Les pas du gardien sur lesquels il calqua les siens, de pas, le conduisirent jusqu'au bureau de la Sénéchale , ou plutôt dans l'antichambre de son bureau ou un jeun homme à l'air ridicule attendait. Durant tout le trajets il avait pointé sa lampe sur les personnes qu'il avait pu apercevoir, et ce jeune n'y coupa pas. Après avoir éclairé la main de la secrétaire, ou en tout cas la personne qu'il pensa être la secrétaire il s'adressa à elle , tout en essayant de trancher le cas du jeune garçon étrangement accoutré ; il hésitait entre admiration et mépris....

"Bonsoir, je suis Less Grossman et madame la sénéchale a exprimé le désir de me voir " Il remercia D'Arcy de l'avoir escorté ne sachant si ce dernier allait le suivre ou non

Il était un peu nerveux, il savait qu'elle allait surement lui reprocher de s'être relevé après la fusillade tout en relativisant, elle devait être assez intelligente pour ne pas attendre d'un vampire qu'il fasse le mort au sol en attendant qu'on le conduise à la morgue...pour qui sait , un vampire au sol qui ne bouge pas est en torpeur et une cible facile..... Il se demanda si la gendarmerie avait répondu à l'appel de cette dame Boniface , si c'était le cas c'était bon signe, cela voulait dire que des forces intéressantes étaient encore sous contrôle camariste.....

Sa secrétaire appuya sur un bouton du téléphone installé face à elle et prit le combiné.

« Il est là. Oui... »

Elle n'invita pas l'homme à s'assoir, Lou sortit immédiatement, invitant poliment aux Vampires présents dans son bureau à sortir le temps qu'elle s'occupe du cas de Less. Elle le fit entrer d'un mouvement de main protocolaire. Son regard était froid, sa moue exprimée une colère et une désapprobation. Elle s'assit derrière son bureau, s'installant confortablement, incitant le vampire à prendre place puis lâchant d'une voix monocorde et détachée.

« Très bien. Je ne me présente pas et vous non plus, je n'ai pas besoin de ça pour savoir qui vous êtes Monsieur Grossman ! »

Elle avait presque crachait sur son nom, mais elle ne devait, Lou se devait d'être stoïque face à ce crétin.

« Vous allez appeler votre commanditaire devant moi, à l'instant et en haut parleur. Je ne veux pas que vous manquiez une parole de la conversation qui va suivre. Maintenant !! »

Elle ne demandait plus, elle ordonnait. Il ne méritait guère plus.

Spoiler:

Le membre 'Lou' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 5, 8

Le primogène saluât le nouveaux arrivant, marquant un arrêt sur Isabelle. Elle était presque aussi peu attirante qu'à l'époque où on la surnomer la Primogène Nosferatu, un déguisement parfait.

"Monsieur Phoenix, je vous conseillerais d'allé enfiler votre costume le temps que mademoiselle Boniface en finisse avec son entretien. Les minutes nous sont comptés. Je vais moi-même faire de même."

Il sortit du bureau, partant en direction du siens.

[Sortie vers le bureau du primogène Ventrue]

Tout cela ne sentait pas bon, il était étonné de l'attitude de cette femme, il sentait qu'il allait servir à combler les frustrations qu'elle pouvait ressentir en se rendant compte qu'elle ne maitrisait plus rien ; peu importe il était ici pour aider, alors il mit sa fierté de côté et passé sur le manque de respect. Il s'exécuta tant le ton de Lou était impressionnant,elle savait commander , ça c'était évident ...
Il composa le numéro demandé , enclencha le haut parleur et le visage inexpressif attendit la suite.

A l'autre bout du fil la voix profonde d'un homme se fit entendre.

"Oui Monsieur Grossman ? Que se passe t'il ? Vous n'étiez pas sensé me contacter aussi tôt..."

Il fut soulagé d’entendre la voix du Brujah

"Ce qui se passe ? Je ne suis pas sur, je vous appelle sur ordre de madame la Sénéchale qui souhaite vous parler, le haut parleur est enclenché monsieur"

Lou se contenait, faisant tournoyer son style entre ses doigts, stylo qu'elle aurait bien voulu planter dans la main de Grossman pour lui avoir fait perdre – et lui faire perdre encore maintenant – un temps précieux. Un temps dont elle avait plus que besoin. Il ne savait pas bien se qu'il faisait ici dans ce bureau ? Elle allait lui expliquer. Sa voix était grave et sévère, son visage impassible derrière son masque et elle prit la parole.

