Isabelle bougeait enfin, elle s’était dirigé vers le cadeau pour le déballer et tomber en extase devant son œuvre! « La nuit du Sabbat. »

Elle remerciait Armand avec un regard qui représentait de la joie.
Le Toréador en fut éblouit, il était heureux de lui faire plaisir au travers tout ce fatras.

Cependant, de tout ce qu’il venait de l’entretenir, il savait pertinemment qu’il n’aurait que très peu de réponses ou d’observations de la part d’Isabelle. Elle ne relevait pas sa déclaration d’amour, n’avait pas porté attention a sa proposition de boire son sang et elle n’avait seulement, même pas réagit à son aveu d’avoir échanger des rapports intimes avec Abigail.
Le silence d’Isabelle semblait être en quelques sorte une punition pour Armand.
Il avait envie de se jeter sur elle, coller ses lèvres sur les siennes et de s’unir à elle. Mais cette envie, cette vision n’avait pas sa place en ce moment.
Isabelle le laissait faisander, Elle allait prendre avantage de la situation c’était évident.
Pour l’instant elle le mitonnait à petit feu.

Il alla s’asseoir sur un fauteuil tout au fond du bureau. Posant son front sur ses doigts tout en croisant les jambes. Il ne quittait pas Isabelle des yeux. Il avait envie de repartir sur une autre de ses diatribes passionnées mais il se retint.
Il avait tout dit, poursuivre n’aurait été que de lui redire les mêmes choses avec d’autres mots.

Le silence régnait.
Il se souvint avoir entendu la goule d’Isabelle parler de son emploi du temps, qu’elle avait rendez-vous avec la Reine.
-« Isabelle je sais que vous avez beaucoup a faire, ou du moins un rendez-vous important. A moins que vous ayez encore du temps devant vous? Voudriez-vous que je vous attende? Ou se donner rendez-vous quelque part pour parler de tout ceci? »
Peut-être qu’elle n’avait aucune envie de parler de tout ceci. Peut-être même que tout ceci y compris lui-même, était devenu maintenant sans le moindre intérêt pour elle.
Cette pensée s’était mu dans son esprit comme d’un ordre de partir de ce bureau, de quitter rapidement l’Elysium pour aller chasser avec rage et violence.
Il s’était comme résolu à la pensée qu’Isabelle n’en avait cure pour lui dorénavant. Alors comme en état de choc le regard exprimant de l’angoisse, il se leva maladroitement du fauteuil pour se diriger vers la porte, il allait quitter sans la regarder tout à fait comme un automate.
Mais en appuyant la paume de sa main sur la porte il devint subitement hésitant.
Il tourna légèrement la tête vers elle.
-« Pardon de vous avoir fait souffrir, je suis indigne de vous. Je… »

Non il ne devait pas craquer, il avait atteint des sommets cette nuit dans ce bureau en se montrant aussi faible et misérable. Il ne devait pas meurtrir davantage son âme. Il était en train de se perdre, il était en train de se noyer.
Il laissa la porte pour se tourner et s’avancer vers elle puis il penchait légèrement le torse afin d’appuyer ses deux mains sur le bureau.

-« Je m’égare Isabelle, mes propos sont incohérents, je ne suis pas venu ici demander votre pardon, des gens comme nous ne pardonnons pas, nous composons avec tout simplement ou si nous le faisons c’est sans jamais oublier. Je suis venu vous voir cette nuit pour subir votre châtiment. »
Puis, balayant d’un geste de la main devant lui le regard ailleurs.
-« Le châtiment peut-être violent, sanglant, humiliant, subtil, silencieux comme la mort, ou le genre de châtiments qui selon Dante, est couramment appliquée dans les enfers, a savoir, d’être ignoré pour l’éternité. »
Il s’approchait d’elle en plongeant son regard dans le sien.
-« Si vous refusez de me châtier ou si vous choisissez de m’ignorer…Je serais tout à fait incapable de l’accepter. Alors je me châtierais moi-même. Je vous le dis en vérité, si vous n’appliquez pas haute justice sur moi, j’irais me jeter dans les flammes, gouter de ce parfum de l’enfer. Mais point pour m’occire, mais juste assez pour que je puisse exister et ordonner à ma goule de me mettre en terre afin que je puisse souffrir de la soif éternelle et ce, sans me guérir pour que je puisse souffrir de mes blessures. Je vous en fait le serment et je vous prie de me croire!»

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Armand était tout près d’Isabelle, il parlait librement puis soudain, il ressenti comme une espèce de commotion, et bizarrement le temps semblait aussitôt passer en mode ralenti, sur le coup il se demandait s’il n’était pas en train de se produire un tremblement de terre.
Puis une succession d’images. Armand voulait les capter, il voulait comprendre ce qui se passait aussi subitement. Les images ressemblaient parfois a de flashs de caméra, lui laissant des points noirs dans son champ de vision, puis des images plus net, donc celle du bureau mais sous un angle très différent de ce qu’il avait l’habitude de le voir, aussi une explosion d’étincelles blanches semblait tomber de partout, enfin il voyait l’image du bas du bureau.
Une sensation de vertige lui montait à l’esprit puis il voyait l’image du tapis.
Mais pourquoi le tapis? Qu’est ce que le tapis venait faire dans cette histoire?
Sauf que le tapis venait de le frapper, Armand était stupéfait et son propre visage se collait sur le tapis comme de sa propre volonté.

