Ses yeux dorés fixaient le Prince avec une certaine stupéfaction. C'était là une surprise à laquelle il ne s'attendait pas. Rencontrer si tôt le nouveau Prince de Paris. Etre devant une telle personnalité et l'avoir salué d'une façon si peu respectueuse envers son rang… Il resta pétrifié de son geste pendant une fraction de seconde. Il ne pouvait pas le deviner, après tout. Dès qu'il reprit contenance, il baissa les yeux, respectant scrupuleusement le protocole. Il ne s'agissait pas là d'une présentation officielle, loin de là, mais il ne pouvait être introduit au près de cette illustre figure sans égard à l'étiquette.

Un Prince Brujah pour remplacer la Reine des Roses. La décision était judicieuse, on ne pouvait douter du jugement du cercle intérieur. Il ramènerai certainement le calme et l'apaisement dans cette ville tourmentée. Le jeune Ventrue prit rapidement conscience de son accoutrement. Ce n'était pas ainsi qu'il avait imaginé sa première rencontre avec le monarque, mais il exécutait les ordres et tentait de se rendre utile en cette nuit. Dans un mouvement rapide, et remplit de grâce, il plaça le poing droit sur son coeur, posa un genou ainsi que l'autre poing au sol. Les yeux baissés, il était dans cette humble position face à Parménion.

"Mon Prince…"

Il marqua une pose. C'était la première fois qu'il se présentait sans que son Sir ne soit à quelques pas de là. C'était un grand moment.

"Gildven Phoenix du clan des Rois. Premier-né de Yandros de Veyyil, fils de la lignée de Toln, pour vous servir, votre Grâce."

Elle soupira, l'interphone ne cessant de l'interrompre dans son entretient avec monsieur Grossman. Elle jouait nerveusement avec son stylo, se contenant de le regarder alors qu'elle attendait pour prendre congés du vampire lorsque l'interphone sonna une nouvelle fois : le prince était arrivé et il s'était déjà présenté à la foule attendant les ordres dans le vestibule. La mâchoire de Lou se contracte un instant avant qu'elle ne se relève raide. Elle devait intervenir ou plus personnes ne fera se qu'il faut pour sauver la mascarade, préférant se concentrer sur le nouveau prince. Elle traverse son bureau sans plus se soucier de monsieur Grossman qui savait déjà se qu'il avait à faire et ouvrit sa porte, puis regarda chacun des vampires présent.

"Primogènes vous devriez déjà être en bas à récupérer les informations dont nous avons besoin pour couvrir le bris."

Elle lance un regard appuyé à Ivan afin qu'il comprenne que si Isabelle ne prenait pas l'initiative d'avancer il devait prendre le commandement des troupes. Ils n'avaient que trop tardé. Elle regarde la toréador près de sa secrétaire avec un sourire polie et s'avance pour lui donner un dossier.

"Mademoiselle de la Ruisselière, voici pour vous toutes les information sur se qui c'est passé ce soir avec les actions qui sont en court, je vous fait ouvrir un bureau afin que vous puissiez travailler tranquillement, n'oubliez pas de me noter toute les influences qu'il vous faut afin de mettre en œuvre l'idée que vous me soumettrez........ Et oui le temps presse, j'en suis consciente, merci de votre aide."

Elle fait un sourire chaleureux à la rose avant de se retourner sur le nouveau trémère.

“Monsieur Klabehn retournez auprès de votre régent afin que vous puissiez travailler au défense demandé hier. Vous serez reçu par le Prince plus tard qu’il puisqu’il et déjà présent.”

D’ailleurs elle se retourne sur le fameux Prince qu’elle découvre pour la première fois. Soudain elle se fige tel une statue et son regard devient totalement loup, une simple seconde avant de reprendre mouvement jusqu’à lui, s’arrêtant à peine avant de rentrer dans son bureau.

“Si votre Altesse désire me suivre.”

Ravi de voir que la Sénéchale se démenait et savait mener ses troupes, Parménion eut un air satisfait lorsqu'elle donna les directives à chacun.
Il fit un salut de tête et de circonstance au Ventrue qui venait de se présenter.

-"Monsieur Phoenix, de la lignée de Toln, relevez vous.
Votre politesse est tout à votre honneur et votre présentation impeccable au vu de la situation actuelle. Mais je suis cependant moi même venu ici afin d'y aider, je ne serait souffrir de ralentir les démarches en ce sens."

