Bureau du Gardien d'Elysium 20110219

Brujah

Hôtel

" N'y voyez aucune insulte mais je ne souffrirais point que l'on sache où je vais reposer ce jour Sieur Gardien, merci pour cette avance , et non je n'ai besoin de rien d'autre que votre parole pour sceller cet accord . J'attendrai le crépuscule dans le petit salon au ca ou le chevalier gallus repasse; puis j'irai sombrer en torpeur pour revenir ici sitôt les vêpres sonnées ."

Elle salua le ventrue avant d'en quitter le bureau pour se rendre au petit salon

Dans le couloir elle salua les étranges malkavian et le colosse avant de descendre l'escalier menant à l'étage inférieur

Départ pour le petit salon sauf évênement

Malkavian

[Arrivée du bureau des Fous]

Arrivée à destination, elle se laissa glisser sur le dos de Byrion, retomber légèrement au sol puis s'approcha de Séléné, tenant fermement Lili dans ses bras qu'elle attrapa de ses deux mains.

- La petite Fée est toute effrayée ? La petite Fée doit pas avoir peur... On est là. Tout va bien... Tout va bien...

Elle passa une main dans ses cheveux avec douceur, puis lui tendit Lili en gigotant sur place comme une pile, tout en faisant tournoyer son cadeau dans l'air en danse, tournant en rond.

- Cadeaaaux ! Comme ça la petite Fée à moins peur, oui, oui, oui.

Rosie frappa plusieurs coup sur la porte du bureau afin que Constance la fasse entrer, elles et ses soeurs.

- TOC TOC TOC !! Rosie est là ! On peut voir Monsieur... Monsieur le Gardien ?

Elle regarda Byrion comme pour vérifier qu'elle n'avait pas fait une bêtise, puis se balança doucement sur ses jambes d'avant en arrière avant d'entrer.

Ventrue

« Je comprends bien votre réticence mademoiselle Nittael. Soyez prudente, les rues ne sont guère sûres, même pour nous…Je vous souhaite une bonne journée. »

Il se leva, s'inclinant pour la saluer.
À peine rassis, le téléphone sonna. Ce devait être elle !

- Oui, mademoiselle Constance ?
- …
- Faites les entrer…

Le sourire sincère qui était né sur ses lèvres se fâna bien vite. Il raccrocha le téléphone quelque peu rageusement avant de joindre ses mains, son visage dorénavant neutre.

Malkavian

Séléné n’avait plus qu’une mince accroche au monde qui l’entourait. Les objets, les personnes se distordaient sous l’effet de la terreur. Et... Tout à coup, plus rien. Le calme plat. Comme si elle se trouvait dans l’œil de la tempête. Et elle n’était pas seule, la jolie Rosie était là. Elle senti la main de sa soeur sur ses cheveux et elle savait que c’était ce contact qui l’avait sauvée de son tourment. Ses larmes avaient cessées de couler.

Elle regardait Rosie, les yeux grands ouverts. Elle ne savait pas ce qui était en train de se passer. Encore une fois, l’enfant l'avait ramenée à la raison. Elle avait remarqué la peluche en forme de lapin que Rosie ne quittait pas, elle en avait assez vu pour comprendre qu’il s’agissait là d’un bien précieux pour la jeune fille. Si bien qu’elle fût complètement pris au dépourvu lorsque celle-ci lui tendit le lapin. La petite fille lui prêtait sa peluche pour l’apaiser.

De ses mains tremblantes – cette fois plus de tendresse et d’affection pour la petite fille que de peur – elle prit avec précaution la peluche de lapin des mains de Rosie. Aussitôt elle afficha un grand sourire à Rosie. Elle ne savait pas comment la remercier avec des mots, alors elle espérait que Rosie arriverait à comprendre l’étendue de ses sentiments en cet instant.

