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'Dés 10 faces' : 1

Fleur continuait malgré elle a observer Bastien sans arriver à se couper de ses pensées, soudain la panique s'empare de la Brujah, elle resserre son étreinte instinctivement autour de son amie. Elle envisage de retenir Bastien, mais n'arrive pas à bouger. Puis elle pense qu'il peut bien partir ou il veut qu'elle accomplirait mieux sa mission si elle le sait en loin d'elle pour finir par se dire qu'elle ne comprenait vraiment pas se qui lui arrivait et qu'elle voudrait disparaitre sur l'instant. Le Toréador l'énerve, mais pas que et sa déplait à Fleur.

Elle n'arrive plus à avoir des pensées correct alors qu'elle tiens son amie, mais elle ne s'en rend compte que trop tard. Elle la lâche brusquement pour ne pas continuer à lui transmettre ses émotions perturbée et s'éloigne sur le balcon pour prendre l'air frais de la nuit. Ses mains viennent serrer les rambardes si fort qu'elle pourrait les tordre. Elle regarde la rue tout en récitant un Ave Maria en latin pour fermer son esprit à tout se qui l'entoure. Fleur ferme les yeux fortement, elle était fatiguée, sa devait être sa, rien de plus rien de moins. Elle soupire un grand coup prête à se retourner pour s'occuper de son amie.

Elle le sentait, Fleur n'allait pas bien et c'était la faute de cet imbécile... elle la serrait fort il lança des cartes... il les prenait pour quoi là exactement. il ne pensait pas vraiment partir comme ca ! elle la lâcha et il n'en fallut pas plus

Fey se lança devant lui lui bloquant la route, le poussant pour qu'il recule les deux mains contre son torse

tu restes là le lutin est ce que c'est claire ! j'ai besoin de toi et tu lui fais du mal...

elle pointa Fleur qui était resté dans le fauteuil

Je sais pas ce que tu lui a fais mais tu ne sors pas d'ici tant que c'est pas claire

le ton était autoritaire, il ne sortirait pas d'ici tant que les choses n'auraient pas été éclaircie.. il pouvait le sentir elle le pieuterait si nécessaire mais il restait là

Maintenant régler vos affaires

elle resta adossé à la porte le visage en colère, ses mains jouant entre elles pour s'empecher de se gratter... elle avait de plus en plus faim et refusait d'aller chasser... elle savait bien trop ce qui se passerait

Fleur à peine retournée assiste impuissante à la colère de Fey, elle ne l'avait pas lâché suffisamment tôt. Fleur soupire en regardant son amie exiger des explications à Bastien, elle n'avait pas envie d'entendre les explications du Toréador, elle n'avait pas envie de se pencher sur la question et pire que tout elle avait peur. Elle était à peux prêt sur que Bastien n'agissait pas pas naturellement et que seul le lien le poussait à être ainsi. elle d’appuis contre la rambarde qu'elle a totalement pliée, tout en fixant Bastien. Elle allait dire quelques choses Lorsqu'elle tomba à genoux les mains sur les tempes avec un gémissement terrible. Des millier de voix venait d'exploser dans sa tête et le hurlement de Malvin qui lui parvient au milieux de tout ses cris.....

"ILS ONT OUVERT LA BOITE DE PANDORE, MARGARETH."

Fleur jure alors qu'elle tente de se relever sans y arriver. Elle devait allait au Louvre, transgresser l'interdiction et sauver les idiots qui venait de libérer le sceau. Elle devait, mais son corps refuse de lui obéir..... Elle gémit encore en se recroquevillant sur le sol, des larme de sang s’échappant de ses yeux fermé. Elle n'arrivait plus à réfléchir les voix venait encore de lui vriller l'esprit comme au premier soir. Elle essaie de parler mais elle n'entend pas le propre son de sa voix dans tout se vacarme....

"Pitié............ Le Louvre................ Gallus.............Aider............."

Elle finit toutefois par réussir à murmurer ses quelques mots avant de se remettre à gémir.

QU'EST CE QUE TU LUI AS FAIT !

Elle couru vers Fleur et la prit dans ses bras, la serrant fort contre elle... lui levant le visage, ses yeux... il y avait un truc étrange ! Elle parlait du Louvre, de Gallus ... de danger...

Elle lui tenait le visage et la secoua

Dis leur de se taire et écoute moi... fait le vide, FIXE MOI ! fais le vide... elles vont partir !