« Ce qu'il se passe ? Vous n'êtes pas sûr ? »

Elle avait répété ses mots avec condescendance et mépris. Ce Less pouvait d'ors et déjà s'assurer qu'il était dans la ligne de mire de la Sénéchal et qu'il n'avait plus un seul faux pas à faire.

« Je vais vous l'expliquer FUTUR prince et peut être pourrez vous rendre compte à Monsieur Grossman de la situation dans laquelle il nous à mis nous et par extension, VOUS Parménion. En début de soirée a eu lieu une fusillade qui aurait dû blesser mortellement Monsieur Grossman si il n'avait pas déjà trépassé. Une fusillade à laquelle a assisté foule d'humains et plutôt que de faire profil bas le temps que nous jouions nos influences, Monsieur Grossman s'est relevé d'entre les mort, pensant ses blessures, laissant des troues BEANT dans ses vêtements tâchés de sang. Mais ses intentions était louable : il s'est levé pour aider notre Gardien à récupérer les portables qui le filmait. »

Elle laissa un silence imprégner la pièce, laissant à son interlocuteur le temps de digérer cette information. Il pourrait remercier Less plus tard, à peine arrivé que personne ne souhaiterait avoir à faire à un Vampire lié de près ou de loin à un tel crétin.

« Alors maintenant je vais vous poser une seule question : Comment comptez vous remboursez toutes les influences qui ont était utilisées pour sauver le magnifique bris de mascarade de votre ami ? J'aimerais le savoir. »

Nouveau silence. Il fallait qu'elle se calme, qu'elle reste impassible même si avoir Less devant ses yeux lui donnait des envies de destruction pure et simple. Elle reprit son sang – froid, elle devait faire son travail avant tout.

« Dernière petite précision pour vous Monsieur Parménion le futur Prince, car vous ne l'êtes pas encore … Si vous voulez cette ville, reprenez la des mains de l'ennemi ! »

Puis elle leva ses yeux ocre dans la direction de Less, plongeant son regard dans le sien et lâcha la bombe d'une traite, le téléphone toujours sur haut parleurs, cessant les tournoiements du stylo.

« Et vous, vous êtes prêt à combien pour sauver votre non – vie ? »

De nombreuses personnes étaient entré dans le Bureau. Gildven suivait avec précaution chaque détail de chaque conversation. La primogène des Roses avait même fait son apparition, habillée en policière. Même ainsi vêtue, on ne pouvait qu'admirer sa beauté. Il vit enfin arriver celui qui - on le savait déjà - avait agit de façon plus que répréhensible lors de la fusillade. Lorsque son primogène l'invita à sortir, il s'exécuta non sans avoir au préalable salué les personnes se trouvant dans le bureau, s'inclinant au passage face aux primogènes et à la Sénéchal. On lui avait confié sa première mission à Paris, il devrait s'en montrer digne.

Sa cape d'un blanc immaculé flottant dans les airs, il sortit de l'antichambre annexée au bureau de la Sénéchal. Il se dirigeait d'un pas rapide vers un endroit où il pourrait revêtir les habits qui lui avaient étés attribués.

[Vers l'entrée du Louvre]

Less écouta attentivement Lou rongeant son frein ne voulant élever la voix alors que l'appel était lancé; puis lorsque Parmenion eut terminé et raccroché, il rangea son téléphone et se pencha vers Lou ses yeux d'acier plongés dans ceux de la Sénéchale