Lâchant la main d’Aly, pour la première fois depuis un long moment, elle entreprit de caresser délicatement la peluche. Elle était rapiécée et avait visiblement vécue, mais elle était unique et représentait beaucoup aux yeux de Rosie et donc aux siens. Elle suivit la petite troupe dans le bureau, distraite, occupée à caresser tendrement les longues oreilles de la peluche.

Malkavian

Rosie entra tranquillement, presque sautillante, dans le bureau du Gardien. Lorsque son regard d'un bleu turquoise, lumineux et brillant, croisa le verre de ses lunettes, la petite Chose fit trois pas en arrière, rentrant dans Byrion, fuyant tout contact, une panique indescriptible tirant les traits de son visage, marquant un âge imperceptible jusque là. Elle se pressa le plus possible contre le Géant et sa Soeur en gémissant et sanglotant.

- C'est un piège !! On va renvoyé Rosie dans les Contes de Fées hein !! On va la faire dormir ! Rosie veut pas qu'on l'oblige encore à dormir ! Rosie était pas comme ça mais Rosie est comme ça parce qu'on l'obligeait tout le temps à dormir !! Rosie veut pas !! Le Géant et ma moitié vont pas laisser faire, promis ?!
Monsieur le Chef est pas content ? Rosie a fait une bêtise ?! Pourquoi y'a un Homme en Blanc hein ? Pourquoi il a dit à Rosie d'aller voir un Homme en Blanc ?

Elle leva les yeux vers son Géant, semblant perdue dans ses réflexions, restant dans le vestibule, n'osant plus passer le seuil du Bureau, puis elle tourna la tête vers Amélie dans les bras de laquelle elle se blottie, semblant vouloir y disparaître.

Ventrue

D'Arcy se donnait l'air plongé dans un dossier posé sur son bureau. Se lever était au-dessus de ses forces, tant pis pour l'étiquette. Il releva son nez du dossier néanmoins, se montrant souriant pour accueillir ces…gens. Quand il croisa cette gosse, son sourire s'effaca aussi vite. Par Mary-Anne Blaise, il avait beau en avoir eu la description, tout cela dépassait l'entendement ! Quel esprit dérangé avait bien pû faire ça à une enfant ? Sa pomme d'Adam s'activa malgré lui.
Pour couronner le tout, elle était paniquée à sa vue. Une colère sourde lui remua les entrailles…si cette aberration continuait à hurler…la douce libération du silence et de l'âme de cette gosse tandis que sa lame détachait la tête de ce petit corps qu'on aurait dû laisser grandir…
Son exécution sur la place publique pour non-respect des Traditions de la Très Sainte Camarilla, la honte sur son Sang le cueillèrent tel un direct à la machoire, lui remettant illico les idées − plus ou moins − en place.
Il fallait qu'elle se taise et se calme au plus vite. Ces fichus enfants de la Lune ! Une plaie ingérable ! Ce n'était pas l'envie qui lui manquait que de la faire taire. Mais la cascade de cheveux blonds dans son champs de vision lui indiquait la présence des deux pupilles − l'idée la plus géniale du siècle sans doute − dans son bureau.
Il se leva, s'appuyant sur ses mains. Ce qui lui avait demandé un effort plus intense que cela n'aurait dû.
La machoire serrée il réussit à articuler quelques mots.

« Mademoiselle Amélie, occupez-vous de mademoiselle Doce, je vous prie. »

C'était davantage une supplique qu'un ordre.

« Mesdemoiselles, monsieur…prenez place…. »

Il n'y avait pas assez de fauteuils pour un tel débarquement, mais il ne s'en était visiblement pas rendu compte. Il se rassit, à la limite de la chute, dans son fauteuil, puis referma sans cérémonie le dossier ouvert devant lui, attendant en silence, l'œil clos, tentant de faire abstraction de toute cette agitation.