Hein?

Puis tout se stabilisait, il était au sol, d’instinct il allait bondir sur ses pieds pour voir si Isabelle n’avait rien, s’il elle était aussi choqué que lui par cet étrange événement ultra-rapide mais riche en contenu.
Mais une vive douleur se mis à s’emparer de sa mâchoire.
Il ne se levait pas vers Isabelle mais plutôt il tournait la tête sur lui-même en mimant avec la bouche le mot : AOWW. Mais aucun son ne sorti de sa bouche, il ne pouvait que manifester facialement ce gémissement.
Sa main venait soutenir sa mâchoire comme pour soutenir la douleur, il se mis à pisser le sang sur le beau tapis d’Isabelle, il perdait du sang…Considérablement.
Et c’est seulement a ce moment qu’il réalisait qu’Isabelle venait de le frapper.
Bon il n’allait pas s’en formaliser car il réclamait un châtiment.

Bizarrement en voyant Isabelle s’avancer vers lui, la voyant d’un point de vue ou le corps d’Isabelle le dominait complètement, il était couché sur le dos, appuyé sur un coude essayant de faire cesser le saignement.
Bizarrement, il ne saurait vraiment pas l’expliquer, c’était la première fois que cela lui arrivait dans une telle situation…Il bandait…Une érection énorme contrôlait son sexe.

Il n’était, en aucune façon, masochiste, il ne comprenait pas cette réaction phallique en présence d’Isabelle, car a chaque fois dans sa non-vie il devait concentrer du sang pour faire enfler son pénis.
Devant Isabelle, il n’avait pas le moindre contrôle sur son sexe. Devant Isabelle seulement en se rappelant que dans la galerie avec Abigail il avait du concentrer du sang pour durcir son membre et le faire ressentir par moyen de frottement sur la violoncelliste.
Puis voyant les yeux d’Isabelle se remplir de sang, il ressenti un violent orgasme, il était paralysé par cette trop étrange jouissance! Mais que se passait-il? Qu’est ce qui lui prenait? Armand était estomaqué de ses propres réactions, mais il sentait des jets de sang se propulser hors de son sexe dans son pantalon, ce n’était pas du sperme, a chaque fois qu’il simulait une éjaculation, c’était du sang qui s’extrayait de son sexe.
Mais la c’était hors de son contrôle. Les larmes de sang d’Isabelle, la douleur, son sang s’écoulant de sa bouche, il était allongé aux pieds de la Primogène…Il était a la merci d’un orgasme complètement envoutant et combien jouissif.

Elle le sommait de se taire!

Puis elle montra involontairement ses si jolies jambes qui vinrent s’appuyer sur son torse. Puis elle porta sa main au coup d’Armand.
Puis elle alla l’embrasser.
Il l’aimait, c’était absolument et définitivement incontestable.

Mais il senti une pression émanant de la Part d’Isabelle, elle usait d’un pouvoir sur lui il le senti juste avant de perdre ses esprits.

Puis il exprimait des mots comme si sa pensée était dotée de la parole, il n’avait aucun contrôle sur ce qu’elle lui faisait subir. Il voyait juste dans un dernier éclair de lucidité des larmes qui coulait encore plus fortement des yeux de la femme dont il était amoureux.
Puis les mots sortirent, des mots qu’ils n’auraient jamais prononcés de son propre gré