Pour elle ca marchait pourquoi ca ne marcherait pas pour fleur...

J'ai besoin de savoir fleur ce que tu veux que je fasse là

Fleur se blottit instinctivement contre son amie alors que ses gémissement ne s'arrêtaient plus, alors que son corps tremble comme si elle pouvait avoir froid. Elle entend vaguement Bastien, mais les voix cette fois son trop forte pour qu'elle le distingue vraiment bien, puis soudain elle l'entend bien mieux. Elle hoche la tête faisant ainsi comprendre qu'elle l'avait comprit. Elle ouvre brusquement les yeux pour regarder le toréador. Tout d'abord ses yeux bleus n'exprime que la souffrance et le vide, regardant au travers lui, puis elle finit par le voir, l'espace d'un instant Bastien entend encore les voix du monde et des dieux rapidement remplacé par le crie d'un homme...... IL voit l'homme c'est Malvin et il crie a Fleur qu'ils sont au sous sol et qu'ils ouvre un sceau dangereux, très dangereux, puis tout disparait. Bastien et à genoux et fleur continue de le regarde sans bouger, incapable de parler.

Appeler ! Les Idiots ! Ils n'avaient pas le temps d'appeler, il fallait agir tout de suite, avant qu'il ne soit trop tard. Elle regarde Bastien, puis fey et enfin de nouveau Bastien. Ils ne pouvaient pas comprendre, alors autant ne pas compter sur eux, autant prendre son courage à deux mains et se relever.

Fleur expire un grand coup et se retrouve debout bien plus vite qu'un humain pouvait le faire, elle titube légèrement en faisant trois pas vers la porte, pour disparaitre d'un coup au yeux des deux vampires. Malvin n'aurait pas prit la peine de lui parler comme sa si les choses pouvaient patienter un simple coup de fil.

Quelques rue plus loin, elle rejoint sa moto ou elle s'appuie quelques secondes avec une impression très humaine de nausée. Elle ne s'arrête pourtant pas, beaucoup de Sathie transitaient par le Louvre et elle ne pouvait pas prendre le risque de voir tout se perdre, pas maintenant. Elle n'enfile même pas son casque et démarre l'engin en trombe en direction le Louvre. Tant pis pour la douleur qu'elle ressentait, tant pis pour la prudence.

[Direction de Louvre]

Il la prenait pour quoi... son primogène était en danger et il pensait qu'elle resterait là assise a ne rien faire !


Elle prit son manteau et se dirigea vers la porte... elle était blessée et affamée, mais elle ferait tout ce qu'elle pourrait. Elle ouvrit la porte et sortie se tourna vers Bastien

arrete de faire ta fille au téléphone arrives... j'ai pas de véhicule, mais mon voisin si ...

elle descendit l'escalier frappa à la porte et emprunta la voiture... lui débarra la portière

(Louvre)

Spoiler:

Elle était rentrée hier, en toute fin de nuit, quelque par entre la colère et l'orgueil, entre la contemplation et l'incompréhension... elle se réveilla, elle était guérit, elle avait manger en chemin, un itinérant dormant dans une ruel... s'était une bonne nuit hier elle avait laissé l'homme faible, mais en vie et elle était rentrée...

Elle était rentrée et avait enlevé ses vêtements détruit par le gratouillage de ses cuisses, elle s'était regardée dans le miroir, elle avait pleurée sa ficelle et... après s'être débarbouillée, elle s'était glissée dans les draps et avait laissé la torpeur la saisir... tout irait mieux... elle savait, elle pourrait comprendre, elle savait !

le soleil se coucha et la belle se réveilla, triste ?!? non ! oui ! un brin de mélancolie, elle mit de la musique, un doom jazz... ca allait avec l'air du temps et elle s'habilla... regarda son cellulaire... rien ! elle était retourné à ca ! à rien ! elle s'assit dans son fauteuil, croisa les jambes et replongea dans Locke... il était ridicule dans certains passages, mais restait intéressant ! il avait au moins le mérite d'être divertissant !

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'Dés 10 faces' : 9

Spoiler:

Certes, dans son libertarisme prononcé Locke avait du génie, mais pour le reste... cela ne ressemblait pas à Fey... à aucune d'elles en fait ! une à une les pages défilaient, le temps passait au rythme de la musique, lent et long... elle vit de la lumière sur son cellulaire posé sur la petite table... se rappelant d'une époque ou s'était constant que cette lumière illuminait violemment l'éclairage tamisé de cet appartement, elle saisit l'objet et lu le message... ne sachant quoi répondre, elle le redéposa sur la table !