Alice laissa Rosie rassurer Séléné, l'enfant avait un dont pour ça. C'est donc tous détendue qu'il rentrèrent dans le bureau, mais le calme fut de courte duré...
Le gardien était de nouveau habillé tout de blanc avec juste ses lunettes noires. Elle les scruta pour tenter de voir au travers si il était vraiment borgne ou si il avait se surnom parce qu'il ne vois pas bien avec ses yeux ou peux être qu'il est naïf ? Non du peux qu'elle avait pu échanger avec lui ce n'était pas la dernière solution et la Reine ne l'aurais jamais choisie pour devenir gardien.

**Gardien ! Plutôt médecin OUI ! **

"Bonjour Monsieur, un instant je vous prit."

Elle avait compris la panique de Rosie et elle dit.

"Les médecin ne porte pas de lunettes de soleil et puis regarde ce n'est pas une blouse blanche mais un costume."

Elle fit un clin d'oeil à la femme enfant, pensant que cette réponse terre à terre était tout ce qu'elle pouvait faire pour l'aider, Amélie serait surment trouver de meilleurs mots et gestes...

"Si tu préfère Séléné et moi on peux aller seul avec Monsieur d'Arcy pendant que tu reste avec Amélie et la gentille dame et eux... Ton ami."

Elle pose son regard sur le géant et la secrétaire du Gardien, puis sur chaque personne dans le vestibule et le bureau pour jaugé leur avis sur le sujet.

La petite Amélie dans une main, Rosie qui tentait de se cacher contre lui.

Le géant d'un bras enferma Rosie entre son torse et son bras lui cachant ainsi son environnement, puis il fit un sourire rassurant à Amélie.
Il salua de la tête de manière martialle et respectueuse tout le monde.

-"Byrion Sollers, Actuellement protecteur de ces deux petites, c'est...un Héritage."

Il commença à doucement bercer Rosie afin de la calmer.

Malkavian

Rosie se blottie dans les bras du Géant, passant un oeil pour regarder Aly, puis le Gardien. Elle se demandait comment ses peurs arrivaient à faire échapper l'évidence entre ses petits doigts. Elle retira le bras du Géant puis se rapprocha lentement du Gardien, passant derrière le bureau à côté de lui, inclinant la tête dans un sens, puis dans l'autre. Elle leva les bras en direction du Gardien, ouvrant ses mains comme pour stopper tout mouvement, puis déclara finalement.

- Monsieur le Gardien est pas trop fatigué ? Sinon Rosie et Séléné peuvent revenir demain ... Promis on sera là très vite, vite, vite. Monsieur le Gardien à l'air tout fatigué...

Elle baissa ses bras et tritura sa robe nerveusement. Elle sentait que le Borgne n'était pas en état de les recevoir et elle savait très bien qu'elle n'était pas une petite fille facile à vivre.

- Ou sinon on peut aller vite vite vite à répondre. Tout comme le Gardien veut...

Malkavian

Séléné était occupée à caresser la peluche lorsqu’elle entendit les cris de Rosie. De suite ses yeux se fixèrent sur la petite silhouette, devant elle. Elle n’avait pas bien comprit pourquoi elle était dans cette état, mais Séléné ne supportait pas cette vision. Elle voulait de suite accourir vers Rosie et la prendre dans ses bras. Rosie l’avait réconforté lorsque ça n’allait pas, maintenant elle voulait faire la même chose pour elle.

Pourtant, elle ne pouvait pas faire grand chose, Rosie s’était déjà jetée dans les bras du titan qui les accompagnait. Et déjà Aly commençait à la calmer. Ainsi c’était ça ? Rosie avait peur des médecins ? Il est vrai que tout ce blanc était dérangeant. Elle regarda sa propre robe, crème. Si elle revenait au Louvre après cette nuit, elle se souviendrait de ne jamais porter du blanc. Elle ne voulait pas que Rosie la perçoive comme un ennemi.