-« Merciiiiiiii Isabelle, vous êtes tellement belle, je vous aime tellement fort, je suis d’ore et déjà incapable d’imaginer ma non-vie sans vous. Je vous aime si profondément qu’il faudrait inventer un autre mot car celui-ci n’est pas assez fort pour illustrer ce que je ressens pour vous, je vous ai dans la peau, j’ai besoin de vous. Maintenant que je vous ai rencontré, je peu mourir ultimement car jamais je ne pourrais vivre quelque chose de mieux et de plus intense que votre présence dans ma non-vie et ce, pour l'éternité.
Ne voyez-vous pas que vous me perdez complètement dans mes émotions? Moi qui d’ordinaire très intelligent et en parfait contrôle de moi, je me retrouve comme un pauvre être complètement brisé par l’amour a vos pieds, vous offrant ma non-vie.
Et votre visage…Votre si magnifique visage, je veux toujours le revoir quand vous n’êtes pas la et juste a l’idée dans perdre un seul détail me plonge dans une angoisse intolérable. Votre peau, la toucher est une caresse si merveilleuse a mes doigts en combien enivrante pour mes lèvres. Mais j’ai peur de ne pas vous mériter, je commets tant de folie sous le coup de l’amour, j’en perds la tête.
Vous êtes la seule personne au monde qui provoque en moi des érections sans que j’aie à concentrer mon sang pour les provoquer. Ces érections subviennent d’eux-mêmes.
Et a l’instant même ou j’étais à vos pieds quelques secondes plutôt je goutait un orgasme si délicieux et tellement, follement, débordant de sensations d’extases si exquis et si merveilleusement bon a m’en faire exploser! De cet état que j’aurais tellement voulu partager avec vous et en même temps que vous.
Non je ne suis pas masochisme, mais votre violence mêlée a vos larmes, que vous m’ayez touché avec une telle puissance, votre souffrance, votre visage, vos habits, votre odeur tout. Absolument tout émanant de vous dans le déchainement de vos sens m’ont perdu dans un plaisir incontrôlable.
Je vous aime Isabelle. Je n’aime pas Abigail bien qu’elle soit excitante. C’est vous que j’aime.
Je suis votre amoureux, je suis un peintre dominé par le poids de ses désillusions, errant en enfer ignoré de l’humanité, je suis devenu un assassin, mes mains ont enlevé tellement de vies humaines et j’aime tuer, j’aime le moment ou la vie quitte un corps, cette sensation et aussi extrême que le baiser lui-même. J’ai de la difficulté a contrôler ma dépendance au meurtre. J'aime me laisser aller au bout de ma propre violence et faire preuve d'extrême cruauté tel que je l'ai manifesté sur votre goule. Cela provient de toute évidence des violences innommables que j’ai subit dans les prisons du Québec lorsque j’étais mortel, là où j’ai été battu, humilié et violé de manières tellement horribles et tellement monstrueuses que cela avait fait basculer mon esprit dans toute cette violence, tout ceci s’était produit avant même de devenir un Caïnite.
Avant de vous avoir rencontré, la non-vie n’était qu’enfer et damnation. Maintenant grâce à vous, je me sens revivre, je mes sens plus humain qu’un humain. Vous m’avez apporté par votre seule présence ce que j’ai toujours cherché à obtenir dans ma vie humaine autant que dans ma vie de vampire. Le vrai amour, ce sentiment véritable, le vrai sans tache d’un cristal brut et impur! Celui que je n’avais jamais connu dans ma vie et que j’ai tant cherché à obtenir depuis tout le long de mon existence, depuis mon enfance jusqu'à votre subite et brutal découverte. Mon âme vous a tout-de-suite reconnu.
Je suis vous, vous êtes moi, nous sommes folies, nous sommes danger, nous sommes extrêmement redoutables.

Oh! Et….Bien que je le renie avec verve et force, je suis bisexuel. Je fais ma tapette en cachette parfois et…Je ne déteste pas cela.
Et…Bien que je le renie également, les grosses fesses de ma goule m’excitent parfois, son groooooooooooooos criss de cul!
Et…Quand j’étais enfant je pissais souvent au lit. Ma mère aurait aimé avoir une fille et parfois elle m’habillait de façon presque féminine quand j’étais enfant pour aller à la l’école, les autres enfants se moquaient de moi, ils m’appelaient « la poupée », c’est à cause de l’éducation de ma mère qu'une certaine forme de féminité s’est mise à s’emparer de mon corps et de mes gestes.
J’ai fait ma première découverte sexuelle a dix ans avec ma petite copine de l’époque, elle s’appelait Michelle Morin je l’emmenais souvent chez moi pour faire des « touche pipi et pouèt pouèt nichon. » Et j'aimais introduire des billes dans son pantalon.
Mon nom d’origine est Jérémie Morane. Et j’ai éjaculé pour la première fois a 12 ans sur un magasine du catalogue Sears a la page des pantalons tailleurs, moulants et a taille haute pour femme.
Et…J’ai déjà fait un…Un…Elle court, elle court,
La maladie d´amour,
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans.
Elle chante, elle chante,
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris.

Elle fait chanter les hommes et s´agrandir le monde.
Elle fait parfois souffrir tout le long d´une vie.
Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l´ombre
Mais le plus douloureux, c´est quand on en guérit.

Elle court, elle court,
La maladie d´amour,
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans.
Elle chante, elle chante,
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris.

Elle surprend l´écolière sur le banc d´une classe
Par le charme innocent d´un professeur d´anglais.
Elle foudroie dans la rue cet inconnu qui passe
Et qui n´oubliera plus ce parfum qui volait.

Elle court, elle court,
La maladie d´amour,
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans.
Elle chante, elle chante,
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris.»

Puis toussant un dernier jet de sang. Armand sombra cette fois dans une inconscience totale.

Spoiler:

Armand repris doucement conscience, il était dans un lit très confortable, il se sentait plutôt bien pour le moment. Mais il se sentait bizarrement entravé.
Il se demandait pourquoi il était la?
Mais pourquoi il était attaché?
Puis sa vision floue redevint très claire.
Devant lui sur le mur, un corps crucifié! Mais qu’est-ce que cela signifiait?
C’était la goule d’Isabelle. C’était Laurent mutilé.
Il était exposé, toujours défiguré et émasculé.
Isabelle avait remplacé sur Laurent, a l’endroit du sexe qu’elle lui avait fait parvenir dans une boite, elle avait inséré à cet endroit, le pénis en érection qu’Armand avait confectionné en terre cuite.

Les idées se bousculaient dans la tête d’Armand, il se rappelait qu’Isabelle l’avait dominé mentalement par un pouvoir, elle l’avait obligé à révéler tous ses secrets! CIEL!
Armand devait évaluer rapidement la situation avant d’analyser, de tirer et conclusions et d’agir.
Premièrement ses entraves. Il ne pouvait pas demeurer ainsi pieds et poings lié comme un animal ou une victime.
Il alla essayer de se défaire de ses liens.