Elle poursuivit sa lecture, elle sourit, elle arrivait à son passage favorie car bien qu'elle n'aimait pas la théorie politico économique de Locke, le passage sur le développement empirique des connaissances était sublime ! un des permier a faire une distinction réelle entre connaissance et savoir ! de la pure magie.

Elle fini par reprendre son cellulaire et répondit avant de retourner au coeur de cette théorie se souvenant à quel point elle avait été d'accord avec ce passage et ce, dès la première lecture !

Les pages défilaient sous ses doigts, pas besoin de concentration pour lire un ouvrage que l'on connait par coeur, récitant certain passages a haute voix, d'autres pour elle-même.

Puis, Fey se leva, fini de s'habiller et se dirigea vers la salle de bain, remontant ses cheveux comme elle le faisait plus jeune et... attrappant au vole manteau et cellulaire, elle se dirigea vers la porte, pris les clefs et sortie... l'air frais lui ferait du bien... il lui avait toujours fait du bien

sortie vers...

Entrée depuis...territoire gangrel

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'Dés 10 faces' : 8

Elle était réveillée depuis longtemps déjà, perdue dans ses rêves, avec cette meme image en tête elle se rappelait d'un lac, de la campagne, de moments tranquilles, paisibles... l.'homme par contre, il était là, mais... elle ne savait pas qui il était ! Elle avait pourtant ce sentiment de le connaitre.

Elle était restée tranquille, les yeux clos avec cette image, sa tête lui jouait encore des tours... pas les mêmes tours que la veille, mais quand même !

Elle se leva doucement et lentement se dirigea vers la salle de bain... la nuit avait été bonne, elle était guérit. La Fey se lava et se coiffa... elle avait envie de... d'être jolie aujourd.hui... pourquoi ? dieu seul devait le savoir !

elle mit de la musique et dansa en s'habillant ! et quitta

(sortie pour le louvre)

(humeur)

Elle était entrée juste avant le soleil levant et s'était endormie immédiatement en posant la tete sur l'oreiller

et avec la nouvelle nuit, elle se réveilla la larme à l'oeil...rien n'était plus, rien n'allait vraiment... emmitoufflé dans sa couette, elle se leva et se dirigea vers le balcon, la nuit était froide...elle serra la couette contre elle

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'Dés 10 faces' : 9

Elle était restée là combien de temps ? Elle en n’avait
aucune espèce d’idée ! Tout ce qu’elle savait c’est qu’elle avait les pieds
froids, les épaules froides et le nez glacé… elle avait de… de la glace sur les
joues ?!? Elle avait pleuré. Pourquoi ? Elle se sentait triste ce soir, mais n’avait
aucune espèce d’idée pourquoi!


Elle le savait, la seule chose à faire dans ce cas était de
rester à la maison… au calme et au frais, mais surtout au calme. Cependant l’idée
même d’être enfermé dans ces deux petites pièces la torturait, il lui faudrait
sortir … mais ca devait être calme, mais ca devait être paisible… mais





Le louvre peut être, risque d’attaque faible (en théorie),
si ce n’était pas dans le petit salon elle serait plus tranquille…

Elle entra et ferma la porte, elle se vêtie et mis un livre au hasard dans son sac et barrant la porte derrière elle, quitta pour le Louvre

départ pour le louvre





Départ pour le Louvre

(arrivée du Louvre)

pour l'instant, tout semblait tranquille... oui la température n'était pas...superbe, mais... elle déverrouilla lentement tout en tentant de se rappeller dans quel état elle avait laissé l'appartement... aucun souvenir !
elle ouvrit... tout était en ordre... la trop grande bibliothèque comprit, seul le lit n'était pas fait... et la porte menant au balcon était fermé ! oufff.

elle défit ses bottes et déposa son manteau dans le garde robe...
*Je t'en prit, fais comme chez toi
elle alla ouvrir la porte du balcon... ca leur permettrait de jeter un coup d'oeil !

Alex entra, il était sur ces gardes, rien ... tout allé bien il s'assit en face de la porte ... au cas ou, il n'osait bouger il n'était pas chez lui.

"Sympas chez toi"

Il était sincère, lui habitué au caserne l’appartement de fey étais un palace a coter.