séparés des autres convives, vous avez l'impression que le primogène toréador fait la cour à la belle amérindienne.

Marcus en se rapprochant de la Primogéne Minerva, se demandais encore comment faire !

Faut'il que j'attende comme une cruche devant eux !
ou alors interrompre la tentative de séduction de cette personne envers Minerva !
hum que faire !


Marcus se décida finalement à attendre tout prés, en croisant les bras dans le dos.




Attendant une minute, il se décida à racler le fond de sa gorge très discrètement afin que Minerva lui face un signe ou pas !

A son arrivée, les yeux de velours de la primogène se posèrent clairement sur Marcus, même si ce fut bref, et lorsqu'il se racla légèrement la gorge un petit sourire flotta sur ses lèvres.

Comme le Brujah s'était posté non loin, il put entendre la voix chaude de Minerva présenter des excuses à son interlocuteur, accompagnées d'un délicieux sourire.
Elle eut droit à un base-main, suite à quoi, la belle glissa gracieusement vers le nouveau né, un brin de malice dans les yeux.

- Que puis-je pour vous, Marcus ?

voyant Minerva s'approcher , Marcus devint des plus timides , intimidé par la prestance de Minerva !

je ne voulais point vous interrompre, je suis désolé !
je vient d'arrivée de puis peut et je prend contact avec vous afin que vous me connaissiez !


ensuite j'aimerais me présenter à notre Prince et je voulais savoir comment faire car je n'est que très peut de connaissance et d'expérience à se sujet !!
je ne voudrais surtout pas faire d'impaire et surtout faire bonne impression !


si vous avez des questions sur moi , je vous répondrais sans retenu et je suis à vos ordres dame Minerva!

à la suite de cette phrase , il s'inclina au plus bas devant son ancienne .

Minerva écouta avec bienveillance les propos un peu précipités du nouvel arrivé, et inclina délicatement la tête pour montrer qu'elle avait bien entendu.

- Il n'y a pas de mal à ce que vous signaliez votre présence, Marcus. Vous faites bien, et moi aussi j'aimerais faire votre connaissance.
Qu'est-ce qui vous amène à Paris ?
D'où venez-vous ?
Et plus pragmatiquement, avez-vous des compétences particulières qui pourront être utiles à notre clan ?

Elle écouta les réponses de son interlocuteur, et rajouta :

- Pour saluer le Prince, c'est assez simple. Faites comme à l'instant avec moi : attendez d'avoir son attention, et inclinez-vous devant lui. Vous pouvez être formel en présentant votre lignée, un peu comme l'a fait le Gardien tout à l'heure dans son discours, cela fera vieille école.
Si le Sénéchal vous a déjà reçu, votre salut ne sera qu'une formalité, ne craignez rien.
Son Altesse est de notre sang, et vous lui ferez bonne impression en lui rendant hommage sans pour autant ramper.

Elle eut un air un peu pensif et conclut :

- Saluez également son entourage, qu'ils ne prennent pas ombrage de votre exclusivité.

Marcus écouta attentivement son ancienne et après un petit court instant, il décida de prendre la parole !

je suis Marcus nouveau né ,infant de Dame Eden de la lignée des philosophes guerrier !
je viens de la région Champagne Ardennes enfin se sont mes origines !
Après, ma non vie , je l'ai passé proche de la ville de Soissons !
je suis venus sur la cité de Paris car c'est le seul lieu de refuge que ma sire ma donnée avant......

Marcus marqua un temps d'arrêt avec un léger changement de visage, qui devint des plus triste !
puis il se repris avec un haussement des épaules .

bon hum, je suis un combattant et suis formé pour sa!
j'aime aussi lire d'ancien livres !

voila, pour la présentation au Prince, je vous remercie de cette information, cela me parait faisable pour un petit homme comme moi !

Marcus se tu et  attendit la réaction de Minerva .

A l'émotion du nouveau-né lorsqu'il mentionna sa sire, la femme posa délicatement sa main sur le bras de Marcus.

- Si personne de votre lignée n'est là pour vous, sachez que je le suis...
Notre clan est chaleureux ici, vous le découvrirez.