La Louve venait de le reconnaitre et de l'inviter à entrer, les prochaines secondes allaient être décisives. Il entra à la suite de la Sénéchale et lui donna l'opportunité de parler en première.

Elle avait refermé la porte nerveusement, sans pour autant le laisser paraitre et était retourné à son bureau sans même prendre la peine de regarder si le prince la suivait. Elle pose les deux mains sur son bureau en lui tournant le dos restant ainsi quelques secondes en silence. Elle avait pensait qu'un jour au l'autres, elle devrait faire face à l'un d'entre eux, mais n'avait pas pensé que se serait si rapide. Elle n'avait pas eut le temps de se préparer et maintenant elle luttait pour ne pas laisser agir la louve, pour ne pas tenter d'arracher la gorge du prince. Elle n'en avait pas la force, mais elle pouvait faire d'autres choses, mais pour lui elle n'avait jamais été sur, elle avait envie de lui demander, de comprendre. Elle finir par soupirer, retirer son masque qui de toute manière ne servirait à rien. En le retirant elle fit s’échapper plusieurs mèches de ses cheveux en jolie boucle venant encadrer son visage. Enfin elle se retourna pour regarder se futur prince qu'on lui imposait, son regard de Louve lançait des éclaires qui permettait à Parménion de savoir exactement se qu'elle ressentait maintenant qu'il était l'un en face de l'autre.

"Je n'avais pas reconnu le nom, mais le visage ne s’oublie pas ...... Votre altesse......... Et maintenant ? Vous comptez changez de Sénéchal, j'imagine.............. Laissez moi finir de gérer le bris de mascarade."

Elle ne le regardait plus, puisqu'elle ne pouvait cacher par le regard la colère qui grondait en elle, elle préférait encore ne plus le regarder du tout. Elle ne pourrait pas pardonner la trahison et il ne lui restait que deux choix maintenant : Tenter de le faire chuter et de le tuer ou fuir la ville. Elle s'était battue pour rien, elle allait tout perdre encore une fois et bien sur il serait encore l’artisan de cette perte. Elle aurait du accepter la proposition du régent, ne plus rien ressentir l'aurait protégé de cette nuit.

Lou soupire en l'entendant dire qu'il ne voulait pas la voir démise de ses fonctions. Pourtant ses autres propos eurent pour effet de faire grogner la Louve. Elle lui aurait la bourré le corps de ses griffes si elle n'avait pas su qu'elle n'avait aucune chance de le toucher avant de mourir, mais peut être valait-il mieux en finir après tout. Son regard n'avait pas lâché le sol tout le temps de ses paroles et du silence qui semblait rendre l'atmosphère palpable entre eux.

Il avait dit ne pas nourrir de rancœur, c'était bien une réponse d'idiot qui pensait avoir tout les droits, avait il pensé qu'elle pouvait en être arrivé à ne plus avoir envie de sauver Paris, ne plus avoir envie de sauver la camarilla qui avait laisser mourir Adrien et Jonathan. Avait il pensé qu'elle pouvait avoir envie de venger l'honneur dans le sang. Non, bien sur il s'adressait en prince devant une Ventrue.

Elle relève un regard brillant de colère sur le prince. Il voulait parler avec une Ventrue et bien soit, elle lui donnerait se qu'il voulait voir, mais il ne savait pas se qu'il faisait. La Ventrue ferait son devoir et la Louve ferait son oeuvre le moment venu. Non, monsieur vous ne vous en sortirez pas cet fois. Je vous promet que je vais m'occuper de votre cas avec beaucoup d'attention.

"Je ferais se que la camarilla attend de moi, votre Altesse."

Bien !Il n'avait donc plus rien à faire ici!

" A vos ordres sénéchale , au plaisir !"

Il salua Lou et quitta la pièce ; une fois au niveau de la secrétaire il resta quelques minutes avec elle afin de voir ce qu'il devait faire de son coté afin de compléter efficacement ce qui avait été commencé par la Ventrue ce qui le rassura quant au fait qu'il avait déjà tout bien en main ! Puis il quitta le Louvre.

Départ vers L'infini et au delà

Gidven se redressa lorsque le monarque eut terminé de parler. Il l'avait reconnu, même dans ses temps troublés. Les choses allaient s'enchainer beaucoup plus rapidement maintenant. Ils avaient pris un certains retard sur leurs actions. Nulle doute que son primogène désirerait rétablir l'ordre dans les plus brefs détails et obtenir toutes les informations qui leur étaient nécessaire. Il s'inclina légèrement devant le Prince lorsque celui-ci suivit la Sénéchal dans son bureau, puis se retourna et suivit Ivan vers la sortie de l'antichambre.

