Le regard de Lou se fait plus sévère et son sourire disparait pour retrouver une neutralité qui fait ressembler son visage à une poupée de porcelaine. Ou était passé l'homme qui en début de soirée ne respecter rien ni personne ? En était elle déçu ? oui un peut, mais puisqu'il semblait être revenu dans le droit chemin, elle n'irait pas le pousser. IL n'existait chez les vampire que deux styles de personnage : les dominants et les dominés, Adrien le lui avait bien apprit et celui la serait un dominé. Elle soupire avant d'abandonner tout espoir pour le Ventrue puis le regarde avec le même regard froids qu'elle lui avait déjà servit dans la soirée.

"Sachez que j'ai déjà pourvu à la sécurité de notre domaine, je ne vous ai pas attendu monsieur et j'avais espéré que vous auriez plus d'ambition...."

Elle se relève du bureau pour sans regarder d'Arcy et retourne s'assoir à son siège, donnant un ton plus officiel à leur entretient, après tout c'est bien se qu'il venait de lui demander, prendre les décisions pour Lui.

Le membre 'Jonathan Livingston' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 5, 9, 6

Lou retint un éclat de rire, mais à l'éclat qui brillait dans ses prunelles monsieur d'Arcy ne pouvait pas se tromper sur son expression. Elle se releva comme pour tenter de l'interrompre tout de même au moment ou monsieur Livingston entra dans la pièce. Elle redevint sérieuse et tout trace de joie l'ayant quitté. Elle se mordit la lèvre inférieur en se maudissant d'avoir entamé une discussion sérieuse dans se bureau ou sa sécurité n'était pas garantit. Elle laissa donc l'homme vérifier la salle n'ayant aucun moyen de le faire elle même. Elle jette toutefois un regard à d'Arcy et ne put s'empécher d'esqusser un demi sourire avant de reporter son attention sur Livingston.

Jonathan se retourne vers ses deux congénères et bloque en les voyants, il semble fatigué, son souffle est court, sa voix un murmure d'outre-tombe.

{murmure} " Vous n'allez pas me dire que vous n'aviez pas fait cela en entrant n'est ce pas ? ... ... ... n'est ce pas ? "

Il termine son tour d'inspection et viens se planter près de Lou et D' Arcy, formant un triangle parfait.

{murmure} " Vous n'allez pas non plus me dire que vous parliez d'informations cruciales sans savoir si la pièce était sure... n'est ce pas ? ... n'est ce pas ? "

Son regard est inquisiteur, il n'y règne aucune chaleur ni amabilité, juste une lueur de malice contenue.

Toute trace d'expression déserte le visage de Lou. Elle dévisage monsieur Livingston pour savoir si l'homme à bien dit se qu'elle vient d'entendre. Elle reste un moment sans parler à le dévisager, pas vraiment sur de lire correctement le regard de l'homme. Puis surement parce qu'elle était bien trop fatiguée par cette nuit ou par ce qu'elle en avait assez, elle sourit aimablement aux hommes présents dans la pièce avant de retourner s'assoir.

"En faite si, j'ai bien vérifier pour tout se qui est matériel d'espionnage, mais pour le reste........ Je ne suis pas présente depuis suffisamment longtemps pour avoir eut recour à se style de vérification............"

Elle jette un regard à d'Arcy puis à Livingston avant de reprendre d'une voix calme et douce.

"Quant à notre discussion elle ne portait pas sur des sujets privé........ Du moins pas encore."

Lou s'installe confortablement dans son fauteuil tout en regardant monsieur Livingston avec intensité, le perçant de son regard vert, mais semble être toujours calme et enjouée. Puis soudain elle hausse un sourcil interrogateur alors que ses yeux ne fixe plus son visage mais plus bas. Puis aussi rapidement qu'elle avait baissé son regard elle plonge de nouveau dans les yeux du Ventrue avec une expression neutre. Elle hoche imperceptiblement la tête, comme si elle était d'accord avec tout les propos du Goéland.

"J'ai déjà remarqué les changements opéré par monsieur d'Arcy se qui me fait réviser mon jugement quelques peux sévère sur lui, je l'avoue."

Lou regarde monsieur d'Arcy droit dans les yeux, à la recherche de quelques choses pendant quelques secondes puis baisse la tête afin de cacher son expression à tous, avant de reprendre la discussion d'un ton badin.

"Je n'attend que de voir les talents et les capacités de chacun en action, mais dites moi ou nous devrions nous focaliser ?"

Lou sourit à présent tout en regardant monsieur livingston. C'est exactement se qu'elle avait voulu entendre de la bouche de son confrère juste quelques seconde auparavant. Se souvenant qu'il n'était pas bon de trop montrer ses émotions, elle reprit rapidement son expression neutre voir presque froid. Elle ne regardait plus aucune personnes dans la salle pour ne pas se trahir au cas ou.

"En voila un programme fort intéressant, monsieur Livingston."

Elle se retourne vers monsieur d'Arcy un éclat de défit dans ses yeux.

"Qu'en pensez vous monsieur d'Arcy."

Lou écouta attentivement les paroles des deux Ventrue ponctuant certains propos d'un froncement de sourcil, voir même de colère lorsque D'arcy invoqua la possibilité de prendre la place du sénéchal, mais son compère rattrapa habilement la chose. Elle regarda rapidement sa montre. Elle devait mettre un terme à cet discussion qui menaçait de dériver plus loin qu'elle ne le voulait et de toute façon il était temps de finir cette cérémonie au plus vite car le jour ne tarderait pas à se lever. Elle jeta un coup d’œil rapide aux deux hommes en pensant qu'elle devrait avoir une discussion sérieuse avec eux, surtout avec monsieur Livingston pour éclaircir certaines zones d'ombres qui ne lui plaisait pas.