Spoiler:

Jet de force + un point de sang.

(Oui je sais, je devais l'effectuer sur le post précédent.)

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Malgré sa tentative. les liens ne cédèrent point.

-AAAAAARRRGGGGGHHH! Foutus lien de pisse et de merde!

Naturellement Isabelle n’avait pas conçu des liens pour tenir un humain, mais bien des liens pour tenir un Caïnite.
Il était prisonnier. Il ne contrôlait plus la situation.
Et les liens était la chose la plus humiliante dans tout ce qu’il venait de subir.
Maintenant il devait se calmer, il ne pouvait rien faire d’autres pour le moment et passer son temps a maudire ses liens ne le mènerais nulle part.
Mais il se vengerait de cela sur Isabelle. Comme de lui administrer une fessée érotique lorsque l’occasion se présentera.
Il allait garder cette note sur son ardoise.

Bon, il ne pouvait plus bouger, en plus il était nu sous les draps.
Armand souriait en imaginant Isabelle le déshabiller car elle n’aurait certainement pas laissé une goule se charger de cela, en plus elle l’avait surement nettoyé également.
Cette idée lui apporta une grande satisfaction avec une pointe d’excitation. Mais la goule devant lui l’empêchait d’approfondir plus loin le fantasme avec sa Primogène.

Armand essayait de comprendre à quels desseins Isabelle voulait lui imposer ce triste spectacle. Pour le punir? Ou pour espérer qu’il puisse définir cette « modification de goule » comme une œuvre? Tout comme lui quand il avait voulu le présenter tel quel lorsqu’il avait laissé filer la goule de sa galerie ainsi défigurée pour se présenter a elle comme une soi-disant œuvre!
Surement qu’Isabelle voulait lui rendre la monnaie de sa pièce tout en usant du même moyen pour lui témoigner la douleur qu’il lui avait provoqué. D’abord la boite et ensuite ceci!
Armand commençait à se questionner sur la santé mentale de sa Primogène, sa façon d’exprimer ses émotions et son penchant à une certaine violence! Violence partagée par Armand. Elle et lui étaient sans conteste, dénués de certains sentiments à l’égard de l’existence.

Ce questionnement le rassura grandement, car une femme trop saine d’esprit, trop classique et trop rationnelle ne pourrait jamais avoir le moindre point commun avec lui. Non pas qu’il s’agissait de folie, loin de là, mais plutôt d’une façon différente d’aborder certains point de vues, il fallait pouvoir disposer de ce type de vision pour apprécier et créer de véritables œuvres.
Peut-être pour Isabelle, que sa goule ainsi représentait pour elle une pièce de maitre?
Oui peut-être…Armand devait avouer qu’il y avait eu une certaine touche a sa conception, l’idée de l’ablation et de la substitution du pénis ne manquait pas de doigté. Elle avait tout-de-même fait preuve de talent sur le sujet et d’un gout très sur!
Il faudrait alors qu’une nuit, elle et lui puissent avoir l’occasion de travailler sur un être vivant et de concert, transfigurer le sujet en œuvre de maitre.
Cette perspective lui plaisait énormément. En admettant qu’Isabelle veuille bien disposer de lui à nouveau.
Mais la situation actuelle, qu’il ait été déshabillé, nettoyé et lié par cette femme…S’il ne représentait aucun intérêt pour la Primogène, elle ne se serait pas donner la peine de tout ceci et elle l’aurait simplement châtier et l’aurait viré comme un malpropre sans perdre de temps.

Puis l’interrogatoire forcé par la pensée, ce viol de son esprit, Armand se rappelait chaque mots qu’il lui avait dit. Elle savait ses moindres penchants, ses émotions, ce qu’il aurait voulu garder secret devant elle.
Elle venait de le violer en extirpant des informations de son esprit en utilisant une façon extrêmement humiliante pour un vampire.
En général ce type de discipline s’appliquait sur des ennemis ou sur des vampires de basses extractions, ou dépourvu de respect et d’intelligence.
Armand usait cette discipline sur le bétail et aussi pour se défendre au cas ou un Caïnite genre Brujah, croirait intelligent de faire le guignol avec lui.

Cependant Armand, n’avait aucune colère contre Isabelle, aucune rancœur. Il avait exigé un châtiment et il lui avait accordé le droit de disposer de sa non-vie a sa guise et a son gré et c’était ce qu’elle avait fait.
Elle aurait pu faire cent fois pire et sur sa propre invitation.
Et peut-être même que son châtiment n’était pas encore a son terme.

Quant aux révélations, il en éprouvait et en éprouverait toujours de la honte envers Isabelle, sauf concernant ses paroles ou il lui avait déclaré son amour, s’il elle avait besoin de cela pour en être convaincu…À l’âge ou elle était rendue, elle devait avoir payé trop souvent le prix de la trahison et a une certaine époque d’un long vécu tel que le sien, la confiance aveugle ne représente absolument plus rien.
Seulement les détails hors-propos de sa vie et non-vie le rendait honteux. Mais il devrait accepter ces conséquences. Il se demandait quelle serait sur Isabelle l’impact de ces révélations. Il devra la questionner à ce sujet.