Elle retira sa main et demanda :

- Voulez-vous aller vous présenter maintenant ?
Je vais rester ici, si vous voulez revenir discuter d'avantage.

Marcus remercia du regard Minerva et décida d'aller se présenter au Prince de suite .

Je vous remercie et vous suis redevable Dame Minerva , je suis votre dévoué .
Maintenant je vais aller de suite me présenter au Prince .

Marcus fit une grande courbette  devant l'ancienne en reculant sans lui tourner le dos pendant trois pat et se retourna pour aller en direction du Prince .

tout en avançant , Marcus tira assez sèchement sur les plis de son costume en se redressant .

[direction le Prince]

Nicolas regardait la belle créature de la nuit qui se présentait à lui. Il ne manquait pas de regarder l'ensemble de son corps avec appétit. Il fit signe à ses infants de rester de leur côté.
Il s'inclinait à son tour...

- madame...

Il lui fit signe de se relever d'un geste de la main.


- c'est toujours un plaisir de vous voir.

Il lui prit le bras doucement, posant sa main sur la sienne.

- Vous voulez vous entretenir avec votre primogéne?

Nicolas prit soin d'écouter ce qu'Adelaïde avait à lui dire. Assurément elle était une toréador qui avait brillament défendu le clan pendant la période morne de leur histoire parisienne. Il la regardait, pendant qu'elle parlait pendue à son bras. Elle était délicieuse et avait assurément le pétillant propre à leur clan.


- Effectivement ce n'est pas l'endroit, ni le moment.

Il arborait un grand sourire à sa déclaration, lui tapotant la main discrètement et doucement.

- C'est un honneur de servir des personnes telles que vous madame.

Il savait par où était passé le clan avant son arrivée. Ils avaient touché le fond. Plus que le fond même. Et pourtant depuis son arrivée nombreux étaient les anciens qui s'étaient joint à lui pour de nouveau faire de paris ce qu'elle était avant... Du temps de Villon. Il regardait en direction de Minerva en souriant.


- Le clan retrouve de sa splendeur passée, mais il est important de garder la tête haute et de se souvenir de ce que la ville était quand elle était dans nos mains. Notre clan est à même de retrouver sa place, pour peu que l'on arrive à passer outre les brujah... Quant à leur primogène... Elle est particulièrement délicieuse...

Il remarqua un signe qu'il attendait depuis longtemps, son rendez vous était arrivé.


- Veuillez m'excuser madame... Je me dois de déférer à mes devoirs... On m'attend... MAis je reviens vous voir dès que j'ai fini...

Il s'inclinait et lui prit la main pour y apposer un baiser doux et tendre.


direction les couloirs

Une main fine passa dans le champ de vision d'Adélaïde pour l'inviter à se relever, et un sourire bienveillant accueillit son retour à une position plus verticale.
La primogène inclina la tête et énonça :

- Je suis Minerva, ancienne et primogène du clan brujah.

Sa voix était un peu plus grave que ce à quoi on aurait pu s'attendre, mais ce n'était pas déplaisant, loin de là.

Ses yeux en amande glissèrent, pensifs, vers le couloir où avait disparu Nicolas, et ne tardèrent pas à revenir sur Adélaïde.

- Je suis ravie de faire la connaissance d'une semblable aussi hardie.
A part les membres de mon propre clan, et votre primogène, personne n'a osé m'adresser la parole ce soir.

Adelaïde s'était redressée à l'invitation de la main de Minerva puis l'écouta en arborant un sourire amusé.

"Ni voyez aucune hardiesse madame, mais juste de la politesse ainsi, je l'avoue que beaucoup de curiosité." Son sourire devint radieux.

"Cela fait beaucoup plus de monde à s'être adressé à vous qu'à moi." Elle osa un clin d'œil de connivence tout en regardant le regard de Minerva suivre son primogène. Elle aussi se demandait où il allait et cela eut pour effet de lui donner encore plus l'envie d'aller fouiner.

"Si beaucoup n'ont pas osé vous déranger, je peux vous assurer que vous n'en suscitez pas moins d'interrogations." Continua t'elle poliment.

