas à payer pour les choix et actions de certains qui ne sont, pour la plupart, plus là pour répondre de leurs actes.

Si je propose cette alternative, c'est aussi pour pérenniser le soutien des Toréadors de France qui pourraient décider d'agir si jamais nous allions trop loin en les ridiculisant en plus de les priver de leur voix à la cour. Tout aussi puissant qu'est le Prince, il a besoin de leurs appuis pour assoir son pouvoir et non s'en faire des ennemis."

Parménion laissa chacun y aller de son avis. Il constatait enfin que la cour réagissait et se faisait force de proposition. Il devait pour autant y aller franco, la décision avait été prise depuis un certain temps mais il ne devait pas se mettre les autres clans à dos.


- Les toreadors garderont leur territoire, c'est un fait. A moins qu'il ne s'excuse devant la cour entière, je n'accepterais pas monsieur Zilberman comme représentant de leur clan. L'idée de Dimitri est celle que je retiendrais, après tout elle est le fruit de la réflexion. Laissons leur le choix de choisir quelqu'un parmi les leurs qui fera office de correspondant, pour Monsieur Zilberman c'est à la condition que j'ai précédemment dictée.

Il regarda chacun d'entre eux.

- Pour reprendre en partie l'idée de monsieur de Lestrain, leur représentant rendra compte à mon sénéchal, qui jugera de leur capacité à être de nouveau un vrai clan et de la confiance que je pourrais leur accorder.

Il regarda ensuite Rozenmilna.

- Bien... Je vais le faire venir dans le vestibule de la salle. Nous le recevrons en assemblée quand nous aurons terminé notre reunion.

Il s'adressa à une goule pour qu'elle fasse le nécessaire.

*Moi non plus je n'ai plus rien à dire. En plus je ne sais pas vraiment ce que j'ai vraiment le droit de faire. Cela a été ma première et ma dernière réunion de primogène. Puis il faut que je regarde qui a essayé de me contacter sur mon téléphone*

Jacques consulta son téléphone et on put voir se dessiner une grimace sur son visage, suivit d'un espèce de sourire.

*Et bien certaines personnes n'ont toujours pas compris qu'on est au vingt et unième siècle apparemment. C'est parfait. Je pense savoir qui c'est en plus. Mais bon retournons à la réunion*

Jacques leva les yeux vers les autres participants de la réunion, un sourire glacial et parfaitement commercial s'était dessiné sur son visage.

"Je vous remercie tous et toutes vos paroles ont été riches d'enseignements pour moi et ce à plus d'un titre. Je n'ai moi aussi plus rien à dire au sujet de cette réunion. Je suppose que je dois vous quitter, mainteant."

Parménion fit un signe à une goule pour aller chercher celui qui attendait dans le vestibule.

- Messieurs je suis satisfait de cette reunion, longue mais interessante de tous les points de vue. Nous allons nous accorder quelques nuits de réfléxion sur ce qui a été dit, et nous nous reunirons à nouveau pour faire le point.

Il se tournait vers Morgan.


- Monsieur De Lestrain, faites je vous prie ce qui est nécessaire pour couper la limitation des pouvoirs sur le Louvre. Nous allons faire un essai sur quelques nuits. Ensuite nous verrons si nous adoptons votre idée de faire un systeme de surveillance magique. Vivian je compte sur toi pour annoncer aux toreadors de nommer un représentant qui te rendra compte. Si c'est monsieur Zilberman j'éxige des excuses publiques pour accepter sa candidature. Jacques Delcroix vous pouvez en effet nous laisser.

Morgan regarda le prince ainsi que l'assemblée de ses pairs.


- il en sera fait selon vos désirs, majesté. J'ai hâte de voir ce que monsieur d'Arcy va nous dire.

Philippe avait hoché la tête pour passer son tour, n'ayant rien de spécial à rajouter, lui non plus.
La réunion avait été longue, mais très instructive. Cela avait un peu atténué sa contrariété d'être retardé dans son enquête...
Juste un peu.
Il se sentait toujours mal. Comment concilier ce qu'il devait faire et ce qu'il voulait faire...? Il espérait vraiment pouvoir croiser Alice avant de sombrer.

Il n'avait pas manqué de saluer Delcroix au moment où l'ex-nouveau Primogène avait quitté la pièce.

Il trouva amusant que tout le monde semble s'accorder enfin. Et que ce soit sur le fait de trouver la réunion intéressante...


Le pseudo-enfant assista à l'entrée du fameux d'Arcy, l'observant tout son saoul une fois qu'il fut prosterné. Soit c'était un fanatique de l'étiquette féodale, soit il avait quelque chose à se faire pardonner... C'est donc en silence et avec une certaine curiosité qu'il guetta la suite.

Parménion observait l'assemblée. Il se demandait qui était là finalement le jour où d'Arcy avait craqué en Elysium... L'homme était ce qu'il était mais force était d'avouer qu'il était le meilleur gardien qu'ils n'avaient jamais eu dans le louvre. En tout cas sous son règne. Comme une providence alors que le poste était vacant il était là. Réveillé.


- Monsieur d'Arcy, entrez et installez vous. Votre précédent poste est occupé par mademoiselle de Sancy ici présente. Je ne sais pas quoi faire de vous, votre attachement avec la camarilla n'est pas à prouver, mais celui que vous avez envers la praxis est il toujours le même désormais? Serez vous toujours un fidèle serviteur du royaume?

Parménion écouta D'Arcy, patiemment, tranquillement. Il repensait à tous les secrets qu'il avait gardé pour lui, pour lui épargner de s'en mêler.