Comme la tempête s’était levée, elle s’était calmée et Rosie parlait maintenant à l’homme qui devait être le gardien. Il n’était pas du tout comme l’idée que Séléné avait de lui. Déjà il n’avait pas d’armure, ensuite il ne gardait pas des geôles. Rosie avait même contournait le bureau. Elle n’était pas sûre que cela se faisait, mais elle voulait rendre à la petite fille son trésor, afin qu’elle soit de nouveau aussi enjouée qu’à leur rencontre. Elle s’approcha de Rosie, contournant le bureau et lui tendit Rosie avait le plus beau sourire qu’elle possédait.

« Merci, mon trésor. Je ne sais pas trop pourquoi je suis là... Ca te va, si je te laisse parler ? »

Elle s’était rendue compte après coup qu’elle l’avait appelé « mon trésor ». Cela lui semblait naturel et pourtant elle ne se souvenait pas d’avoir jamais appelé quelqu’un de la sorte. Encore une bizarrerie de cette soirée...

Ventrue

« Monsieur Sollers… »

Un faible sourire déforma son visage. Ce dernier fût fort éphémère, disparaissant à l'approche de Rosie, bien vite suivie par l'autre folle tenant un ridicule ourson. Il se tourna instinctivement vers la gosse, pivotant sur son fauteuil, reculant dans la foulée afin de préserver son espace vital de cette intrusion Ô combien malvenue.
Il l'écouta.

« Monsieur le Gardien est effectivement fatigué, mademoiselle Doce…et d'autant moins enclin à supporter vos facéties. Mais puisque vous êtes là, je vous écoute…vite vite vite. »

Dans sa voix planait ironie et danger.

« Et vos places sont de l'autre côté de ce bureau, mesdemoiselles. Merci. »

Sa voix autoritaire était accompagné d'une main gantée pointant du doigt les fauteuils où étaient sensés s'asseoir ses interlocuteurs. Un coup de téléphone détourna son attention. Son doigt se posa sur sa bouche à l'intention de Rosie, l'invitant à se taire. Il regarda le cadran.

« Je dois décrocher, pardonnez-moi. »

- D'Arcy.
- …
- Dites-lui que je désire voir son Primogène dans mon bureau au début de la nuit prochaine.
- …
- Oui, ce sera tout. Merci.

Il n'avait pas encore reposé le combiné qu'un autre téléphone se fît entendre, faisant plisser son front. Il sortit son téléphone de l'intérieur de sa veste, prenant connaissance de l'appellant.

« Décidément…Je me dois de vous demander encore quelques secondes, navré. »

- Bonsoir monsieur. Je ne suis pas seul.
- …
La machoire de d'Arcy se crispa. Un énervement difficilement contenu raisonnait dans sa voix.
- Absolument pas, monsieur. Je n'ai pas encore été mis au courant de sa disponibilité.
- …
- Je m'occupe de cela, monsieur. Si ce dernier n'a pas alors d'autres impératifs, bien entendu.
- …
- La pièce sera réservée, monsieur. J'ai un rendez-vous important avec un Primogène…je tâcherais d'être aussi disponible que possible.
- …
- Je vous en prie, monsieur. Bonne journée à vous.

Il raccrocha avec une véhémence certaine, regardant son téléphone avec un dédain assez remarquable. Il pianota rapidement sur ce dernier avant de le ranger.

« Je suis enfin à vous. Parlez. »

Malkavian

Rosie hocha de la tête, récupéra la peluche qu'elle serra entre ses petits bras fins et offrit un large sourire à Séléné, s'assurant que tout irait sans Lili. Puis, finalement, elle regarda le Gardien intriguée. et passa de l'autre côté, retournant dans les bras de Byrion de temps de la discussion... Mais pour dire quoi ? Que devait dire la Petite Chose au Gardien qu'elle n'est pas déjà dit plus tôt ? Ou dont il n'est pas déjà connaissance.