La seule chose qui le mettait légèrement en rogne était d’avoir été ligoté et ne pas être en mesure de se libérer.
Sur ce, il ne pouvait rein faire d’autre qu’attendre le retour d’Isabelle en ruminant ses pensées, lié et nu dans un lit avec un Laurent métamorphosé devant lui.

L’esprit d’Armand était toujours en mouvement, toujours attaché dans ce lit il réfléchissait sans répit, a n’importe quoi, des souvenirs, des projets, le passé, le présent, le futur et des images qui venaient interrompre le cour d’une pensée pour aussitôt l’orienter dans une autre direction.
Puis des paroles lui revint à l’esprit

"Je t'aime moi aussi et peu importe tes secrets aucun ne pourra changer ça.
Pardonne-moi de t'avoir infligé ça, mais je devais savoir... J'avais si peur..."

C’était les dernières paroles d’Isabelle qu’il avait entendu juste avant de sombrer dans l’inconscience. Malgré tout ce qu’il lui avait dit et tout ce qu’il lui avait dit, elle l’aimait malgré tout. Cet amour, brut, foudroyant qui s’était mis à s’illuminer depuis le peu de temps qu’il s’était rencontré, les avait saisis l’un et l’autre, comme s’ils s’attendaient depuis un long moment, comme si leurs contacts était un point de convergence vers un nouveau chemin et un nouveau but.
Tout comme la pierre qui avait été jeté dans un ruisseau et qui créait ses remous tout autour s’agrandissant jusqu'à atteindre le rivage tel des vagues d’émotions pures et intenses.
Il était venu réclamer un châtiment par amour pour elle et elle lui avait répondu par son amour, leurs souffrances mutuelles étaient comme signe, comme s’ils s’étaient frappé eux-mêmes pour bien se faire comprendre et réaliser qu’ils étaient fait pour se compléter, se comprendre et pour s’aimer. Ce type de sentiment qui allait au-delà de l’amour humaine, ce sentiment était bien vampirique, comme véhiculé par un mysticisme qui émanait d’outre tombe auquel aucune force ne pouvait lutter.
Soudain la porte s’ouvrit.
C’était elle.
Elle était dans une robe rose, elle était si jolie, tellement désirable et resplendissante tout comme une étoile de la nuit
Isabelle s’approchait du lit plongeant son regard dans le sien glissant une de ses mains sous les draps pour venir saisir délicatement sa cheville et lui délier un pied.
Armand ne la quittait pas des yeux, il la laissait faire sans prononcer un mot, elle défit ensuite la sangle de son autre pied.
Puis il vient s’asseoir près de lui sur le bord du lit.
Elle lui manifestait ses craintes, prodiguait ses excuses et ses regrets tout en étant persuadé d’avoir causé un énorme tort contre Armand en ayant pénétrer de force son esprit afin d’y puiser ses secrets les plus importants.
Puis elle se mis à verser d’autres larmes de sang en détachant un le lien de son poignet gauche et en glissant sa main dans celle qu’elle venait de libérer
Elle s’affligeait. Se culpabilisait.
Armand saisit sa main, la toucher était pour lui un pur délice. Il devait l’empêcher de s’affliger davantage mais la voir dans cet état lui procurait un puissant désir au niveau des sens, de voir cette femme si puissante devenir tout à coup si démunie.
Comme lorsqu’elle l’avait frappé plutôt en lui manifestant son désarroi en le faisant.
Cet état qui avait créé chez lui un orgasme de plaisir si intense.
En la voyant pleurer à nouveau ainsi, il avait envie de lui faire du mal, de la brutaliser, de l’humilier et de l’invectiver autant qu’il avait envie de la rassurer, de la caresser, de l’embrasser et lui dire à quel point il l’aimait.
Elle hésitait avant de défaire la dernière sangle comme s’il allait aussitôt s’envoler comme un oiseau dans le ciel pour ne plus revenir.

Il tenta alors une dernière fois de tirer sur la dernière sangle pour s’en détacher lui-même.

Spoiler:

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'Dés 10 faces' : 9, 1, 10

Cette fois le lien cédait sous la force et rapidement il saisit Isabelle par le coup pour aussitôt la pencher vers lui pour l’embrasser furieusement sur la bouche avec sa langue. Son autre main serrait sa main pour ensuite aller se poser sur la poitrine d’Isabelle pour l’insérer dans le haut de sa robe afin de lui saisir un sein et le caresser.
Il l’embrassa longuement. Évitant d’avaler ses larmes de sang, puis ensuite reculant légèrement son visage pour bien la regarder dans les yeux, il essuyait délicatement ses larmes avec ses mains.

-« Vos larmes sont inutiles mon amour. Vous ne m’avez causé aucun chagrin, aucun mal. Vous m’avez au contraire apporter un énorme soulagement et un immense bonheur en me témoignant votre amour sincère, je n’étais donc pas seul a aimer…Vous aimiez aussi très chère. »

D’une Main il retira le drap qui le couvrait, il était maintenant complètement nu tout a coté d’elle, son corps touchait le sien, mais il ne fit rien, il lui caressa doucement la joue pour aller se lever. Passant devant la statue humaine accroché sur le mur. Il s’approcha d’un meuble pour y allumer la petite chaine audio afin d’y mettre de la musique en tombant sur un poste de musique classique qui y diffusait le magnifique concert pour flute et harpe de Mozart, le second mouvement, andante. Cliquez ici pour entendre.
Il trouvait cette pièce musicale absolument exquise et très approprié au moment.