[Vers l'entrée du Louvre]

IL s'approcha et Lou recula laissant échapper un grondement d'avertissement de la louve. Elles le savaient depuis le premier jour qu'il était dangereux et maintenant il le semblait plus que jamais, mais l'aura qu'il dégageait ne permettait pas de pouvoir réagir comme elles le voulaient. Soudain ses jambes tremblent et cèdent, la faisant chuter à genoux devant son nouveau prince. Elle devait le reconnaitre il était bien plus puissant que la reine, bien plus puissant que lors de leur première rencontre. Sa tête était baissé en signe de soumission, mais simplement par ce qu'elle ne pouvait rien faire pour l'instant, il ne perdait rien pour attendre.

"Je ferais comme il vous plaira mon prince."

Elle resta au sol, la tête baissé, attendant que le prince réagisse, attendant que la louve se calme et réfléchissant déjà à l'avenir. Elles avaient plié, mais il ne perdait rien pour attendre, elle saurait attendre le moment venue pour se venger. Pour l'instant il était le Prince de Paris et elle le sénéchal à son service, elle n'avait pas le choix.

Mélissange acquiessa aux dires de la sénéchale d'un signe de tête, puis prit le dossier, songeuse. Elle était déjà à des miles du Louvre essayant de couvrir toutes les possibilités.

Il faudrait mélanger avec délicatesse mensonges et vérités, cela serait un exercice délicieux bien que périlleux. Qui mieux qu'un historien pouvait y arriver ?

"Je souhaiterai juste être tenue informée de la moindre découverte ainsi que des avancées. Rien ne doit être omis, l'explication ne peut être boiteuse." Elle lui envoya un sourire chaleureux, le regard complétement perdu ailleurs, puis sans s'intérésser plus que cela aux personnes présentes, quitta le bureau pour rejoindre le sien.

[Sortie vers le bureau de crise]

Cela faisait déjà un moment que Ferdi était là , comme un con à attendre, plongé dans son rayman pour android phone; il était si captivé qu'il ne se rendit pas vraiment compte que d'autres personnes étaient arrivée, pas même le prince.... Finalement quand la porte s'ouvrit sur la Sénéchale qui lui dit en gros d'aller se faire enculer, il ne fut pas surpris outre mesure, il était baladé comme une vieille canette de soda sur laquelle les mecs peuvent pas s’empêcher de shooter quand ils en voient une sur leur chemin .... il se leva salua poliment en s’imaginant la belle ventrue avec une bite de cheval dans le fion pour passer sa frustration et quitta le bureau. Une fois dans le couloir , il pianota quelques mots sur son téléphone ; ragea quand il réalisa que sa partie n'avait pas été sauvegardée, et envoya le message au régent .
Puis il s'adossa dans le couloir espérant que la réponse du régent se fasse pas trop attendre ....

MP à Doryan

Elle prit un long moment à calmer sa fureur, les poings serraient sur la moqiette de son bureau, la tête toujours baissée laissant ses boucles cacher l'intensité de son regard. Elle inspira à fond bien qu'elle n'en avait pas besoin tout en comptant mentalement jusqu'à dix avant de relever la tête. Pas question pour le moment de songer à se lever, elle n'en avait pas la force elle avait peur de tenter tout de même l'assassinat. Son visage était redevenu neutre, n'exprimant plus rien ses yeux ayant retrouvé leur couleur émeraude et leur froideur.

« J'ai envoyé via l'intermédiaire de la primogène Toréador des ambulances récupérer les notre. Un jeun toréador du nom de Mademoiselle de la Ruisselière travail actuellement à donner une version officielle aux journaux, tandis qu'au même moment, des notre sont en mission dehors pour modifier les mémoires et récupérer les adresses des témoins ... »

Elle prend un temps de réflexion avant de rajouter.

« Se qu'il nous manque c'est un contrôle sur internet, les médecins légistes pour l'autopsie des morts ainsi que la police. »

Elle avait gardé un ton froid n'expriment toujours aucune émotions, elle avait même réussi à ne faire aucun commentaire sur les changements auxquels ils voulait procéder, préférant attendre la nuit prochaine pour se laisser le temps de préparer une contre attaque.

