Elle sourit contre lui


ca me rassure Julien... personne ne mérite que tu te mettes a genou et que tu remettes entre ses mains tout ce que tu es... personne ne mérite que tu te sacrifie pour lui...

Elle continua a caresser le ventre de Julien, descendant parfois sur les hanches, jouant avec le haut du pantalon


fais toujours tes propres choix ... c'est important personne va assumer pour toi les conséquences...jamais !

il semblait décidé sur son choix et ce qui le motivait à le maintenir... elle connaissait cette sensation de certitude, elle l'avait eut aussi il y a plusieurs centaines d'années... elle avait choisi de jouer a l'équilibriste entre deux choses son clan et la camarilla... elle se rendait compte aujourd'hui que cette certitude d'avoir fait le bon choix finalement n'en était pas vraiment un... elle avait choisit de pas choisir !

J'espère pour toi que ton choix restera un bon choix même avec le temps qui passe !

elle resta silencieuse, le caressant toujours

Julien ?!? ... merci... merci d'être resté avec moi ce soir... merci d'être venu me rejoindre, de m'avoir trouvé !

Elle resta contre lui, jouant avec le bouton de son pantalon... elle l'avait dit, elle l'avait remercier ! le bouton se défit accidentellement, mais avant qu'elle puisse le refaire, il dit quelque chose qu'elle ne comprit pas, encore... elle commençait à se trouver bête de poser toutes Ces questions, mais elle ne pouvait pas laisser ca comme ca et ne rien comprendre... on est curieux ou on  ne l'est pas !

 mais de quoi tu parles Julien ? pourquoi je t'aurais rejeté ? qu'est ce que tu m'as fais ?

elle se redressa légèrement, pour le regarder

Mais de quoi tu parles ?

Alors qu'elle... (Par Saint George) Défaisait (*Grumpf*) son jeans, il se mit à glapir, une soudaine angoisse dans la tête :

*Bordel de merde, pourquoi ça bouge pas*

Avant de se souvenir qu'il fallait qu'il s'en charge spécifiquement.

"Je, eux... Je suis partis cinq jours alors que tu avait besoin de moi."

Il en était presque à bégayer, ne sachant pas trop quoi faire. Il devint alors tendu, un peu dépassé par les événements.

"Je n'aurai pas dû partir ainsi, si longtemps, alors que tu avais besoin de moi."

Il se mit à respirer, chose qu'il ne fait quasiment jamais, pour essayer de se calmer, on inspire, on expire... Il ne savait plus quoi dire, plus où mettre ses mains, plus ou regarder. Dans le doute il enleva sa veste qu'il balança sur la caméra, elle resta accrochée bien maladroitement, prête à tomber à la moindre alerte ! Il pria rapidos pour qu'elle tienne en place, mais aussi pour trouver le courage de quoi faire à présent. Ce n'est pas que c'est la première fois ou qu'elle se soit mal passée, mais si ça continu ce ne sera quand même que sa seconde fois !

"Je... Luddmila, je..."

Aucun mot ne sort, il n'arrive plus à parler, il ne sait plus du tout quoi dire ou faire.

Le pantalon défait donna visiblement des "chaleurs" à julien qui retira sa veste et se mit à parler drôlement.

 désolée...

Il pensait qu'il avait fait quelque chose de mal, qu'il l'avait laissé tombé ?

 Julien... tu n'as pas de compte à me rendre... tu fais ce que tu veux ! tout ce que j'espérais c'est que Lou ne t'ai pas détruit ! tu avais des choses à faire tu avais besoin d'air, de retourner chez toi...

 il était inconfortable visiblement il en avait de la misère a parler le pauvre... elle refit le bouton !

Elle caressa son visage

 calme toi Julien... tu me dois rien ...

