II entrât dans le bureau de la Sénéchale et s'installât dans un siège à son invitation.

"Je vais mettre mon infant et monsieur Phoenix sur l'affaire, on commencerât pas une convocation classique après quoi on chercherat sa plaque d'imatriculation.

Au vu de l'incistence qu'il avait a vouloir connaitre l'adresse de notre refuge dans ses messages de la veille je crains qu'il ne soit entre de mauvaise mains.

Vous avez contacté le seigneur Mithras ? Il faudrait conduire monsieur Jorvis loin de cette ville en guerre et rapidement."

Il fut intérompu par des détonations puis par l'iruption du Gardien qui se méttait à lui donné des ordre en lui lencant une lame.

"Décidement, à chaque fois que je viens dans votre bureau il se passe quelque chose."

Il se levât, consultant son téléphone qui venait de vibrer. Le prévôt était déjà sur le pied de guerre.mme

"Je vais dire à mes hommes de se tenir prèt à prendre nos assaillant à revers."

Il composât un numéro de téléphone donnant rapidement ses consignes en Russe, on pouvair tous de même reconnaitre les noms de Abigail et Marina au milieu d'une série de nom d'homme qui devait être ceux de ses goules.

[i]

Elle lui lancé un regard sans expression. Malgré la situation, Lou ne laissait rien paraître de ses émotions et son calme en semblait d'autant plus remarquable. Elle hocha de la tête à sa dernière phrase.

"Faites donc cela."

La secrétaire de Lou toqua à la porte quelques minutes après l'appel d'Ivan, s'excusant pour son entrée, s'inclinant face au Primogène et la Sénéchal, comme le voulait l'étiquette, puis lui fit passer le message de Cathy en posant un papier plié sur le bureau que pourrait consulter Ivan sans qu'il en prenne connaissance.

"Monsieur Lytovski, faites quérir Monsieur Phoenix et votre infante. J'ai obtenue des tenues de policiers et je souhaite étouffer les témoignages."

Elle se releva pour se pencher à nouveau à la fenêtre, observant le Gardien s'occuper de récupérer des portables.

"Monsieur d'Arcy les reconnaitra et ne s'inquiètera pas de leur présence. Ils nous faut aussi des goules pour jouer le rôle de policier et les protéger. Madame des Termes se joindra à eux."

Son regard était ocre et froid. Quand tout serait fini elle irait PERSONNELLEMENT rencontrer l'incapable qui venait de briser la mascarade comme un neonate non éduqué. Il aurait à répondre de ses actes et expliquer pour quelles raisons il avait agit comme cela.

"Vous pouvez vous en occuper dès maintenant ? Le temps que nous perdons joue contre nous."

Elle attrapa elle – même son portable et envoya des SMS à tous ses contacts. Il était temps de voir si tous les vampires de Paris étaient unis par les même idéaux. Il était temps de voir où se plaçait les priorités de chacun d'entre eux. Il était temps de voir de quoi sont capables chaque vampire de Paris.

Gildven se trouvait de nouveau dans les escaliers en direction du bureau de la sénéchal. Contrairement à la veille, il ne prenait pas le temps d'admirer les peintures, tableaux, fresques et autres oeuvres d'art décorant le Louvre. Il était pressé. Il devait proposer ses services à la sénéchal ou du moins s'assurer qu'elle n'avait pas besoin de lui. Sa cape flottait derrière lui alors qu'il gravissait rapidement l'escalier. Une fois arrivé au premier étage, il prit directement le couloir en direction du bureau de la Sénéchal. Le jeune Ventrue s'arrêta devant la porte. Deux jours, deux visites radicalement différentes.

Il frappa à la porte. Sachant qu'il allait se retrouver dans l'antichambre, il tourna la poignée. La porte s'ouvrit et il entra dans la pièce réservée à la secrétaire de la sénéchal. L'élégante jeune femme était derrière son bureau et semblait légèrement débordée. Il s'approcha d'elle.

"Je vous salue ma dame. Je tiens à vous présenter mes excuses, pour m'imposer sans avoir pris rendez-vous auparavant. Mais en considérant les événements de cette nuit, je tenais à ce que la Sénéchal sache que je suis à sa disposition, si elle nécessite mon aide."

Ses yeux d'or en fusion étaient plantés dans ceux de la jeune femme, la détournant légèrement de ces occupations afin qu'elle entende ce qu'il avait à dire.