- Bien. Hormis la fois où j'ai du vous reprendre en personne pour votre perte de sang-froid, je n'ai rien contre vous Monsieur D'Arcy, je suis même plutôt favorable à votre retour, notre praxis manquant de gens tels que vous. Je suis conscient du nombre de secret que vous avez du garder pour vous pour m'épargner le soin de m'y impliquer. Désormais mon Sénéchal, Vivian De La Rochère sera un homme capable de vous écouter et de savoir comment gérer les secrets que vous avez sans doute encore sous le coude.

Il regarda l'assemblée.

- Alors que nous discutions de l'avenir du royaume il y a quelques instants, vous vous réveillez comme si vous aviez senti que c'était le bon moment pour la camarilla.

Il regarda Dimitri. Il savait que son primogène était celui qui avait le plus mal toléré l'attitude de D'Arcy.


- Monsieur D'Arcy. Seriez vous capable de respecter à nouveau les lois de l'Elysium et de les faire à nouveau respecter comme jadis? Alors que la question d'un nouveau gardien est dans toutes les bouches de mes primogènes.... Vous voici... Je serais content de vous savoir à nouveau maître de ce poste compliqué.

Il regarda Rozenmilna. Il faisait encore une faveur aux ventrues... Mais...

- A la condition que je n'assiste plus jamais à un pêtage de plomb de votre part. Si jamais cela arrivait à nouveau, vous aurez une dette de sang envers mon clan et envers moi-même. Votre primogène est témoin de cela.

*Quand la Ventrue avait une idée, un point de vue, ou une vérité à faire entendre, elle était semblable a un animal sauvage dont la nature aurait gâter d'une mâchoire puissante qui lâche jamais sa proie. Que ça soit un jour, un mois, une année ou même un siècle plus tard tant que pour elle les comptes n'avait était régler elle continuera à serre la mâchoire.*

Prince, je vous remercie de la clémence que vous accordez au clan Ventrue en pourvoyant autant de considération à M. D'arcy.

*Puis son regard, froid se tourna vers celui que cette fin de réunion avait transformé en parodie de messie.*

J'aimerai énoncer quelques mots avant que notre Prince se prononce.

Il y a une chose très important que je souhaite clarifier ici et maintenant profitant de la présence des autres primogénes. Je ne me considère pas comme étant votre successeur. Vous n'avez était sur cette chaise pour 5 petites heures et les raison de votre nomination, même si certains qui ne sont plus là se sont gausser comme des gamins en la qualifiant jolie coup politique, n'a fait que passer les roys pour des personnes qui récompense la médiocrité et l'échec.

*Ce que Rozenmilna tenais entre ces dents n'était pas cela... C'était autre chose, issu de leur première conversation.*

Comme je l’exprimais le Prince a était clément en omettant, volontairement je suis sûr, de dire que votre écart n'est pas l'unique reproche qui vous est homologué.
Le temps des privilèges accordait par l'ancien régime de Mlle. Boniface est terminé. Entendais bien que c'est le véritable poste de gardien qui vous est offert. Et non celui d'un maître inquisiteur de la praxis qui exige que chaque caïnite se présente à lui comme on ne doit le faire que devant un Prince.

*Par de beau geste et de mot bien choisi D'Arcy avait regardé de haut la demoiselle sur les échelles de la valeur et de l'éducation. Rozen avait l'habitude, des cheveux colorés, des traits de visage en dissonance avec la sonorité française de nom, de tout temps une majorité des autres ventrue l'avait prise pur un guignol qui ne connaissez le mot camarilla que de nom. une habitude certes, pourtant son orgueil ne pouvais le tolérer.*

Le respect du à votre poste lorsque vous étiez gardien était déplorable, je le reconnais. A vous de reconnaître que vous n'aviez pas donné tout votre respect à ce poste.

*Elle c'était retenue, beaucoup retenue, car après tout il n'en rester pas moins un roys inflexiblement loyal et un camariste convaincu.*

Parménion trouva l'intervention de Dimitri et de Rozenmilna juste à propos. Sans doute que la toreador et l'ancienne senechale ne lui avait pas non plus expliquer correctement l'exercice de la charge.  Il était bon de rappeler cela. Aussi il regarda l'interessé avec un regard qui lui demandait "avez vous compris?".

Philippe suivit les échanges avec un certain détachement, fouillant dans sa mémoire pour essayer de se rappeler ce qu'Heinrich avait noté au sujet de d'Arcy. Finalement, cela lui revint. Il avait tabassé une membre du clan ici même.
En temps normal, cela lui aurait été bien plus facile de s'en souvenir. Mais ce soir, il fonctionnait mal, vraiment. Il savait avoir atteint sa limite, et luttait contre la déconnexion, en essayant tant bien que mal de se concentrer.

Lorsque le Prince le regarda, il étendit brièvement ses doigts fins, et montra sur son visage qu'il n'avait nulle objection à la nomination d'un Gardien. De ce qu'il avait lu, malgré le dérapage dont il était question, celui-là avait été plutôt efficace.
En tout cas, il serait forcément mieux qu'un Balthazar, sa goule à grande gueule et ses sésames pour nantis.

Il continua d'observer les réactions et comportements des uns et des autres avec attention, sans intervenir particulièrement sur ce sujet précis.

Parménion était satisfait de la tournure que prenait la reunion. Il regarda chacun des membres du primogène et prit la parole.

- Bien messieur je crois que la reunion est terminée. Laissons monsieur D'Arcy et le sénéchal prendre rendez vous pour la bonne gestion du poste de gardien. La reunion de ce soir a été longue mais instructive à tout point de vue, merci.

Il regarda Vivian.

- Mon ami, je te laisse le soin de briefer le nouveau Gardien sur les récents événements de la soirée.

Une éviction de primogène... C'était pas tous les quatre siècles...
Il resta dans les environs, attendant que les primogènes prennent le départ.