Il était à la fois plus fort et plus fragile qu'elle ne l'avait pensée... elle devrait lui faire attention ! mais il fallait commencé par lui faire comprendre qu'il n'avait, selon elle, aucun pardon a demander... elle laissa ses mains dans les siennes un instant, puis, en libéra une qui vint soulever doucement le visage de Julien, elle voulait qu'il la regarde... les yeux de Luddmila étaient calme, serein, son regard se voulait enveloppant, emplit de tendresse

Julien... tu n'as rien à te faire pardonner... ta réaction était des plus normales, la peur, la colère, les craintes, le manque, le doute... la fuite !au vue de ce qui c'est passé je ne sais pas si j'aurais fait différemment ! je sais pas ! mais je comprend le besoin de fuir...

elle comprenait même si pour elle la fuite avait toujours été l'option refusée... elle lui sourit

 si cela peut te faire du bien Julien, mon pardon je te l'offre ! et facilement puisque je ne vois dans ton comportement rien qui ne m'eut fait du tord ! mais si cela peut te rassurer, je te pardonne...

elle l'embrassa  puis caressa son visage, de son pouce

 je veux également que tu saches que je ne t'ai jamais menti...outre mon clan, tout été vrai, c'est important pour moi... ses voyages, ses histoires... ont été prises parmi mes souvenirs... ils te diront peut être de jamais faire confiance à un serpent... moi je te dirai de faire confiance à ton instinct, de mauvaises personnes menteuses et manipulatrice il y en a partout !

elle soupira... elle voulait le garder près d'elle, mais pour lui étais ce réellement la meilleure chose...

Je t'aime beaucoup julien... tu es important à mes yeux...maintenant, là ! Je ne puis te promettre que se sera ainsi pour toujours!
Mais là, maintenant, je sais que je veux que tu restes près de moi !

Oh joie... il comprenait... resterait si la suite à lieu a lui expliquer que la notion d'exclusivité... pour elle... ca voulait pas dire grand chose, mais... pour l'instant, là, maintenant... elle se concentrait sur lui !

il l'embrassa, mais eut l,impression que ce ne fut pas le même Julien, plus sur, plus habile ! moins nerveux... oui ! moins nerveux... elle sourit, l'embrassant avec bonheur, repensant aux propos de qu'il avait tenu... bon de amour et princesse elle était passé a mur d'acier et rocher... c'était mignon comme imaginaire !

il interrompit le baiser, elle alla rechercher ses lèvres...

 tu sais que tu n'as pas a faire ça n'est ce pas ?...

Les mains de Luddmila gardèrent Julien contre elle, lui caressant doucement le bas du dos, les fesses...

Elle le caressait délicatement, effleurant sa peau, passant sous la barrière de tissus. jouant de ses doigts sur lui doucement...

 je ne sais pas Julien... je ne sais pas du tout sur qui je peux compter en ce moment... pas du tout...

la veste de Julien toujours sur la caméra leur assurait un minimum d'intimité...

Elle frissonna au contacte des mains de Julien...

 oui, elle nous appartient... *la dernière peut être!*

elle lui sourit, l'entrainant vers le sol, tendrement... elle sentait ses membres devenir lourd, la torpeur se saisir d'elle

Merci Julien d'être venu..revenu et...de d'être resté cette nuit

Elle se lova contre lui et s'endormit en caressant le ventre et les cotes de Julien...

Luddmila se réveilla dans la même position, contre julien, couchée au sol... se réveiller dans cette cellule n'avait rien de très agréable, voire rien de tolérable...La présence de Julien l'aidait réellement à se détendre, mais les murs, les barreaux, la porte qui avait été refermée, le froid de la pièce, l'absence de son rituel de réveille et l'absence de nourriture... tout la terrifiait, l'angoissait même. elle resta contre Julien, se répétant qu'elle avait encore quelques heures et que, peut être la dernière ne viendrait pas encore aujourd'hui, elle n'y était pas prête

les premières blessent, la dernière tue...

elle restait contre Julien, lui caressant toujours le ventre...

Il se réveillait enfin... elle s'étira lui sourit et l'embrassa avant de reprendre la position qu'elle avait au départ.

oui j'ai dormit...

bien dormit non, mais dormit ! elle espérait que son jugement serait cette nuit, elle souhaitait que les choses se soient bien passées

et toi comment te sens tu ?

 puis elle le vit prendre son téléphone et pianoter dessus, elle se redressa et poussa le téléphone... pour elle ca voulait signifier son départ, elle ne voulait pas rester seule

" Ca va... Kaoum et Venise vont bientôt m'attendre... Je n'ai pas envie de te quitter, mais je dois te libérer de cette endroit, il n'est pas fait pour toi."