Le Ventrue, face à la secrétaire de la sénéchal attendait que cette dernière prévienne sa maîtresse de ses intentions. Ses yeux dorés étaient posés sur la jeune femme. C'est alors qu'il sentit une légère vibration dans la poche de son pantalon. Détournant son attention de la jeune femme, il sortit son téléphone. Il s'agissait d'un appel de son Primogène. Il s'excusa auprès de la secrétaire d'un signe de la tête et prit l'appel.

"Bonsoir monsieur Litovsky, puis-je vous être d'une aide quelconque ?"

Il ne connaissait pas la raison de cet appel, mais il y avait de fortes chances que cela soit à relier à l'attaque qui venait se produire.

"Bonsoir monsieur Gildven. La Sénéchale et moi-même aurions besoin de vous dans son bureau, vous pouvez nous y rejoindre ?"

[i]Situation qui aurait certainement grotesque au yeux d'un observateur extérieur[, mais c'était involontaire./i]

Alors qu'il entendait la voix de son primogène, le jeune Ventrue ne pu s'empêcher d'afficher un petit sourire. En d'autres circonstances la situation aurait pu paraître drôle. Aujourd'hui, seule primait l'urgence de la situation.

"Pour tout vous dire, je suis en ce moment même face à la secrétaire de dame Boniface. Je peux vous rejoindre dès que vous le souhaiterez, monsieur."

Remerciant la secrétaire de la Sénéchal d'un signe de la tête, il s'avança d'un pas lent vers la porte du bureau, le téléphone toujours à l'oreille.

Lou ne réagit pas à la remarque sur Isabelle. Cela la contrariait de devoir faire appelle à elle mais tant qu'elle se montrait efficace. Elle hocha la tête lorsqu'il lui parla de l'exécutions de ses ordres et tendit une oreille indiscrète pour suivre la conversation téléphonique. Lorsqu'elle entendit la voix du jeune Ventru et se leva pour lui ouvrir la porte et l'invita d'un mouvement de main à entrer et prendre de place dans le siège à côté d'Ivan.

"Monsieur Phoenix, si vous voulez bien. Nous aurions besoin de vos services."

Elle leva un œil vers le primogène et posa à nouveau son regard ocre et froid sur Gildven.

"Nous aurions besoin de vous pour protéger la mascarade … Monsieur Litovsky vous voulez bien lui expliquer la situation."

Elle retourna à sa fenêtre, observant la scène, tentant de prendre discrètement connaissances de la situation.

Kalista arriva en courant, et s' adressa à la secrétaire de la sénéchale, et lui dit :

" - Le Louvre vient de subir une attaque avec des armes lourdes, il faut absolument que je voie la Sénéchale, je suis envoyée par monsieur Sollers."

" - Une attaque dites vous ?" dit la secrétaire affolée, elle prit l' interphone et transmit le message à la Sénéchale,
puis invita Kalista à patienter. Après tout, la sénéchale n' était pas seule...

Le jeune ventrue pénétra dans le bureau dès qu'il y fût invité par la Sénéchal. La tension qui régnait entre ces murs était palpable. Ses yeux se posèrent sur son hôte, elle était à la fenêtre et observait la rue en contrebas. Il salua de suite la Sénéchal ainsi que le primogène en s'inclinant devant eux. Son attention se porta ensuite sur son primogène. Il l'écouta avec précision, notant chaque détail, chaque intonation dans la voix de son supérieur.

Des Thermes, il connaissait ce nom. Il allait fait la connaissance de la primogène des Roses, c'était là un privilège dont il ne faisait qu'imaginer la valeur. Un policier ? Voilà qui allait être amusant, il n'avait encore jamais interprété ce rôle. Le poing sur le coeur, il s'inclina face à ses deux interlocuteurs.

"Ma dame, monsieur, c'est un honneur pour moi de pouvoir vous assister de la façon que vous jugerai la plus judicieuse."

Il se releva, se tenant bien droit, attendant d'autres directives par rapport à sa mission.

Kalista fit un petit signe de la main à Melissange et lui dit :

" - L'entrée du Louvre a été attaqué : un fourgon est passé devant et a mitraillé l'entrée de balles, tuant et blessant des pétales ainsi que des Vampires. On soupçonne le sabbat, c' est tout ce que je sais."