Heureusement pour le jeune abrutis la réponse ne se fit pas attendre.
Ferdi se releva , remit sa cravate droite fit mine d'enlever une poussière invisible sur les manche de son manteau et commença à se diriger vers le petit salon en empruntant sa démarche à Aldo Maccione.

* Allez Ferdi à toi de ouej !*

Départ pour le petit salon

Lou qui n'exprimait plus rien que le calme et le froid se releva aux ordres du prince. Elle réfléchissait à toute allure aux différents moyens de se débarrasser de lui, mais pas maintenant, car il avait raison sur un point : Ils devaient relever la ville, mais une fois sa fait, il n'aurait plus aucune utilité alors il mourrait pour se qui s'était passé il y a des années et pour se qui venait de se dérouler dans son bureau. Elle remet de l'ordre dans sa tenue, puis refait rapidement son chignon, ne laissant ainsi plus aucune trace visible de sa colère. Il ne reste que la froide sénéchal.

"Oui, l'homme qui se relève d'entre les morts devant une foule en panique........ Je suis sur qu'il a tout se qu'il faut. D'ailleurs vous épargnez un homme qui brise la mascarade sans la moindre punition, c'est un acte de noblesse ou de faiblesse ? Par ce qu'il serait vraiment un monde de lui pardonner et de continuer à punir une pauvre Malkavian qui est dans nos geôle depuis deux nuit pour le même motif alors qu'elle, avait des circonstance atténuante."

Elle remit son masque laissant sa phrase en suspend, chaque faux pas lui serait retourner par la sénéchal. Elle ne lui laisserait rien passer, soit il était aussi bon politicien et manipulateur qu'il était puissant, soit il se retrouverait vite dans une mauvaise posture ou elle l'aurait mit elle même. Elle n'avait pas le physique, mais elle avait d'autres armes. Lorsqu'elle fit de nouveau face au prince, il ne pouvait plus rien voir d'elle que son masque et un léger sourire qui n'avait rien d'amicale relever le coin de ses lèvres.

Elle c'était redressée dans tout les sens du terme. Agressive et incisive, mais son énergie n'était pas canalisée vers le bon but. Lui même repris un visage moins sympathique.

-"Vous voici bien agressive, votre manière de partir du principe que Grossman ne sera pas puni pour son erreur, se trouve être une conclusion bien rapide. Vous me donnez plutôt l'impression d'attaquer sur ce point et avec cet angle de manière à aider cette Malkavian.

Tenter de m'accuser de favoritisme sur mon sang est voué à l’échec."

Il pianotait sur son téléphone sans pour autant quitter Lou des yeux. [mp Grossman.]

-"Cependant vous avez entièrement raison, la justice se doit d’être la même pour tous. Mais même si j'ai une idée à ce sujet, j’aimerai entendre votre avis, que devons nous faire de ces deux la?"

La Sénéchale avait pris le temps de lui parler de la Malkavian en plein moment de crise, c'est donc qu'elle avait un intérêt pour elle. Elle souhaitait aussi visiblement beaucoup de mal à Grossman. Mais si elle demandait le sang du Brujah, celui de la Malkavian coulerait aussi, et si elle épargnait trop la Malkavian, le Brujah s'en sortirait tout aussi bien. Elle avait donc trois solutions, les deux prés-citée et la troisième qui serait de s'en remettre à son jugement et donc de faire un pas de plus vers la soumission.

Le prince rendis son sourire à la Sénéchale, ce ne serait pas si simple.

Lou resta de marbre, elle l'avait amené exactement ou elle le voulait, croire qu'elle voulait le sang du Brujah été un raisonnement de prince, pas le siens. Elle voulait sauver la jeune Amélie, mais pas en dépit de la justice, pas en dépit d'un prince qui ferait se qu'il faut pour remonter cette ville. Ils avaient donc deux solutions soit la peine qui aurait du s'appliquer dés le début, la mort des deux vampires, soit une punition qui les sauveraient tout les deux et ne leur ferait pas perdre leur utilité. Lou tablait plus sur la deuxième possibilité, même si elle se doutait que le prince lui prévoyait un troisième solution..... Celle là il pouvait toujours attendre. Jamais elle ne se soumettrait ni à lui ni même à personne. Ses yeux vert plonge dans ceux du Prince sans peur, ni hésitation.