- Rosie doit dire quoi ? Rosie comprend pas... Rosie a déjà dit qui elle était à Madame la Louve, puis à Monsieur le Lion... Rosie doit dire la même chose à vous ? Rosie le dit mais seulement si Monsieur le Gardien lui dit pourquoi il a tant de haine contre Rosie... Rosie a pas fait de bêtise. Rosie croit pas ...
* ROSIE ! Penses - tu sincèrement qu'il est la patience de suivre cette conversation ? Ne fais pas caprice avec lui, veux - tu ? *
- Désolée... Rosie va dire qui elle est...

La petite Chose tourna la tête en direction du Géant en faisant une petite moue triste, puis d'une vois plus mécanique, comme si le texte avait était appris par coeur, Rosie expliqua.

- Rosie s'appelle Rose, elle a dix génération et heuuu ... Lili dit que je suis Malkavienne, mais Rosie est pas trop sûre... Rosie c'est Rosie. Et c'est tout... C'est bon pour Monsieur le Gardien ou Rosie a oublié quelque chose ?

[sortie plus tard]

La montagne s'appel Byrion nota Alice dans son 'cerveau ordinateur' d’ailleurs un bien étrange prénom, mais le plus important qu'elle ai pu apprendre c'est qu'il est de la famille de Gallus, ce devait être par alliance car physiquement...
Elle pouffa intérieurement, le Primogène Brujah est plus petit qu'elle et cet homme est le plus grand qu'elle n'ai jamais vue.

Alice se racla la gorge lorsque Rosie parla.
Et jeta un regard nerveux vers le bureau ou semblait bouillir le Gardien, finalement heureusement que Byrion était avec elles ainsi si Monsieur d'Arcy sortait de ses gonds peut être ne mourriez elles pas toutes.

"Rosie... Je ne pense pas que Monsieur d'Arcy veux que tu te présente il veux savoir pourquoi nous sommes là..."

D'un froncement de sourcil elle lui intima le silence pour éviter d’aggraver la situation. Elle se tourna avec un sourire crispé vers le borgne.

"Notre Primogène nous a envoyé vous voir afin d'organiser le rencontre de Séléné -elle la désigne d'un mouvement gracieux de la main- Et notre cher Prince. Il souhaiterait également qu'il en soit ainsi pour Hadrien et Lucas... Je suis désolé je ne connais pas leur nom, ils sont actuellement en entretiens avec Heinrich."

Elle se rendit compte qu'en fait elle ne connaissait le nom de famille d'aucun de ses nouveau frères et sœur et se pinça les lèvres en espérant que cela ne soit pas un problème pour d'Arcy.

Avec quinze ans de moins au compteur peut être aurait elle fait pipi dans sa culotte tellement l'homme derrière le bureau la terrorisait à cet instant, là ça vois ne tremblait pas et ça tenait sans doute du miracle.

Ventrue

Quelle pitié ! Un corps si jeune habité par un esprit si malade. À se demander quel Prince avait pû autoriser d'infanter…ça. Il réprima avec difficulté un frisson d'horreur ainsi qu'une moue de dégoût. Comme quoi, malgré les monstruosités qu'il avait pû voir − et commettre − au cours de son existence, il lui restait de la compassion, ce qui ne manqua pas de le troubler davantage.
Et voilà maintenant qu'elle partait d'incohérence en incohérence, dans un cheminement sans doute compris par elle seule. Cette voix lui lacérait les tympans par son côté aigu, lui vrillait les nerfs par son côté exaspérant, il fallait qu'elle se taise, qu'elle se contente de dire pourquoi elle était là. Ou il ne répondrait plus de rien.
Elle sembla ressentir son énervement, ce qui eut au moins le mérite de la faire revenir − autant que possible, donc très peu − sur cette terre, pour ENFIN donner la raison pour laquelle elles venaientt le déranger si tardivement. Enfin un tant soit peu de respect envers sa fonction.
Et bien sûr, l'intervention de Claudel donna une toute autre perspective. Fichus Malkavian ! La peste soit de leur Sang.