"Tant de changements en si peu de temps, cela en donnerai le tournis ! Mais cela est pour le mieux il me semble." Dit elle comme pour elle même son regard tourné vers Parménion.

"Est ce votre premier séjour sur Paris, madame ?" Demanda t'elle sur le ton de la discussion tout en mourrant d'envie de suivre son primogène alors que son regard se tourna vers son interlocutrice, préférant ne pas le laisser trop longtemps trainer sur le prince.

A la mention de la curiosité de la Rose, Minerva sourit elle aussi, quoique plus discrètement.
Ses yeux firent à nouveau un aller-retour vers le couloir, mais revinrent aussitôt sur Adélaïde.

Elle plaisanta, en feignant le regret avec des gestes un peu théâtraux :

- C'est bien aimable de ne pas vouloir me déranger, mais enfin, la musique résonne, et je ne danse pas...


Adélaïde put voir que les yeux en amande de la brujah étaient posés sur elle lorsqu'elle quitta Parménion du regard.

- Nullement. J'y suis venue à plusieurs reprises, souvent pour des tractations diverses.

Son regard se fit un peu moqueur lorsqu'elle rajouta, en suggérant discrètement une pose de pin-up des années 50 :

- Allez savoir pourquoi certains individus me préfèrent comme interlocutrice à un guerrier taciturne ou un savant bavard...

Reprenant une attitude plus classique, elle déclara :

- Je me réjouis que le maître de Paris soit du même sang que moi, mais je ne peux m'empêcher d'être perplexe, comme tout le monde, j'imagine, quand à l'évanouissement dans la nature de son illustre prédécesseur.

Ses yeux sombres coururent rapidement sur l'assemblée, et elle rajouta, songeuse :

- Et sur le départ et le retour inopiné de certains anciens de la cours...

Une moue amusée accompagna une petite boutade concernant le séjour de la Rose :

- Paris est plutôt un bon endroit pour ne rien faire...


A la suggestion d'Adélaïde sur Villon, Minerva répondit :

- Vous avez l'esprit affûté. Si vous aviez des penchants pour Hercule Poirot et autres Holmes, ce ne serait pas du gâchis...
Je suppose moi aussi quelque chose de grave. Ne serait-ce que parce qu'on imagine mal ce qui pourrait pousser un Prince au sommet de sa puissance à disparaître.

Sur la situation des Toréadors, l'ancienne commenta, sur le ton de la confidence :

- Votre clan a été mis en disgrâce ici, mais dans le reste de la France, ou de l'Europe, il n'en fut rien. Vous vous doutez bien qu'il y a eu communication entre vos anciens et son Altesse...

La brujah écouta la rose avec attention, et eut un sourire malicieux :

- Ah, je crois que je dois être votre contraire. Non que je dédaigne la solitude, mais j'apprécie beaucoup l'observation de la société caïnite. On dirait un jeu d'échecs à grande échelle... C'est passionnant.

Minerva hocha légèrement la tête, et libéra Adélaïde d'un aimable :

- Et moi du votre...
Je vous souhaite une bonne fin de nuit, madame. Et puissions-nous nous recroiser bientôt.

[Arrive du groupe de Morgan]

HRP:

Sebastian, quittant le groupe de son estimé régent et primogène, se dirige d'un pas nonchalant en direction de la somptueuse latine. Celle-ci est accompagnée d'une autre demoiselle tout aussi belle à croquer, discutant allègrement alors que leurs voix sont couvertes par le murmure bruyant des conversations environnantes et la musique d'un goût...incertain. Mais la désirant pour lui seul, le trémère ralentit le pas afin de gagner du temps, prenant le temps d'observer les décorations avec plus d'attention. Une fausse moue appréciatrice apparaît de temps en temps, avant qu'un petit coup d’œil ne soit jeté vers sa cible au passage d'une tapisserie à l'autre. 

