Bureau du sénéchal

[arrivée depuis l'entrée du Louvre le 15/02]

Ahuizotl entra dans le bureau doucement, cherchant à sentir quelquechose de curieux, un detail inhabituel ou peut être juste une intuition qui le guiderait vers un coffre fort ou quelquechose de secretement dissimulé.

Il n'avait aucune piste à part une ou deux odeurs de parfum. Il devait fouiller les lieux pour trouver un indice ...

[jet de vigilance]

Le membre 'wolfgang' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 7, 10, 5

Nosfératu

[ Arrivé du Petit Salon ]

Anathème avait parlé avec une des goules du palais après être sorti du petit salon.
Ses questions, quelques peu orientés, lui ont permit d'obtenir les noms des personnes qu'il avait croisé plutôt.
Mélissange et Sly, le premier est sympathique, donnant envie d'y mettre quelques doigts avant... hm, peut-être plus.
Mais l'autre... ho bordel !

Il montait les escaliers, calmement, toujours avec son visage semblable à celui d'un mannequin, et se dirigea vers la porte du bureau.
Comme s'il était déjà venu ici auparavant, il posa sa main sur la poignée et entra dans la pièce.
Il poussa ensuite la porte qui fit un petit claquement lorsque la clenche se remit dans son logement.

Et là, il fut surprit de ne point être seul.

Ahuizotl avait trouvé quelquechose d'interessant sur ce petit calepin. Il prit un crayon pour en faire ressortir quelques lignes et afficha un sourire victorieux en lisant les mots qui se révélaient à lui ...

Mais sa concentration avait beau s'être relachée un instant, il entendit le bruit de la porte du bureau qui s'ouvrit ... Un homme entra et il ne s'agissait vraissemblablement pas de Stanislas ...

"Bonsoir ! Heu ... désolé mais ... vous êtes un ami de Stanislas ?" Peut être qu'il allait en savoir un peu plus sur cette etrange disparition ...

[arrivée du petit salon]

Alice avait couru dans les escaliers et elle avait été suffisamment rapide pour voir la porte du bureau de Stanislas se fermer sur l'étrange bel homme.
Sans le vouloir elle projeta sa pensée vers Fleur comme si elle pouvait continuer de converser avec elle comme si de rien était.

**Il est bizarre cet homme là... tu ne trouve pas ?**

Elle inspira à fond, comme ses vieux réflexes humains le lui avait suggéré et avança sur le pallié à présent déserté.
L'ex Sénéchal devait être en entretient... Mais Ahuitzotil était il toujours présent dans la pièce ? La meilleur façon de le savoir était encore d'aller y voir.

Elle toqua à la porte, la goule ne lui avait pas dit que Stan était introuvable et qu'il faisait l'objet d'une enquête interne, certaine information n'avait aucun avantage a être ébruité. Poliment la Malkavian attendit qu'on lui dise d'entrer... Ou non.

Encore quelqu'un qui voulait entrer dans le bureau du Sénéchal ?

Devais je le laisser entrer ? Ma foi ... il a disparu et il faut avancer ...

"Entrez !" Dit il d'une voix forte.

** Ahuizotl !? **

Sans plus attendre elle entra et se trouva en compagnie de deux hommes n'étant pas les propriétaires du bureau dans lequel le Primogène Gangrel semblait... fouiller ? Elle réprima son regard interrogateur et salua les deux vampire présent.

"Bonsoir Messieurs... Primogène je vous cherchait."

Elle prit un air très protocolaire, elle avait quelque chose de très sérieux a lui annoncer, et ceci aillant que devant les oreilles indiscrète du top modèle.
Son regard se posa sur lui elle lui fit un sourire crispé n'osant pas lui adresser la parole, bien que lui lui ai déjà parlé un peux plus tôt. Elle reporta son attention sur l'objet de sa venue ici. Le Primogène, William et le lien qui les lié lui et elle.
Mais au fait ? Les dérangeaient elle ? Soudain elle se sentie de trop dans la pièce.