« Mademoiselle Doce, c'est un plaisir de constater que, malgré un retard certain, vous n'ayez pas oublié de venir vous présenter à l'officier que je suis. Par conséquent, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue au sein du Louvre. Mademoiselle Claudel, merci pour vos éclaircissements, je ferais savoir à Son Altesse la demande de vos…congénères.
Je suis, pour celles et ceux ne me connaissant pas, monsieur d'Arcy, du Sang des Roys, et Gardien de ce lieu. Autre chose peut-être ? »

Parfaitement protocolaire, mondain, détaché, et un sourire de facade sur les lèvres caractérisait bien d'Arcy en ce moment-même. Le visage de d'Arcy semblait rivé sur cette Séléné tandis qu'il parlait.

Alice hocha la tête aux remercients du Gardien, puis rapidement elle tira sur la manche de Séléné en la tirant vers elle sans chercher à être discrète de toute façon c'était impossible vue la distance qui les sépare.

"Je crois qu'il faut que tu te présente... Nom, Prénom, sire et heu... clan."

Se faisant elle n'avait pas quitté des yeux d'Arcy lui offrant un sourire désolé, sa famille était pleine de séquelles mentale... comme elle. Heureusement ils n'avaient pas tous les même.

[Sortie plus tard vers une chambre]

Malkavian

Elle avait suivit Rosie lorsque celle-ci s’était retirée de l’autre côté du bureau, là où était leur place. Séléné n’avait pas du tout apprécié les paroles cinglantes de l’homme envers la petite fille. S’il n’avait pas d’armure, il avait le même sale caractère que les gardes qu’elle s’imaginait et n’essayait – comme eux – pas de savoir qui était gentil et qui ne l’était pas.

C’était donc ça se présenter ? C’était la première fois qu’elle le voyait faire. Mais Rosie avait beaucoup d’informations... pas elle. Qui était donc Lili ? Elle nota le nom et se dit qu’elle le demanderait plus tard à sa jeune sœur. Aly venait de lui chuchoter ce qu’elle devait dire. Elle voulait bien, mais elle n’avait pas de nom de famille à sa connaissance et ne se rappelait plus du nom de son Sire, si elle lui avait toutefois un jour demandé. Et le monsieur en blanc qui la fixait...

Elle essaya de parler de la voix la plus calme possible, mais elle ne pût empêcher tous les tremblements.

« Bonjour monsieur. Je m’appelle Séléné... juste Séléné. Je suis du clan de la Lune. J’ai... je crois que j’ai oublié son nom... »

Elle baissa les yeux, se sentant honteuse, elle n’arrivait plus à soutenir le regard du gardien.

Ventrue

« C'est noté, mademoiselle Séléné. Cela fera l'affaire vu l'heure avancée. Je vous souhaite à tous une excellente journée. Si vous avez besoin d'un lieu pour votre repos, je vous arrange cela dans la minute. Soyez prudents en route en vous rendant vers vos refuges respectifs. Mademoiselle Claudel, mes salutations à monsieur Sheperd. Bonne journée à tous. »