Il profita encore et encore de sa présence.

"Tout se passera bien, les Nosfératus préparent le matériel, nous serons équipés, nous ferons ça vite, bien et de manière organisée. Tout ira bien, je te ramènerai ce qui t'appartiens."

Elle le regarda, les yeux quelque part entre la peur et le vide... elle s'assit et  se recula de lui. Elle aurait peur d’être ici et surtout peur qu'il lui arrive quelque chose. Elle avait tenté de lui expliquer qu'il n'avait pas a faire ça et quelque part dans sa tête il avait du se convaincre du contraire pour une raison ou une autre. elle trouvait ridicule qu'ils mettent leur existence en danger ainsi...

Avec un peu de chance, l'intervention d'hier aura été un succès et Lou serait déjà de retour au Louvre et Laure aurait déjà perdu la tête et le coeur de Luddmila serait perdu à jamais... non ca serait trop simple, trop beau !

 fais ce que tu penses être le mieux...

Elle se replia sur elle même au centre de la pièce, là ou Venise l'avait trouvé hier...

Tu peux me rendre un petit service ? trouve Gatien de Cambiaire et... dit lui que j'aurais aimé a faire davantage...

Elle replia ses jambes contre elle et colla son front sur ses genoux

Elle senti Julien prendre ses mains... elle l'entendit parler, elle releva la tête et lui sourit

 c'est un...un ventrue. l'infant de Lou Boniface... je sais pas...j'avais demandé a phantom de veiller sur lui... un nosfé...il peut te mettre en contact avec lui... surement...

Elle se replia

tu devrais y aller avant que... ... ... tu devrais y aller !

l'idée de le voir partir la faisait souffrir... c'est mieux de faire au plus vite dans ce temps là ! comme pour enlever un pansement... un petit coup sec...

sois prudent

Elle l'entendit s'éloigner et s'accrocha à ses dernières paroles comme une parcelle d'espoir dans cette effroi qui, déjà s'emparait d'elle. Luddmila se concentra sur des images qui lui offraient de l'espace... le désert qu'elle avait tant aimé, la forêt dont lui avait parlé Julien, et l'odeur de celui ci, elle se la rappelait si bien... en profiter avant que le souvenir ne s'efface. les rues de la banlieue parisienne auxquelles avait fait référence Phantom...

Elle s'accrochait a ses images qui tournaient en boucle dans sa tête...toujours le front collé sur les genoux, évitant de regarder autour, évitant de penser aux murs, au plafond, aux barreaux, à la porte close... aux limites... il était trop tard... elle paniqua. En larme, elle supplia que l'on ouvre la porte, rien à faire... elle essaya même de défaire les barreaux, elle en était ridicule... plus le temps passait plus elle angoissait... les minutes lui semblaient être des heures et le procès... il aurait du commencer déjà ?!? non ?!?

elle ne savait pas ce qui se passait ou se passerait et tout ca ici était trop petit... elle étouffait, se sentait horiblement mal... elle finit pas se coucher au sol... suppliant de manière régulière que cette fichue porte s'ouvre

Luddmila angoissait dans sa cellule… la porte close, elle avait ce sentiment d’oppression un peu comme lorsque les murs se referment sur vous, vous écrasent, vous broient… elle les voyait même bouger. Elle avait supplié qu’on ouvre la porte et ce, à de nombreuses reprises, en vain. On lui avait lancé le journal en riant… elle le lut cela la détendit un temps

Elle finit par lancer sa chaussure dans la porte pour attirer le garde qui entra lui dire de se calmer dans des termes polis, mais peu courtois…Elle lui demanda s’il était possible d’avoir papier et crayons à défaut d’utiliser son téléphone pour communiquer…il hésita… il accepta.
Quand il les lui apporta elle le pria, le supplia de laisser la porte ouverte… elle sourit et la referma. Elle avait eu un instant de répit… et décida de se concentrer sur le papier…

Et la setite se mit à écrire… écrire … écrire et plusieurs supplications plus tard, elle obtient que l’on livre un message