« Et vous, vous êtes prêt à combien pour sauver votre non – vie ? » Répéta t il

"Sauver ma vie ? Mais de quoi parlez vous au juste ? Du fait que je me sois relever ? Vous êtes sérieuse là? On nous canarde et je suis censé faire quoi? rester au sol, faire le mort pour que des ennemis potentiel me croient en torpeur ? Rester des heures que la police scientifique fasse son enquête , puis me foute à la morgue ? Attendre qu'on m’autopsie et que je hurle de douleur ? Ou m"échapper d"'une chambre froide !! c'est ça votre conception de la mascarade ?? Non je me suis relevé après avoir soigné mes blessures; des gens m'ont vu ? ET alors? ils étaient loin il faisait nuit , au court d'une fusillade....allumez la télé restez devant bfm ou CNN et vous verrez , dans des pays en guerre des gens recouvert de bien plus de sang que moi marcher et courir sans que personne trouve cela anormal. Des corps qui disparaissent de la morgue ça par contre ça ferait la une .... Je me suis levé , aussi pour sauver mon existence , faire le mort c'est etre en position de faiblesse en cas d'attaque , ce qui aurait pu se passer après cette diversion ; je me suis lever et je vous ai sauvé les miches ! Mon contact à la bac est arrivé peu avant vos gendarmes, il a relevé les identité , et sans doutes effacé des indices qui pourraient être gênant . les corps sur ordre de la préfecture seront autopsié par un ami, qui fera en sorte que les dossiers médicaux soient clean .... la dst devrait pas tarder à recevoir la liste de ces témoins qui vous vont si peur, si l'un d'eux fait le con, un passé le discréditant fera surface à l'instant .... et dans deux heures, mon ami chef de la cellule anti terroriste parisienne attends que je le lui dicte la version officielle de ce qui vient de se passer . Alors oui je me suis levé , et j'ai fait en sorte que toute cette putain de fusillade n'est aucune conséquence et ce à tous les niveaux. La protection de cet Elyséum est une vaste blague, et le sabbat en a profité ; il a voulu nous tester , tester nos défenses, tester ntre capacité à couvrir ce genre de choses; vous parler de contact grillé ? Mais vous croyez vraiment que le sabbat est capable de remonter comme ça en quelques minutes comme par magie jusqu'à nos allies et contacts ? Soyez sérieuse, l'heure est grave , alors au lieu de me prendre la tête pour un bris de mascarade des plus minimes, vous devriez plutot vous estimer heureuse que Parmenion m'ait envoyé ici moi et mes influences ! dans quelques heures vous aurez des armes, des vrais pour sécuriser cet édifice , et cesser d'etre passif face au sabbat ! "

Lou se fige comme seul les vampires savent le faire, ne laissant plus rien transparaitre de son humeur. Elle reste encore ainsi fixée sur l'homme avant soupirer, retirer son masque laissant apparaitre la partie du visage couverte de cicatrices encore rouge, donnant un dérangeante impression d’arabesque. Elle plonge son regard ocre qui ressemble présentement plus à celui d'un loup que d'un humain dans les yeux de l'homme. Elle aussi légèrement penchée en avant, un sourire glacial sur les lèvres. Elle laisse le silence se prolonger encore alors qu'elle le fixe intensément avant de prendre parole aussi froidement que le fut son sourire.

"Effectivement monsieur, il aurait mieux fallut resté à terre, le temps pour nos ambulance de vous récupérer, de vous transporter en sécurité. Oui il aurait mieux fallut ne pas décrocher votre téléphone alors que nos policier allaient arriver et étouffer l'affaire. oui, il aurait mieux fallut rester au sol laissant croire à l'ennemi qu'il pouvait vous faire du mal pendant que nos sniper aurait put tirer, ou nous laisser manipuler les média afin que cette affaire passe pour un fait divers...... Mais plus que tout, il vous aurait fallut venir en ville en vous autant de la tête que nous étions des agneaux attendant le messie. Nous n'avions pas besoin d'un zombi se relevant d'entre les morts devant le Louvre."

Elle se cale de nouveau dans son fauteuil le visage abimé n'exprimant strictement rien.

"Maintenant nous allons travailler à réparer votre erreur et je vous conseille d'éviter de me faire un moral de nouveau, car moi au moins lorsque j'arrive en ville inconnue je me renseigne sur se qui à était mit en place....... Alors dite moi que comptez vous faire ?"

Jet d'intimidation

Le membre 'Lou' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 4, 8, 7

Elle essayait de sauver les meubles, de se rassurer , pourtant sa manière de parler sa façon d'être montraient clairement que Less n'avait pas à faire avec une midinette qui passait le plus clair de son temps à cancanner , non elle avait des burnes, et il faut bien dire que Less n'y était pas insensible, il était clair que c'était pas une personne à faire chier .