Une fois son bureau désert, il s'effondra dans son fauteuil, pour être aussitôt dérangé par son oreillette et son téléphone. Deux lapins en même pas 1 minute 30. Un triste record qui lui donnait des envies de meurtre. Par on ne sait quel miracle, il avait réussi à ne pas réduire en bouillie son téléphone, annonciateur de la dernière mauvaise nouvelle. Sans doute la réminiscence de la bien désagréable sensation de se faire enfoncer un pieu dans le cœur y était-elle pour quelque chose…
Cela ne l'empêcha de maudire intérieurement tout ce qui arborait une paire de seins, tandis qu'un sillon carmin se formait sur sa joue droite. Arrivant à la comissure de ses lèvres, sa langue sortit prestement pour en limiter l'expansion.
Fort heureusement, chacun des rendez-vous n'avait rien de public…sans quoi il aurait sans doute été raillé, les Harpies prenant un malin plaisir à fondre sur lui tel des vautours sur un cadavre. Il pensa même ¼ de seconde à se rabattre sur une autre possibilité, mais elle lui fît bien vite naître un haut le cœur qui lui fît oublier aussi rapidement l'idée qu'elle était apparue.
Le délicat visage de mademoiselle Constance apparût dans l'encadrure de la porte de son bureau…c'est alors qu'il se rendit compte qu'elle avait frappé plusieurs fois sans qu'il n'y prête la moindre attention, perdu qu'il était dans ses sombres pensées. Deux flashs, l'un représentant cette dernière en pleine jouissance sexuelle, l'autre le corps aussi abîmé qu'après une confrontation avec un poids lourd, s'imposèrent à son esprit, n'éveillant pourtant en lui pas une once d'intérêt, à son grand étonnement. Quelque chose n'allait vraiment pas.

- Monsieur d'Arcy ?
- Mademoiselle Constance ?
- Il se fait vraiment très tard monsieur, je me dois d'insister pour que nous partions.
- Je…oui vous avez raison. Allons-y.

Il se leva tel un automate, son assistante le prenant littéralement en charge jusqu'à la berline française aux vitres teintées. La voiture quitta le parking souterrain à vive allure, pour s'engouffrer dans un autre parking souterrain non loin, et en repartir sans attendre. Ce manège se répéta à plusieurs reprises avant que le véhicule en question ne ressorte plus…

[Sortie vers le Crillon]

Rosie : Tu ne peux plus être dans cette pièce après ta torpeur... c'est le bureau du Gardien il ne t'as pas laisser dormir dedans.
Vois avec un MJ pour déplacer ton RP ou tu veux et pour l'éditer ou en faire un autre ailleurs puis nous supprimerons celui ci. MERCI

RP déplacé dans le meme sujet qu'Aly : http://vampiredeparis.jdrforum.com/t1410p30-une-chambre-et-trois-lits#26697

Byrion attrapa Amélie au moment ou celle-ci allait tomber à cause de la torpeur.

Rosie toujours sur lui, qui elle aussi était tombée en torpeur.

Il prit les deux Malkavian et salua poliment avant de partir.

[Direction : Chambre des Pupilles.]

Ventrue

[Arrivée du petit salon]

La Brujah et lui avaient gravi les marches menant au premier en silence. Le vestibule fût rapidement passé, et il invita la rousse à s'installer dans un fauteuil tandis que lui-même s'asseyait, après être passé par le bar mappemonde, se servant un verre, en prenant un second, le laissant vide, posé à côté de lui.

« Bien. Tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour votre acceptation au sein de la côterie de combat. Vous avez dorénavant le droit de porter une arme au sein de l'Elyseum. »

Il s'affaira dans un tiroir, en sortant ce qui, pour une personne de cette époque était un devis en provenance d'un numimaste et joaillier. Y étaient répertoriées toutes les possessions qu'avaient confiées la Brujah aux soins du Ventrue, la valeur de chacune des pièces, formant un total à la coquette somme. Il tourna la feuille vers elle, afin qu'elle puisse en prendre connaissance.

« Voici ce dont nous avons parlé la nuit précédente. Comme vous pouvez le constater, la somme est de 50k€. Les 20% me revenant, soit 10k€, ainsi que l'avance d'hier vous font un solde de 39k€. Si cela vous convient, je puis vous faire parvenir la totalité de la somme la nuit prochaine.
Autre point: En tant qu'actuelle propriétaire des dit-biens, je désire savoir si vous m'autorisez à racheter un collier qui vous appartient. »

Il désigna une ligne sur le devis.