Puis Kalista regarda Mélissange et Gilden et se dit qu' ils vivaient une triste époque. Elle ne pouvait imaginer Paris sous la botte du Sabbat et/ou des infernalistes. Elle soupira...

(arrivée de devant le louvre)

Elle arriva en catiminie, il y avait foule dans ce bureau, elle devrait probablement attendre des heures et des heures... elle salua rapidement les gens qu'elle avait dérangée en ouvrant la porte et quitta presqu'aussi rapidement qu'elle était arrivée



(je sais pas encore)

Mélissange avait pénétré dans le bureau, se faisant aussi discrète que possible, saluant poliment d'un signe de tête chaque personne présente mis à part pour sa primogène qu'elle gratifia d'une fine révérence radieuse.

Au moins savait elle où se trouvait Isabelle et pourquoi elle n'avait pas répondu à son message.

Puis elle entendit son nom et ne pu s'empécher de se pincer les lèvres comme le fait l'élève du radiateur appelé au tableau.

Comment diable cette femme, pouvait elle la connaitre ? Avait elle des oreilles de partout pour savoir de quoi elle venait de parler dans le hall d'attente ?

*My gosh !*

Avec politesse elle accepta l'offre de la sénéchale d'un signe de tête silencieux puis l'observa du coin de l'oeil tout en feignant d'observer la décoration des lieux.

Ainsi donc c'était elle la bourreau des coeur. Elle eut un sourire de ravissement, puis attendit.

Arrivée du rassemblement


Après avoir quitté son boss et le reste des vampires , il erra sans trop trainer , jusqu' à l'étage où se trouvait le bureau de la sénéchale , se disant qu'avec ce qu'il s"était passé ce soir elle aurait juste rien à foutre de la présentation d'un jeune vampire comme lui,et qu'il allait devoir patienter un bon moment .... Un fois sur place il salua la secrétaire et les personnes qui attendaient d'un sourire timide

"Euh bonsoir, excusez moi de vous déranger , mais mon chef Doryan du clan Tremere m'a envoyé ici afin que je me présente à son excellence la sénéchale

A peine eut – elle investit son bureau en compagnie de Mélissange que Isabelle et un dénommé Ferdinant faisait leurs entrées. La secrétaire passa le message à Lou qui ouvrit la porte invitant Isabelle de Termes à entrer. Elle fit abstraction de son physique disgracieux qu'elle arborait, bien qu'elle fut légèrement amusée par cet effort pour préserver la mascarade. Elle posa ses yeux ocres sur le Tremere et lui expliqua d'une voix posée.

« Si vous n'êtes ici que pour votre présentation et que vous n'avez pas ordre de m'aider dans la sauvegarde de la mascarade je vous demanderais de patienter le temps que j'en finisse avec ses dames, sinon je vous en pris, entrez »

Elle laissa la porte légèrement entrouverte laissant au Vampire le choix d'entrer ou non, puis elle invita Isabelle à la suivre. Passée la surprise de sa nouvelle esthétique, la Sénéchal s'était de nouveau transformée en marbre.

« Madame des Termes, je vous remercie d'avoir fait aussi vite. J'ai déjà envoyé des miens pour assurer la mascarade et vérifier que des mémoires ne se souviennent pas en détails de cette fusillade. »

La sénéchal lui expliqua en détail se qui avait déjà était fait et qui avait été envoyé, ne voulant pas lui faire de mauvaise surprise.

« Vous voyez d'autre chose à faire ? Sinon je vous laisse à votre tâche, je garde l'une de vos Roses sous la main pour m'aider dans la mienne. Elle pourra vous faire un nouveau rapport de la situation lorsque nous nous serons mises d'accord. »

Elle fixa la primogène qui n'avait plus rien d'une Rose alors qu'elle avait prit place derrière son bureau, s'enfonçant dans son fauteuil.

(sortie du bureau, et le Louvre vers l' hopital le plus proche...)

Sauvegarde de la mascarade ? Ok c'était important par contre il ne voyait pas bien en quoi il pourrait l'aider enfin sans faire de conneries qui lui retomberaient vite sur le coin de la gueule .

" Euh désolé, je crains de pas vous être trop utile pour ça , je vais attendre ..."

Il vit la porte du bureau se refermer , et se dirigea vers une chaise pour attendre , heureusement il avait téléchargé need for speed carbon sur son téléphone !