" Ce que je compte faire ? Pas grand chose il n'y a rien à faire l'affaire est gérée que cela vous vexe ou non ; je ne reviendrais pas sur votre vision des choses, nous n'arriverons pas à nous convaincre l'un l'autre , je nous soupçonne d'être à peu près aussi têtue que moi , je en suis pas le messie, mais regardez les choses en face la situation vous échappe totalement, ce genre d'attaque dans une ville camariste , c'est du jamais vu, du coup au lieu de perdre notre temps à nous bouffer la gueule, on devrait essayer au contraire d'unir nos forces pour reconquérir et cette ville et foutre une volée à ces sabbats non? Quand j'arrive en ville je me renseigne, et plus qu'un minimum , mais vous seriez bien naze si j'arrivais en si peu de temps à savoir qui vous contrôler non? je suis pas un néonate ou un clown , vous ne m'aimez pas? Ok ça tombe bien on est pas obligé de s'aimer , pourvu qu'on bosse ensemble et pas à se tirer la bourre ; divisés on perdra soyez en certaine . Par contre , si je vous dois le respect j'attends de vous la même chose , mon nom est connu et mes actes passés me confèrent un statut que vous ne pouvez ignorer et qui prouve que je ne suis pas le zombie débile dont vous parler en caricaturant . Sommes nous bien d'accord ??"

le regard de Less se fit glacial

(jet d'intimidation à difficulté majorée surement à cause du jet de Lou )

il avait du puiser en lui pour trouver la contenance nécessaire pour montrer qu'il n'étais pas le premier abrutis venu, il était habitué, la négociation, l’intimidation s'était son lot quotidien, mais à se moment précis il se mit à respecter cette sénéchale ...

Le membre 'Less Grossmann' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 10, 8, 4, 3

Lou observe en silence l'homme en face d'elle, puis lentement elle remet son masque, les mains légèrement tremblante. Était-se du à la colère, la frustration ou autre choses ? Mais maintenant que son visage était de nouveau masqué, il ne laissait plus la possibilité de le savoir. Elle repose ses mains sur la table les détaillant sans prononcer le moindre mot, laissant le silence entre eux s'épaissir jusqu'à en devenir palpable. Elle sembla réfléchir tout le long de se silence, réfléchir à une vitesse hallucinante au multiple possibilité qu'elle avait devant elle. Avant de relever enfin la tête sur Less, elle devait lui reconnaitre qu'il avait de la gueule, mais il ne réfléchissait qu'une prochaines minutes alors qu'elle voyait sur les prochaines années. Qu'à cela ne tienne, elle allait donc lui faire comprendre se qui lui échappait.

"Non monsieur l'affaire n'est pas réglé. Premièrement par se qu'il va falloir inventer des preuves à la brigade antiterroriste afin de leur éviter une enquête surprise par leur supérieur, mais à la rigueur c'est votre problème si vous perdez vos influences, deuxièmement car il fois une version officiel commune à toute les influences, tertio vous avez étaient filmé par des humains et avez par la même occasion attiré certainement l'attention de chasseur sur nous et maintenant je vous demande se que VOUS avez prévu."

Elle n'avait exprimé aucune émotion et sa vois bien que douce et féminine resta parfaitement maîtrisée pour ne rien laisser paraitre, n'appuyant que sur un mot afin de faire comprendre à l'homme qu'elle avait déjà paré à sa, mais qu'elle attendait de connaitre se que lui comptait faire, soit pour combiner leur force soit pour tout autres chose, mais avec la femme rien ne pouvait être sur.

Less s'affala un peu pour réfléchir , il dévisageait Lou comme on peut dévisager un adversaire coriace que l'on respecte et avec qui on prend du plaisir à négocier .

Il était inutile de trop s'attarder sur ses contacts, inutiles de dire que les preuves seraient faites, que son ami à la cellule n'avait pas de supérieur , et que le Brujah avait même des amis parmi les élus de la république .... Non il avait compris, LOu devait avoir le dernier mot, même si destabilisée elle perdait un peu de sa rigueur et s'attachait à des détails, elle ne devait pas perdre la face , et Less comptait bien la faire gagner, lui donner le dernier mot . Il savait que tout était sous contrôle. Elle savait aussi. Il savait qu'elle savait. ET plus important encore , il savait qu'elle savait qu'il savait . Match nul balle au centre sauf que pour des raisons de statuts et compte tenu de la situation elle devait, non ILS devaient donner l'impression que la sénéchale avait le dernier mot . Une autre aurait été se faire foutre , mais elle , contrairement à beaucoup de ses semblables avait du cran, et Less respectait le cran.

" Bon , il m'apparait évident que vous avez déjà une idée de ce que je dois faire en fonction de vos propres actions , alors assez joué, dites , j'exécute et on se quitte bons amis ?"