« Je souhaiterais en faire cadeau, mais je ne voudrais point que vous soyez marri de le voir porté par autrui. »

Brujah

Elle écouta attentivement le gardien, même si ses yeux étaient ceux d'une personne peu habituée à parler argent, un luxe dont seules les personnes qui en ont toujours eut peuvent se vanter ...

"Excellent Gent Gardien, pour le collier c'est avec plaisir que je vous le vends, mais non point contre des devises, plutôt contre un service, qui a n'en point douter, sera facilement rendu par vos gens .... J'aimerai que les deux tiers de la vente de ces babioles soient placé sur un ... ( elle chercha ses mots) compte bancaire qui sera ouvert grâce à une de ces cartes d'identités qu'il me faudra avoir... ne pas en posséder une pourrait attirer sur a personne, l'attention de mauvaises personnes .. ne leur facilitons pas la tâche ! Je suis née Marie Ondine Du Val, mais ce nom peut sembler dé-sué et j'ai cru comprendre que le peuple de France ne portait plus la noblesse en haute estime... j'imagine que Marion Dauvalle serait plus "passe partout"... Est ce la une tache que je puis vous demander d'accomplir, si le collier était un trop modeste paiement bien entendu il ne serait pas le seul ... "

Elle réfléchit, les deux tiers placés, un tiers moins le collier et le prix de la carte avec son portrait dessus ... suffisant pour ses dépenses courantes , du moins quelques temps ...

Ventrue

« Merci beaucoup mademoiselle…Dauvalle. »

Un sourire entendu s'afficha sur son visage.

« Il n'est point trivial de créer de faux papiers d'identité. La technologie dispose de garde-fous pour empêcher ceci, néanmoins, rien n'est inviolable tant que l'on y met suffisement de moyens. Bref, ces…choses ne sont point mon fort, mais je vais me renseigner et tâcher de vous arranger cela au plus vite.
Donc, deux tiers de 39k€ faisant…26k€, je vous apporterais donc 13k€ en monnaie papier. Minus le collier.
Affaire conclue ? »

Brujah

Que ce monde etait compliqué songea t elle en écoutant d 'Arcy.

" Affaire conclue Si.. Monsieur le Gardien. Merci pourvotre aide , votre patience et votre courtoisie, chacune de nos entrevues furent aussi agréables que constructives. Autre chose ?"

Ventrue

« Je fais prévenir la Garde de ce pas de votre autorisation de port d'armes. Vous pourrez aller la récupérer sur le champs. Permettez ? »

Il décrocha le téléphone de son bureau, mettant le haut-parleur afin qu'elle entende la totalité de la conversation.

- La garde.
- Bonsoir, monsieur d'Arcy à l'appareil. Prenez note que mademoiselle Nittael, dite Marion Dauvalle, est dorénavant membre de la côterie de combat et à ce titre du port d'arme au sein de l'Elyseum.
- Bonsoir monsieur d'Arcy. Reçu cinq sur cinq,
- Merci, bonne soirée.

« Voici une bonne chose de faite. Nous nous reverrons donc la nuit prochaine pour clôre notre accord et signer le contrat validant notre petite affaire. Je vous souhaite un excellente nuit, mademoiselle Dauvalle. »

Il se leva pour saluer la Brujah et l'accompagner jusqu'au vestibule, où il s'arrêta pour discuter avec son assistante. Quelques minutes plus tard, il redescendait au rez de chaussée.

[Sortie vers le petit salon]

Brujah

Elle remercia d'abord d'un geste appuyé de la tête le gardien, bientôt elle pourrait porter son épée à nouveau e ainsi se sentir entière .
Elle se leva , le gardien semblait avoir fort à faire , elle ne comptait pas abuser de son temps plus que nécessaire , mais avant de quitter la pièce elle lui tendit un papier contenant son numéro de téléphone

"Au cas où... au cas où vienne une situation ou votre verbe ne suffira plus, appelez donc ma lame et mes poings , ils sont deux à votre service "

Une révérence , un salut et une sortie vers le petit salon

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