Puis il se retourna vers Isabelle, toujours nu et une solide érection s’était emparé de sa verge. Il adressa un sourire tendre à son aimé.
Les note de la flute et le la harpe de Wolfgang Mozart flottèrent dans la chambre comme suspendue apportant ainsi un doux réconfort aux oreilles si sensibles des Toréadors.
Il grimpa sur le lit, marchant à quatre pattes vers elle pour ensuite l’enrouler entre ses jambes pour l’embrasser tendrement à nouveau. Tirant sur la robe pour la baisser doucement pour révéler la poitrine d’Isabelle, puis il pencha son visage pour aller lécher et sucer ses mamelons, les mordiller doucement en les embrassant.
Puis il la libéra d’entre ses jambes pour reculer afin de savoir si elle désirait partager également ce moment intime avec lui, elle était assise entre ses jambes écartées, son pénis extrêmement bandé qui dardait devant elle outrageusement comme pour la choquer et la provoquer avec arrogance et créer en elle cette honte propre aux femmes de son rang, honte qui devenait très souvent la source de très violentes excitations sexuelles, cette pratique très souvent utilisée d’instinct chez les nobles et les seigneurs afin de laisser aller leurs pulsions naturelles.

Armand voulait lui laisser le choix et non faire comme la première fois lorsqu’il l’avait déshabillé avec violence. Non il voulait laisser le libre arbitre a Isabelle.
Et si elle refusait toujours ce type de contact avec lui pour le moment, il lui proposerait d’aller chasser ensemble cette nuit, se nourrir ensemble à la belle étoile, assassinant romantiquement des proies humaines pour y célébrer avec harmonie et tendresse les premiers pas de leurs unions sentimentales.
Cependant, il devait observer ce sujet avec elle, il lui en avait fait la confession, mais elle était primogène de la Camarilla, elle était tenue d’épargner la vie pour préserver la mascarade, lui aussi d’ailleurs mais il se pliait avec énormément de difficulté a cette règle, échouant par trop souvent et lamentablement.
Cependant, si elle acceptait cette invitation, il ferait de son mieux pour l’accompagner dans ses méthodes pour éviter de la compromettre. Mais il ignorait si elle était délinquante a cette règle et peu encline a respecter l’existence du bétail ou tout le contraire, une fervente et docile servante de la très sainte Camarilla.
Cet aspect de la secte était pour Armand de la pure foutaise mais il se gardait bien de l’exprimer, elle en avait déjà suffisamment appris sur ses penchants lors de l’application de sa discipline sur lui.

Armand décida de faciliter les choses a Isabelle, déjà qu’elle s’était fortement affligée de l’avoir mis dans cet état, il voulait lui alléger la tâche en proposant verbalement a Isabelle ce qu’elle préférerait de faire en sa compagnie cette nuit.

-« Mon amour, voulez-vous que nous communions physiquement ensemble et que nous fassions sauvagement l’amour? Ou peut-être préféreriez-vous chasser avec moi en cette douce nuit? A moins bien sur, que vous ne désiriez faire autre chose? Et peut-être me dire ce que vous attendez de moi en tant que votre amoureux? »

Avertissement, cette réponse contient des scènes explicites pouvant ne pas convenir a un public de tout âge. La présence d’un adulte averti est fortement recommandée.




Isabelle était maintenant nue devant lui, il était allongé sur le lit et elle debout a coté.

Le concert pour flute et harpe de Mozart avait été succédé par une pièce d’Erik Satie, Gymnopédie no.1. Autre pièce de maitre qu’Armand affectionnait énormément. Cliquez ici pour entendre.

Armand se leva doucement pour aller la prendre dans ses bras par les cuisses et la soulever du sol pour la déposer dans le lit.
Il l’embrassa longuement, passant ses mains sur tout le corps froid de la Primogène, chaque partie, chaque endroit, il la caressait, il posa ses lèvres sur les moindres parcelles de son corps qui étaient à sa porté. Il embarqua sur elle, caressant ses épaules, dégustant avec passion ses seins offerts.
Pendant un moment il releva la tête pour bien la regarder. Il ne bougea plus, écoutant la musique, savourant l’instant présent avec une satisfaction si intense que s’il aurait été humain son cœur en aurait explosé. Il était heureux, il aurait voulu faire cesser le temps pour être ainsi sur elle a vivre l’un des plus beaux moments depuis sa naissance.
Puis le corps appelait le corps et il glissa sur elle vers le bas en léchant et embrassant tout doucement son abdomen.
Ensuite il se baissait davantage pour lui caresser les cuisses en les effleurant de ses longs doigts et de ses douces mains.
Puis il relevait les cuisses d’Isabelle pour mieux exposer le spectacle de son sexe.
Cette dernière avait les jambes écartées et relevées vers le haut.
Il admirait sa chatte, elle était de marbre et extrêmement jolie, il posa délicatement un baiser sur ce joli sexe, puis plusieurs autres, puis les pressions de ses lèvres, ouvrant la bouche pour bien la prendre et sortant sa langue pour lui parcourir toute cette partie, la pénétrant de sa langue dans ses deux orifices.
Il la dégustait complètement, après un long moment attardé a ce si belle endroit de la femme, il se redressa pour se mettre à cheval sur elle sur son le haut de son abdomen, collant son sexe entre ses seins et appuyant sur ceux-ci afin de provoquer une masturbation sur sa verge, il fit ainsi des mouvements de va et vient entre ses seins pendant quelques instants puis il s’avança sur son corps toujours a cheval, mais écarta ses jambes pour ne pas lui mettre physiquement de la pression, le bout de sa verge était maintenant apposé sur les lèvres d’Isabelle.
Lentement il se mis à lui pénétrer la bouche, lentement puis progressivement plus rapidement et plus fougueusement…Enfin c’est avec une passion enflammé qu’il sortait et entrait sa verge dans cette bouche empoignant les cheveux d’Isabelle et tirant sa tignasse.