Le Brujah était plus étendu à présent , la joute était terminé , ils en étaient au moment ou on fume un cigare pour sceller l'accord

[Arrive de La butte.]

Il avait dus passer par une porte latérale à cause du chaos qui régnait devant la porte principale. D'orceau devait certainement jubiler intérieurement, mais peut-importe, elle avait échoué, en un temps record, là ou lui réussirait.

Son visage de marbre ne laissait transparaître l’excitation qui l’habitais, au vu des informations dont il disposait, il y avait tant à faire. Tant de visages qu'il allait revoir et tant de choses à régler.
Il allait d’ailleurs commencer de-suite et par la plus difficile, mais certainement aussi par une de celle par qui son règne pouvait être plus éclatant encore. S'arretant un instant afin de verifier que sa tenue était impeccable, il entra dans le vestibule et s'approcha de la secrétaire.

-"Bonsoir mademoiselle, veuillez informer la Sénéchale, que le prince Parménion souhaiterait lui parler."

Un sourire de circonstance, poli sans faire oublier qu'elle avait à faire à quelqu'un de bien supérieur, un Roi, précisément le Prince de Paris actuellement.

Lou observait en silence monsieur Grossman depuis un moment, ses yeux de Loup donnant l'impression qu'il n'était qu'une proie devant lui. Soudain son interphone laisse entendre la voix de sa secrétaire qui annonce l'arrivée du futur prince, Parménion. Lou ne réagit pas tout de suite continuant à fixer l'envoyé, la louve réclamant son sang. Enfin elle appuie elle aussi sur l'interphone pour répondre de le faire entrer d'une voix n'exprimant aucune émotions. Elle se concentre de nouveaux sur l'homme qui se tiens en fasse de lui un instant avant de s'adresser froidement à lui.

"Voyez avec ma secrétaire afin qu'elle vous dise se qui a déjà était fait afin que nous ne nous marchions pas sur les pieds et j'ai actuellement une personne qui travaille à une version officiel, tachez de vous y tenir. Sur se j'ai à discuter avec votre supérieur."

Elle ne se releva pas pour l'accompagner à la sortie et se demandant pour la première fois de la nuit ou elle avait bien put entendre se nom avant qu'il n'apparaisse ici. Elle l'avait surement croisé, mais ou ? Tel était la question.

[Retour dans le bureau de la Sénéchal]

Profitant du calme des toilettes du premier étage, le jeune Ventrue avait revêtu le costume qui lui avait été attribué. C'était la première fois, qu'il jouait le policier. Ces pouvoirs n'étaient pas entièrement développés, mais il espérait pouvoir porter toute l'aide dont il était capable, ne serait-ce que par sa présence et ses quelques dons oratoires. Il avait noué ses cheveux et les avait cachés sous sa veste bleu marine. Un policier avec sa coupe de cheveux habituelle, ce n'était pas très discret, ni très crédible. Ainsi, il paraissait avoir les cheveux courts, ce qui était bien plus adapté au métier qu'il prétendait exercer. Il avait laissé ses effets personnels de façon à ce qu'Evan les retrouve facilement.

Il se dirigea vers le bureau de la Sénéchal, de nouveau, afin d'y retrouver son primogène ainsi que la dame Toréador qui devrait mener la mission. Après avoir frappé à la porte du bureau, il pénétra dans l'antichambre, où se trouvaient les deux personnes qu'il recherchait. Un autre homme était là. Brun, une trentaine d'années apparente et… imposant. C'était le mot. D'une étrange façon, il forçait le respect. Etrange. Son port rappelait celui des Ventrues.

Le jeune Ventrue s'inclina face à la primogène des Roses, puis face à l'inconnu - dans le doute de son statut - et enfin face à son primogène qu'il avait rencontré plus tôt dans la soirée. Il était resté légèrement en retrait, observant avec attention la situation. Puis il s'adressa avec une voix claire et déterminée.

"Je suis à vos entières dispositions, ma dame, monsieur."

D'un regard circulaire, il observa tout ce monde en effervescence, au moins il y avait de l’énergie à Paris. Il fit un salut impeccable, poli et ferme mais indicant clairement un statut supérieur à tout ceux présents dans la pièce. D'une voie claire et sans aucune forme d’hésitation il se présenta aux présents à son tour. Respecter ses subordonnées était primordial.

-"Parménion, du clan des sages. Votre nouveau Prince."

Le sérieux et la prestance de l'homme enlevait tout doute éventuel, ce n'était pas une blague.