Il arrive finalement à quelques mètres des dames au détour d'un autre petit groupe, sur quoi une goule portant un plateau supportant de nombreuses coupes emplies de liquide carmin passe à sa proximité. D'un geste leste, Seb attrape trois récipients de cristal, puis se dirige d'un pas plus franc vers la chute de reins couverte d'une cascade de nuit sans lune qui lui fait face. Mais à ce moment, les deux vampires semblent être sur le point de se séparer, à sa plus grande satisfaction. 

Le sorcier pose alors le verre en trop sur une table avoisinante, et une coupe dans chaque main, il parcourt les dernières foulées nécessaires pour apparaître sobrement à côté de cet ange de la nuit, tandis que l'autre dame s'éloigne. Un court pas de plus, une rotation légère accompagnée d'un sourire radieux, et Seb se retrouve face à la caïnite avec la coupe contenant l'élixir de vie dirigée vers elle. 

-M'est-il permit de vous offrir un petit "rafraîchissement" en cette fin de nuit, ma demoiselle ? 

Les yeux sombres de la beauté exotique suivirent le départ de la Rose, et se posèrent sur Sebastian lorsqu'il prit la parole.
Un sourire aussi amusé que ravi éclaira ses traits délicats, et elle saisit avec grâce la coupe tendue.

- Très volontiers, monsieur. C'est très aimable à vous.

Sa voix un peu grave laissa un léger blanc, son regard de velours devenant un peu interrogatif. Avec retenue et délicatesse, elle invitait l'audacieux jeune homme qui se tenait devant elle à se présenter, maintenant que l'entrée en matière était faite.

[arrivée depuis le groupe principal]

Ahuizotl avait la démarche légère, rapide et assurée ... en temps normal ... Mais, là encore, les souliers qu'il portait étaient tels des boulets enchainés à ses chevilles et le forçaient à marcher lentement pour assurer sa démarche.

Le temps de venir à Minerva, il constata qu'une nouvelle personne venait de l'accoster avec un verre de sang à la main.
Il reconnaissait le Tremere car il lui avait fourni une aide magique lors de la grande bataille.
C'était maintenant impossible pour lui de les déranger dans ces circonstances, ce serait impoli et déplacé et indigne d'un ancien même indépendant.

A l'approche des deux personnes, il se contenta donc d'un sourire distant et resta à l'écart afin de ne pas les gêner dans leur conversation.
Il était pourtant clair, à sa position orientée, qu'il attendait de pouvoir enfin adresser la parole à cette femme si étrangère et pourtant si familière.
Il n'entendait rien de ce qu'elle disait mais il regardait pourtant la femme avec curiosité, scrutant les moindres détails de son anatomie, ses lèvres qui bougeaient voluptueusement pour distiller des paroles dont il ne voulait rien entendre pour le moment.
Il imaginait l'accent espagnol qu'elle pouvait avoir ...
Il eut soudain un flash violent et des visions d'une femme qui portait des magnifiques fleurs colorées dans les cheveux et qui riait à gorge déployée.
Une image venue de nulle part et qui pourtant semblait avoir toujours existée dans son cœur ...
Si son cœur avait pu battre seul, il serait en ce moment en train de battre la chamade mais ce n'était pas le cas et l'instant qu'il fallut pour réaliser cela, tout était fini.
C'était de nouveau le sourire de Minerva qui apparaissait ... et ce verre de sang ... Pourquoi donc est ce qu'il avait soudainement si soif ? ... Sa Bête avait un comportement si étrange ...
...
Il quitta sa position pour aller se désaltérer puis il repris sa place, espérant ne plus avoir ce genre d'hallucinations particulièrement gênantes.

-Je vous en prie, appelez moi Sebastian, répond le trémère en oubliant un instant l'étiquette et sur un ton qui siérait davantage à un lieu moins huppé, toutefois très affable.

Alors qu'il allait pour rattraper cette erreur, Seb aperçoit Ahuizotl du coin de l’œil, avançant droit sur eux. Il retient donc ses paroles afin de mieux accueillir le "nouveau venu", mais celui-ci bifurque subitement. Le sorcier reporte alors son attention sur la dame, un beau sourire aux lèvres avant de déclarer calmement:

-Pardonnez moi, je me nomme Sebastian Ostwald, du clan de la magie, dit-il avec une pique au cœur au moment de révéler son appartenance de clan, comme lors de chaque présentation depuis qu'il est à Paris. Enchanté de faire votre rencontre. 