Puis il se retint, son éjaculation était sanguine, ce qui aurait provoqué un lien de sang chez sa primogène. Alors il se repositionna en s’allongeant sur elle, écartant bien ses cuisses, les relevant puis avec un bon coup de rein, il monta Isabelle, il la pénétra, lui labourait avec fougue et fureur sa chatte si douce. Il lui faisait l’amour. Il poussa des grognements de plaisir, il l’embrassa furieusement en pleine bouche ses mains parcouraient ses épaules et ses seins, il la pilonnait sauvagement avec une telle passion et un si inépuisable désir.

Puis après un bon moment de ce mouvement combien délicieux, il senti le sang lui monter au pénis, bien que ne le sachant point, ne s’étant jamais posé la question, il ne voulait pas créer de lien de sang contre le gré d’Isabelle. Alors au moment de jouir il se leva debout sur le lit en se masturbant furieusement, puis il sauta sur le meuble qui était juste en dessous de Laurent, enfin il éjacula en envoyant des jets de sang sur la goule meurtrie qui était accroché au mur, jet par-dessus jet, Laurent pris sur son torse et son visage l’éjaculation sanguine d’Armand, celui-ci sous le coup du plaisir envoya même une solide gifle a Laurent.

Puis d’un bond arrière il retourna sur le lit ou il s’affaissa tout a coté de la femme dont il était amoureux.
Collé tout a coté d’elle il l’embrassa encore longuement en la caressant de ses mains.
Puis il releva la tête au-dessus d’elle.

-« Isabelle! Je t’aime tellement fort. »
Il venait de la tutoyer pour la première fois puis Il lui caressa la joue.

-« Rien de mieux qu’une bonne chasse a l’homme après un moment aussi divin et délectable ne croyez-vous pas ma chérie? »

Spoiler:

Isabelle se laissa emporté par la douceur d'Armand, il lui procura du plaisir et elle en fit de même, tout deux semblait empreint d'une même motivation donner et recevoir en abondance... Lorsqu'elle sentie venir la jouissance elle regarda le jeune Toréador s’extraire d'elle et se vider sur sa 'goule de décoration', cette vision lui procura encore plus de joie et elle se toucha doucement pour l’accompagner dans son ultime plaisir. Cabré sur le lit elle éclata de d'un rire libéré lorsque la main d'Armand percuta le visage de Laurent, puis se laissa retomber. Lorsqu'il revient d'un bon vers elle, elle roula sur le côté pour se lover contre lui et laisser courir ses doigt sur sa peau nue.

Le temps s'écoula en douceur, alors qu'a côté d'eux Laurent léchait le sang d'Armand qui avait giclé sur ses lèvres, sans doute cet apport surprise de Viatea lui sauverait la vie, au moins pour la nuit...

"En effet tu as raison... Partons."

A contre cœur elle se décrocha de son amant et glissa hors du lit. Elle posa un regard carnassier sur Laurent.

"Ça t'a plus coquin..."

Elle fit glisser ses doigts sur le sexe en argile y appuyant un peux se qui arracha un râle de douleur a son nouveau propriétaire. Isabelle eu un sourire de contentement, le corps cicatrisait bien autour de la greffe. Elle se tourna vers le beau vampire et lui adressa une mimique coquine et l'invita d'un regard à la suivre dans la salle de bain. Pour la deuxième fois de la journée elle lava son corps jusqu'au endroit les plus intimes avec des caresses enivrantes. Chacun s'activant pour le plaisir de l'autre. Finalement Isabelle ralluma l'eau mettant fin au jeu. Ils finir par s'habiller et quitter le Louvre par une porte autre que la principale.

[Suite ailleurs...]

Armand en tournant la tête voyait Isabelle dressé devant sa goule accrochée au mur.
Elle lui avait parlé et avait saisi le sexe en argile suffisamment fort pour provoquer une douleur sur sa goule.
Elle semblait se délecter de faire souffrir Laurent et de le voir dans cet état.