Elle se leva de son fauteuil, sans sourire, ni autre expression que le calme habituelle.

"Monsieur d'Arcy je vous serais grée de faire attention à vos propos tant vous serez dans l'enceinte du Louvre, il pourrait être mal interprété s'il tombaient dans de mauvaise oreilles. Il n'est absolument pas question que nous briguions les postes ou la reine à déjà placé ses gens de confiance. Par contre il est plus qu'utile que nous montrions à la reine que nous sommes des personnes de confiances et d'influences en occupant des postes libres, d'ailleurs je pense déjà avoir une idée pour vous, mais il se fait tard et il est temps de finir ce que nous avons commencé."

Lou avait parlé sans colère dans la voix, voir même avec une certaines gentillesse qui ne lui était pas courante. Elle ne souhaitait pas mettre à mal monsieur d'Arcy, juste lui rappeler qu'ils n'étaient pas chez eux ici. Elle s'avança vers la porte et la main sur la poignet sans se retourner et s'arrêta comme si elle avait oublié de dire quelques choses d'important.

"Oh faite ! Je veux toujours avoir une discussion privé avec chacun d'entre vous et ceux dès demain. Je vous communiquerait l'adresse par message à la fin de cet nuit et veillez à ne pas la divulguer."

Son ton n’admettait aucun refus, ni aucune discussion sur cet convocation tout en se retournant en appuyant son regard sur Livingston, puis elle sortit vers la salle du trône.

Il n'avait eu aucune réaction, que ce soit pendant l'avis de Livinston ou de Lou.

« J'entends bien nos divergeances de points de vue, et je ferais comme bon vous semblera, Primogène. Ne vous inquiétez pas Cousin, je ne puis vous en vouloir, notre diversité fait notre force. »

Sa voix, malgré la politesse affichée des termes, laissait entendre une forme de colère contenue dans le ton. À contrario toutefois, son visage se montrait satisfait de l'effet produit par ses dernières paroles. Pendant ce temps, il avait sorti de sa veste un calepin et un stylo, sur lequel il avait griffonné rapidement quelques mots.

« Je vous accompagne à la cérémonie bien évidement. Primogène, je me tiens bien entendu à votre entière disposition pour un entretien. »

Il se fendit ensuite de galanterie, tenant la porte pour la Primogène, laissant son Cousin quitter la pièce avant lui, non sans lui montrer au dernier moment le calepin, sur lequel était écrit:

« Rien de tel que de désinformer quand nous sommes incertains de la sécurité… »

Il rejoigna rapidement Lou, lui proposant à nouveau son aide pour descendre les escaliers. Profitant de leur proximité, il lui montra rapidement le même message, tandis qu'ils se rendaient vers la salle du Trone.

[Sortie vers la salle du Trône]

Les deux jeunes femmes frappèrent trois fois et entrèrent de leur propre chef.
Il n'y avait personne d'autre qu'une secrétaire . Elle laissèrent tomber le corps , et vérifièrent que le pieu était bien en place avant de s'expliquer auprès de la jeune fille médusée

"Sa majesté nous a ordonnée de conduire cette personne auprès de la primogène de son clan, veillez à ne pas toucher à ce pieu avant votre maitresse" Arès un léger salut elles repartirent

Le secrétaire reste calme et ne s'approche surtout pas du corps de peur de faire une bêtise. Elle prend tout de suite son téléphone et appelle sa maitresse.

"Madame c'est Jordane, j'ai monsieur Livingston dans le bureau, un bout de bois dans le cœur..........
Oui très bien madame. Non madame.........0 Tout de suite."

Lou entre dans son bureau rapidement toujours silencieuse, la colère se lisant sur son visage. De la elle s'approche du corps de Jonathan. Elle l'observe un instant puis s'approche près de lui pour lui parler.

"Jonathan, Jonathan, mais qu'avez vous fait ? Il va vraiment falloir que nous parlions sérieusement."

Elle lance un regard à monsieur d'Arcy l'invitant à poser monsieur Joris pour s'occuper de dépieuter le Goéland.

Jonathan reste ainsi, catatonique, comme frappé par la même malédiction que Fleur et Malneaus.

Ses cheveux ont pris des reflets roux et une barbe naissante se dessine sur la blancheur de sa peau.

Il ressemble à un vampire plongé dans une profonde torpeur, totalement ignorant de l'aspect qu'il arbore pendant son sommeil.

Lou avait reculer jusqu'à toucher le mur laissant faire monsieur d'Arcy sans un mot, mais sans lâcher du regard le corps de l'homme pieuté. Lorsque le pieu fut retiré et que Jonathan n'ai toujours pas bougé, elle s'avança juste un peux pour regarder de plus près le corps. Puis au bout de quelques seconde elle s'approcha carrément du visage de l'homme, retirant le voile sur ses yeux et murmura son nom comme si elle avait peur qu'il se relève d'un coup. Puis elle sursauta en entendant les bruits frappé sur sa porte. Elle regarde rapidement d'Arcy.

"William ou le primogène Gangrel pour le corps de monsieur Joris....."

Elle se relève légèrement. Elle regarde le corps toujours immobile de Jonathan, puis prend ses décisions.

"Monsieur d'Arcy allez ouvrir à notre invité, vous le faite patienter quelques seconde s'il vous plait et ensuite faite le entrer."

Son ton était calme et n’admettait aucune contradiction de son cousin. Elle fait signe à Auguste de faire vite.