Il écoute la réponse de Minerva, quand son regard est brièvement attiré sur le côté avant de revenir sur la ravissante latine, par Ahuizotl. Le gangrel maya, inca ou il ne sait plus quoi est posté à plusieurs mètres d'eux, attendant là tout en les observant. Seb remarque les habits plus "civilisés" du chat mexicain, ce qui fait naître une courbure narquoise dans son sourire. De fait, il apprécie ce geste de bonne volonté de la part du gangrel et il se rend compte qu'il l'estime lui aussi de plus en plus, bien qu'ils ne se soient que rarement croisés. Néanmoins, ce n'est pas assez pour que le sorcier l'invite, il devra faire l'effort lui-même.

-Je ne connais guère de monde dans la praxis parisienne, mais je suis certain de n'avoir jamais vu un aussi joli visage, reprend-il de plus belle à l'intention de Minerva. J'espère que votre venue en ville n'a pas été trop fastidieuse ?

HRP:

Seb laisse son interlocutrice répondre, puis ajoute:


-En vérité, je suis doublement heureux de faire votre rencontre. Voyez-vous, je cherche à m'initier l'art du combat dans lequel je suis un néophyte, mais je ne trouve malheureusement pas de partenaire doué dans ce domaine. En tant que Brujah, peut-être saurez vous m'aiguiller vers une personne compétente lorsque vous aurez fait plus ample connaissance avec le reste de la praxis ?

Oui, bon, d'accord, il pourrait demander à l'aztèque. Mais quelque chose chez lui fait que Seb préfère encore poser cette question à une parfaite inconnue. Allez savoir pourquoi ?

La belle inclina la tête, et répondit :

- Moi de même.
Je suis Minerva, ancienne et primogène du clan des sages.

Les yeux de velours suivirent le regard du Tremere, et se posèrent un instant sur Ahuizotl. Mais ils revinrent rapidement sur son interlocuteur.
Elle eut un sourire et une petit moue pour remercier la flatterie de Sebastian.

- Fastidieux ? Non, j'aime voyager. Et puis, être nommée primogène dans une praxis qui a connu tant de revers, c'est une sorte de défi.

Minerva resta songeuse à la demande de Sebastian.

- Je vais y réfléchir. A quel genre de combat souhaitez-vous vous initier ?
Et comment pourrais-je vous contacter si je trouve quelqu'un qui souhaite s'entrainer avec vous...?

A nouveau, les yeux sombres se posèrent sur Ahuizotl, comme pour l'inciter à ne pas rester en retrait...

Le regard profond de l'ancienne Brujah fut tout de suite capté par l'ancien Gangrel et lui fit penser qu'il pouvait se joindre à la discussion, ce qu'il s'empressa de faire avec un large sourire comme entrée en matière.
Ahuizotl se lâcha sur son accent, plus prononcé que de coutume afin de se sentir plus à l'aise.

"Madame la Primogène du Clan Brujah, je vous salue et vous adresse mon plus profond respect !"

Un mouvement de tête vers le Tremere et le même accueil pour cet homme qu'il respectait.

"Monsieur Oswald ! C'est toujours un plaisir de vous croiser sur ces terres."

Mais sa curiosité n'était dirigée que sur l'amérindienne et aussitôt les salutations présentées qu'il ne voyait à nouveau que cette femme si mystérieusement familière.

"Je me nomme Ahuizotl, du clan Gangrel et je viens de cette cité que l'on nomme aujourd'hui Mexico. Je suppose que vous devez connaitre non ?
Vous êtes d'une beauté renversante ! Il y a bien longtemps que je n'avais eu la joie de contempler pareil splendeur. Vous êtes forcement de là bas."

Son regard était pénétrant, son attitude directe et sans aucune bride. Il voulait s'approcher encore plus, la sentir plus près de lui mais il devait faire preuve d'un peu de retenue; il était déjà trop impoli ...