Armand réalisait qu’il commençait à découvrir le coté sombre de la Caïnite dont il était tomber amoureux. Le Toréador était plus que satisfait de la voir ainsi se mettre à l’aise devant lui, la voir dans son intimité, le naturel de son caractère et de sa personnalité. Elle se mettait progressivement a nue aux yeux d’Armand.
Celui-ci souriait de la voir persécuter sa goule et lui faire du mal, cela provoqua une vive excitation chez lui.

Ensuite Isabelle entraina Armand dans la salle d’eau ou il pu satisfaire la dernière excitation qu’elle avait provoqué, passant ainsi un second délicieux moment ou il pu se laisser aller à poser différents gestes très osés sur Isabelle, gestes qu’il n’avait pas eu l’occasion d’effectuer avec elle sur le lit auparavant. Armand prenait de l’assurance avec sa belle et celle-ci semblait très réceptive a son laisser-aller.
Après le délicieux séjour dans la salle d’eau. Armand s’était habillé et il était prêt a partir mais il devait attendre un moment qu’Isabelle termine de se préparer pour le rejoindre, une femme, même vampire prend toujours plus de temps qu’un homme a se préparer.

Armand en profita pour s’approcher de la goule suspendue. Il le regarda un moment avec un regard mauvais puis il appuyait lui aussi sur le sexe d’argile comme Isabelle l’avait fait, sauf que lui il appuyait beaucoup plus fortement, une plainte déchirante sortie de la bouche de Laurent.
Armand lui mis aussitôt une baffe.
-« Toi, ta gueule! »
Le Toréador se hissait sur un de ses pieds tout en posant un genou sur le meuble au-dessous la goule pour lui permettre d’observer sa bouche.
Il entra sa main entière dans la bouche de la goule, il se mis à travailler dans la bouche et Laurent émis des hurlements étouffés par la main.
Armand retira sa main, il venait d’arracher à froid quatre dents de la goule.
Laurent gémissait et pleurait. Armand regarda autour de lui dans la pièce, Isabelle était toujours dans la salle d’eau a se préparer. Il aperçu un vase cylindré contenant deux roses.
Le vase faisait 30 centimètres de long. Après l’avoir saisi, il s’approcha de Laurent, posa délicatement les deux roses dans les cheveux de la goule puis par derrière en lui décollant le derrière du mur il enfonçât complètement le vase de 30 centimètres dans son anus.
Laurent gémissait, des larmes ruisselaient de ses yeux. Armand s’en réjouissait, il semblait très heureux, il se mis à lui coller encore quelques bonnes gifles puis il se dirigea vers la porte pour attendre Isabelle et lorsque celle-ci était prête a partir. Armand proposa :

-« Et si nous allions du coté de Notre-Dame? Chasser sous les regards des gargouilles mon amour? »

Quittant ainsi le Louvre discrètement ils se dirigèrent tranquillement dans les alentours de l’église Notre-Dame.


[En route vers Notre-Dame.]

[arrivée de l'Opéra]

Isabelle n'avait répondu a Armand que vaguement elle avait déjà la tête ailleurs. Elle devait prendre une décision. Soit continuer de soutenir Rodrigue malgré la reine et même s'opposer à elle, soit garder le cap qu'elle a toujours suivie en étant toujours d'accords avec elle quelques soit ses choix, c'est la Reine, elle est Toréador, il faut coût que coût la soutenir.

La voiture la mena dans le sous sol du Louvre alors qu'elle avait utilisé le pull de Sylvain pour s'essuyer un minium avant de rentrer dans l'Elyséum, sa goule vient lui ouvrir la porte en chemine il semblait avoir froid, mais la Rose ne s'en rendit même pas compte et de toute façon elle s'en moqué comme de sa dernière paire de chaussures, elle en avait plein et pouvait les remplacer à sa guise.

Les pétales à la fouille furent très surprise de voir la Primogène Toréador se présenter dans ses état à elles, et comprirent pourquoi elle était passé par l'escalier de service alors qu'à l'accoutumait elle faisait ouvrir les deux grandes porte principales pour son passage. Elle l'informèrent que nouvelle arrivante souhaitait la rencontrer et qu'elle patientait dans le petit salon.
Isabelle fit un signe de tête pour signifier qu'elle avait prit note et dès qu'on l'y autorisa elle s'engouffra discrétement dans le couloir de service menant aux étages, elle ne croisa quasiment personne et c'était temps mieux. Une fois a ses appartements elle alla directement à la douche, elle avait perdue le compte de celle qu'elle avait du prendre aujourd'hui... Armand la poussait au bout d'elle même l'exaltant, lui donnat envie de s'affirmer d'avantage.

Elle irait voir la Reine pour lui parler avant de prendre une décision.

Une fois changé, maquillé et coiffé elle descendit pour se présenter à la salle du trône.

[sortie vers la salle du trône]

[Message provenant de l'Hôtel de luxe le Meurice, rue de Rivoli.]

Une pétale fit irruption dans le bureau de la primogène Toréador, elle tenant une enveloppe cachetée a remettre à la primogène Toréador.
Elle remis l’enveloppe a Sylvain, la goule d’Isabelle Des Termes, il allait le lui remettre aussitôt qu’il le pourrait sans aucun doute.
L’enveloppe contenait un message écris à la main avec une parfaite calligraphie. Elle provenait d’Armand Duplessis, l’amour de sa maitresse.

La teneur :

Spoiler: