*Quelle nuit horrible... mais qu'est ce qu'ils ont tous les hommes ici ! ils sont froids, distants... mais qu'est ce que j'ai !*
Elle était entrée chez elle ... il ne restait pas beaucoup de temps avant que la nuit ne se termine ! elle lanca ses botte, ferma la porte et se déshabilla tout en se rendant à la salle de bain... se doucha vite fait et se coucha dans son lit... la torpeur de la journée emporta avec elle les fantasmes de la nuit précédente... tout ses fantasmes se transformèrent en terreur... la nuit fut horrible cauchemar sur cauchemar...

À son réveille elle remarqua que les oreillers étaient dispersés dans la pièce, les couvertures étaient partout sauf sur elle, elle se dit alors qu'elle était peut être partie trop tot de chez Mathieu...que cet appartement était trop grand... elle agrippa une couverture qui était pas trop loin et s'emmitoufla dedans pour se rendre à la penderie... mais qu'est ce qui s'était passé ici ? un a un elle rangea les chandails, chemise, pantalon, jupe... puis elle ouvrit le téléviseur il faisait une drôle de température, elle n'aimait pas ca ! elle n'aimait pas la brume, pas ce soir... *pas ce soir !)

Elle enfila un jeans noir et des espadrilles une camisole blanche et... oh oui c'était un soir a doudoune... un gros chandail chocolat, très chaud... elle avait adopté ce chandail il y a quelques années ! il avait quelque chose de réconfortant ce chandail !

Puis comme il était encore trop tot pour le rendez vous... de toute facon ! si elle pouvait le raté ca serait parfait elle n'avait pas envie d'aller dans ce secteur de la ville elle ne voulait pas y retourner ... elle se rendit comme convenu pour son compte rendu ... elle sortie pour le Louvre... mais... la brume... on voyait mal ce qui se passait dans la brume ... elle attendit ... le taxi arrivait pas... est ce qu'elle l'avait appelé... elle se mis à courir !

(Louvre )

(louvre)

Elle débarra la porte, entra, est ce qu'elle était seule? elle n'en était pas certaine, qu'importe... elle avanca lentement, machinalement, retira son ouaté, son jeans, ses bas, sa culotte et son soutien gorge tout en se dirigeant vers la salle de bain.

L'appartement comportait deux pièces, la chambre et ce qui du être un cuisine mais qui servait de salon. C'était terriblement en désordre, des vêtements partout, vraiment partout ! de différents genres le lit était défait des oreillés éparpillés dans la pièce. La seule chose en ordre, une table avec des livres

La douche se fit entendre longtemps toutes les portes étaient restée ouvertes !

des bruits de sangot se faisaient entendre de temps à autre mais la tempête semblait calmée !

la route s’était passé sans un mot , elle était comme dans un état second et il ne tenait pas à la perturber plus qu'il ne l'avait déjà fait ce soir .

Ils arrivèrent donc chez elle .. un vrai capharnaüm , des vêtements partout entassés à la va-vite ,le seul endroit a avoir echappé au desastre semblait etre une table surmontées de quelques livres

elle se devetit sans lui preter attention et se glissa dans la douche

seuls quelques sanglots arrivérent jusqu'à lui .. rien d'inquietant

il prit de quoi ecrire et lui laissa ces quelques lignes


il posa la lettre bien en évidence sur la table la maintient avec un verre trainant par là
puis il partit en silence
direction sa chambre au Louvre

Elle finit par sortir de la douche, après quelques dizaines de minutes, se sécha puis elle alla s'assoir dans son lit fixant le vide... il devait être trop tard pour son rendez-vous... mais qu'est ce qu'elle avait faim... *non c'est dans ta tête, t'as mangé il y a deux jours !

Elle fini par reprendre contact avec la réalité... *non j'ai faim !* Elle se leva, se vêtie et sorti *peut être que ca va passer en marchant !*

(sortie vers Jardin)

(retour des Jardin)

Elle était euphorique, elle s'était nourrit, sans tuer, enfin peut être il ne se réveillerait pas, peut être elle l'avait assomé un peu fort, enfin, pas grave, il était costaud il pouvait bien prendre une grosse chute... elle avait peu se contrôler le reste avait pas d'importance !!!

Elle alla s'assoir à sa table, histoire de lire un peu... il faudrait bien ranger un peu aussi... *pourquoi ne pas remettre à demain ce qu'on peut faire maintenant c'est pas ca le dicton ! * Elle rit toute seule, *finalement le gars était peut être un peu saoul....* Elle se mit à la lecture puis alla se coucher quelques temps après ne pensant à rien espérant que c'était le début de quelque chose de nouveau !

Fey se réveilla, le lit était toujours fait, elle resta étendue longtemps, s'étirant, prenant le temps, elle avait bien dormi, hier elle avait mangé sans problème... ca allait être une bonne soirée !
Elle se leva et spontannément reprit les vieilles habitudes : mit de la musique, ramassa les traineries, fit des redressement assit des push up, alla se brosser les cheveux, et s'habilla tout ca en chantant ... ca allait être une belle soirée

Elle alla s'assoir dans sa chaise, lit le journal ... une rencontre a Louvre... ca allait être une moins belle soirée !

Elle s'habilla, jeans bleu, t-shirt blanc sur lequel elle mit une blouse blanche, des runnings blancs, elle attrappa son manteau, tout en espérant que cette rencontre n'Avait rien a voir avec ses frasques d'hier...

Puis elle ferma la radio et quitta elle ferait son jogging en route pour le louvre !

(Louvre)

Elle monta les marche sans dire aurevoir, d'un pied pesant. Une vieille habitude exprimant un sentiment de lassitude, de fatigue... un comportement qu'elle avait gardée de sa vie humaine, quand le patron avait trop exigé... C'était finalement une bien mauvaise époque, elle avait eu de la chance d'en voir et d'en vivre d'autres. Elle était devant la porte d'entrée, immobile et sourit pour elle-même devant la lourde porte menant a son lieu à elle.

Fey débarra, ouvrit, entra... retira ses chaussures, les lanca dans le placart. Puis se dirigea lentement vers son lit et se coucha ... au diable le reste, elle dormirait toute vêtue !

Les splendides efforts de nettoyage de ce foutu appartement qui avaient été fait la veille ne ressemblaient plus a rien à présent… elle avait encore fait des cauchemars, les draps étaient partout, les oreillers et coussins avaient sans doute voulu suivre les couvertures, car il y en avait même jusque dans la salle de bain. Le mess était dans un état déplorable.

Elle se leva, fit des exercices, mais sans réelle conviction, sans motivation, retira les vêtements de la veille et chercha quelque chose de mieux, de plus … joli ! Pourquoi, elle en avait aucune idée, mais c’est ce qu’elle avait envie. Et au fur et a mesure qu’elle cherchait, les piles de vêtements se reformaient sur le sol, sur le lit, sur la chaise… et soudain elle se demanda pourquoi elle avait tout ramassé hier…

C’est vraiment plus simple quand c’est en pile, on voit tout du premier coup.
Elle mit de la musique et enfila le tout, puis mit un manteau et sorti

(les quais)

arrivée du bureau du prévot

elle ne savait pas depuis combien de temps elle n'était pas venue ici, mais cela lui parraissait une éternité, voire meme deux ! elle était consciente de l'absurdité de cette pensée, mais qu'importe tout lui paraissait absurde cette nuit. elle avait envie de prendre son temps, en ouvrant la porte, elle avait contemplé son chao, puis était entré tout doucement comme pour ne pas déranger, puis avait retiré les chaussures qu'elle laissa trainer à leur place, directement devant la porte et était allé dans son fauteuil et s'était détendu quelques minutes puis, comme un vieux réflexe après une nuit trop chargée en action et en émotion, elle avait prit ce livre et en avait lu à voie haute les premières lignes, comme pour se rappeler

Comme, de toutes les idées de la raison pure spéculative, le concept de la liberté est proprement le seul qui donne à la connaissance, même si ce n’est qu’à la connaissance pratique, une si grande extension dans le champ du suprasensible, je me demande d’où vient qu’il possède exclusivement une si grande fécondité, tandis que les autres désignent sans doute une place vide pour des êtres d’entendement purement possibles, mais n’en peuvent déterminer le concept par rien.

Puis, elle se replongea dans la lecture si durement entreprise des centaines de fois, sachant très bien qu'elle abandonnerait encore une fois avant la fin de l'ouvrage !

Elle se réveilla encore dans la chaise, le livre sur les genous...elle s'étira, les jambes, les bras tant et tellement que la chaise tomba à la renverse elle se retrouva au sol en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire... Elle se releva rapidement riant, heureuse d'être seule pour se réveille ! Elle regarda sur la bal et vit la feuille, *Un bal... comme si on n'avait que ca à faire... *

elle se dirigea vers la douche et profita longtemps de l'eau qui coulait sur sa chair nue... sa peau... elle en avait une s'était un bon début ! puis se prépara pour ce bal... rouge et noir... elle en avait pas des masses de robes rouge et noire...

puis elle prit un taxi pour le louvre

départ pour le Louvre

Depuis le louvre

Elle fit le trajet à pieds, son manteau couvrant à peine sa robe, la tête dans les nuages faisant mille et un détours… elle avait les jambes et le visage rougit par le froid. Elle en était venue à la conclusion que cette cours avait bien changée en si peu de temps.

Fey ouvrit la porte de son chez elle et s’assit pour retirer ses souliers puis retrouva ce fauteuil qu’elle aimait tant s’adossa bien confortablement et écouta le silence… elle aimait le silence et en profitait si peu. CE soir rien ne risquait de venir déranger son moment tout le monde était occupé...occupé ou seul !

après un bonne demi-heure de presque silence, car a bien écouter, les voisins faisaient du bruit... elle s'étira longuement et se leva. Elle alla proche du lit, retira cette robe qui, elle devait l'avouer y allait bien malgré tout... la déposa sur le lit à côté du ceintre et se dirigea vers la salle de bain en faisant un détour par la porte s'assurant qu'elle était verrouillée.

elle ouvrit l'eau et fit couler un bain... chaud. Retourna dans l'autre pièce prendre un livre et une fois le bain remplit, se glissa dedans

Le telephone vibra elle repondit au message et se remis a sa lecture

Elle échangea une longue série de sms qui tour à tour la firent sourire d'exitation ou de dépit puis elle déposa le cellulaire et calla sa tete dans l'eau du bain et n'en ressorti que quelques minutes plus tard. Se levant elle enjamba le bord du bain et s'emmitoufla dans une robe de chambre, passa à la pièce à côté avec son bouquin et s'installa dans sa chaise

Une fois installée, elle continua sa lecture . Quelques pages plus tard, une carte de visite tomba sur ses genoux, elle était glissé entre la page 112 et 113.

Spoiler:

Elle ramassa la carte et la lue... une expression de colère se dessina sur son visage... elle se leva prit un sac y mit quelques bouquins auxquels elle tenait davantage, ainsi que quelques babioles et vetements puis elle remit la fameuse robe rouge et noire et sortie en barrant la porte

direction le Louvre

Arrivée du Jardin

elle fit signe Heinrich d'entrer, elle déposa son sac et en sortie les livres qu'elle prit le temps de ranger !

je fais vite !

Elle les déposait dans la bibliothèque comme s'il s'agissait de choses délicates et si fragiles, chacun a sa place !

il s'appuya contre un mur et la regarda faire amusé et charmé

" Décidément tu dois vraiment avoir un peu de sang malkavian "

Elle finit de placer le livre qu'elle avait entre les mains, le sortant du linge dans lequel il était emballé et se tourna vers lui, l'oeil interrogateur

de quoi tu parles !?!

puis vérifiant qu'il n'y ait plus de bouquin dans le sac elle le lanca dans le coin.

il sourit

"oh non rien "
"as tu finis ? "

Il ne repondait pas! Elle avanca sur lui le forcant a reculer contre le mur l empechant de fuir en l ence4clant de ses bras

* oui j ai fini mais de quoi tu parles? Tu ne t en sortiras pas aussi facilement!

son sourire s’élargit

""s'en sortir "c'est mon style personnel chérie "

Spoiler:

Le membre 'Heinrich' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 4, 6

il disparue entre les bras de Fey , passa souplement sous son bras et s’éloigna

il réapparu à coté de la porte de sortie ,adossé contre le mur , bras croisés ..
un grand sourire sur les lèvres il ouvrit la porte

"si mademoiselle veut bien se donner la peine .. "

Elle s'adossa au mur.

Mademoiselle voudrait réponse à sa question ! est ce qu'elle finira par avoir la dite réponse ?

puis elle ramassa son chapeau et attacha ses cheveux puis prenant les clefs, elle sortie

(te suit )