"Vous connaissez la règle systématiquement mise en place pour un bris de mascarade, n'est ce pas ? Je trouve qu'il serait vraiment dommage de se priver des influence de monsieur Grossman et tout aussi navrant de tuer une malkavian avec un don de voyance aussi développé qu'elle........ Toutefois les épargner tout les deux vous ferez passer faible............. Se qui visiblement vous n'êtes pas......."

Elle laissa sa phrase en suspend, lui laissant comprendre qu'elle ne le raterait pas, mais qu'elle ne comptait pas laisser cet ville sombrer. Mais plus que tout, lui faire comprendre que jamais elle ne plierait devant lui, qu'elle pouvait faire semblant devant les autres, qu'il pouvait la forcer, mais que d'elle même il n'aurait qu'à espérer. Elle avait déjà affronté une reine et n'avait du sa survit qu'à Jonathan, alors l'affronter lui ne serait pas un problème....... Du moins s'il ne faisait pas se qu'il faut pour la ville.

Elle était vraiment forte. Aucuns des deux ne baissaient les yeux, pas même lorsque la Sénéchale approcha sa main de son interphone. Main qui n'arriva pas jusqu'au bouton. Parménion s'était approché, attrapant la main de la Louve afin de retarder sa communication avec sa secrétaire.

-"Il serait en effet dommage que quelqu'un d'utile perde la non-vie..."

Il figea ainsi la scène pendant quelques seconde avant de la lâcher.

-"Je vais vous laisser à vos occupation, je vais prendre mes quartiers. Demain au plus tôt, nous devons parler et mettre au point la nouvelle stratégie. Nous en profiterons aussi pour définir la punition de nos deux briseurs de mascarade.

Aussi, si vous n'avez plus besoin de moi, je vais quitter votre bureau."

il avait beaucoup à faire ne peut de temps.

Les yeux de la louve s'écarquille autant de surprise que de peur. Ses yeux fixe ceux du prince alors que tout son corps se tend sur la pression qu'elle exerce sur elle même pour ne pas reculer ou fuir le contact de sa main contre la sienne. Il était beaucoup trop près à son gout et elle pouvait sentir toute la présence du prince. Elle fut heureuse à se moment la de porter son masque, ainsi il ne pouvait pas voir le léger tremblement de sa lèvre inférieur. Elle devait répondre, vite, trouver quelques chose à dire. Son aura pesait sur elle mais elle ne devait pas en laisser paraitre une trace, même si un quart de seconde ses yeux avaient parlé pour elle. Avec un peu de chance il n'en verrait rien de plus que se qu'elle avait montré depuis le début.

"Regrettable en effet"

Elle avait soufflé ses mots tandis que ses yeux n'avait pas cesser de le fixer. Puis enfin elle fut libérer de l'emprise de l'homme et elle se retient discrètement à son bureau pour que ses jambes ne lui joue pas un autre mauvais tour. Elle voulait qu'il s'en aille rapidement, elle n'avait plus envie de le voir en face d'elle, mais les mots suivant sortir malgré elle.

"Pour les questions rien ne me vient, si ce n'est une remarque : on laisse deux innocentes en prison et Less en liberté ?"

Elle se mord la lèvre inférieur dès que les mots son prononcé. Pourquoi ne pas l'avoir laissé partir en ayant l'impression qu'elle se soumettait ? Elle aurait put agir sans lui demander quoique se soit. Elle était soit folle, soit beaucoup trop fatiguée.

Lou s'incline et recule laissant ainsi le prince sortir. Elle n'avait plus rien à lui demander et le reste attendrait le nuit prochaine. Elle voulait qu'il disparaisse de son bureau, mais bien plus encore de Paris. Elle devrait se contenter de le voir sortir de son bureau. Elle baisse le regard lorsqu'il parle de nouveau, autant réussir à se contenir cette fois mourir n'était pas dans ses projet immédiat et elle aussi avait beaucoup de choses à faire, des choses qui ne pouvait attendre le bon vouloir du prince, puisqu'il était pressé de partir, elle ferait elle même projeter le Louvre par les trémères. IL attendrait demain pour le savoir.

"Bien, mon prince, il en sera fait comme vous l'avez ordonné."

Elle resta incliné la tête baissée, attendant qu'il quitte les lieu, qu'il puisse elle aussi terminer son travail et mettre en œuvre se qui n'avait pas était fait et qui ne le serait pas si il fallait attendre son bon vouloir à lui. Elle cédait peut être un peu trop facilement, mais au pire le prince la penserait très affectée par leur rencontre, lui laissant les quelques heures qui reste le champs libre.

"Oui, mon prince."