Ahuizotl se rejouit de voir Aly entrer. Enfin quelqu'un qu'il appreciait. D'ailleurs William aussi l'appreciait beaucoup ...

Il esquissa un sourire et, devant le sérieux de la jeune Malkavienne, se mit à s'interroger sur la raison de sa venue si soudaine. Il imagina un instant qu'il était arrivé quelquechose à son frère et ne porta plus aucune attention à rien d'autre qu'aux paroles de la jeune caïnite.

"William ?" Lacha t il sur un ton visiblement inquiet ...

Nosfératu

Le Nosfératu allait s'exprimer quand la porte émit son petit "knock knock knock".

Il se ravisa donc et attendit.

*C'est peut-être un des mollusque d'en bas qui se souvient de quelque chose...*

Quand Aly ouvrit la porte il ne fut pas déçu, nullement.
La dernière arrivée était la première partie.
Peut-être que celle ci était bien plus "vivante" que les pantins d'en bas.

*Hummmm, elle est appétissante...*

Pendant qu'elle entrait, il appréciait ce petit corps svelte se déplacer d'une manière agréable, un sourire léger en coin.

Quand le bronzé qui était là avant lui prononca un nom, il le regarda en biais, une paupière plus haute que l'autre, pour éviter de trop tourner la tête.
Il savait bien que la réponse attendu allait venir de la nouvelle venue et il reposa donc rapidement ses yeux sur elle.

Le visage d'Aly se décomposa et elle commença a se diriger vers une étagère.

"Si vous êtes occuper il n'y a pas d'urgence, j'ai juste besoin de parler en privé avec vous, en attendant je ne vous dérangerais pas..."

Elle voulu dire rien de grave mais ce ne serait peut être pas l'avis de l'indien. Elle jetta un coup d'oeil de biais à l'inconnue et se tourna vers la bibliothéque où elle se mit fébrilement à ranger les livres par taille, puis elle changea d'avis et les classa en ordre alphabétique.
Devait elle se présenter à l'autre homme ou êtes ce au Primogène de le faire ? Devait elle quitter la pièce pour les laisser poursuivre l'entre vue qu'elle a intérompu ? Pourquoi la regardait il comme ça avec ses yeux gourmand ?
Vite vite ranger pour oublier les question. Elle se mordait la langue pour se forcer au silence.

Il ne savait pas quoi penser mais William hantait maintenant toutes ses pensées et occupait toute son attention. Il attendit cependant la réponse de l'inconnu.

Nosfératu

Il venait d'arriver, il n'avait pas envie de partir.

Il la regarda avec un sourire qu'il espérait aimable.
Monsieur m'a juste dit bonsoir et demandé si j'étais un ami de Stanislas.
Question à laquelle je vais répondre, en espérant ne pas vous froisser.

Il se tourna vers le bronzé pour au moins faire face à son interlocuteur.

Donc, Monsieur, non, je ne le connais pas, mais mon sang le connais.
Nous le partageons et la Reine... dans sa grande bonté, ma demandé de retrouver sa trace.
Vous pouvez peut-être m'aider, à l'inverse de la plupart des amibes du salon ?

Ahuizotl ne fut pas convaincu par les propos d'Aly. Il sentait quelquechose et il voulait avoir la certitude que rien de grave n'était arrivé à William. Il se força à afficher un visage détendu.

"Si c'est à propos de William, tu ne me déranges pas ! Allons dans mon bureau un instant."

Regardant alors le Nosfératu, il avait l'air d'être gêné.

"Pourriez vous m'attendre un instant je vous prie ? J'en ai pour quelques minutes ! Et je serai ravi de pouvoir vous aider à retrouver le Sénéchal, j'ai d'ailleurs des informations pour vous...."

Il sortit precipitemment du bureau pour se diriger vers le sien, accompagner de la jeune Malkavienne.

[sortie vers bureau du Primogene gangrel]

Ainsi donc le faux top modèle est un Nosfératus.... Ceci explique cela.... Elle le sentait faux, mais n'en avait pas comprit la profondeur... Ce n'était en fait que l'apparence qui n'était pas la vrais. déjà plus a l'aise elle se retourna pour se présenter convenablement, mais elle découvrir le visage inquiet du Primogène. Il voulait savoir et tout de suite. Soit...
Légèrement stressé tout a coup elle se mordit l'intérieur de la joue.

"Je vous suis Primogène."

Elle se tourna vers l'autre homme à qui elle adressa un sourire sincère.

"Je suis Alice Claudel, du clan Malkavian, veillez m'excuser de vous le prendre, cela ne durera que quelques minutes. En tout cas sachez que je suis heureuse de rencontrer mon deuxième rat dégout de ma vie."

Elle pencha légèrement la tête pour le saluer poliment et sautilla jusqu'à la porte pour rejoindre le Gangrel. Si nommer ainsi les membre du clan des égouts ne se fessait pas en public elle l'ignorait, elle avait quasiment toujours entendu parlé ainsi de ce clan...

[sortie vers le bureau du Primo Gangrel]

Nosfératu

Alors qu'une porte se fermait une fois de plus devant lui, Anathème se demandait si tous ici avaient aussi peu de substance.

Il entendit les pas s'éloigner rapidement et cela commençait à l'énerver... beaucoup.

Hmpf... mais je t'en pris tête d'oeuf, va te balader pendant qu'un de mes vieux est peut-être en train de crever et en plus t'es pieds nus !
Et l'autre... belle gueule mais acide. Pfff toutes des salopes.

Il se rapprocha du bureau de son aïeul.

Vas-y que je te fais un jolie sourire et que je te castre avec les mots qui vont bien.

Bon, le métèque était par là.

Il fit le tour et s'assit dans le fauteuil.

Je t'en foutrai moi des rats d’égouts !
Alors, qu'est-ce qu'on a là ?

Il commença à fouiller le bureau.

Spoiler:

[arrivée depuis le bureau du primogene Gangrel ... et oui c'est moi !]

Ahuizotl ouvrit la porte du bureau et constata que le nosfératu était toujours là. Il força son sourire mais il était très perturbé. Pourtant, il avait l'air calme et juste un peu perdu...

"Pardonnez moi Monsieur. Je suis Ahuizotl du clan Gangrel et je suis un ... allié de confiance de Stanislas."

Le mot ami allait sortir par reflexe mais le vieux gangrel savait que ce mot n'avait aucun sens pour lui et qu'il ne devait pas l'utiliser.

"Stanislas m'a laissé un mot qui me laisse comprendre qu'il a disparu et dans lequel il me demande de renoncer à venir le chercher. Il est donc tombé dans un piège selon moi et on veut nous attirer à lui ...

Chose bien entendue que je vais faire car Stanislas mérite que je lui vienne en aide. Si vous voulez m'aider, je ne puis qu'accepter un compagnon d'infortune car je n'ai que très peu de piste et le temps nous est compté."

Ahuizotl attendit un instant la réponse du cainite avant d'aller plus loin ..

Nosfératu

Anathème ne leva pas le nez de sa fouille jusqu'au moment ou "allié de confiance" sorti de la bouche du pruneau.

Il le regarda avec de grand yeux rond une poignée de seconde et eux un petit soubresaut en expulsant de l'air de ses poumons par le nez, comme pour un rire étouffé.

Il attendit que le Gangrel finisse de parler, peut-être allait-il lui apprendre quelque chose contrairement aux autres.

Oui, un alié serait certainement parti comme vous venez de le faire.

Heureusement que vous êtes revenu...ajouta t-il avec un sourire moqueur.

Il tendit la main devant lui, en direction de son interlocuteur.

Mon aïeul vous a envoyé une lettre, puis-je la lire ?
Et ces... informations ?

Il fouilla un instant dans ses poches pour sortir la lettre mais se rendit compte qu'il ne l'avait pas. Il avait jeté la lettre par terre, dans son bureau, par colère. Elle devait y être encore ...

"J'ai jeté cette lettre. Elle doit être encore dans mon bureau. Venez avec moi ..."

Il se dirigea vers la sortie pour retourner d'où il venait....

[sortie vers mon bureau si le nosfé veut bien me suivre ...]

Nosfératu

Il ferma sa main, le regarda, puis se leva.

Hm, si cela peut m'aider à retrouver mon sang, je vous suis.

[ vers le bureau du primo Gangrel ]

Nosfératu

[ arrivé de geôles ]

Anathème entra dans le bureau rapidement et verrouilla derrière lui.
Il se posa contre la porte et ferma les yeux.

*Bordel ! Comment il a su que j'étais descendu et que j'étais encore dans les geôles ?*

Il ouvra les yeux lentement.
*C'est les goules ou il a autre chose ?*

Il fit le tour du propriétaire en observant avec attention.

Nosfératu

Le Nosfératu fouilla un peu partout et fini par s'attaquer au bureau, en ouvrant le tiroir il vit des objets qui n'avaient rien à y faire, et surtout actif.
Il désactiva les appareils d'espionnage, non sans lâcher une insulte dans le micro.

Il ne trouva rien d'autre et décida de s'occuper de son rendez vous.
S'approcha de la penderie, il ouvrit les portes et jeta un oeil.
Hooo !! Il a bon gout dit donc !
Anathème regarda les différentes tenues de son aïeul puis referma la porte.
*Non, je vais lui dégueulasser ses fringues si je me fait encore niquer.*

Il s'approcha donc du coffre que lui avait indiqué Stanislas et saisit le code en se pressant contre le boitier.
Serait-ce de la paranoïa ?

*Hm alors qu'est-ce qu'on à là ?*
Je crache pas sur un peu de monnaie. dit-il en prenant quelques billets.
Il trouva également différents objets, certainement très utiles mais hors de question de les prendre.
Surtout pas pour aller voir un représentant du primogène.
Ha ça c'est mieux ! fit-il en saisissant un pantalon noir et un léger pull à col roulé de même couleur.
Il prit aussi des chaussures de cuir à semelle souple.

Ses affaires sous le bras et quelques billets en poche il referma le coffre, s'assura qu'il était bien verrouillé.
Puis il se dirigea vers la porte et sorti pour aller se toiletter.

[vers sa chambre]

Nosfératu

[ arrivée des couloirs ]

Le Nosfératu ouvrit la porte du bureau et entra calmement avant de la verrouiller.

*Bon, je commence par... ?*

Il se dirigea vers le coffre, composa le code et prit l contenu.
Puis il fit un petit mot pour Stanislas, il fallait bien lui expliquer que ce n'était pas du vol mais un emprunt à long terme. Cela dans l'optique ou il ne sortirai pas d'ici sur ses deux pieds, Anathème ne reviendrait pas ici.

Il prit une autre feuille et se mit à écrire, la ligne devint un paragraphe, suivi d'un autre, un troisième pour finir. Thèse, antithèse, foutaises.
*Ça devrait t'occuper un moment sale pute.*

Il griffonna un autre mot, bien plus court celui ci et l'ajouta à la feuille qu'il venait de plier et mettre dans une enveloppe.
Le tout dans le coffre dont il vérifia qu'il était bien verrouillé.

Il prit soins de remplir le magasin de munitions et l'engagea.
Recompta les billets qu'il avait en poche, en plus de ceux qu'il venait de prendre.

*Allez, bye bye le Louvre, j'espère ne pas être obligé de revenir ici, le Gardien le prendrai mal.*

Il s'approcha d'un petit miroir et se concentra sur son visage, puis le reste de sa personne.
Comment faisaient ces saloperies de "surfaciens" pour ne pas détourner le regard quand il le voyait ?
Même lui avait du mal à assumer ce qu'il était devenue après toutes ces années.
Qu'à cela ne tienne, paf un petit coup d'occultation et ça irai le temps de se barrer dans un endroit plus... adéquat.

Il vérifia le résultat et parti.

[direction le petit salon]

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